Les Aventures Extra Conjugales De Wahiba Deuxième Partie : Le Retour À La Maison
Il était près de dix-neuf heures, quand jarrivais devant chez moi. Avant dentrer à la maison, jachetai deux pizzas (au poulet) pour le diner des s. Il était tard et je navais pas le temps de leur cuisiner quelque chose de consistant. Mais comme mes s adoraient les pizzas, je savais quils nallaient pas men vouloir de ne pas leur avoir mijoté, comme dhabitude, un bon repas. Quant à Slimane, mon mari, il nétait pas encore entré. Il travaillait souvent tard et rentrait rarement avant vingt heures. Javais donc le temps de faire griller deux steaks et préparer une salade. Je savais quil nallait pas râler pour cela. Il avait lhabitude de bien manger à midi et le soir, il se contentait dun repas léger.
Les s avaient déjà ingurgité les pizzas et avaient rejoint leurs chambres pour faire leurs devoirs et préparer les cours du lendemain, quand Slimane revint à la maison. Il était dhumeur joyeuse. Voyant que les s nétaient pas avec moi, il menlaça et membrassa tendrement sur la bouche.
- Tu es toujours aussi belle ! Tu as sur toi une drôle dodeur ! Lodeur que tu as, après avoir fait lamour ! Tu as fait lamour ?
- Tu es fou ! Avec qui jaurais fait lamour ! Jai simplement beaucoup transpiré; il a fait chaud et je me suis beaucoup dépensée durant la journée. Dailleurs jétais justement sur le point de prendre un bain pour me délasser et en enlever toute cette sueur.
- Non pas tout de suite ! Jadore cette odeur !
Et il sétait mis à flairer et humer mon visage et mon cou, comme laurait fait un chien ou un bouc en chaleur. Je commençais vraiment à paniquer. Je navais pas eu le temps de me laver depuis que javais quitté Mohammed Saïd et je devais encore porter, sur le visage et le cou, lodeur de tout le sperme quil avait déversé à la suite de la fellation denfer que je lui avais appliquée tantôt. Bien entendu, je métais soigneusement essuyée après la séance, mais je nai pas pu éliminer les odeurs particulières de nos sécrétions : les miennes dabord, parce que javais beaucoup déchargée sous les doigts de mon amant qui mavaient transportée au plus haut des cieux ; les siennes ensuite, à la suite de léjaculation massive quil avait eue à lintérieur de ma bouche, sur mon visage et sur mon cou.
Je me rendais compte que jétais dans de beaux draps et quil fallait que je donne des explications plausibles à mon mari, pour éloigner ses soupçons. Je décidais de men tenir fermement à la sueur abondante, à la suite dune journée plutôt chaude et de tous les efforts que javais dû fournir. Mais à mon grand étonnement, Slimane continuait de me humer en semblant se délecter de lodeur qui se dégageait de moi.
- Jai limpression quil se dégage de toi une forte odeur de sperme ! Surtout sur ton cou ! Cest très excitant ! Il ny a aucune trace de sperme sur toi, mais je sens son odeur entêtante ! Je navais encore jamais remarqué que ta sueur avait cette odeur ! Tu vois comme cela me fait bander ! Non seulement, il semblait excité comme un bouc, mais en plus, il sétait mis à me lécher le visage et le cou, comme sil voulait ramasser avec sa langue les restes de sueur (ou dautre chose, allez savoir ce quil avait en tête !) et les avaler avec délectation. Je ne lavais encore jamais vu faire une telle chose. Je ne savais absolument pas quoi penser. Etait-il au courant de ce qui sétait passé dans laprès-midi et cherche-t-il à me faire passer un message, sans avoir à le dire clairement ? Etait-il, à la suite de lodeur que javais sur moi, entrain dimaginer un scénario bizarre de cocufiage, qui le mettait dans état dexcitation très fort ? Ou alors, continuait-il le jeu quil avait commencé, il y a près dun mois, en me montrant indirectement quil voulait vraiment que je fasse lamour avec un autre homme ? Je navais aucune réponse acceptable à mes questions.
