Message Surprise - La Suite À La Suite... Un Jour À Genève
Dans l' épisode précédent, nous avions quitté Robert Gaillard particulièrement remonté contre B. son employeur qui s'était permis de se taper sa femme. Petit retour en arrière de deux jours pour savoir où était passé le grand homme noir pendant que Robert vivait une des journées les plus éprouvantes de son existence.
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B. avait pris la route au petit matin pour rejoindre Genève où il était attendu pour une série de réunions. Il s'était bien assuré la veille que Robert Gaillard le représenterait lors du point hebdomadaire qu'il animait habituellement avec le staff d'Acutek.
En revanche, il ignorait la présence de la balise GPS que les services secrets français avaient fixé sous le chassis de sa BMW.
Suivi à distance respectable par la 308 conduite par le lieutenant Colombo, B. roulait tranquillement prenant bien soin de respecter scrupuleusement le code de la route.
En contemplant le soleil levant dont la rougeur l'éblouissait par moment, il se remémorait le parcours qui l'avait amené à la tête d'Acutek, la société qui allait faire la fortune de l'Organisation et la sienne par la même occasion.
B. était tout à fait à fait convaincu qu'il avait le profil convenable pour être le directeur général d'Acutek. Et ce n'était pas un hasard si son concurrent direct pour le poste s'était désisté à la surprise générale alors qu'il était largement favori. B. était tellement persuadé que les actionnaires de l'entreprise l'auraient finalement choisi qu'il n'aurait tout simplement pas cru celui qui lui aurait annoncé la véritable raison de son succès.
En effet, si Valentin D., le polytechnicien pressenti initialement pour diriger Acutek avait opportunément perdu tout intérêt pour la société de technologie, c'est parce qu'il avait reçu par mail un lien vers une vidéo le montrant entièrement nu, enchainé aux murs d'un sous sol crasseux en train de se faire sodomiser avec un gode ceinture par une beauté rousse chaussée de cuissardes à talons aiguilles.
Fils unique d'une mère médecin d'origine antillaise et d'un père camerounais directeur d'une prospère société d'import export, B. était titulaire d'un doctorat de physique obtenu à Berkeley et d'un MBA de l'ESSEC.
De nationalité française, parfaitement bilingue en anglais, il avait auparavant occupé deux postes proches de celui qu'il avait obtenu chez Acutek.
Cette société avait commencé à intéresser l'Organisation lorsque le fondateur malade avait décidé de céder ses parts moins d'un an après avoir embauché Robert Gaillard le brillant directeur technique à l'origine du projet de batterie révolutionnaire qui allait -du moins l'espérait il - propulser la PME au sommet des valeurs technologiques.
Bien sûr, vu le domaine d'activité d'Acutek, les services de renseignements français s'étaient penchés sur la carrière de B. avant de valider son embauche. Et ce qu'ils avaient découvert leur avait semblé parfaitement légitime même si le candidat avait joué de "malchance" à deux reprises.
B. avait en effet dû quitter son poste précédent lorsque la division de la multinationale qui l'avait embauché avait été dissoute.
Et il avait précédemment perdu la place de directeur opérationnel adjoint qu'il occupait auparavant dans une petite entreprise technologique irlandaise qui avait périclité parce que son concurrent coréen l'avait devancé de quelques semaines en déposant ses brevets.
Un investigateur un peu plus rigoureux aurait pu s'interroger sur la capacité de l'entreprise coréenne à développer les produits pour lesquels elle avait déposé les fameux brevets ou même sur les bénéficiaires des royalties conséquents que la dite entreprise versait chaque trimestre sur divers comptes offshore mais visiblement ce genre de détails n'intéressait personne.
Alors qu'il approchait de la frontière, B. eut une pensée pour Robert Gaillard, son subordonné dont il avait séduit l'épouse un mois plus tôt.
Son prédécesseur, le fondateur d'Acutek avait eu le nez creux en embauchant Robert.
Malgré son ego disproportionné, B. s'était vite aperçu que Robert Gaillard était un des plus brillants ingénieurs qu'il avait eu l'occasion de rencontrer jusque là et il admettait volontiers que dans son domaine il lui était bien supérieur. De plus, Robert excellait dans l'animation de son équipe technique. Et le projet qu'il pilotait n'aurait eu aucune chance d'aboutir sans un homme tel que lui à sa tête.
Le directeur d'Acutek était donc parfaitement conscient que sans Robert Gaillard, l'Organisation ne se serait jamais intéressée à la PME technologique.
Ça ne l'avait néanmoins pas empêché de convoiter la femme de l'ingénieur à qui il avait très vite fait porter des cornes XXL.
