Les Aventures Extra Conjugales De Wahiba Quatrième Partie : La Danse Orientale
Je rentrais à la maison aux environs de dix-huit heures. Jétais dans un état psychologique vraiment ambigu : dun côté, je nageais dans un océan de félicité, fruit de tout le plaisir que je venais de prendre aux côtés de Mohamed Saïd, mon fabuleux amant. Javais vécu des moments vraiment passionnants. Certainement les moments les plus jouissifs de ma vie de femme. Dun autre côté, je ne pouvais mempêcher davoir des remords et de culpabiliser vis-à-vis de Slimane, mon mari et mes deux garçons.
Je me disais que je navais pas le droit de tromper mon mari, lui qui mavait tout donné et tout appris dans la vie. Lui, qui pendant une quinzaine dannées ne mavait apporté que du bonheur, y compris sur le plan sexuel. Nous avions vécu ensemble de merveilleuses années de plénitude et de bonheur, avec à la clé, deux s, eux-mêmes, merveilleux. Et ce nest pas parce que lentente sexuelle qui avait été notre lot durant tout ce temps là avait pris fin, parce que Slimane était fatigué ou malade que javais le droit daller chercher ailleurs la satisfaction de ma libido débordante.
Je trouvais les s entrain de jouer bruyamment à je ne sais quel jeu de guerre qui utilisait lécran de la grande télévision du salon. Cétait à peine sils levèrent la tête pour répondre à mes bisous. Ils ne semblaient sintéresser quaux scores quils réalisaient et étaient entrés dans une compétition qui accaparaient la totalité de leur attention et de leur passion dadolescents.
Je me changeai rapidement et entrait dans la cuisine pour préparer le repas, en attendant le retour de Slimane, vers vingt heures. Je narrêtais pas de me poser des questions sur nous. Surtout sur mon comportement immoral. Javais tellement envie de raconter à mon mari ce que javais fait aujourdhui et lautre fois. Au fond de moi, je voulais vraiment croire quil allait être heureux dapprendre que je lai trompé et quil allait mencourager à continuer de le faire.
Je voulais vraiment que son fantasme candauliste soit vrai et
quil lassume ! Mais au fond, je savais que ce nétait quun rêve égoïste de ma part. Que la vérité était ailleurs : Slimane fantasmait vraiment sur moi entrain de me faire tirer par dautres hommes. Mais ce fantasme ne pouvait, en aucun cas, devenir réalité. Surtout depuis quil a des problèmes de santé qui ont eu des conséquences considérables sur sa virilité. Je sais, le connaissant parfaitement, quil en souffre beaucoup ; lui qui était tellement fier de mavoir procuré des tonnes de plaisir et de mavoir fait jouir comme une folle, pendant aussi longtemps. Il ne pourrait sempêcher de faire la comparaison avec les capacités surhumaines de mon amant et les siennes qui avaient tendance à disparaître.
Lui raconter mon aventure avec Mohammed Saïd, serait un crime qui aboutira nécessairement à un drame. Soit quil recevra lannonce comme une provocation envers son état et, ce sera la fin de notre couple et de notre famille (avec toutes les conséquences sur moi, qui en tant que femme serait mise à lindexe par la société). Soit il encaisse la nouvelle, comme un boxeur encaisse un puissant direct qui le met KO debout, et ce sera la fin de lhomme que jai connu et adoré. La fin de son orgueil de mâle, quil avait toujours exhibé comme un trophée rt comme le point nodal de sa personnalité. Et ce sera pire que la mort pour cet homme si fier de mavoir donné autant de plaisir au cours de toutes ces années que nous avons vécues ensemble. Et de cela, je ne voulais absolument pas !
Quand Slimane arriva, il lança un « bonsoir ! » tonitruant aux s qui continuaient leur guerre virtuelle et vint dans la cuisine pour membrasser. Il me regarda attentivement, comme si quelque chose en moi létonnait.
