Sous Le Charme Et Le Pouvoir D'Une Jeune Fille. Partie 8
J'étais là à quatre pattes sur le lit entrain de lécher la chatte de Aude luisante du sperme de Raf, c'était dégueulasse, humiliant plus que tout, elle me pressait la tête contre son vagin. Raf parlait à voix haute : « je n'ai jamais vu ça, c'est incroyable ! Si j'avais pu imaginer en venant ici ce soir que je te verrais lécher mon sperme dans la chatte de ta stagiaire, putain mais c'est pas vrai !!! » Aude me caressait la tête comme à un petit chien : « même lui n'y aurait pas cru Raf ! Jusqu'à maintenant, tout cela c'était des fantasmes dans sa tête, depuis hier soir, il vit vraiment et pleinement tout ce qui pouvait l'exciter jusqu'à aujourd'hui, il va digérer et comprendre au fur et à mesure qu'il adore ça ! Hein ma chérie, tu aimes ça me servir et m'obéir ? » Je relevais la tête comme un automate : « oui Maitresse Aude, j'aime ça ! Maitresse, je peux aller aux toilettes ? » « Attends un peu encore ma chérie, tu iras avant d'aller au lit, en attendant, on va aller voir ce que font les autres au salon, suis nous à quatre pattes lopette ! »
je suivais Aude et Raf à quatre pattes donc, Raf se retournait de temps en temps, l'air de ne pas vraiment croire ce qu'il vivait. Paul et Kader étaient entrain de baiser Fiona, Raf s'est immobilisé à l'entrée du salon, fasciné par ce qu'il voyait. Les deux garçons la baisaient en même temps, une bite dans sa chatte, une autre dans son cul. Il y avait des bouteilles vides sur la table, des mégots de joins. Ils avaient l'air vraiment surexcité. Aude carressait la bite de Raf à travers son pantalon en lui murmurant des « ça t'excite de les mater », j'étais par terre, ma bite me faisait mal.
Les deux garçons ont joui dans Fiona, ils hurlaient chacun leur tour, je me suis demandé si un voisin n'allait pas venir frapper, je me suis tout de suite dit que ça ne serait certainement pas une bonne chose. J'étais dans ces pensées effrayantes quand Aude a crié :"Vanessa, esclave, va nettoyer le cul et la chatte de Maitresse Fiona, mets bien ta langue, tu vas bouffer ton troisième sperme de la soirée, tu me diras la différence entre les gouts !! »
Je m'approchais de Fiona qui était elle aussi à quatre pattes, les fesses en l'air, ruisselante de sperme, elle avait l'air plus coquine que jamais.
Aude intervint : «Quand tu auras terminé ton nettoyage, tu vas aller au lit, petite pute. Tu vas dormir dans la baignoire cette nuit, Raf et moi, on va dormir dans ton lit, qui est désormais le mien, les autres vont rentrer. Je vais t'enlever ta cage de chasteté, sinon tu auras trop mal, mais comme j'ai peur que tu te branles, je vais t'attacher les mains dans le dos avec des menottes, d'accord chérie ? »
Ma nuit allait être un enfer, attaché, dans une baignoire, j'étais loin de me douter que ça allait être encore pire. Aude enleva le matelas du convertible du salon pour le mettre dans la baignoire, je me réjouissais, cela serait plus confortable. Elle me menotta les mains dans le dos et m'allongea dans la baignoire sur le dos, avec une chaine qu'elle avait fixé au robinet, elle m'attacha par le cou, me disant qu'ainsi je ne pourrais pas quitter la baignoire dans la nuit.Elle m'enleva ma cage, ce qui me fit un bien fou, ma bite revivait. Je demandais une nouvelle fois à Aude si je pouvais aller aux toilettes comme elle me l'avait promis, elle me répondit que c'était trop tard, qu'il faudrait enlever les chaines et que j'avais qu'à me soulager dans la baignoire. « Mais Maitresse Aude, je ne vais pas faire pipi dans la baignoire alors que je vais y dormir, je vais mouiller le matelas» implorais je ! « IL N Y A PAS DE MAIS ! JE PENSAIS QUE TU AVAIS COMPRIS ! JE DECIDE ! TU EXCECUTES ! Je vais te dire que les trois gouttes que tu vas sortir de ta misérable bite ne seront rien après les flots de pisse avec lesquels on va t'arroser, serpillière ! Allez vous tous, pause pipi avant de partir, venez arroser cette pute, on va en faire un urinoir ! » ils éclatèrent tous de rire et Kader fut le premier à se mettre au dessus de la baignoire et à me pisser dessus, il arrosait tout mon corps, visait mon visage, je pouvais à peine éviter, mon cou relié au robinet et mes mains liées dans le dos.
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