Slimane, par contre, ne semblait aucunement intéressé par tout ce qui pouvait se passer dans ma tête. Seules comptaient ses sensations du moment. Et, dévidence, cétait des sensations de très forte excitation sexuelle, quil montrait en continuant de me humer et de me lécher le visage et le cou.
- Ton odeur me fait bander comme un âne ! Regarde dans quel état je suis ! Si ce nétait les s, je taurais tirée ici même dans la cuisine ! Viens vite dans la chambre !
- Attends un peu que je prenne une douche !
- Il nen est pas question ! Je veux que tu gardes cette odeur aphrodisiaque ! Je tiens à y rajouter celle de tout le sperme dont je vais te remplir !
Il mattrapa presque violemment par le bras et mentraîna dans la chambre.
Cela ne sembla pas déranger Slimane, qui sétait mis à genoux au bord du lit et me força, sans dire un seul mot, à relever mes jambes de manière à présenter devant ses yeux exorbités, ma chatte et mon anus. Il plongea aussitôt son nez entre mes cuisses et se mit à flairer tour à tour ma chatte et mon anus.
- Il ny a pas ici dodeur de sperme. Je ne sens que lodeur de tes sécrétions ! Cest une belle odeur, mais il lui manque celle du sperme, pour devenir encore plus aphrodisiaque. Tu nas donc pas fait lamour ! Dommage ! Cela aurait été bien plus excitant pour moi ! Te baiser juste après quun autre homme tait remplie de foutre bien épais et visqueux !
- Tu es un vrai malade !
En fait, je fus bien contente quil en soit arrivé à cette conclusion que je ne lavais pas trompé. Je remerciais silencieusement Mohammed Saïd, qui ne mavait pas baisée avec sa grosse bête et navait donc pas éjaculé dans mon vagin ou dans mon cul. Il sétait contenté de la fellation que je lui avais appliquée et de me branler la chatte avec ses merveilleux doigts. Je navais aucune trace de sperme entre les cuisses ou entre les fesses.
- Quand tu me feras porter des cornes, tu me le diras, nest-ce pas ? Jen serais très heureux et surtout tout émoustillé !
- Arrête tes conneries ! Et baise-moi, au lieu de gaspiller ta salive à dire nimporte quoi ! Montre-moi que tes toujours un amant à la hauteur ! Fais-moi jouir comme une folle ! Fait-moi hurler de plaisir !
Je ne lui disais pas cela pour seulement le faire taire et léloigner de son obsession de savoir si je lavais trompé ou pas. Avec ses paroles et son comportement complètement barges, il avait réussi à réveiller la nymphomane qui sommeillait en moi. Javais envie de baiser comme une folle. Javais envie de jouir. De jouir pendant des heures. Je retrouvais un mari qui bandait très fort, et qui me promettait des moments intenses de plaisir et de jouissance. Il faut dire que depuis quelque temps, il navait plus le tempérament de taureau quil avait toujours eu. Ni lendurance. Le temps et les excès avaient eu raison de ses capacités exceptionnelles damant toujours partant pour une partie supplémentaire de jambes en lair.
Nos ébats devenaient plus espacés et avaient perdu de leur intensité dantan. Nous faisions lamour au maximum une fois par semaine et encore, fallait-il que jinsiste beaucoup et my prenne adroitement pour éveiller le désir en lui. Et cela se terminait presque par une frustration pour moi et même pour lui, qui en devenait presque honteux. Je le rassurais en lembrassant tendrement et en lenlaçant pour lui montrer que je laimais toujours autant. Mais jétais vraiment insatisfaite et frustrée. Cest dailleurs, me dis-je, comme pour me trouver une excuse valable, pour cette raison que jai accepté aussi facilement une aventure extra conjugale.
