Les Aventures Extra Conjugales De Wahiba - Troisième Partie : La Garçonnière De Mohammed Saïd
Je passais la journée suivante on était le mercredi à attendre avec impatience le moment de mon rendez-vous avec Mohammed Saïd. Comme à mon habitude, je vaquais à mes occupations, mais mon esprit était complètement envahi par lattente. Lattente du moment où je me retrouverai entre les bras de mon amant. En fait, je ne pensais quà me faire tirer par lui. Je navais pas du tout envie quil me prenne dans ses bras et quil fasse preuve dune quelconque tendresse envers moi. Je narrivais pas à imaginer lhomme faire preuve de tendresse et damour. Et en plus, je nen voulais pas !
Mohammed Saïd nétait pour moi que létalon qui allait satisfaire ma libido et me tirer comme une chienne ! Je voulais jouir très fort, et rien dautre ! Je ne crois pas avoir ressenti pour lui, autre chose que du désir. Javais vu et admiré - et même reçu dans ma bouche - son énorme virilité. Le monstre quil avait entre les jambes mavait fat saliver. Ni ma chatte, ni mon cul ne lavait encore reçu, et cela avait créé un vrai manque en moi. Presquune frustration. Je le voulais; je voulais sentir sa puissance et sa force de pénétration.
Toute la journée du mercredi, je narrêtai pas dy penser. Et en y pensant, je sentais ma chatte palpiter et tout mon corps frémir. Javais même dû changer de culotte, en revenant à la maison après le travail, tant celle que je portais était mouillée. Jétais vraiment excitée. Et le soir, je voulais reprendre avec mon mari la séance de baise formidable de la veille. Mais malheureusement, ce soir là, Slimane nétait pas dans les mêmes dispositions que la nuit précédente.
Javais beau le titiller (et croyez-moi, jai toujours su my prendre pour lexciter !), rien ny faisait. Il était resté de marbre, prétextant quil était fatigué et quil avait besoin de dormir. Dailleurs, il ne tarda pas à me tourner le dos et à sendormir. Je lui en avais beaucoup voulu de mavoir laissée ainsi sur ma faim, et méchamment, je me disais quil avait bien mérité que je le fasse cocu.
Le lendemain matin, je me réveillai, comme à mon habitude avant tout mon petit monde, pour préparer le petit déjeuner et faire un peu de ménage. Ce jour là était un jour dexamen au collège et javais demandé et obtenu de la Directrice de me faire remplacer. Jétais donc libre pour la journée. Je nen dis rien à personne ; ni à Slimane, ni aux garçons. Je leur avais simplement dit que je navais cours quà partir de dix heures. Ce qui expliquait que je traînais comme cela, contrairement à mes habitudes de personne plutôt speed.
Slimane et les garçons partirent, qui à son travail, qui au collège, me laissant ainsi tout le loisir de me préparer pour mon aventure de laprès-midi. Je pris un long bain bien chaud et délassant et vérifiai quil ny avait sur moi aucune trace de poil. Je voulais être nickel pour mon rendez-vous. Je choisis une tenue en même temps sobre et élégante. Une tenue qui sans être provocante, mettait en valeur, mes belles formes de femme plantureuse. Je savais que jallais plaire à Mohammed Saïd et que jallais lexciter au-delà de tout ce quil pouvait espérer.
Je passais, comme je pouvais, le reste du temps qui me séparait de lheure du rendez-vous. Je narrêtais pas de regarder lheure. Elle avançait trop lentement à mon goût, et cela magaçait fortement. Javais programmé de sortir de la maison à onze heures trente minute et darriver à midi pile à larrêt de bus qui se trouvait à environ cinq cent mètre du le collège. Je ne voulais pas trop attendre devant larrêt, pour ne pas me faire remarquer par des personnes qui auraient pu me connaître.
Quand lheure arriva, je sortis de la maison, le cur battant la chamade, comme une collégienne qui allait à son premier rendez-vous galant. Des sentiments contradictoires se mélangeaient en moi. Dune part, la fébrilité de lattente du moment où je me retrouverai à la merci de mon amant et de subir les assauts furieux de son immense engin.