- Tu as les yeux cernés ! Tu sembles fatiguée ! Que test-il arrivé ?
- Rien de spécial ! Le travail !
Javais senti mon cur battre très fort au moment où mon mari avait découvert que javais les yeux cernés.
- Tu me donnes limpression de sortir dune séance de jambes en lair vraiment torride. Comme celles que nous avions ensemble. Dis-moi que tu tes faite baiser et que tu as joui comme une folle !
- Tu es complètement fou ! Voilà que tu recommences avec tes conneries ! Si tu continues comme ça, je vais vraiment le faire ! Et tu lauras bien cherché !
- Chiche !
Et voilà queffectivement cela recommençait. Je ne savais toujours pas quoi penser de ses remarques : était-il sérieux en me poussant à le tromper ? Cherchait-il à me faire avouer lavoir trompé, afin de réagir en mâle suspicieux et jaloux ? Ou alors jouait-il un jeu qui lexcitait et lui permettait davoir une forte érection ? Joptais pour cette dernière réponse et me mis à le provoquer sur ce terrain.
- Cela te fait vraiment bander de mimaginer entrain de te tromper ? Si cest le cas, je suis heureuse de te suivre sur ce terrain ! Ce sera tout bénéfice pour moi ! Tu pourras me faire lamour comme avant et nous emmener tous les deux au septième ciel ! Dis-moi que cest bien cela ! Montre-moi combien tu es excité !
- Non, je suis encore fatigué ! Cest certainement le traitement médical que je prends ! Je te promets que bientôt, ce sera comme avant ! Ou mieux !
Ouf ! Je venais de léchapper belle ! Jétais fière de mon stratagème pour éloigner les soupçons de mon mari. Je lui ai vraiment fait croire que mes cernes étaient le fruit de la fatigue dune journée de travail harassante et non pas dune journée passée à baiser comme une folle. Cette nuit là Slimane sendormit sans même avoir cherché à me peloter ou à mexciter et se mit rapidement à ronfler.
/
Je passais comme je pus les quelques jours qui me séparaient du dimanche, jour de mon rendez-vous. Je narrêtais pas de penser à Mohamed Saïd, parfois en bien, mais le plus souvent en mal. En bien, quand je repensais aux sensations de plaisirs paroxysmiques quil mavait déjà fait vivre et, quil me fera encore vivre. Mais quand je reprenais mes esprits, je savais au fond de moi que cet homme nétait rien dautre quun égoïste et un goujat invétérés. Javais un jugement plus réaliste et plus clair du bonhomme. Je savais que je ne tarderai pas à être déçu par son comportement. Il y avait déjà eu quelques indices qui le montraient sous son vrai visage : un égoïsme que jamais rien nétait venu démentir et une tendance au mépris de tout ce qui nétait pas lui.
A plusieurs occasions, il mavait aussi montré quil acceptait difficilement que je sois attachée à dautres personnes que lui : mon mari et mes s. Il narrivait pas à cacher un très fort agacement, à chaque fois que je devais rejoindre ma maison. Il nacceptait pas que je sois si attachée à ma famille et que je tienne absolument à la préserver. Javais la très forte intuition quil cherchera, pour je ne sais quelle raison malsaine, à faire exploser mon foyer. Je crois quil ne supportait pas quune de ses relations - et à plus forte raison, une de ses maîtresses - puisse vivre heureuse en dehors de lui. Jusquau moment, où il se fatiguait delle et la jetait comme une chaussette sale. Il mavait souvent sous-entendu quil jetait ses maîtresses, une fois quil en avait fait le tour, sexuellement parlant.
Mais malgré ces éclairs de lucidité, je ne pouvais empêcher mon cur de battre la chamade à chaque fois que je pensais à lui et à ses énormes capacités damant. Jétais impatiente quarrive lheure du rendez-vous pour le rejoindre.
