Paris-Toulouse
Jarrivais un peu en avance pour monter dans le train. Jaime bien fumer une cigarette avant et prendre mon temps avant le départ.
Au moment de monter, je vais pour prendre ma place mais elle bloque le passage dans le couloir.
Elle est en train de récupérer un magazine people dans son sac et semble gênée de mempêcher de passer. Elle me sourit pour sexcuser et je lui retourne aimablement son sourire, par ailleurs très charmant et presque coquin. Je profite du moment où elle sacharne sur sa valise quelle narrive pas à ranger pour lobserver. Elle est jolie, la trentaine, mince. Peu de formes à mon goût mais son cul minterpelle. Elle est accroupie, tentant de caser son sac dans létage bas du porte bagage. Son pantalon la serre et laisse deviner la raie de ses fesses. Jessaie de vérifier furtivement ce quelle porte mais je ny parviens pas. Pas de marque de culotte et pas de string qui dépasse. Je suis déçu.
Je me décide à passer en prenant soin de mexcuser pour avoir loccasion de lui sourire à nouveau, puis je prends ma place.
Je me retrouve sur les places pour 4 personnes face à face avec tablettes. Trois autres personnes sont déjà installées. Comme toujours dans le train, je décide de lire des récits érotiques depuis mon téléphone. Pratique les smartphones ! Jaime bien lire des récits particulièrement salaces, et bander alors que les gens autours ne se doutent de rien. Cest pour ça que jaime surtout cette littérature dans le train.
Je commence ma lecture et me rends compte que lhomme à côté de moi à lair assez curieux et jette des regards rapides vers mon écran. Ce nest pas la honte qui me dérange mais la promiscuité. Je lève les yeux et me rends compte que le wagon est quasiment vide et quil reste pas mal de places vides dans le fond, dont une autre table pour quatre. Je prends donc mes affaires et change de place.
En minstallant, jai la bonne surprise de retrouver la jeune femme à la valise assise sur les places voisines, de lautre côté du couloir.
Jaurai bien tenté une petite approche mais elle sest déjà replongée dans la lecture de son magazine, les écouteurs sur les oreilles. Je vaque donc à mes occupations, et reprends mon récit. Il sagissait dune femme soumise prêtée par son maître à une équipe de rugby. Le numéro 10 venait de lui enfourner sa queue dans la bouche quand je me rendis compte que cétait le visage de ma voisine de voyage que jimaginais en place de cette esclave. Cette pensée me fit sourire et je jetai un coup dil rapide vers elle. Elle dormait maintenant.
Je commençais à être à létroit dans mon jean et, comme personne ne pouvait me voir mis à part elle qui dormait, je décidai de dégrafer quelques boutons et passai ma main dessus, sans trop bouger quand même.
Au bout de plusieurs minutes, jétais tellement plongé dans le récit que je ne me rendis pas compte que ma main sactivait delle-même sur on sexe. Je ris en silence, relevai la tête pour regarder le paysage. Mais en guise de paysage, cest sur ses yeux que je tombai. Je ne suis pas très à laise dans ce genre de situation, et je me mis à rougir fort et à sentir la transpiration qui perlait le long de mon front.
Je ne savais que dire ni que faire et je nen eu dailleurs pas le temps. Elle se leva et sassit à côté de moi. Elle me dit à voix basse : « ça à lair intéressant ce que tu lis
». Alliant le geste à la parole elle, pencha mon téléphone et commença à lire. Le passage visible à lécran commençait par : « lanus dilaté, elle en redemandait encore
. ».
- « Ah oui, cest pas le petit récit coquin que tu lis ! »
Jétais assez décontenancé et javais totalement débandé. Elle le vit et me le fit remarquer :
- « Quand je te regardais tout à lheure, tétais plus raide que ça ! Cest moi qui te fais cet effet ? Je suis pas si moche quand même ! » dit-elle en rigolant à voix basse.
Je narrivais toujours pas à parler et je regardai autour de moi pour voir si quelquun dautre avait vu et pouvait entendre quoique ce soit.
Je nétais visiblement pas le seul à avoir pris cette décision car je sentis une main étrangère prendre la place de la mienne dans ma braguette encore ouverte. Toujours sous le choc, je reprenais du poil de la bête mais pas beaucoup.
Jentendis juste : - « Attends » et je la vis passer sous les tablettes, définitivement hors de vue de quiconque.
