Leslie Hd30
Leslie HD30 - Week-end en Bretagne, suite
Le lendemain, le ciel sétait couvert. Nous décidâmes donc de laisser tomber la plage pour aller faire un tour en ville. Il fallait prendre le car qui sarrêtait juste devant le terrain de camping, le car était bondé et nous étions tassés les uns contre les autres.
Juste derrière moi, au fond du car un homme dune cinquantaine dannées se tenait. Le look sportif, en short, t-shirt et baskets. Plutôt bel homme.
Je fus surprise par le démarrage un peu brutal du véhicule et reculais, me collant bien involontairement à lui.
Avant que jaie eu le temps de faire quoi que ce soit pour me dégager et mexcuser de lavoir ainsi bousculé, je sentis ses mains se poser sur mes hanches. Je fus immobilisée net par son audace.
Ses mains étaient sur mon corps, à travers le seul tissu léger de ma robe, je me sentis soudainement incapable de faire quoi que ce soit maintenu fermement par les mains viriles de cet inconnu.
Paniquée jeus juste la capacité de chercher des yeux Laure ou de Cathy. Laure était juste à côté de moi, je fixais ses yeux.
Elle navait pas lair affolé, elle me sourit et dun air plutôt rassurant, me fit un clin dil accompagné dun petit signe de tête qui en disait long, elle ne voulait pas que je tente quoi que ce soit pour me dégager, me demandant dans son regard de me laisser faire. Cathy me regardait aussi, visiblement surprise et dépassée par la situation, ses yeux ronds de stupeur.
Tout sest déroulé à une vitesse folle, les mains de lhomme se mirent à mattirer encore plus contre lui, plaquant mes fesses contre son short.
Pas de doute sur leffet que je lui faisais, je sentais son sexe durcir contre mes fesses, Laure me prit la main, pour me rassurer en disant :
- Laisse-toi aller ma chérie.
Lhomme me caressait sans pudeur les hanches à travers la robe. Il sétait mis à onduler, frottant son dard contre mes fesses.
Jaurais voulu méchapper et que tout cela sarrête, mais je ne pouvais pas, Laure me maintenant contre lui, mobligeant à rester collée à cet homme.
Le désir montait en moi, Laure lâcha ma main, prit celle de Cathy et la plaça sur mon sexe. Cathy se laissa guider excitée par la situation.
Laure écarta légèrement lhomme et caressa son membre à travers le short. Il profita de lespace qui sétait créé entre nous deux pour placer ses mains sur mes fesses quil pelota sans vergogne et remonter ma robe, découvrant ma culotte de coton blanc.
Jétais exhibée dans ce car, la tête me tournait et jétais en train de me faire tripoter dans un car par un inconnu, sous la conduite de Laure quil lencourageait daller plus loin encore
Et tous ces gens autour de nous qui navaient quà tourner la tête pour nous voir, gênée, honteuse je ne savais plus quoi faire. Mais mon ventre appelait le plaisir, mon sexe était dur dans la main de Cathy, je ne pouvais résister.
Cathy massait délibérément mon sexe, et je sentais chaque déplacement de ses doigts sur ma verge dure. Je bandais comme une folle. Laure attrapa le short de lhomme et dégagea son sexe, il ne portait pas de slip. Elle me prit la main et la posa sur cette bite gonflée. Elle laissa sa main sur la mienne pour mencourager, me guider et maider à le masturber.
Je ne voyais pas le sexe. Dans ma main, il me paraissait énorme. Laure mavait fait refermer mes doigts sur sa turgescence, allant et venant à un rythme lent. Je sentais maintenant le gland qui appuyait entre mes fesses, sinsinuant petit à petit dans ma raie. Cathy continuant à titiller mon sexe. Je perdais la tête, victime de mes sens et de mon plaisir, emportée par la frénésie et lincroyable situation dans la quelle jétais.
Je devais suinter comme une vraie cochonne, je sentais entre sur mes cuisses, le miel de mon plaisir couler et mouiller le fond de ma culotte.
Soudain, lhomme écarta nos mains et senfonça un peu plus dans ma raie, son gland rencontrant mon illet, il tenta de menfoncer doucement son sexe dans mon cul, sa respiration devenait plus forte dans mon cou, je me laissais aller, partagée entre la honte, la crainte et le plaisir, me cambrant un peu plus afin de lui faciliter la tâche, mais cest à cet instant que je le sentis exploser, lâchant sa semence contre dans ma raie culière et mon petit trou plissé.
Sensation étrange dun plaisir incomplet, la main de Cathy sur laquelle jai serré mes cuisses, Laure me soutenant, mon ventre sest tendu et jai joui debout, à larrière de ce car, mon cul maculé de sperme.
Lhomme sest réajusté rapidement et sest dirigé vers la porte, il est descendu à larrêt suivant sans même se retourner.
Laure me dit gentiment de me laisser faire. Elle fit discrètement glisser ma culotte, sen servit pour messuyer la raie et la fourra dans son sac.
Tu ne vas pas te promener en ville trempée comme ça.
Elle posa un baiser sur mes lèvres, imitée par Cathy. Je ne savais plus où jétais, je les aie entendu dire en cur :
- Tu as été superbe !
Personne autour de nous ne semblait nous avoir remarqués, du moins cest ce que je croyais.
Nous descendîmes au centre-ville. Jétais encore sur mon nuage. Jen avais même oubliée que je ne portais plus de culotte.
Notre escapade au centre-ville commença par un arrêt à la terrasse dun café.
Bien décidées à me remettre de mes émotions et surtout à ne nous priver de rien, nous voilà donc attablées, attendant que le serveur nous apporte notre verre dune liqueur vivifiante.
Evidemment, Laure ne put sempêcher de plaisanter sur lévènement passé en disant :
- Un peu plus taurais été enculée debout dans un car de campagne.
Toujours au fait des évènements.
- En plus rajouta-t-elle, il était fortement pourvu et tu laurais sentie passé.
Toute cette conversation était assez bruyante et ponctuée des rires de Laure et de Cathy, jusquà ce que le garçon nous apporte une tournée supplémentaire que nous navions pas commandée, nous expliquant quelle nous était offerte.
Il a remis aussi un petit papier plié en quatre à Laure, son visage changea radicalement à la lecture du message, elle semblait satisfaite et un peu gênée. Sans un mot, elle tendit le papier à Cathy qui devint rouge, lair franchement épouvanté.
Je commençais à me poser des questions, dautant plus que Cathy nosait pas me faire suivre le petit mot. Je tendis la main, elle me le passa enfin.
« En remerciement du ravissement dont vous nous avez gratifiées dans lautocar ». Signé : Fabienne et Luc.
Ma tête se mit à tourner, nous avions été vues, regardées, observées et ils osaient nous le dire. Un peu mal à laise, je me sentais découverte dans mon intimité, mais javoue que cela ne me déplaisait pas et flattait mon côté exhibitionniste.
- On peut dire que tu leur as plu. Remarque, nous y sommes quand même un peu pour quelque chose, dis Laure.
Elle me souriait, venant ainsi à mon secours.
- Ils nous ont appréciées et je suis sure que cela te plait de te savoir découverte et en plus je suis prête à parier que tu les as le plus excités et que tu voudrais savoir qui ils sont.
Elle navait pas tout à fait tort, Laure me connaissant bien.
- Attends, laisse-moi faire.
A suivre
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