Tribu Malumba - Suite
- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS-
Partie 2 : Préparation aux rites.
fait suite à :
(Tribu Malumba organisation et rites juillet à novembre 2007)
(Partie 1 : Approche et premier contact)
(((Rappel :
En préambule, je tiens à préciser que le récit qui va suivre est une réécriture vulgarisée du rapport remis à mon maître de stage quelque mois après mon retour en France- réf. 301 207 vnb, de la faculté des sciences sociales de Carsoy.
Nota : lobservation de lorganisation sociale des hommes de la tribu au-delà de la stérilisation est incomplète, étant pour une grande part inaccessible à une observation féminine. Une étude complémentaire devra être menée par un représentant masculin de la faculté qui accepterait de suivre les rites jusquà leur terme.
Avertissement :
Ne jugez pas trop vite des rites dinitiation et de lorganisation de la tribu Malumba.
Ils vivent ainsi depuis des siècles, totalement isolés du monde que nous connaissons.
Ce que nous considérons à juste titre dans nos sociétés européennes comme des mutilations ou des procédés barbares sont souvent pour eux lun des éléments de leur survie.
Nota :
Je me dois de signaler aux lecteurs que ce récit contient des passages dont la lecture est réservée à des personnes averties.)))
Notas préliminaires :
- Pour que le lecteur ne soit pas choqué des attitudes et réactions décrites, notamment les miennes, je tiens à préciser que dès le premier contact, nous avons à notre insu absorbé une sorte de drogue nous privant de tout libre arbitre et nous plongeant dans un état de totale acceptation.
- Par commodité pour le récit, et bien que ces informations naient été obtenues que plus tard : la plus vieille de deux femmes Malumba et son acolyte seront désignées par leur noms qui sont respectivement Kiwu et Buna.
A peine avions-nous fini nos ablutions que deux femmes et un homme nous ont rejoints.
Dans la case, lhomme a passé la corde par laquelle il avait mené Philippe à une branche du toit de la case, la tendant assez fort pour obliger Philippe à se mettre sur la pointe des pieds pour soulager la traction sur son scrotum. Il était incapable de bouger sous peine darracher ses testicules qui prenaient peu à peu une teinte rouge brun. Lhomme nous a ensuite libérées Jeanne et moi de la corde, nous a attachées les mains levées au-dessus de la tête en passant la corde sur une branche du toit, sans toutefois la tendre et nous permettant de bouger. Après le départ de lhomme, les femmes ont lié chacune de nos chevilles aux extrémités dun bâton, maintenant ainsi nos jambes largement écartées. Elles nous ont lavées de la tête aux pieds en utilisant de leau teintée de jaune à lodeur désagréable et de grandes feuilles quelles utilisaient comme on se sert de gants de toilettes.
Avec deux autres cordes passées sur une deuxième poutre du plafond de la case liées à ses chevilles, elles ont soulevé les jambes de Jeanne. Elle était ainsi suspendue par les mains et les pieds au dessus du sol. En se glissant entre ses jambes, la plus âgée des deux, Kiwu, à entrepris un examen approfondi du sexe de Jeanne qui se débattait dans ses liens. Quand elle sest mise à hurler, lautre femme (Buna) lui a poussé dans la bouche lune des feuilles qui avait servi à nous laver, étouffant ainsi ses cris.
Après être sortie dentre les jambes de Jeanne, elles mont à mon tour attachée par les chevilles aux cordes qui pendaient du plafond et mont soulevé les jambes, me suspendant à mon tour. Kiwu sest approchée de mon sexe quelle a ouvert dune main et a entré un doigt dans mon vagin. Elle a buté sur mon hymen intact et a poussé une longue exclamation en me tapant sur les cuisses dune main, me souriant de son sourire édenté et hochant la tête. Jai conclu avec surprise des différences dattitude suite à nos deux examens que ma virginité la satisfaisait et que sans doute elle navait pas trouvé Jeanne aussi intacte que moi, ce qui me surprenait.
Après nous avoir détachée les jambes et les bras, les deux femmes nous ont fait asseoir sur une paillasse de feuilles séchées disposée contre un mur.