"C'est ainsi que ça se passe depuis la nuit des temps. Les plus belles femmelles sont destinées aux Alpha et tant pis pour les autres mâles qui oublient cette règle naturelle." avait alors pensé B. après avoir honoré Stéphanie Gaillard la première fois.
Perdu dans ses pensées, B. venait de se rappeler la raison qui l'avait poussé à se lever aux aurores pour se rendre de l'autre côté de la frontière.
Conformément aux instructions envoyées par l'Organisation, il était allé garer sa voiture dans le parking d'un immeuble grisâtre dans lequel il était entré par la porte principale avant d'en partir aussitôt en empruntant la sortie de secours. Celle ci débouchait dans une petite rue où l'attendait la berline qui allait le déposer devant les bureaux loués par l'Organisation pour la journée.
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Le point lumineux qui indiquait la position de la BMW sur l'écran du véhicule conduit par Colombo, s'était immobilisé sur la carte du GPS.
Le lieutenant se rendit alors jusqu'à l'adresse correspondante découvrant un bâtiment defraichi au pied duquel étaient stationnés une demi-douzaine de véhicules âgés de faible cylindrée ainsi que la BMW de B.
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La première réunion de B. débuta à 10:15. Une bonne partie de l'équipe technique de l'Organisation était présente, impatiente de connaître le détail des avancées significatives obtenues au cours des dernières semaines par Acutek dans le développement des prototypes.
B. se tira fort honorablement de sa prestation. Il parvint notamment à répondre de manière satisfaisante aux ingénieurs présents qui ne se privèrent pas de le bombarder de questions. Et en sortant de la salle à 13:22, il était plus rincé que s'il avait baisé Stéphanie Gaillard pendant toute une nuit.
Il restait alors un peu plus de deux heures au grand noir pour se restaurer avant de participer à la seconde réunion où il craignait d'être beaucoup moins à la fête.
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- Je ne pense pas vous apprendre que vous avez commis une faute très grave en ne respectant pas la procédure.
Krammer, le responsable régional de l'Organisation faisait face à B. Il s'exprimait d'une voix impassible dénuée de la moindre émotion. Mais cette absence calculée d'humanité dans son discours était bien plus inquiétante que la pire des engueulades.
- Vous saviez pourtant que lorsqu'un agent se procure un enregistrement potentiellement compromettant, il doit nous le transmettre et en effacer immédiatement toute trace sur ses appareils personnels. Au lieu de ça, vous avez conservé les films de vos exploits sexuels dans votre smartphone que vous vous êtes fait piquer comme le dernier des connards. Qui sait maintenant l'usage qui sera fait de ces vidéos.
Face au regard glaçant de Krammer, B. prototype du mâle Alpha puissant et dominateur capable de séduire n'importe quelle femme, s'était recroquevillé comme un gamin apeuré, incapable de maîtriser le malaise grandissant qui le gagnait alors qu'il prenait peu à peu la mesure de la connerie qu'il avait commise.
Le colosse noir transpirait à grosses gouttes. Il se souvenait de sa première rencontre avec Krammer.
Comme tout l'auditoire présent ce jour là, et malgré son cerveau ramolli par les transferts de sang trop fréquents vers la bite énorme qui pendait entre ses cuisses, il avait alors compris qu'il fallait à tout prix éviter d'avoir à faire à cet homme implacable une seconde fois. À moins d'avoir des tendances suicidaires irrépressibles.
Heureusement pour B., ce jour là, krammer avait estimé qu'il ne disposait pas encore de toutes les informations qui lui auraient permis de déterminer le sort du noir.
Il était possible que la couverture de B. n'ait pas été eventée; l'Organisation avait donc besoin de lui tant que les prototypes en cours de développement chez Acutek ne seraient pas totalement opérationnels. Une fois le transfert de technologie opéré, il serait alors temps de s'interroger sur l'avenir du directeur.
En revanche si B. s'était grillé auprès des services de renseignement français, toute l'opération tombait à l'eau et l'Organisation n'avait pas d'autre choix que de lui offrir un bain nocturne au milieu du lac Léman avec des mocassins en béton aux pieds.
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En quittant l'immeuble vers 18:15, B. s'estima heureux de s'en tirer à si bon compte. Et son sourire s'accentua lorsqu'il aperçut Marie de Lansay du Val, la magnifique rousse qui venait d'entrer dans le bâtiment.