Quand je descendis du bus, je vis immédiatement la voiture qui sétait arrêtée le long du trottoir den face. Je descendis, traversai la rue et allai rejoindre Mohammed Saïd qui avait laissé entrebâillée la portière du passager avant. Je mengouffrai dans la voiture, qui démarra immédiatement.
Mohammed-Saïd était exactement comme la première fois : élégant et soigné. Tout en lui indiquait quil prenait un grand soin de limage quil présentait. Il était habillé avec goût - un costume léger en flanelle grise, une chemise crème dont le col était largement ouvert, mettant en évidence un dessus de poitrine velue et virile ; il était rasé de près. Il me regardait, tout en conduisant, avec sur les lèvres un sourire ironique qui demblée me gêna. Je me rappelais soudainement, le côté goujat de lhomme et immédiatement, je me mis sur mes gardes. Je voulais baiser, mais pas au point de me laisser avilir. Et je savais dinstinct que si ne faisais pas attention, lhomme était capable de me traiter comme une moins que rien. Mohammed Saïd continuait de me lancer des regards où se mélangeaient désir et moquerie.
- Tu es encore plus bandante que la fois dernière ! Tues magnifique ! Nous allons passer un merveilleux moment ensemble ! Tu verras, je te ferai jouir comme une folle ! Comme jamais de ta vie tu nas joui !
- Arrête de fanfaronner ! Cest encore loin, là où nous allons ? Je ne voudrais pas que quelquun qui me connait me voit avec toi dans la voiture.
- Cest à quelques kilomètres, sur la côte ! Tu es pressée de moffrir ton joli cul ? Tu sais que je nai pas arrêté dy penser depuis la dernière fois. Je me suis reproché de ne pas tavoir enculée ! Je te choque ?
Je ne lui répondis pas.
- menculer - mexcitait vraiment, parce que moi aussi, javais beaucoup pensé à lui entrain de faire pénétrer son monstre dans mon anus et le démolir en me faisant hurler de douleur et de plaisir ; dautre part, je ne voulais pas lui donner lavantage en me mettant tout de suite en position de femme soumise.
- Ne me dis pas que tu ne veux pas que je tencule ! Je ne te croirais pas ! Jai bien vu que ton anus était ouvert et quil a déjà reçu un ou plusieurs zobs ! Mais le mien est beaucoup plus grand et puissant que celui qui a ouvert la voie ! Regarde-le comment il bande, rien quà la pensée de tenculer ! Sorts-le et caresse-le !
Il ne me laissa ni le temps de répondre à sa question et à son ordre de caresser son sexe ; il sempara de ma main gauche pour la porter sur le devant de son pantalon. Il la força à palper et tâter son manche comprimé dans le pantalon. Il poussa un petit gémissement de plaisir au moment où ma main entra en contact avec son sexe, même à travers les tissus du pantalon et du slip (ou du boxer ; je ne savais pas encore). Il bandait très fort ; je le sentais qui palpitait et irradiait une douce chaleur qui traversait les tissus pour se répandre sur ma main et allait me chatouiller la colonne vertébrale. Il continua de forcer ma main à caresser son engin, tout en ouvrant très grand sa bouche, comme sil avait peur de manquer dair. Il sabstint toutefois douvrir sa braguette pour le sortir. Probablement pour ne pas trop nous faire remarquer par les passants ou par les automobilistes (qui, déjà pouvaient mapercevoir entrain de le branler par-dessus son pantalon !) Au bout denviron une demi-heure de route, il enleva subitement ma main de sur son sexe et arrêta la voiture devant une grande villa, située dans un quartier huppé, à quelques encablures dune station balnéaire très réputée. Il donna un petit coup de klaxon et attendit environ trente secondes devant le grand portail.
Nous descendîmes de voiture ; il me prit par la main pour mentraîner à lintérieur de la villa. Je le suivis à lintérieur avec un peu dappréhension et le cur battant plus vite quà son habitude. Lhomme, sans même attendre que je mhabitue aux lieux et fasse connaissance de lendroit, me prit par la taille et me plaqua brutalement contre la porte dentrée, quil venait juste de refermer derrière nous, dun coup de talon. Il se mit immédiatement à retrousser ma jupe.