Et en ce début de soirée, ne voilà-t-il pas que je retrouve en Slimane, lhomme exceptionnel qui mavait ouvert toutes les portes du paradis des amants. Il se comportait comme sil avait trente ans et était en possession de tous ses moyens physiques et psychologiques.
Et tout cela, parce quil avait senti ou cru sentir une odeur de sperme sur moi et que cela lavait excité au-delà du croyable. Cela avait réveillé son fantasme absolu : celui de mimaginer entrain dêtre baisée par un autre homme. Cétait comme si le psychologique lavait emporté sur le physique : son imagination qui avait toujours été très délirante et fertile, avait redonné à son corps fatigué le ressort nécessaire pour me donner tout le plaisir que jattendais de lui. Et que lui attendait de moi !
Il continua un certain temps encore de humer ma chatte et mon cul, puis il se mit debout, ouvrit sa braguette, sortit son manche tendu à lextrême et le prit dans sa main droite. Limage que javais sous les yeux était vraiment magnifique ! Mon mari debout devant moi, tout habillé (il avait même gardé sa veste !), la braguette ouverte et le sexe qui en sortait, dressé vers le plafond, tel un glaive attendant de pourfendre ma chatte ! Il le tenait dans sa main en le caressant doucement et en me regardant, lair farouche, avec sur les lèvres un sourire de satisfaction.
- Chefti kiffach wella ! Kima kan bekri! Khchin ou twil! Zeb ahdid! Mwegaf Ki yed el mahraz ! (Tu as vu comment il est devenu ! Comme il était avant ! Gros et grand ! Un zob en acier ! Il bande comme le manche dun pilon !)
- Khoudh-ni ! Nik-ni ! Dekhal hou li ! Wach testenna? (Prend-moi! Nique-moi ! Pénètre-moi ! Quest-ce que tu attends ?)
Et ce fut comme si le monde sétait arrêté de tourner et que le temps avait suspendu son vol. Je ressentis soudainement mon homme sengouffrer entre mes jambes toujours relevées et planter son magnifique engin dans mon vagin. Sans aucune précaution ! Sans aucun ménagement ! Il me pénétra en force, comme il savait si bien le faire autrefois, et dès le début, me fit crier de douleur et de plaisir (Avec la présence proche des garçons, jessayais toutefois datténuer autant que faire se peut, le niveau de sonorité de ma voix). Je me sentis immédiatement défaillir et un flot de plaisir dévala sur toute mon âme et memmena loin, très loin au dessus de mon corps. Jétais vraiment au paradis ! Surtout quand Slimane se mit à parler ! Ou plutôt à minvectiver, certainement pour garder sa propre excitation au plus haut niveau.
- Qahba ! Thabi zboubs ! Thabi er-djel ki yinikouk ! Gouli-li en-heb erdjal ! Gouli ! (Espèce de pute ! Tu aimes les zobs ! Tu aimes les hommes quand ils te niquent ! Dis que tu aimes les hommes ! Dis !)
Je ne voulais pas répondre à ses demandes. Jétais encore méfiante. Mais lui voulait absolument que lui dise que jaime les hommes ! Que javais une âme de pute ! Que je voulais me faire tirer par dautres hommes ! Je sentais quil avait vraiment envie de mentendre lui dire que je voudrais quil moffre à un autre homme. Javais lintuition que cela aurait beaucoup accru lintensité de lexcitation quil ressentait et aurait augmenté lintensité du plaisir quil prenait à me tirer comme cela. Mais jhésitais encore à me laisser aller et à entrer dans son jeu.
- Gouli-li en-hab radjel akhor i nik-ni ! Gouli-li djib-li radjel akhor ! Gouli-li bright zeb akhor i dji i 3amar-li ga3ri! Gouli-li bghit zoudj zboubs i dekhlou fi saouti wa fi ga3ri! (Dis-moi: je veux un autre homme pour me baiser ! Demande-moi de tamener un autre homme ! Dis-moi que tu veux un autre zob pour me remplir le cul ! Dis-moi je veux deux zobs pour occuper ma chatte et mon anus !)