Jai aidée Jeanne à se débarrasser du bâillon de feuille qui lui obturait la bouche. Elle a longtemps pleuré dans mes bras en mexpliquant la douleur violente et la peur quelle avait ressentie quand la vieille femme avait poussé ses doigts durs et râpeux dans son sexe. Elle ma avoué ensuite entre deux sanglots et rougissante ne plus être vierge depuis son année de terminale, ayant fréquenté un jeune de sa classe qui lavait très vite oubliée. Les deux femmes étaient agenouillées devant Philippe quelles avaient libéré de la tension de la corde sur ses testicules, ne le laissant plus attaché que de ses mains au-dessus de sa tête. Elles ont dénoué le lien autour de son scrotum dont la peau tendue sur ses glandes génitales était maintenant dun rouge sombre. Lune soulevait dans sa main les testicules que lautre piquait dun petit bâton en guettant les réactions sur le visage de Philippe, qui semblait ne rien ressentir.
Les deux femmes riaient. Le membre de Philippe a vite repris une dimension moindre et lorsque sous lil attentif de la vieille il sest avachi mou et pendant, elle en a pincé la peau autour du gland dégonflé à deux doigts en létirant vers elle et a tranché de sa lame la peau étirée, déclenchant cette fois un cri de Philippe et une hémorragie plus conséquente.
Sans attendre cette fois que le sexe se dégonfle de lafflux de sang, la seconde des femmes a coincée entre lindex et le majeur dune main les deux testicules, les attirants vers le bas de tout le poids de son corps vers le fond de la poche de peau du scrotum patiemment étiré. La vieille a serré un fin lacet de corde tout en haut du scrotum proche de la racine du sexe et un second tout en bas juste au dessous des doigts de lautre femme et a resserré très fort les deux lacets. Avec une corde plus épaisse, elle a ensuite fait plusieurs tours du scrotum, formant un tube de corde de cinq ou six centimètres, ressemblant à ceux que nous avions vus sur les trois hommes qui nous avaient trouvés en forêt.
Philippe dodelinait à peine de la tête quand elles lont détaché et allongé sur un bat-flanc de feuilles séchées.
Les deux femmes ont quitté la case, nous laissant seules avec Philippe qui geignait sur son lit de feuille. Jeanne revenue de son évanouissement pleurait contre mon épaule. Nous étions à peine au milieu de la journée. Il pleuvait sans discontinuer. Aucun de nous trois naurait parié voir vivant la tombée du jour.
Nous navions vu au village que nos trois ravisseurs, deux femmes édentées et quelques s. Les deux femmes étaient grandes et élancées toutes les deux, et semblaient avoir plus de cinquante ans, Toutes les deux avaient le crâne et le ventre entièrement rasé. Elles portaient comme les hommes une simple corde enroulée de plusieurs tours sur la taille dont un brin serré passait entre leurs fesses et les lèvres du sexe. Toutes les deux avaient des seins lourds attachés lun à lautre par un lien traversant les tétons.
Jai baigné le front de Philippe avec leau abandonnée à lentrée de la case. Il délirait, prononçait des mots sans suite. Après lavoir mieux installé sur le matelas de feuilles de son lit, jai nettoyé les traces de sang sur son ventre et son sexe, provoquant à peine un tressaillement. Le spectacle de ses testicules repoussés si loin de son corps par le long tube de corde était étonnant et me faisait frémir. Un tel traitement nétait pas naturel et je me doutais quil pouvait se traduire par un dommage irréparable pour ses testicules. Lhorreur même du spectacle me fascinait et tournant le dos à Jeanne, jai refermé ma main sur la corde et pris son sexe chaud de fièvre dans la main. Je me sentais honteuse mais jétais incapable de men empêcher. Quand je me suis relevée pour rejoindre Jeanne, la vieille femme et sa comparse me souriaient de lentrée de la case.
Deux autres femmes, âgées elles-aussi, les ont rejointes les bras chargés de deux jattes et dun grand panier. Elles nous ont assises chacune à un bout du bat-flanc et comme le matin en utilisant les cordes passées au-dessus des poutres du toit et liées à nos chevilles, nous ont soulevées par les pieds jambes ouvertes, ne nous laissant en appui sur le lit que des épaules.
Aux réactions de Jeanne, elle a subi sans doute le même traitement que moi. Je lai entendue se plaindre et gémir au début, puis ce que je ressentais moi ma coupée du monde extérieur.
La même vieille femme qui avait passé la matinée avec nous a sorti du sac une longue corne de bovin quelle ma montrée en riant aux éclats. La partie la plus large formait comme un grand entonnoir de plus de 10 centimètres de diamètre ; la pointe de la corne était coupée et creuse elle aussi, marquée dun creux en anneau à quelques centimètres du bout. Toujours en riant et sous mes yeux, elle a enduit le plus petit des deux bouts de la matière grasse utilisée le matin jusquà la rainure creuse et la présenté à lentrée de mon anus. Elle riait de mes yeux dilatés et de la longue plainte finissant en sanglot et en cri de Jeanne, se délectant sans doute que je me rende bien compte de ce qui mattendait.