- En-nikek hakdha belwegfya ! Ma nen-djamch nestana ! Rani m3amar ! Lazem en-faghar dhork ! (Je vais te baiser comme cela, debout ! Je ne peux plus attendre ! Je suis trop plein ! Il faut que je décharge tout de suite !)
Et sans autre forme de procès, il ouvrit sa braguette, descendit lélastique de son boxer et sortit le monstre. Je revis avec émotion limmense sexe sur lequel javais tellement fantasmé : un engin très gros, très long et très lisse, surmonté dun gland en forme de tête de champignon pointue. Il ne me laissa même pas le temps de ladmirer ; il prit violemment lintérieur de genou droit et souleva ma jambe pour essayer de mettre mon mont entrecuisse au niveau du monstre que je sentais frémir. Il ny arriva pas immédiatement ; jétais plus petite que lui et il lui fallait donc me soulever pour me positionner au dessus de son sexe. Cela ne larrêtât pas. Il me susurra à loreille de bien maccrocher à sa nuque et me souleva - une main attrapant ma fesse gauche et lautre lintérieur de mon genou droit - dune quinzaine de centimètres par rapport au parterre. Mon entrecuisse se positionna au niveau de pubis de Mohammad Saïd et ma chatte était maintenant à portée du monstre. Et à sa merci !
Il farfouilla un moment entre mes cuisses pour tenter décarter lentrecuisse de ma culotte et dénuder ma chatte. Il éprouva des difficultés à le faire et se décida pour lultime solution: la déchirer. Quand ma chatte fut libre, il guida son engin de sa main gauche et après quelques tâtonnements, il parvint à faire entrer le gland entre mes grandes lèvres. Pus, sans aucune préparation et précaution, il me pénétra dun seul coup. Je poussai un immense cri de douleur.
- Aie ! wedj3atni ! Bela3qel ! (Aie ! Tu mas fait mal ! Doucement !)
- Khoudhi zebi ya qahba ! Khoudhi Zeb enta3 çah ! Zeb li yekassar koul-chi fi trigou! Zeb li yekasser-lek sawtek! Hessiti-lou mlih? (Prends mon zob espèce de pute! Prends un vrai zob ! Un zob qui détruit tout sur son passage ! Un zob qui va te démolir la chatte ! Tu las bien senti ?)
Javais limpression quil mavait déchiré quelque chose. Cétait vraiment très douloureux ! Et pourtant, mon vagin était bien lubrifié par toute la cyprine que javais produite, tantôt en lui caressant le manche dans la voiture. Mais la taille et la puissance du monstre, conjugués à la brutalité dont faisait preuve mon amant, rendait la pénétration et le limage furieux de mon vagin, vraiment très douloureux. Javais très mal
mais je ne voulais pas quil sarrête ! Ni même quil y aille avec plus de douceur ! Cétait la première fois que je recevais dans mon vagin un zob de cette dimension et de cette force ; une vraie merveille de la nature ! Il remplissait totalement mon tunnel ; je sentais même quil était entrain de lélargir pour ladapter à ses dimensions. Celui de mon mari était certes de bonne taille, mais il ne me remplissait pas le tunnel de la même manière que celui mon amant.
La douleur passa très vite et je ne ressentais plus que du plaisir à me faire tirer debout par un zob aussi puissant. Je le sentais qui allait très loin en moi, comme sil voulait ressortir par la bouche. LHomme continuait de me piner en force en rugissant à chaque fois tel un lion affamé. Et en me traitant de tous les noms doiseau.
- Qahba ! Qahba ! Goulili enti qahba ! Qahba li et-hab zboubs kbar kima en-ta3i ! Hadri ! Goulili en-hab ezzeb ! Goulili en-hab ki etnik-ni hakdha ! Hadri ! (Pute ! Pute ! Dis-moi que tu es une pute ! Une pute qui adore les zobs comme le mien ! Parle ! Dis-moi que tu aimes le zob ! Dis-moi : jaime quand tu me baises comme ça ! Parles !)
