Leslie Hd31
Leslie HD31 - Week-end en Bretagne, suite
Et avant que je puisse répondre, elle se mit à dévisager les couples attablés à la terrasse. Son regard sarrêta sur lun deux qui nous fixait ostensiblement.
Ils avaient environ une quarantaine dannées, des vacanciers classiques. À la distance où nous nous trouvions, rien naurait pu les différencier des autres couples. Laure leur fit un petit signe en guise de remerciements. La femme se leva, taille moyenne. Elle sapprocha de notre table et sadressa à nous, plus précisément à Laure.
- Accepteriez-vous que je me joigne à vous ?
- Bien sûr, ce sera avec plaisir, dit Laure immédiatement.
Une nouvelle aventure se profilait, et je ne serais pas surprise que nous ayons à faire à un couple déchangiste ou de libertins en quête dune partie de cul, en plus avec deux jolies filles et une transexuelles, de quoi en contenter plus dun.
Laure se chargea des présentations. Lhomme était resté à lécart, se limitant à nous regarder, malgré tout visiblement satisfait par la tournure que prenaient les évènements. La conversation vint très vite sur le sujet qui les avait fait nous contacter.
- Vous nous avez offert un magnifique spectacle dans le car. Vous semblez très complices toutes les trois.
Là elle avait raison et se montait très perspicace.
- Mon mari et moi sommes toujours attirés par linsolite, nous aimons les rencontres furtives, intenses. Nous aimons la jouissance des corps, le plaisir sous toutes ses formes. Nous avons été attirés par vous dès que vous êtes montées dans le bus, ce qui fait que nous navons rien manqué de votre aventure.
Elle sarrêta et nous dévisagea toutes les trois. Laure était souriante, Cathy faisait lingénue et moi jécoutais.
Fabienne sadressa directement à Laure :
- Nous étions venus faire quelques courses, mais Luc peu soccuper de cela et je peux lattendre ici avec vous.
- Cela nous laissera le temps de faire connaissance, dis Laure.
Aussitôt, sans mot dire, Fabienne fit un petit signe à Luc qui sen alla en nous adressant un salut et disparut dun pas pressé.
La situation sétait détendue. Fabienne et Laure avaient réussi à nous mettre toutes à laise. Il faut bien reconnaître que lalcool nous y avait un peu aidées.
Fabienne était un joli brin de femme, mince mais pas maigre, vêtue dun tailleur blanc, jupe courte fendue sur le côté et veste assez décolletée, laissant entrevoir la naissance de ses seins.
Elle se penchait parfois, ce qui me permettait de voir les bonnets de son soutien-gorge blanc, je me sentais perturbée. Bien que nous ayons déjà eues des aventures à plusieurs avec Laure, javais soudainement envie de Fabienne, je sentais monter à nouveau en moi cette envie de plaisir qui méchauffait le ventre.
Prétextant une envie pressante, je quittais la terrasse pour aller menfermer dans les toilettes, le ventre en feu. Je glissai de suite ma main droite sous ma robe, atteignant mon sexe nu, et excitée comme je létais je me suis mise à me branler comme une dingue, désireuse dévacuer les envies qui me tenaillait le ventre.
Debout, le dos contre la porte et les cuisses ouvertes je me suis fait jouir dans cette position indécente, je me rajustais vite pour rejoindre mes amies.
Je neus pas le temps de reprendre ma place autour de la table, Luc arrivait. Il stoppa la voiture devant le café, Fabienne nous invita à monter. Pendant mon absence, Laure et Cathy avaient accepté linvitation que Fabienne leur avait faite daller diner chez eux.
Luc conduisait prudemment, voulant profiter des images que lui offrait Laure, assise à ses côtés. Il semblait ravi quelle ait pris place à lavant, il pouvait ainsi lobserver en posant son regard sur ses cuisses légèrement dénudées.
Cette observation méticuleuse de lanatomie de Laure nétait perturbée que par des regards lancés dans le rétroviseur particulièrement bien réglé pour offrir une vue plongeante sur Cathy qui se trouvait au milieu du siège arrière, entre Fabienne et moi.
Ma masturbation dans les toilettes mavait un peu calmée, ce qui me permettait davoir un détachement sur la situation.
Fabienne, assise à gauche de Cathy, la caressait du bout des doigts, parcourant la cuisse entre le genou et la lisière de la robe. Cathy semblait apprécier les allées et venues des doigts agiles de Fabienne sur sa cuisse, espérant secrètement que celle-ci pousse la caresse plus haut vers son intimité.
Cathy fit glisser ses fesses du bord du siège et desserra ses cuisses malgré lexiguïté du lieu, ayant pour effet de faire remonter sa robe très haut.
Cette invite ne resta pas sans réponse, la main de Fabienne sinsinua immédiatement entre les cuisses offertes, remontant maintenant vers le sexe protégé par le fin tissu se la culotte de Cathy.
La main de Fabienne disparue sous le peu de robe qui protégeait lintimité de Cathy, et voyant le mouvement du tissu, je compris que Fabienne branlait Cathy.
Cathy avait fermé les yeux, sabandonnant totalement à la caresse, mon excitation remontait, je regardais ne perdant pas une miette des deux femmes à mes côtés.
Cathy commença à osciller sous la caresse, alors je remontais sa robe, dégageant ainsi intégralement le bas de son ventre, sa culotte offerte à la vue de tous et la main de Fabien ne masturbant Cathy.
Luc sintéressait lui aussi à ce qui se passait à larrière, Fabienne massait le pubis de Cathy à travers sa culotte, suivant les mouvements de bassin de mon amie qui maintenant se tortillait.
Je me penchais vers lavant, découvrant que le coton de la culotte de Cathy était trempé. Cathy ne mouillait plus, elle dégoulinait. Fabienne remonta sa main vers le ventre, puis la plongea sous le coton.
Fabienne neut pas le temps de reprendre la masturbation quelle avait entamé à travers le tissu, à peine eut-elle atteint les lèvres de Cathy que cette dernière se cambra, et comme électrisée se raidit en poussant un cri de plaisir quelle chercha à , sans doute un reste de cette pudeur qui nous pousse à nous cacher lorsque nous jouissons devant des voyeurs passifs.
Fabienne laccompagna de sa main jusquà ce que le corps frêle de Cathy se détende et retombe sur la banquette. Elle lembrassa alors quelle retirait sa main de la culotte, tendrement. Fabienne la regarda dans les yeux, puis porta la main trempée à sa propre bouche, léchant ses doigts, dégustant du bout de la langue le plaisir de Cathy. Cette coquine savait relancer lexcitation, le désir. Je ne pus mempêcher de me pencher et de poser ma bouche sur celle de Cathy qui souhaita partager ce baiser. Nos lèvres souvrirent, nos langues se cherchèrent, se trouvèrent.
Je sombrais à nouveau dans le désir.
Mais déjà, nous arrivions. Luc arrêta la voiture dans la cour intérieure dune petite villa comme il en existe souvent le long de la côte et nous invita à descendre.
- Le diner nous attend, dit-il.
Fabienne et Luc nous firent entrer dans le salon. La villa, sans être luxueuse, paraissait sympa. Fabienne nous pria de lexcuser :
- Juste le temps daller chercher lapéritif.
Lil pétillant de malice, elle ajouta à ladresse de Laure :
- Je vous confie Luc.
A suivre.
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