En sappuyant de son ventre et de tout son poids, elle a mon anus, le dilatant par à-coups et petites poussées, mouvrant toujours plus largement et déclenchant une atroce douleur qui ma presque fait mévanouir, jusquau moment où jai senti mon sphincter se refermer un peu sur la rainure creusée dans la corne. Javais été proche de défaillir, mais javais serré les dents et refusé de crier. Kiwu a semblé apprécier ma retenue dun signe de tête et a exprimé sa satisfaction comme le matin en me flattant la cuisse de la main. Buna a commencé à verser le liquide dune des deux grandes jarres dans lembout de la corne. Cétait la première fois que je recevais un lavement, car cétait bien là le but de ces femmes et la sensation produite par lenvahissement liquide de mes intestins était étonnante. La femme versait lentement le liquide et mon ventre se gonflait petit à petit. Elle sest arrêtée sur un signe de Kiwu, qui tenait le bout de la corne pour éviter sans doute quelle ne glisse, et qui semblait guetter ma réaction. Je sentais une forte chaleur me gagner petit à petit et des gargouillements dans mon ventre. La chaleur sintensifiait de minute en minute, devenait plus brûlante et le sourire de la vieille qui ne me quittait pas des yeux sagrandissait en même temps. Quand ma respiration sest accélérée que jai été parcourue de vagues brûlantes et de violentes contractions du ventre, elle a commencé à bouger la corne en tous sens, de mouvements tournants et en sappuyant sur louverture de lentonnoir de corne de ses deux mains, elle la enfoncé plus profondément encore dans mon anus dilaté. Elle le retirait jusquà la rainure et lenfonçait encore, à chaque fois en le poussant plus loin. La douleur que javais ressentie au début avait été balayée par les vagues de chaleur quelle accompagnait en riant aux éclats de poussée profondes ; brusquement elle la retirée complètement et jai senti mes intestins se vider au sol. Kiwu a alors fait une chose impossible, elle a poussé son poing tout entier à lintérieur de mon anus, le passage de sa main ne provocant aucune douleur particulière tellement les vagues de chaleurs étaient fortes, mes sphincters dilatés et anesthésiés par le produit quelle y avait introduit. Je sentais sa main bouger à lintérieur de moi et quand je me suis contractée pour me redresser et mieux voir entre mes jambes, elle a passé une main derrière mon cou pour mattirer vers elle : son avant-bras était à demi enfoncé dans mes entrailles. Elle a à nouveau éclaté dun grand rire en voyant sans doute mon air ébahi et a retiré sa main. Je sentais mon anus béant se contracter et souvrir au rythme des vagues de chaleur qui continuaient. Elle a remis la corne en place sans aucune difficulté cette fois et Buna a versé à nouveau un liquide qui ma immédiatement apporté une agréable sensation de fraîcheur. Kiwu a retiré la corne plus vite, maintenant mon anus ouvert de deux doigts jusquà ce que tout le liquide se soit vidé entre mes jambes et a déposé de sa main sur mon anus contracté une sorte demplâtre brun ocre épais dégageant une forte odeur piquante.
La vieille ma abandonnée pour soccuper de Jeanne dont une autre femme venait aussi denduire ses fesses de la même pâte. Jeanne me regardait avec un sourire résigné, le visage maculé de longues traînées de larmes et sest raidie brusquement en écarquillant les yeux et se mordant les lèvres quand la vieille a introduit la corne dans son vagin. Jai pensé que jéchapperais à cette intromission-là du fait de mon état de vierge reconnu le matin. Le ventre de Jeanne se distendait lentement au fur et à mesure quil se remplissait de liquide. Au bout de quelques minutes Jeanne à ouvert grand les yeux, en poussant un petit cri de surprise, elle avait les joues très rouges et se mordait la lèvre, gémissait en commençant à haleter. Son corps sagitait en tout sens et son ventre se contractait violemment. Elle accompagnait les contractions saccadées qui nen finissait plus de gémissement et de plaintes que couvraient à peine les grands éclats de rire des quatre femmes. Ces plaintes et ces soubresauts ont continué bien après que la vieille ait retiré la corne de son vagin et aidé lévacuation du liquide de pressions sur le ventre de Jeanne.