Il continua longtemps ses mouvements francs dallers-retours dans mon vagin brulant, humide et moulant, qui palpitait sur le monstre ! Il ne prenait aucune précaution ; il pilonnait ma chatte comme sil avait lintention de la détruire complètement. Je le sentais qui limait les parois en force, en provoquant une chaleur qui devenait de plus en plus intense, jusquà se transformer en fournaise. Javais le vagin qui me brulait ! Mais quel pied ! Jétais emportée dans un immense océan de plaisir. Je me sentais défaillir ; proche de lévanouissement ! Le manche de mon amant allait et venait dans mon tunnel à un rythme endiablé et avec une force de plus en plus grande. Je ne sais pas combien de temps cela avait duré. Il me sembla quil venait de se passer une éternité au moment où je sentis que jallais avoir un immense orgasme. Je le sentais tout proche et me mis à lattendre. Tous mes sens étaient ouverts pour laccueillir et en profiter. Je voulais jouir ! Et je savais que jallais avoir une jouissance exceptionnelle ! Une jouissance que je navais encore jamais connue ! Pas même, quand il mavait branlée, deux jours auparavant !
Jétais accrochée avec force à la nuque de mon amant. Mes gémissements que je voulais discrets, pour ne pas montrer à mon amant combien il me donnait de plaisir - se transformèrent en cris, de plus en plus stridents et longs, à mesure que sintensifiait le plaisir que je prenais. Je posai ma tête au creux de son épaule et je bavais, en lâchant de grandes quantités de salive sur lépaule de la veste quil avait gardée sur lui. Je voulais lui crier dy aller encore plus fort et de memmener de plus en plus haut dans le plaisir. Jessayais pourtant de ne pas trop me lâcher. Je voulais garder un peu de « dignité ». Je ne voulais pas céder, pour ne pas lui donner la preuve que jétais devenue sa chose. Mais ma volonté ne pouvait plus rien. Car au moment où sentis arriver un immense orgasme, je ne pus mempêcher de lui hurler tout le plaisir quil me donnait et lui criai de continuer de me piner encore plus fort et de me faire jouir comme un chienne.
- Ma tahbesch ! Zid hakdha ! Bezzour! Zid! Zid! 3amerni bezzal! Faregh fiya! (Narrête pas! Continue comme ça ! En force ! Encore ! Encore ! Remplis-moi de sperme ! Vide-toi en moi !
Je poussai un long râle de mourante, et déchargeai toute leau de mon vagin sur son manche, ses couilles et en dehors, expulsée par les furieux va-et-vient du monstre. Lhomme continua encore longtemps de me pilonner, avant déjaculer, en poussant un énorme rugissement de plaisir : il envoya à lintérieur de mon vagin plusieurs giclées dun sperme que je sentais épais et abondant, qui ressortait le long de ma jambe gauche et allait sétaler par terre. Visiblement épuisé par leffort de me porter pendant tout le temps que dura lacte, il arrêta le pilonnage et sortit son manche de mon vagin. Il me déposa par terre et lâcha ma jambe droite. Je flageolais, tant mes muscles étaient tétanisés. Je me laissai glisser le long de la porte, contre laquelle javais été maintenue pendant tout ce temps par mon amant et me retrouvais à genoux sur le carrelage. Javais besoin de reprendre mes forces. Mohammed Saïd me suivit par terre : lui aussi avait besoin de reprendre ses forces. Lacte lavait littéralement épuisé. Nous restâmes ainsi à genoux, enlacés lun contre lautre, jusquà ce que nous retrouvâmes tous les deux nos moyens. Et puis il se mit à parler. A sa manière; comme le goujat quil était vraiment.
- Echb3ati ya qaha ! Hebiti zeb en-ta3 sidek ! Hebiti qouwat-tou ! Kheir men ta3 radjlek! A3tit-lek haqek! Goulili blik ana sidek! (Tu es rassasiée espèce de pute ! Tu as aimé le zob de ton maître ! Tu as aimé sa puissance ! Mieux que celui de ton mari ! Je ten ai donné pour ton argent ! Dis-moi que je suis ton maître !)
Il nétait absolument pas question pour moi que javoue quoi que ce soit. Certes il mavait donné « pour mon argent » et je voulais continuer à subir ses assauts pendant encore plusieurs heures, mais je voulais rester « digne ». Je ne voulais pas de maître comme lui. Un maître fanfaron et goujat. Au fond de moi pourtant, je savais quil avait raison et que jétais prête à faire tout ce quil voudra. Mais sans jamais lui avouer sa supériorité sur moi. Jétais prête à être sa chienne et à me comporter comme telle, mais jamais à le lui avouer. Je ne lui répondis donc pas.