Tout en recevant avec délice les coups de boutoir de mon mari, jétais maintenant totalement entrée en moi-même et il ny eut plus rien dautre qui comptait pour moi que le plaisir intense que jétais entrain de vivre. Je sentais un très fort orgasme qui se préparait et qui nallait pas tarder à dévaler en moi, emportant sur son passage tout ce qui pouvait me rester de conscience. Je me laissais complètement aller et me mis à répondre à mon mari sur le même thème et sur le même ton.
- Djib-radjel li yinik-ni m3ak ! Enta mel goudam ou houa melour ! 3a-yett-lou yedji ! Bghit i dji-ni be-zebou kbir! Bghit i koun 3andou zeb ki en-t3a lhmar! I dji I kessar-li g3ari! 3a-yetlou!(Ramène un homme qui va me tirer avec toi ! Toi par devant, lui par derrière ! Appelle-le pour quil vienne ! Je veux quil vienne avec son gros zob ! Je veux quil ait un zob aussi grand que celui dun âne ! Il doit venir pour me détruire le cul ! Appelle-le !)
- Ghedwa en-djib-lek sahbi ! 3andou yed el fass fi placet zeb! I nikek goudami! Gouli-li Djibhou-li! (Demain je vais te ramener mon ami ! Il a un manche de pelle à la place du zob ! Il te baisera devant moi ! Dis-moi de te le ramener !
- Djibhou-li ! Ou i dji bel yed el fass en-ta3ou! Djibou ! Djibou ! Dji... !Et je partis dans un orgasme vraiment exceptionnel. Je jouis comme une folle, en criant des insanités qui accroissaient lexcitation de mon mari qui intensifiait la violence de ses coups de boutoir dans ma chatte et en même temps que ses propos devenaient de plus en plus vulgaires.
- Farghi yal qahba ! Farghi taht zeb rajlek ! Ghedwa bghit en-choufek et-farghi taht zeb sahbi !
Je perdis presque connaissance, tellement ma jouissance était forte. Je sentais que le lit était entrain de tournoyer sous mon corps et que le néant mavalait. Jétais anéantie par le plaisir. Je mis un moment à refaire surface. Slimane était toujours entrain de me tirer comme un bucheron. Sans trop savoir pourquoi, je me mis à lencourager avec des propos tout aussi vulgaires que ceux quil menvoyait. Je voulais quil jouisse aussi intensément que moi. Et instinctivement je savais que les mots injurieux que jallais prononcer allaient accroître son excitation et allaient lemmener vers un orgasme très fort.
- Nik-ni ya tehan ! Nik-ni ,mekbel i dji radjel akhor li yedini lesma essaba3 ! Tahan ! Tahan ! Ferragh fiya ! A3tili zel en-ta3ek ! 3amer-ni be-zel ! A3tihouli en-charbouh! (Nique-moi espèce de cocu! Nique-moi avant quun autre homme ne me transporte au septième ciel ! Coco ! Cocu ! Ejacule en moi ! Donne-moi ton foutre ! Remplis-moi de sperme ! Donne-le-moi à boire !)
- Qahba ! Qahba ! Rahi djaya ! Djaya ! Djaya ! Dja
(Pute ! Pute! Ça vient! Ça vient ! ça v
!)
Et je pus voir mon mari préparer un formidable orgasme : son visage se figea comme celui dune statue, sa bouche grande ouverte était tordue par un rictus incontrôlable et tous les muscles de son corps étaient tétanisés par lintensité des efforts fournis. Un son, tel le rugissement dun lion rassasié sorti soudain de sa gorge, en même temps quil commença à éjaculer une quantité incroyable de sperme, aussi épais et visqueux que celui quil éjaculait autrefois. Il déversa une partie à lintérieur de mon vagin puis se retira pour asperger mon -ventre et mes cuisses. Son éjaculation dura longtemps. Je le sentais heureux déjaculer comme cela : beaucoup et longtemps. Quand il sarrêta, il saffala sur moi et mit un certain temps à reprendre sa respiration et à calmer les battements trop rapides de son cur. Il leva la tête pour me regarder au fond des yeux et menvoya le plus magnifique des sourires. Je connaissais ce sourire là : cétait celui de lamant heureux quil avait été très longtemps entre mes bras. Un sourire dans lequel il y avait en même temps des tonnes de tendresses et damour et aussi plein de remerciements pour le merveilleux moment quil venait de passer.