Quand jai vu la vieille revenir vers moi, jai craint un instant quelle ne me fasse subir le même traitement. Mais au lieu de la corne, elle a introduit en moi le bout dun long bâton dans lequel elle a soufflé, injectant derrière mon hymen sans doute le même liquide dont le vagin de Jeanne avait été rempli. Elle a répété quatre fois au moins la même opération. Au-delà de quatre, jai ressenti les premières vagues de plaisir et je ne sais pas si elle a continué à souffler le liquide de sa sarbacane dans mon sexe. Jamais encore je navais ressenti de mes caresses maladroites sous les draps une telle jouissance ; les orgasmes senchaînaient sans interruption dune intensité comme je nen avais jamais éprouvée. Jai vite perdue la notion du temps et du lieu, étourdie de plaisir jusquà la perte de conscience.
Quand jai repris mes esprits, les femmes mavaient désentravée ; jétais assise sur lépais matelas de feuilles séchées adossée à la paroi de branches tressées, le ventre encore parcourue de vagues de chaleur.
Les quatre femmes sactivaient au-dessus de Jeanne allongée la tête au contact de mes genoux. Elles avaient disposé au dessus et au-dessous de ses seins deux longues et fines lanières végétales souples que deux dentre elles maintenaient plaquées à son torse, pendant que les deux autres les resserraient sur les seins à chaque extrémité et entre eux par des cordes. Jeanne pleurait. Une nouvelle fois elles avaient enfoncé dans sa bouche une feuille lempêchant de crier. Deux des femmes étiraient ses seins en tirant sur les tétons, rapprochant les deux seins lun de lautre, pendant que les deux autres resserraient plus forts les cordes autour des tiges qui cisaillaient les seins au plus proche du torse. Quand elles eurent finies, les seins de Jeanne formaient deux protubérances rondes et gonflées accolées lune à lautre, dont la peau tendue et rougie était veinée de bleu. Des aréoles gonflées saillaient les tétons longs et dressés ressemblant maintenant à ceux des femmes qui regardaient dun air satisfait leur travail.
Après avoir retiré de sa bouche le bâillon de feuilles, elles ont fait boire à Jeanne le même liquide qui avait plongé Philippe plus tôt dans un sommeil calme.
Les femmes mont ensuite lavée et débarrassé de lemplâtre sur mon anus ; elles ont rasé mon sexe et mes sourcils, tressé mes cheveux et enduit mes tétons dune crème rouge qui les a fait se dresser sous la chaleur dégagée pas la crème. En riant Kiwu a posé du bout du doigt une goutte de cette crème sur mon clitoris. A peine une minute plus tard, jétais à nouveau secouée dorgasmes pendant quelles me tenaient en riant bras et jambes écartées sur le lit, ne me relâchant que quand les vagues de plaisir se sont estompées.
Jai mangé quelques fruits sucrés et juteux, bu de force un liquide épais et piquant.
Elles ont ensuite soigneusement lavés Philippe et Jeanne endormis, leur ont rasé le ventre et la tête, les sourcils. Elles ont mis dans la bouche de Jeanne une pâte rouge et épaisse, létalant de leurs doigts sous ses lèvres et lui ont refermé la bouche sur lemplâtre dune tresse de feuilles nouée au-dessus de sa tête. Lun et lautre ont été attachés sur leurs lits de feuilles par les poignets et les chevilles. A aucun moment ils ne se sont réveillés.
Jai observé lensemble de la scène, comme extérieure, spectatrice attentive et consciente, mais privée de tout jugement. Je métonnais de la forme du crâne de Jeanne et de la grâce perdue à labsence de ses longs cheveux bruns, de ses lèvres gonflées par lemplâtre rouge qui changeait tant son expression et la rendait méconnaissable. Je voyais avec surprise les tétons conserver leur raideur sur les seins à la peau rouge et veinée si tendue, envisageant comme un simple fait que les liens qui les maintenaient comme ceux qui liaient les testicules de Philippe auraient à coup sûr des conséquences dommageables. Je baignais dans une douce euphorie, jobservais. Je trouvais agréable sous mes doigts le contact de la chair nue de mon sexe. Je me suis caressée plusieurs fois en regardant les femmes sactiver, riant avec elles du plaisir que je me donnais.
Elles ont quitté la case en fin daprès-midi après mavoir donné encore à boire le même liquide vert épais et piquant.
Peu de temps après, la nuit est tombée. La pluie toujours aussi serrée et drue inondait la grande esplanade au centre du village où quelques s jouaient, indifférents au déluge. Je me suis endormie.
A suivre
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