Semaine De Reunions Chapitre 1
Odile se prélassait dans limmense baignoire de la suite Blue Dreams de lHôtel des Tuileries. Lhôtel était très agréable et elle avait été très surprise devant le luxe de la chambre. Décidément son patron ne se refusait rien lors de ses déplacements !
Odile travaillait dans un grand laboratoire de recherche, et la veille, Kevin, le directeur de la boite, lui avait demandé de le remplacer pour assister au colloque annuel sur les énergies renouvelables. Il avait un empêchement de dernière minute « incontournable » lui avait-il dit. Odile nétait pas dupe !! Le contretemps de Kevin devait être blonde à forte poitrine. De plus le colloque se déroulait cette année à Paris. Elle se doutait bien que sil avait eu lieu à San Francisco comme lan passé, Kevin naurait pas délégué. Dautant que les bimbos affriolantes qui plaisent tant à ce chaud lapin, sont légion sur la côté ouest.
Quelle ait pu avoir prévu un week-end avec son ami du moment, ne lavait évidemment pas effleuré un instant. Elle avait donc aussitôt décommandé son rendez-vous avec Stéphane, quinquagénaire sportif mais qui commençait à lennuyer avec ses sempiternelles discussions sur ses parties de tennis avec ses potes du Lyons Club. Certes, il était attentif, câlin et linvitait quasiment chaque semaine pour un week-end dans dagréables hôtels de la région, mais cette routine devenait pesante et ennuyeuse.
Aussi Odile se dit que ces quelques jours dans la capitale la changeraient agréablement, dautant quelle en profiterait pour faire les boutiques et visiter quelques galeries dart ou musées.
Elle était arrivée en fin de matinée à lhôtel et maintenant barbotait tranquillement dans une délicieuse eau mousseuse et parfumée.
Elle avait le temps avant la soirée douverture du colloque, qui débutait à 18h00 dans une des grandes salles de conférence située au premier étage du bâtiment.
Elle avait parcouru rapidement le programme de ces quelques jours.
Elle décida tout de même de sortir de son bain pour pouvoir aller faire un tour dans les boutiques de létablissement. En se dirigeant vers la réception ce matin, elle avait aperçu dans une vitrine, une jolie pochette qui serait parfaite pour accompagner la tenue quelle avait choisie de porter ce soir.
Elle senroula dans une épaisse serviette éponge et gagna sa chambre tout en se séchant les cheveux avec une plus petite. Elle regarda le lit immense paré de draps de satin bleu. Elle navait encore jamais dormi dans des draps de cette matière aussi, laissant tomber les serviettes, elle sallongea pour goûter au plaisir du tissu soyeux sur sa peau nue, quatre oreillers moelleux la calant confortablement contre le dosseret du lit.
Cest alors quelle remarqua le grand miroir placé face au lit qui lui renvoyait limage de son corps offert. Cela lui rappela un week-end avec Stéphane. Une glace dans la pièce lui avait permis de suivre leurs ébats et elle avait trouvé cela extrêmement excitant. Dailleurs Stéphane lui avait fait la remarque quil lavait trouvée particulièrement chaude cette après-midi là. Mais lui navait pas jeté une seule fois un regard au miroir, et avait été convaincu que son ardeur était dû à son manque de lui.
Odile examina donc son reflet, écartant même ses cuisses pour regarder sa féminité. Elle ressentait une légère excitation à contempler sa chatte surmontée de sa petite toison soigneusement épilée en forme de feuille. Amusée de ses sensations, elle laissa une main glisser sur ses seins, les pressant doucement, puis elle titilla ses tétins pour les faire se tendre.
-Hum !! Tu as envie dune branlette mon minou !! se dit-elle à haute voix en se lorgnant libertine dans la psyché. Elle porta alors deux doigts à ses lèvres et entreprit de les couvrir de salive avant de les laisser repartir à lassaut de son petit bouton érigé.
-Voilà mon fripon !! Oh oui tu aimes !! Continua-t-elle en se masturbant langoureusement. Se faisant, elle ne quittait pas le miroir du regard. Elle vit ses yeux changer dexpression alors quelle astiquait de plus en plus rapidement sa perle damour. Elle se plongea même deux doigts dans la minette avant de revenir à lergot gourmand. Puis soudain, elle poussa un long feulement de plaisir, sans pour autant stopper ses frottis. Ses jambes tremblaient, son regard était hypnotisé et un second cri jaillit dans la chambre. Elle se laissa alors retomber contre les oreillers et son visage afficha un mutin sourire de satisfaction.
Ce quelle ne pouvait pas deviner, cest que derrière le miroir, un homme affichait un même sourire. Sauf que son excitation à lui navait pas était satisfaite : il avait la queue bandée à mort.
En effet, le laboratoire de chimie pour lequel Odile travaillait, était majoritairement financé par le gouvernement, les recherches portant principalement sur les nouveaux combustibles. Nombreux projets étaient classés « secret défense », or, depuis quelques mois, des fuites étaient apparues et la DGSS avait été mandatée pour surveiller le directeur du laboratoire lors de cette assemblée mondiale.
Dès que lorganisation du colloque avait été réglée, la chambre 669 avait été attribuée au représentant français, et les services secrets, squattant la chambre voisine, avaient aménagé une ouverture dans la cloison, échangeant le miroir originel contre un épais miroir sans tain, qui les isolait et les insonorisait parfaitement.