A midi pile, le dimanche, je retrouvais donc mon amant, au même endroit que dhabitude et dans la même voiture. Il était toujours aussi élégant et attirant. Il avait encore son regard moqueur et sur ses lèvres, le même sourire de prédateur. Le sourire du fauve prêt à sauter sur sa proie. Il me complimenta sur ma beauté et ma sensualité.
- Tu es toujours aussi bandante ! Je vais encore me régaler aujourdhui !
Tout en conduisant, il avait posé sa main droite sur mon genou gauche et sétait mis à le caresser et le palper. Il me força à lécarter pour regarder à lintérieur de ma jupe pour apercevoir le haut de mes cuisses et peut-être ma culotte. Je voyais le coin droit de sa lèvre supérieure palpiter, comme sil avait les nerfs à fleur de peau. Ses yeux brillaient de lubricité.
- Halli em-sasteks ! (Ecarte bien tes cuisses !) Nahi culot-tek ! Bghit en-chouf souwtek ! (Enlève ta culotte ! Je veux voir ta chatte !) Naghsel a3youni ! En-hab en-chouf souwtek ! En-hab zinet hatchounek ! (Je vais me rincer les yeux ! Jadore regarder ta chatte ! Jadore la beauté de ta chatte !)
Jobéis, avec un réel plaisir, à son ordre denlever ma culotte. Je fis ce quil me commanda et, en tortillant des hanches, je réussis à introduire mes doigts à lintérieur de lélastique de la culotte et à la faire descendre lentement et sans me presser, le long des cuisses et des jambes et à lenlever complètement. Je regardais lhomme pour voir leffet que le spectacle avait eu sur lui. Le tic quil avait sur le coin droit de sa lèvre supérieure sétait accentué ; il narrivait à le contrôler; cétait pour moi, la preuve dun émoi très intense. Pour le lexciter encore plus (jadorai ce pouvoir que javais de le mettre dans un tel état dexcitation), je madossai contre la portière pour lui faire face et lui permettre davoir une vue plongeante sur mon entrecuisse dénudée. Je jouissais littéralement en regardant limpact que le spectacle avait sur mon amant. Mohammed Saïd avait la bouche grande ouverte et bavait copieusement. Il était subjugué par la vue de ma belle chatte toute épilée, qui palpitait entre mes cuisses. Il avait du mal à la quitter des yeux et faillit plusieurs fois faire une sortie de route et manqua dun cheveu un piéton qui marchait sur laccotement.
Je voyais sur le devant de son pantalon, limmense et impudique gonflement que faisait son sexe comprimé. Je devinai quil était tendu comme un ressort et cherchait à sortir de sa prison. Javais envie de le voir et de le palper. Mais je voulais surtout profiter de ce moment magique où pour une fois, cétait moi qui avait le dessus: mon homme était complètement subjugué. Jétais sûre quà ce moment-là jaurais pu lui demander nimporte quoi et avoir gain de cause.
- Rak em-wougaf ya erkhiss! 3addjbatek sawti! Bghit tahbess fe trig bach et-nik ha! (Tu bandes espèce de salaud! Elle te plait, ma chatte ! Tu as envie de tarrêter sur la route pour la baiser !
- 3adjbek el hal ya qahba! Estenay ki en-waslou, ou etchoufi wach en-dir lek ! Wach en-dir li hatchounek ! (La situation te plait espèce de salope ! Attends que nous arrivions et tu verras ce que je te ferais ! Ce que je ferais à ta chatte !)
Et cela dura ainsi jusquau moment où mous atteignîmes la villa en bord de mer. Le portail souvrit devant la voiture et le même immense homme noir que nous trouvâmes la première fois, appuya sur un bouton pour fermer le portail derrière nous, avant de disparaître (Mohammed Saïd mavait appris, avec un sourire amusé et une fierté non cachée, comme si cela ajoutait quelque chose à sa puissance, quil sagissait dun malien qui travaillait comme jardinier et gardien dans la villa). Nous entrâmes à la hâte dans la villa, tous les deux pressés de passer aux choses sérieuses. Mohammed Saïd me prit par le bras et mentraîna dans la chambre pour me montrer le lit et lensemble de dessous et la nuisette, quil avait laissés sur place depuis la dernière fois.