Marie de Lansay du Val est ce qu'on appelle parfois abusément une espionne. Fille de diplomates, elle parle couramment le français et l'Allemand les langues maternelles de ses parents ainsi que l'anglais et l'Espagnol. Elle maîtrise aussi le russe et le mandarin et se débrouille honorablement en portugais et en cantonnais. Son compagnon, Nicolas Grigoriev est le fils d'un Spetsnaz russe et d'une beauté albanaise. Véritable génie de l'électronique, il est aussi expert en cybersécurité. Pour avoir été un des premiers à avoir investi dans le bitcoin, il se trouve d'ailleurs à la tête d'une fortune virtuelle de plusieurs dizaines de millions de dollars. Marie et Nicolas ont créé il y a quelques années leur petite société de consulting immatriculée à Malte bien que les deux associés vivent la plupart du temps à proximité de Barcelone du moins lorsqu'ils ne sont pas en mission à l'autre bout de la planète.
Bien peu de réseaux informatiques sont suffisamment bien conçus pour résister à la sagacité et à l'expertise de Nicolas. Pour les plus inviolables, il peut toujours compter sur Marie pour obtenir la clef qui lui permettra de contourner les protections mises en place et in fine d'accéder au coeur du système .
Les méthodes utilisées par la ravissante rousse pour arriver à ses fins sont certes très classiques mais elles ont largement prouvé leur efficacité.
Et il en sera ainsi tant que les hommes seront réceptifs au charme des jolies femmes.
Pour leurs clients du monde entier, Marie et Nicolas sont connus sous leurs noms de code CopperHair et Cobra et reconnus pour leur redoutable efficacité et leur absence de morale. Il est notoire que les deux principales motivations du couple sont l'excitation procurée lors de l'exécution d'un contrat, et bien sûr les honoraires conséquents qu'ils touchent pour chaque mission réussie.
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Une heure après avoir croisé B., Copperhair avait terminé son rapport au Secrétaire Krammer sur la mission qu'elle avait mené à bien avec son compagnon au début de l'après-midi.
Pour piéger Robert Gaillard, la seule véritable difficulté pour Cobra, l'associé de Marie avait été de trouver rapidement un endroit discret, inoccupé et facilement accessible pour permettre à CopperHair de terminer sa partie de la mission.
La villa cossue de Sabine S. et de son mari inoccupée depuis plusieurs semaines était idéale. Ça avait été un jeu d' pour Nicolas de casser les codes permettant d'ouvrir à distance la grille d'accès à la propriété et la porte du garage avec les boîtiers multi fréquences spécialement conçus par ses soins. Il avait ainsi pu ouvrir la voie qui lui avait permis de s'introduire dans la maison et d'y installer le système de prise de vue.
il avait aussi pu fabriquer pour sa complice une petite télécommande pour accéder au parking en voiture.
Le regard fixé sur l'écran de son téléphone portable, Cobra avait assisté en direct à la brillante performance de Copperhair.
L'application installée dans son smartphone lui avait permis de manoeuvrer, depuis la cave où il s'était réfugié, les minuscules caméras HD qu'il avait cachée dans la chambre pouvant ainsi sélectionner le meilleur angle possible pour filmer Robert Gaillard se faisant pomper le dard par Marie.
Le plan élaboré en urgence pour piéger le directeur technique cocu d'Accutek avait donc fonctionné à merveille. Il est vrai qu'aucun mâle normalement constitué n'est capable de résister à la beauté insolente de Marie de Lansay du Val et à sa maîtrise incomparable de la fellation, une véritable passion pour la beauté rousse qui ne cessa de la peaufiner dès qu'elle fût en âge d'avoir des relations sexuelles.
Marie avait donc trouvé plaisir à sucer consciencieusement Robert Gaillard jusqu'à ce qu'il ce qu'il lui fournisse la dose de foutre qu'elle avait goulument avalée telle une lionne s'abreuvant de l'antilope qu'elle venait d'attr.
Cobra avait quitté la maison 10 minutes plus tard après avoir fait disparaître toute trace du passage de Marie et de son pigeon. Il était primordial qu'à leur retour de vacances le lendemain, les propriétaires légitimes de la maison ne devinent jamais que leur demeure avait servi pour piéger le directeur technique d'une entreprise de haute technologie.
Moins de deux heures après avoir déposé Robert gaillard à proximité de sa voiture, Marie avait quitté le territoire français et s'était rendue à l'adresse prévue pour faire son compte rendu au responsable local de l'Organisation.
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Jusqu'à ce jour B. n'avait jamais croisé Copperhair et il ignorait même son existence.
En revanche la femme l' avait reconnu au premier coup d'oeil. Elle avait eu l'occasion de le voir en pleine action sur la vidéo qu'il avait transmise au service avant de se faire piquer son téléphone. Et elle avait encore en tête la scène où Stéphanie Gaillard suçait avec délectation le sexe monstrueux du noir. La femme blonde était plutôt douée mais Marie de Lansay du Val avait acquis un niveau de virtuosité exceptionnel dans l'art de la fellation. Et bien sûr l'idée de s'occuper à sa manière de la mentule géante de B. lui traversa l'esprit lorsqu'elle croisa le colosse noir.