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Nous nous levâmes en même temps. Il me prit par la main et mentraîna vers la salle de bain. En avançant, japerçus dans le couloir et à travers leurs portes ouvertes dans les chambres, des meubles et des décorations dun goût délicieux. Certainement très chers. Nous entrâmes dans une immense salle de bain, toute en marbre couleur bleu pastel. Il lâcha ma main et alla faire couler leau dans limmense jakusi qui se trouvait tout au fond de la salle, pour le remplir. Il contrôla la température de leau et, satisfait, se retourna vers moi pour mapostropher.
- Dhork en-nikek dakhel el-bassen ! felma skhoun ! Nahi houaidjek ! En-hab en-nik ensa dakhel bassen m3amar belma skoun ! (Je vais maintenant te baiser dans le bassin ! Dans leau chaude ! Déshabille-toi ! Jaime baiser les femmes dans un bassin rempli deau chaude!)
Je ne répondis pas ; mais jobéis à son ordre de me déshabiller. Lidée de me faire tirer à lintérieur du jakusi métait extrêmement agréable. Javais bien sûr déjà fait lamour avec mon mari dans une baignoire pleine deau chaude (et même deau froide, pendant lété) ; javais aussi été tirée par Slimane sous la douche. Mais jamais dans un jakusi, et par un zob monstrueux tel que celui de Mohamed Saïd. Lidée même mémoustillait. Javais hâte dêtre toute nue et de rentrer dans le bassin qui se remplissait à grande vitesse. Mon amant me regardait me déshabiller avec des yeux qui brillaient de concupiscence. Il était encore tout habillé, et se tenait debout près de bassin, surveillant du coin de lil le remplissage du jakusi et observant le strip-tease coquin que jétais entrain de réaliser devant lui, en ôtant lentement mes habits lun après lautre et en les jetant pêle-mêle tout au fond de la salle de bain, de manière à ce quils échappent aux éclaboussures deau que ne manqueront pas de produire nos ébats dans le bassin. Lhomme bavait littéralement en me regardant. Le devant de son pantalon, dont la braguette était restée ouverte laissait apparaître sa virilité. Son énorme zob sortait de louverture et tendait vers le plafond de la salle de bain. Je le voyais qui frémissait. Je voyais aussi palpiter la grosse veine apparente entre le manche et le gland. Le spectacle était divin et tellement bandant. Je sentais ma chatte palpiter dexcitation. Je voulais memparer du monstre pour lembrasser et le sucer. Je voulais le palper pour sentir sa force et sa chaleur ! Je voulais le lui arracher pour men approprier et men faire un godemichet pour moi toute seule ! Jétais entrain de devenir folle dexcitation !
Mohamed Saïd quant-à lui ne semblait pas pressé de mentreprendre. Bien quil soit lui-même très excité, il paraissait pour le moment attendre quelque chose dautre que dentrer immédiatement dans le bassin et me tirer comme un taureau. Jattendais quil me dise - mordonne - ce quil fallait que je fasse.
- Nahili houaidji ! Ou bdaï be sebbat ! (Désahabille-moi ! Et commençe par les souliers !)