Les deux agents en place, avaient été surpris en découvrant que ce nétait pas le grand patron mais une employée qui venait assister au symposium. Ils avaient aussitôt transmis linfo à leurs supérieurs. Néanmoins la surveillance avait été maintenue puisque en fait, personne ne connaissait le ou les responsables des indiscrétions découvertes. Et les renseignements français supposaient que des échanges pourraient bien avoir lieu à loccasion de ce congrès.
Karim, un métisse bien bâti, navait donc pas perdu une seconde du spectacle qui sétait offert à lui. Il pensa que finalement cette surveillance serait bien plus passionnante quil ne lavait envisagée au prime abord. Il avait aussi noté que sa collègue Chloé, responsable des caméras, qui navait pas quitté lécran de contrôle un seul instant, semblait toute aussi captivée que lui.
Il avait entendu sa respiration saccélérer et même si elle sétait discrètement trémoussée, il avait bien perçu les légers grincements de la chaise.
Chloé était une belle fille, grande, brune, les yeux noisette. Elle avait un beau corps et un joli visage. Cependant, on ne lui connaissait pas de liaisons avec des collègues, et nétant pas le moins du monde aguicheuse ni dragueuse, elle avait été vite cataloguée comme lesbienne, rumeur quelle navait jamais cherché à démentir. Et devant lévident trouble de la jeune femme face à lérotisme de la scène à laquelle ils venaient dassister, il se dit que les ragots devaient être fondés.
Karim restait debout devant lindiscrète vitre, car il continuait à admirer les courbes voluptueuses de loccupante de la pièce voisine. En effet, celle-ci sétait levée, et sétant saisi dun flacon, elle se posta impudiquement devant le miroir pour senduire le corps de ce quil devina être du lait corporel.
Elle avait posé un pied sur un petit pouf pour oindre sa jambe de longuent parfumé, et sans le savoir elle lui offrait une vue incomparable sur sa foufoune encore luisante de son nectar de fille.
Son autre jambe fut hydratée de la même façon, puis elle glissa sa main pour enduire son entre jambe du lait bienfaisant. Elle pivota quand ce fut au tour de ses fesses de recevoir les mêmes soins.
Karim aurait bien volonté déboulonné le miroir pour venir lui prendre à pleines mains ces belles rotondités quil devinait ferme à souhait.
Il exhalait de cette femme une sensualité débridée. Il se dit quelle devait être un sacré coup au lit !!
Elle enduisit tout son corps puis alla ouvrir sa valise pour en sortir une pochette de lin où elle devait manifestement ranger sa lingerie. Elle se campa de nouveau face à la glace, se tournant et se retournant pour examiner son beau corps élancé, sans savoir que sa nudité suscitait une trique denfer à son observateur. Tension qui ne fit que croitre quand elle enfila une superbe culotte de soie fuchsia, légèrement flottante et fendue sur les côtés. Puis elle agrafa un soutien-gorge, divinement pigeonnant
Le grand black se demanda, dépité, si celle jolie poupée ne serait pas gouine elle aussi, car elle samusait manifestement à sémoustiller en se pelotant de nouveau la poitrine. Ses tétons rosés pointaient sans vergogne sous la soie tendue et dailleurs elle les sortit de leur cage pour se les agacer du bout de ses longs doigts fins. Il la vit passer la pointe de sa langue sur lourlé de ses lèvres.
Puis elle fit glisser précautionneusement des bas couleur de miel, sur ses jambes fuselées.
Inconsciente du trouble quelle provoquait Odile continuait à se préparer en samusant de ses audaces. Elle se détourna pour aller ouvrir le placard où elle avait suspendu ses vêtements. Karim en profita pour lorgner sur cette croupe se mouvant avec sensualité sous ses yeux et sa bite palpita denvie. Il se voyait bien lui écartant les deux lombes jumelles pour y glisser son bourgeon gonflé.
Il passa furtivement sa main sur sa braguette tellement lenvie le tenailler de sortir sa pine pour se branler, ce quil aurait fait sans façon sil avait été seul.
Odile revint se planter devant la glace, et enfila une élégante et sexy robe de soie sauvage de la même couleur que ses dessous. Le profond décolleté ne cachait rien du galbe de ses seins. Le tissu la moulait comme un gant, et quand elle pivota pour vérifier le tombé de la robe, Karim vit que la jupe était fendue assez haut, laissant entrevoir la dentelle des jarretières.
Elle se chaussa descarpins dun ton sensiblement plus soutenu puis rejoignit la salle de bain. Il regretta de navoir pas installé de caméra là-bas, mais le budget alloué aux surveillances était chaque année un peu plus rogné. Il navait donc installé que des micros dans cette petite pièce.
Aux bruits que les hauts parleurs leurs transmettaient, Il la devina se coiffer et se maquiller. Elle avait dû prévoir de sortir avant le début de la cérémonie douverture. Cela allait calmer son érection, il naurait pas pu tenir ainsi toute laprès midi.
Effectivement Odile attacha ses longs cheveux en une jolie cascade dorée. Elle recourba ses cils dun mascara noir, les borda dun trait de khôl et paracheva son maquillage par un camaïeu de roses sur les paupières.
Lorsquelle revint dans la chambre, Karim fut subjugué par la sensualité explosive qui émanait de cette femme. Il reconnut quelle savait se mettre en valeur. Car la maquillage restait très discret mais mettait magnifiquement ses grands yeux dun vert sombre, en valeur.
Il se serait volontiers précipité dans la chambre pour la renverser sur le lit et lui fourrer son braquemard dans la chatte.
Un petit amuse-bouche en attendant les prochains chapitres, de plus en plus "hot"..............A bientôt!!!
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