- Je veux que tu les mettes et que tu te maquilles comme une pute. Je tattends dans le salon. Je vais te faire faire quelque chose dont jai envie depuis très longtemps et que je nai pas encore eu loccasion de faire faire à une de mes maîtresses. Tu es la première qui sadapte le mieux à ce que je veux. Fais vite !
Et il sortit de la chambre, me laissant avec plein de questions dans la tête. Quest-ce quil compte bien me faire faire qui soit si extraordinaire ? Nous sommes venus pour baiser, et cest certainement ce que nous allons faire. Surtout vêtue comme il voulait que je le sois, dune courte nuisette couleur léopard et de magnifiques dessous en soie noire. Et puis pourquoi voulait-il que je sois maquillé comme une pute ?
Je fis ce que mon amant voulait : je mis la tenue et me maquillai de manière un peu outrancière, tout en refusant de ressembler à une prostituée (malgré tout ce que jétais prête à faire, je tenais tout de même à lui montrer que je voulais rester digne !) Pendant que je me maquillais, jentendis, provenant probablement de la chaine hifi du salon, le volume réglé presquau maximum, une musique de danse orientale. Je me demandais bien ce qui prenait Mohammed Saïd pour mettre ce genre de musique, lui qui mavait habituée aux belles chansons des crooners américains et aux instrumentaux dorchestres de jazz quil mettait toujours en musique de fond, pendant quon baisait.
Je sortis de la chambre, en jetant au passage un coup dil sur la grande glace murale. Je me vis en petite tenue. Et je me trouvais extrêmement bandante. Jétais sûre de plaire à mon homme et quil allait me tirer comme un taureau. Quand je laperçus, il était affalé, complètement enfoncé, dans le grand fauteuil. Il était encore tout habillé ; il navait enlevé que sa veste. Il me regardait avancer vers lui en dandinant du cul, pour accroitre son excitation. Ses yeux brillaient de lubricité ; exactement comme tout à lheure dans la voiture quand il contemplait ma chatte dénudée. Mais au lieu de me sauter dessus comme je my attendais, il resta assis.
- Erraqsi ! Erraqsi, ki raqassat el cabaryat ! Ki raqassat el mesriyine ! Bghit etraqsi ghir liya ! Le sidek ! (Danse ! Danse comme les danseuses de cabarets ! Comme les danseuses égyptiennes ! Je veux que tu danses rien que pour moi ! Pour ton maître !)
Je le regardais interdite ! Je ne mattendais absolument pas à ça ! Danser devant lui pour lexciter ! Il voulait me rabaisser et me traiter comme une vraie pute ! Une partie de moi-même se révolta et javais fait le geste de faire demi-tour et repartir dans la chambre me rhabiller et partir. Le salaud avait prévu de mavilir !
- Djitti bach en-nikek! Bach na3tilek haqek! Bach tetal3i le sma essaba3! Ou na3tilek wach testenay! Kthar men wach testenay! Diri wach namrek ou etchoufi! (Tu es venue pour je te tire ! Pour te donner ton compte ! Pour que tu grimpes au septième ciel ! Et je te donnerai tout ce que tu attends ! Même plus que ce que tu attends ! Fait ce que je tordonne et tu verras !)
- Ma ranich qahba bach nechtah goudamek ! Ma ranich bent cabariyat! (Je ne suis pas une pute pour danser devant toi! Je ne suis pas une fille de cabarets !)