Jétais un peu surprise par la nature de la demande, mais je mexécutais rapidement. Je me mis à genoux devant lui - son magnifique zob en érection maximale au dessus de ma tête et me mis à délacer son soulier gauche, lui faire lever la jambe, lui enlever le soulier et la chaussette et à jeter le tout au loin au fond de la salle de bain (rejoignant ainsi le tas formé par mes propres habits). Je refis la même chose avec le soulier droit, avant de me lever pour moccuper de sa veste et de sa chemise qui allèrent rejoindre le reste de nos habits. Il ne portait pas de tricot de peau et je pus ainsi admirer et caresser ses puissantes épaules et sa poitrine velue. Jeus vraiment envie de lembraser sur toute sa poitrine, mais je me retins de la faire, dune part pour ne pas trop lui avouer ma faiblesse et peut-être même une part de tendresse qui sétait emparée de moi en le voyant si beau et si viril mais surtout parce que jétais à ses ordres et nentendait faire que ce quil mordonnait. Rien dautre ! Il me laissait faire en me regardant de ses yeux brillant de désir et en fixant intensément mon corps nu, qui bougeait impudiquement devant lui. Il posa ses mains sur ma taille, pendant que je mefforçais de défaire son ceinturon et de déboutonner son pantalon. En faisant cela, je touchais plusieurs fois lénorme sexe frémissant, brandi tel un glaive vers le plafond. Il me semblait quil était électrifié. A chaque toucher, je sentais une petite décharge sur ma main qui me faisait sursauter et qui allait se nicher dans mon bas-ventre. Mon amant aussi nétait pas insensible aux caresses involontaires de mes mains : il poussait à chaque fois un petit gémissement de plaisir et je sentais ses doigts senfoncer fortement dans ma taille quil continuait de tenir. Je finis par lui enlever le pantalon et le boxer et mon homme se retrouva aussi nu quun ver devant moi. Il était magnifique ! Je ne pouvais mempêcher de le dévorer des yeux. Bien entendu, il sen rendait compte ; et il ne pouvait pas empêcher sa nature de goujat de sexprimer.
- 3amrek ma chefti radjel kima ana ! Radjlek li ethabih, ma yewçallich lah ! Ma 3andouch zeb kima ent3a-i ! Ma 3andouch djesm kima hadha! Çah? (Tu nas encore jamais vu un homme comme moi ! Ton mari que tu aimes, ne marrive pas là (il montrait son aine) ! Il na pas un zob comme le mien ! Il na pas un corps comme le mien ! Vrai ?)
Je ne répondis rien. Il magaçait vraiment avec ses fanfaronnades. Mais cest vrai quil était beau ! Et fort ! Et puissant ! Et quil avait un énorme engin ! Et que mon mari ne lui arrivait pas à la cheville ! Et que javais envie quil me baise, là, tout de suite ! Quil se taise et quil me jette dans le jakusi ! Quil me rejoigne et quil me tire en force, comme il sait si bien le faire !
- Eskout ! Barka ma zoukh ! Wa errouah et-nik-ni ! Arrouah te-dekhalhouli fi saouti ! Oula fi ga3ri ! (Tais-toi ! Arrête de fanfaronner ! Et viens me niquer ! Viens me le mettre dans ma chatte ! Ou dans mon cul !
- Fi ga3rek ! En-nikek men ga3rek ! En-kassar hou lek ! (Dans ton cul ! Je vais te niquer par le cul ! Je vais te le détruire !)
Il serra ses mains sur ma taille, me souleva comme un fétu de paille et me jeta dans le bassin, projetant une partie de leau tout autour du jakusi. Il me rejoignit dans leau chaude, juste ce quil faut pour avoir une agréable sensation sur la peau et mobligea à me mettre à quatre pattes, le front posé sur le bord de bassin. Ainsi je lui offrais mes fesses pour quil les entreprenne. Il vint se mettre à genoux derrière moi, contempla un moment le spectacle qui soffrait à lui, posa sa main droite entre mes fesses et se mit à frotter fortement entre mes grandes lèvres. Un moment, je crus quil avait changé davis et quil allait entreprendre ma chatte. Mais sa main quitta soudain mes grandes lèvres pour soccuper de lanneau de mon anus. Je sentis un doigt venir se positionner à lentrée du trou et senfoncer brutalement dans mon rectum. Il avait des doigts gros et surtout très longs. Celui quil me mettait dans le cul sen alla très loin dans le boyau. Leau du bain pénétrai elle aussi dans mon rectum, créeant en moi une sensation très agréable. Le doigt, probablement lindex, allait et venait à lintérieur comme un petit zob. Il créait en moi une formidable sensation de va-et-vient, mais cela ne me suffisait pas pour vraiment prendre du plaisir. Et je le lui dis crûment.
- Wech testena bach et-dakhel zebek! Nahi sba3! Dirli zeb! (Quest ce que tu attends pour introduire ton zob ! Enlève ton doigt ! Mets-moi ton zob !)
Comme piqué au vif (ou touché dans sa fierté de mâle dominateur), il sortit son doigt de mon cul et une fraction de seconde plus tard, je sentis la pointe de son gland se positionner devant lentrée de mon cul.