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Krammer avait ecouté religieusement Marie de Lansay lui relater en détail les péripéties de sa rencontre avec Robert Duval. La belle rousse considéra le bref hochement de tête que lui adressa le responsable de l'Organisation à la fin de son compte rendu comme la manifestation la plus exubérante de ses félicitations.
On l'avait déjà informé que lorsque krammer souriait, son interlocuteur avait du souci à se faire.
Avant de quitter la tranquille cité helvétique le lendemain matin, Marie était bien décidée à profiter de la soirée qui s'annonçait. Après un bref passage à son hôtel pour se doucher et se changer, elle se rendit ensuite dans un restaurant réputé du quartier avec l'espoir de faire un bon dîner.
La porte de l'établissement à peine franchie, Marie aperçut B. attablé non loin. L'homme allait attaquer son entrée lorsqu'il reconnut la beauté rousse qu'il avait croisée en quittant l'immeuble de l'Organisation.
Le noir lui fit alors un grand sourire auquel elle répondit poliment avant de s'adresser au maître d'hotel.
Celui-ci lui indiqua très vite que toutes les tables étant occupées, elle devrait patienter au moins une heure avant qu'on puisse l'installer.
B. n'avait rien raté de l'échange. il se leva peu après et s'approcha de Marie:
- je crois comprendre que vous allez devoir attendre pour dîner. Je vous propose à la place de partager ma table.
Vous éviterez ainsi une perte de temps inutile et moi j'aurai le plaisir de me restaurer en charmante compagnie.
Marie fit mine d'hésiter avant d'accepter l'invitation du bout des lèvres. Même si elle ne se faisait guère d'illusions sur l'opinion du serveur, elle voulait éviter qu'il la prenne pour une courtisane ou pire pour une escort à la recherche d'un pigeon à plumer.
En revanche, elle se réjouissait par avance de l'aubaine qui allait vraisemblablement lui offrir l'occasion de s'amuser avec la matraque phénoménale de son chevalier servant avant la fin de la soirée.
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Allongé entièrement nu sur le lit king size de la chambre d'hôtel louée par Marie pour la nuit, B. était aux anges depuis que la beauté rousse lui avait laissé lui retirer son chemisier, sa jupe et son soutien gorge avant d'emboucher son membre orgueilleux.
Certes la femme avait tenu à conserver ses bas et sa culotte, mais en bon mâle Alpha sûr de sa puissance, le noir était persuadé que cette fragile barrière de tissu ne résisterait pas longtemps à son désir. En attendant, il ne boudait pas son plaisir d'avoir laissé Marie jouer à sa guise avec son braquemart. Car s'il reconnaissait volontiers que Stéphanie la femme de son subordonné était une bonne suceuse, il dut constater ce soir là que la prestation offerte par la rousse était digne d'une finale olympique.
B. se rengorgea fier que sa bite énorme soit une telle source d'inspiration pour les femmes qu'il séduisait.
Marie était tout aussi ravie de pouvoir donner libre cours à son art de la fellation en jouant avec un instrument digne de sa technique incomparable.
La tâche de cyprine qui s'elargissait sur son Tanga noir témoignait de l'excitation qu'elle ressentait en suçant et en léchant avec délectation l'énorme cep noir. La belle rousse n'avait trompé Cobra son amant et complice que deux fois (car sucer n'est pas tromper) depuis qu'ils sortaient ensemble. Mais ce soir là elle se sentait prête à franchir à nouveau le pas alors que B. était en train de vider le contenu de ses grosses couilles au fond de sa gorge. Constatant que le dard couleur d'ébène était toujours aussi dur après l'éjaculation copieuse, elle savait qu'elle n'aurait pas la volonté de résister si B. tentait de la prendre. Et elle n'imaginait pas à ce moment qu'il se contenterait de la pipe qu'elle venait de lui prodiguer.
Le noir vint en effet s'installer derrière Marie pour lui retirer son slip. Elle le laissa faire en fermant les yeux. L'énorme mentule turgescente rebondissait sur son cul magnifique. Tremblant de desir, la jeune femme prit la mesure de la masse de chair qui allait bientôt fouiller son intimité. Les cognements de l'engin sur sa croupe lui procuraient de délicieux frissons. Ils cessèrent un instant après que B. eut saisi son manche à pleine main afin de positionner son gland turgescent à l'entrée de la vulve offerte. La sublime rousse se mordit les lèvres happée par le plaisir procuré par le pieu qui s'enfonçait lentement mais sûrement en elle écartelant peu à peu les parois de son vagin brûlant. Et elle ne put retenir un rugissement félin lorsqu'elle fut complètement remplie par le formidable tenon.
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