Je ne savais pas quoi faire. Dune part, je tenais à ma dignité de femme sérieuse (malgré le fait que je baisais avec lui) et dautre part, connaissant son côté jouisseur, je savais quil avait préparé quelque chose qui devait être dun érotisme intense. Je ne savais pas sil fallait que je lui obéisse et me mette à danser une danse orientale lascive et sensuelle, comme le suggérait la musique qui sortait de la chaîne hifi, en attendant la suite quil voudra bien donner à lopération ; ou bien fuir les lieux et rester sur ma faim. Il faut dire que jadore danser peut-être le savait-il surtout les danses orientales lascives et érotiques, qui semblaient mettre en émoi Slimane. Javais le type de corps parfait pour ce genre de danse : bien en chair, plantureux, avec des rondeurs là où il faut. Et en plus je savais vraiment bien bouger, et mettre en émoi tous les mâles qui me voyaient danser (dans les fêtes où la mixité était permise, ou parfois dans les fêtes, où il ny avait que des femmes, à lexception de quelques mâles de la famille proche, qui pouvaient se rincer lil en nous regardant danser comme des folles).
- Erraqsi, goultlek ! (Je tai dis de danser !)
Et sans trop savoir ce qui ma décidé peut-être le ton coléreux quil avait mis pour répéter son ordre je me mis à balancer les hanches et le ventre, timidement dabord, puis en me prenant au jeu et en suivant le rythme emballant de la musique et en me déhanchant comme une vraie pro des cabarets égyptiens.
- Hakdha ! (Comme cela !) Continue ! Cest très bien !
Et Mohammed Saïd, comme sil nattendait que ça, se mit à taper des mains et à suivre mes déhanchements de la voix. Il mencourageait à continuer et à accélérer le rythme. Je mamusais comme une folle ! Je ne savais même plus ce que je faisais ! Je dansais ! Je dansais à la manière impudique des danseuses de harem ! Je dansais pour exciter le sultan pour quil me choisisse et mappelle à passer la nuit avec lui ! Je dansais en me déhanchant et en tournant sur moi-même pour lui mettre tous mes appâts sous le nez ! Je dansais et je voyais mon homme baver comme une fontaine, tout en continuant de battre des mains au rythme de la musique et de mes déhanchements. Je dansais et je voyais grandir la protubérance que faisait son sexe sur le devant de son pantalon.
Je ne sais combien dura la danse effrénée que javais entreprise. Il me sembla quelle dura longtemps ; très longtemps ! Elle dura jusquau moment où je vis mon amant dégrafer la ceinture de son pantalon, ouvrir sa braguette et sortir son immenses bâton. Il bandait comme un âne ! Il le prit dans sa main droite et se mit à le caresser doucement, tout en continuant de mencourager avec la voix.
- Eraqsi ya qahba ! Eraqsi le sidek ! (Danse salope ! Danse pour ton maître !) Nahi culot-tek ! Bgjit en-chouf sawtek ki etraqsi ! Nahi ha ! (Enlève ta culotte ! Je veux voir ta chatte quand tu danses ! Enlève-la !)
Tout en continuant de me déhancher, jenlevai, en faisant durer le plaisir la coquine petite culotte que je portais. Je restais ainsi le cul nu et continuait la danse endiablée que javais entamée. Je nétais plus moi-même. Jétais en transe ! Jétais une autre femme ! Je dansais ! Je tournoyais ! Ma chatte se montrait et se cachait en fonction des mouvements que je faisais! Je surveillais du coin de lil ce que faisait Mohammed Saïd avec son sexe. Il continuait de le caresser tout doucement, en bavant et en souriant aux anges. Il était au maximum de lexcitation ! Je voyais à ses yeux, quil était sur le point dexploser et déjaculer dans le vide!
-Arrouahi ya qahba ! Arrouahi terraqsi foug zebi ! (Vient salope ! Vient danser sur mon zob !
Quelle merveilleuse idée, me dis-je ! Danser sur son engin ! Quelle sensation merveilleuse jallais ressentir ! Danser tout en étant empalée sur un magnifique zob ! Mon amant, qui avait certainement manigancé tout cela, sétait légèrement allongé de manière à ce que je puisse me positionner sur son membre et être libre de mes déhanchements. En moins de temps quil ne fallait pour dire la chose, je me retrouvais entrain de danser avec, cette fois-ci le manche, de mon homme enfoncé dans ma chatte. Mon Dieu, cette sensation ! Je navais encore jamais rien ressenti de meilleur. Lui, il ne bougeait pratiquement pas. Cétait moi qui faisais tout.