- Tu es toujours aussi merveilleuse ! Tu pars toujours au quart de tour et tu sais toujours ce qui me fait plaisir ! Merci de me comprendre aussi bien !
- Toi aussi tu es merveilleux ! Et ce soir encore plus que dhabitude ! Je croyais que je ne te plaisais plus ! Que tu néprouvais plus de désir pour ta femme!
- Un peu de fatigue ! Mais avec ta manière daccepter dentrer dans mes fantasmes, aucune fatigue ne peut rien contre le désir que tu allumes en moi. Dis-moi que tu continueras toujours à maimer comme cela et à satisfaire tous mes fantasmes !
- Bien entendu que je continuerai toujours à taimer et à te donner des tonnes de plaisir ! Mais je vois que tu es encore en forme ! Ton manche est encore debout ! Tu veux que je te suce ?
- Non, je préfère tenculer ! Cela fait bien longtemps que je nai pas pris de plaisir entre tes grosse fesses ! Mets-toi à quatre pattes, parterre ! Je vais te tirer à la hussarde ! Jai besoin de te faire mal ! Quand je te baise comme cela en force, cela me donne limpression que je suis vraiment ton maître ; un maître puissant capable temmener loin dans le plaisir et lextase ! Et cela me rassure !
Et cette soirée là il ma enculée avec la même force et la même puissance quautrefois. Il ma fait très mal (et je ne pouvais même pas crier, de peur dalerter las garçons, qui étaient toujours dans leurs chambres, probablement à regarder la télévision ou à tchater avec des amis virtuels sur la toile). Il ma aussi donné beaucoup de plaisir en entreprenant ma chatte avec les doigts de sa main droite, créant ainsi en mois limpression délicieuse dune double pénétration.
Cette nuit-là, après avoir pris tous les deux un bain chaud et mangé léger, nous nous sommes endormis heureux, dans les bras lun de lautre. Ce qui ne nous était plus arrivé depuis longtemps. Cela ne mempêcha pourtant pas de penser à tout ce qui sétait passé pendant la journée ; avec mon amant dabord et avec mon mari ensuite. Cela avait été une journée vraiment exceptionnelle: jai connu pour la première fois le plaisir immoral de ladultère que mon corps et mon âme, assoiffés, avaient adorée et jai retrouvé le plaisir de faire lamour avec mon mari, grâce à ses fantasmes inavouables de vouloir que je lui fasse porter des cornes.
Mais au bout de la journée, je nétais toujours pas sûre de la position réelle de mon mari par rapport à une éventuelle aventure adultérine. Je nétais pas encore convaincue que lenvie de mon mari de me voir entre les bras dautres hommes était autre chose quun fantasme qui ne cherchait absolument pas à se concrétiser. Je me dis que Slimane se contentait dimaginer la chose et que par limagination, il pouvait vivre des moments intenses dexcitation et de plaisir. Et cela lui suffisait.
Jétais encore convaincue que si je lui avouais être passée à lacte, cela le choquerait beaucoup, et notre vie de couple et de famille allait sen ressentir. Je décidais donc de ne rien lui dire et daller à mon rendez-vous du lendemain sans quil nen sache rien. Je voulais goûter au monstre que Mohammed Saïd avait entre les jambes ! Et rein pour le moment ne men empêchera ! Je dormis comme un bébé entre les bras de mon mari. Et toute la nuit je rêvais de gros zobs qui mentreprenaient de partout.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!