- Bghti zeb ! Na3tilek zeb ! Dhork et-choufi qouwtou! I-kesarlek tramek ! Hadha zeb! Machi mergaza enta3 radjlek! M3aya et-hassi wache hiya nika melour ! (Tu veux du zob! Je vais ten donne du zob ! Maintenant tu vas faire connaissance avec sa puissance ! Il va détruire tes fesses ! Ça cest du zob ! Ce nest pas la merguez de ton mari ! Avec moi tu sauras ce que cest quune sodomisation !)
Et effectivement je sus ce quétait une sodo par un homme qui dispose dune immense trique. Je navais jamais eu aussi mal auparavant en me faisant prendre par derrière. Ma première sodomisation avait été aussi douloureuse que la fois ou mon mari mavait déflorée. Mais la douleur navait duré quun court instant et avait très vite fait place au seul plaisir de me faire tirer. Mais avec Mohammed Saïd, il sagissait dun autre type de douleur. Vraiment intense et difficile à supporter. Je sentais mon sphincter résister à la pression de lénorme gland de mon amant, se tendre, se tendre encore, et encore
jusquau moment ou il se déchira et me fit hurler. Javis tellement mal que jen avais les larmes aux yeux. Même leau chaude qui pénétrait dans mon cul en même temps que le manche narrivait pas à calmer la douleur. Pour pouvoir le supporter quelque peu, je me mis à insulter lhomme qui était entrain de mappliquer une telle .
- 3attaye ! Woudja3tni ! Habbes ! Habbes ! 3attaye ! 3attaye ! (Pédé ! Tu mas fait mal ! Arrête ! Arrête ! Pédé ! Pédé !)
Bien entendu, il narrêta pas. Au contraire, il continua de plus bel ! Avec encore plus de force et de brutalité. Et la douleur ne faisait que grandir. Je pensais que mon cur nallait pas pouvoir supporter le traitement quil minfligeait et quil nallait pas tarder à sarrêter. Mais, ô miracle ! Non seulement la douleur sarrêta (progressivement) mais elle se transforma, tout aussi progressivement, en douce chaleur, puis en un plaisir qui allait crescendo jusquà memmener jusquà un orgasme vraiment exceptionnel. Il faut dire que mon amant, tout en me tirant furieusement par le cul, avait plongé trois de ses longs doigts dans mon vagin et avait entrepris de me branler, tout en menculant. Cette sensation de double pénétration mavait fait rapidement oublier la douleur et, à partir de là ce ne fut que du plaisir. Un plaisir intense qui aboutit à un orgasme qui se traduisit par une très forte contraction de mes muscles annaux et vaginaux et en sécrétion incroyable de cyprine sur les doigts de mon homme.
Je poussais un hurlement de démente, qui accompagna les « Oui ! Oui ! Oui !
» de satisfaction que je lâchais en même temps que je jouissais. Je me sentais défaillir tant était énorme lintensité de lorgasme que je venais davoir. Tout semblait tourner autour de moi : le jakusi, tout comme la salle de bain ! Je ne repris mes esprits quau bout dun long moment. Mohammed Saïd avait toujours son glaive planté dans mon rectum. Il continuait daller et venir à lintérieur de mon boyau. Plus lentement et avec moins de brutalité. Je me rendis très vite compte quil navait pas encore joui.
- Wach testenna bech terfragh fiya? Mazal ma djatch? Ferragh! Ferragh ! (Quest-ce que tu attends pour te vider en moi ? Elle (la jouissance) nest pas encore arrivée ? Ejacule ! Ejacule !
- Bghit en-faragh fi foumek ! Dori liya ! Ou hali foumek ! Ou charbi koulech ! Ma etkhali hetta goutra trouh ! (Jai envie déjaculer dans ta bouche ! Tourne-toi vers moi ! Et ouvre ta bouche ! Et avale tout ! Ne laisse pas une seule goutte sen aller !)