Je faisais faire à mes hanches des mouvements demi-tournants - les même que ceux de mes déhanchements - et je sentais le zob enfoncé en moi frotter sur la paroi de mon vagin, menvoyant en même temps de fabuleuses décharges, qui me transportaient au septième ciel. Cétait moi qui menais la danse - cest bien le cas de le dire ! et commandais aux sensations que ressentait mon amant. Jaccélérai le rythme pour le mener jusquà lapoplexie, et au moment où je le sentais sur le point dexploser, je ralentissais. La séance dura une éternité. Jusquà ce que je sois sur le point de maffaler de fatigue. Je sentais arriver lorgasme, mais je voulais faire encore durer le plaisir. Un plaisir immense que je suis incapable aujourdhui encore de décrire.
- Faragh, ya attay ! Faragh fi souwat Wahiba! Testa3raf be Wahiba! Goul belik testa3raf biya! Goul belik 3amrek ma sabt mra kima ana! Mra li ta3tik wach tebghi! (Ejacule espèce de pédé! Ejacule dans la chatte de Wahiba ! Tu reconnais la valeur de Wahiba ! Dis que tu reconnais ma valeur ! Avoue que jamais de ta vie tu nas trouvée une femme comme moi ! Une femme qui te donne tout ce que tu veux !)
Il ne répondit pas à mes provocation, mais poussa un hurlement de dément et se mit à éjaculer dans mon vagin, en soufflant comme un phoque, des tonnes de foutre brulant. Moi-même, je narrivais plus à me contrôler et me mis à décharger comme une fontaine sur le zob et les couilles de mon homme, en criant un nombre infini de « oui ! » de plaisir. Et soudain, comme prise de vertige, je maffalais, à bout de souffle, sur la poitrine de mon homme qui sallongea complètement pour me recevoir. Il avait gardé son membre encore dattaque enfoncé dans ma chatte. Il bougeait très légèrement les hanches pour maintenir lérection au même niveau.
Nous restâmes ainsi quelque temps, avant que je némerge et reprenne mes esprits. Je remarquai que Mohammed Saïd avait déjà retrouvé sa forme et quil attendait que je sois daplomb pour reprendre les hostilités. Son zob était encore planté en moi. Il ne voulait pas me baiser dans cette position et ne voulait pas non plus faire quitter la place à son monstre. Il mattrapa par les épaules pour me faire retourner et me mettre sur le dos, pendant que lui se retrouvait sur moi, le manche toujours enfoncé dans mon vagin. Il attrapa mes deux mollets et fit en sorte de les soulever très haut afin que je puisse poser mes chevilles sur ses épaules.
Et cest ainsi quil décida de me baiser : en me cassant en deux, et en mes faisant un mal de chien à chacune de ses pénétrations. Mal qui saccompagnait dun plaisir de plus en plus fort et intense, au fur et à mesure quil faisait aller et venir son manche dans mon tunnel. Un tunnel quil limait furieusement, le transformant en brasier que rien ne pouvait éteindre que lénorme quantité de foutre quil allait déverser en moi. Ce diable dhomme me faisait à chaque fois découvrir une position qui me donnait un plaisir encore plus fort que la dernière fois. Jétais incapable de résister à lenvie de hurler mon bonheur de me faire mettre comme ça ! Mes cris étaient bien entendu un aveu déchec pour moi et une reconnaissance de la supériorité de mon homme et de son immense capacité à memmener au paradis. Mais je men fichais éperdument ! Je jouissais comme une folle ; et cela seul comptait.
- Zid nik-ni hakda ! Nik qaheb-tek ! Direl ha zebek fi hatchounha! Kessarelha souwatha! Nik! Nik! Nik! Zeb! Zeb! Z
!
Et je partis dans un nouvel orgasme aussi puissant que le précédent. Je narrivais pas à me retenir. Je hurlais que cétait bon ! que cétait merveilleux dêtre baisée comme cela par une brute ! Par un zob aussi puissant que celui dun âne ! Que je voulais quon recommence immédiatement après ! Que jétais sa chose et quil pouvait faire de moi ce quil voulait. Autant de paroles quau fond de moi je savais que jallais regretter davoir prononcées, mais que, sous leffet du plaisir que je prenais, jétais parfaitement incapable de contrôler. Mohammed Saïd eut lui aussi un orgasme intense et déchargea en moi, en mabreuvant dinsultes : pute ! salope ! chienne ! esclave !
Quand nos corps se séparèrent, lui et moi étions morts de fatigue. Mais le bonheur se lisait dans nos yeux. Nous avions joui comme des bêtes et tout le plaisir que nous avions pris apparaissait sur tout notre être. Même Mohammed Saïd, pourtant si prompt à me rabaisser, ne dit rien pendant un long moment et me tenait tendrement serrée entre ses bras. Quand nous reprîmes et notre souffles et nos moyens physiques, nous reprîmes les hostilités. Je ne sais à quel moment, la discussion porta sur Lamia, son épouse, et quil recommença avec son attitude de goujat.
Il me disait quil avait une femme merveilleuse, belle plus belle que moi, avait-il ajouté, sans même se rendre compte de sa goujaterie cultivée et tutti quanti. Jeus le malheur de lui rétorquer que si cétait vraiment le cas, je ne comprenais pas pourquoi, il la trompait comme cela ; avec moi et, certainement, avec beaucoup dautres femmes.
- Ma femme nest pas une pute comme toi ! Elle est dune bonne famille! Elle a eu une très bonne éducation ! Ce nest pas elle qui se comportera en chienne comme tu viens de le faire !
Tout le bonheur que je venais de vivre, venait dun coup de seffacer pour ne laisser place quà lamertume et la colère. Je le repoussai violemment pour sortir dentre ses bras et courus dans la chambre pour me rhabiller. En moins de cinq minutes, jétais toute habillée et lui demandai de me ramener chez moi. Il était confus. Il avait compris que, non seulement, il mavait blessée, mais quaussi, il était entrain de me perdre. Il savait que je nétais pas du genre à accepter dêtre humiliée comme cela.
Il sexcusa en massurant que ses paroles avaient dépassé sa pensée et que ce quil voulait dire cétait autre chose. Il voulait me dire quavec sa femme, il ne pouvait pas assouvir ses fantasmes sexuels, comme il le faisait avec une femme libre comme moi. Lamia, elle était coincée sur les choses du sexe et nacceptait rien dautre que la manière « normale » de faire lamour. Que lui, il ne pouvait pas se contenter de cette manière « normale ». Quil trouvait que jétais une femme merveilleuse. Que jétais la première femme avec laquelle, il a pu vraiment atteindre les plus hauts sommets du plaisir. Que je lui plaisais vraiment et quil naimerait pas que notre aventure se termine comme cela.
Je continuais à lui faire la tête pendant tout le trajet. Alors que lui navait pas arrêté une seule minute de sexcuser, en maffirmant quil était même entrain de tomber amoureux de moi. Et quil fallait quon se revoie. Quil voulait que nous passions une journée entière ensemble ; pas seulement deux ou trois heures. Quil me donnait rendez-vous pour le jeudi prochain et quil me jurait que je passerai la journée la plus magique que jaurais passé dans ma vie de femme.
Je partis sans rien lui promettre pour le rendez-vous. Je voulais le laisser mijoter un peu dans lincertitude. Mais au fond de moi, je savais bien que jallais être présente à ce rendez-vous. Il mavait blessée et humiliée, mais la curiosité malsaine et lespoir dune autre journée magique de bonheur était plus forts.
/
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!