Il sortit son manche de mon cul et attendit que je me retourne pour mettre ma bouche à bonne hauteur. Il commença à se branler pour pouvoir éjaculer. Lopération durait trop pour mon goût. Je lui enlevai la main et la remplaçai par la mienne. Avec le temps, jétais devenue une experte dans lart de masturber mon mari et de le faire jouir en force et rapidement. Jappliquai la même méthode à mon amant et eus très vite le même résultat. Au bout de moins de deux minutes, je sentis tous les muscles de mon homme se crisper et un grondement sourd et de plus en plus sonore, commençait à me parvenir du fond de sa gorge et se transforma en un rugissement de lion repu, en même temps quil lâchait une première giclée de sperme qui alla tout au fond de ma gorge, déjà prête à la recevoir.Je continuais la branlette et fis sortir trois autres giclées de sperme brulant qui sétalèrent sur mon visage et ma poitrine. Cet homme était une vraie fontaine à sperme. Et quel sperme ! Epais et visqueux à souhait ! Et dun goût très agréable ! Jen bus à satiété ! Je crois navoir jamais été aussi heureuse après une séance de baise, comme je létais en ce moment-là. Slimane mavait donné énormément de plaisir en me tirant dans toutes les positions, mais ce que je venais de vivre avec Mohammed Saïd, dans le jakusi dépassait tous ces moment de très loin.
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Mon amant savait parfaitement cela et voulait me le montrer, à sa manière de goujat.
- 3amrek ma chba3ti hakdha ! Makach radjel li-yenik kima ana! Ou mazal en-nweri-lek bezaf houwaedj li 3amrek ma 3echtihoum! (Jamais de ta vie tu nas été satisfaite comme cela ! Il nexiste pas un homme qui baise come moi ! Et je vais te montrer beaucoup de choses que tu encore jamais vécu !)
- Barka ma etzoukh ! Wekt enrouh ! (Arrête de fanfaronner ! Il est temps que je partes !)
- Mazal ma chba3t ! Aya en-rouhou le chambra ! 3andi hadja en-werri ha lek ! Ma et-lebsich Houaïdjek! (Je ne suis pas encore rassasié ! Allons dans la chambre ! Jai quelque chose à te montrer ! Ne te rhabille pas !)
Curieuse, je le suivis jusquà une chambre qui se trouvait non loi de la salle de bain. Il ouvrit la porte et alluma la lumière. Il tendit le bras droit et, de lindex, il me montra le grand lit qui trônait contre le mur du fond. Au milieu était étalé un coquin petit ensemble composé de sous vêtement en soie noire et une magnifique et très courte nuisette - elle aussi en soie - de couleur léopard. Jétais une fois encore bluffée par le bon goût de lHomme.
- Je veux que tu mettes lensemble, que tu te maquilles en conséquence et que tu me rejoignes dans le salon. Jai encore envie de te baiser ! De vive et de te faire vivre un autre moment dénorme plaisir. Il nest pas très tard. Nous avons encore le temps de baiser comme des bêtes. Et puis nous allons manger quelque chose : tu dois mourir de faim ; tout comme moi !
Jétais vraiment tentée de lui obéir. Lensemble était magnifique. Je nen avais vu de pareils que dans les magasines de mode. Je mourrais denvie de le mettre. Mais il était vraiment tard et je ne voulais pas que mon mari et mes s sinquiètent de ma trop longue absence. Il fallait absolument que je parte. Et je le dis à Mohammed Saïd. Je luis dis quil était trop tard aussi bien pour refaire lamour que pour casser la croûte.
Il insista beaucoup pour que je reste encore un moment. Il insistait tellement que je compris que son égoïsme était tellement fort, que rien dautre que la satisfaction immédiate de ses désirs ne comptait. Je dus élever la voix et menacer de rompre tous contacts avec lui, pour quil cède, me laisse me rhabiller et accepte de me ramener chez moi. Il me fit promettre que je reviendrais bientôt pour continuer la séance qui, selon lui, na pas pu aller à son terme. Je promis tout ce quil voulait (Nous prîmes rendez-vous pour le dimanche suivant, toujours à midi) et le pressai de rejoindre la voiture et de memmener à la maison. Ma promesse était sincère. Je voulais vraiment revenir pour essayer lensemble quil mavait montré et faire absolument tout ce quil me demandera de faire. Je savais quavec ce diable dhomme, la prochaine séance sera au moins aussi délicieuse et jouissive que celle que je viens de vivre.
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