Elle entreprit de sortir ma queue de son étui et, après quelques va et vient, lenfonça tout de go dans sa bouche. La sensation de ma bite encore molle qui rentra en entier au fond de sa gorge chaude me fit frissonner et je ne pus un « Humm » de plaisir que bien sur personne nentendit.
A mon grand désarroi, mon sexe ayant repris toute sa vigueur, elle ne parvint pas à le réintroduire aussi profond. Mais la façon dont elle sy prenait ne me fit rien regretter. Elle remonta sa main serrée autour ma bite jusquà la recalloter et fit couler un filet de salive qui vint arroser mon gland. Puis elle commença à me branler doucement en faisant bien coulisser sa main de haut en bas. Ça dura quelques minutes et, dès quelle sentait que ça ne glissait plus assez, elle crachait à nouveau dessus.
Elle ne disait rien, moi non plus, je nétais plus ni dans le train, ni même sur Terre mais plutôt dans une autre dimension.
Elle se remit à me sucer et je voyais ma queue disparaître dans cette merveilleuse bouche. Je regardais par-dessous la table et je voyais son menton se recouvrir dune mousse baveuse qui coulait le long de son coup. Elle se forçait à lenfoncer le plus loin possible dans sa gorge, ce qui la faisait baver encore plus.
Je sentais que jallais bientôt décharger mais je ne voulais vraiment pas que ça vienne tout de suite. Je fis un mouvement en arrière pour me dégager mais, sans place pour bouger, je ny parvins pas.
Toujours à genoux sous les tablettes, mon sexe dans sa bouche, elle me fit recroqueviller mes jambes, les genoux contre le torse. La position était loin dêtre confortable et je ne comprenais pas ce quelle voulait faire. Elle lâcha mon sexe et fit descendre langoureusement sa langue le long de ma bite jusquaux couilles qui, vu ma position étrange, se trouvaient juste à son visage. Elle sy attarda un bon moment et continua de me branler pendant ce temps. Jétais vraiment à deux doigts de craquer.
Dun coup, sa langue descendit encore plus et vint effleurer mon petit trou. Il était totalement épilé et je men félicitais intérieurement. Elle garda mon sexe en main mais sarrêta de bouger pour se concentrer pleinement sur mon anus. Je sentais sa langue en faire le tour puis tenter de sintroduire. Au fur et à mesure, je sentais que je me détendais et elle parvint à la faire rentrer plus profondément. C'était divin. Je navais jamais connu ça avant et, la surprise passée, je profitais pleinement de cette langue.
Quand elle se retira, jétais presque triste mais je me demandais jusquoù irait limagination de cette fille ! Elle remonta sa langue très doucement, de mon trou à mon gland et le goba à nouveau. Je passai ma main sur ses joues et je me rendis compte quelle était trempée, toute baveuse. Ca faillit me faire venir tout seul. Le bout de ma bite en bouche, elle ne bougeait plus. Elle voulait que je vienne quand elle laurait décidé.
Et elle venait de le décider ! Elle introduisit sans mal un doigt dans mon cul, tout détendu et glissant comme du beurre.
Je rouvris les yeux et la regardai par-dessous la tablette. Même complètement souillée, elle gardait un visage des plus charmants.
Elle sortit de son antre et vint sasseoir à côté de moi. Elle prit mon tee-shirt et sessuya le visage.
- « Tu garderas un souvenir de moi comme ça
» me fit-elle en souriant.
Comme si jen avais besoin !
- « Tas aimé jespère ? »
La réponse ne faisait aucun doute mais je me rendis compte quà part mes gémissements, je ne lui avais pas encore adressé un seul mot depuis que nos regards sétaient croisés au début du trajet.
- « Mouais, cétait pas mal
» lui répondis-je moqueur.
- « Comment ça pas mal ? » reprit-elle faisant mine dêtre vexée. « Tu penses que tu peux faire mieux ? »
- « Absolument ! » lançais-je en rigolant. Je me rendis compte que je venais de parler très fort. Quelquun à lavant du wagon grogna même un « Chut ! » agacé. On se regarda et on se mit à rigoler, doucement.
Jeus soudain une folle envie de lembrasser. Je passai ma main derrière sa nuque en lui caressant la joue, puis je lattirai vers ma bouche. Je dévorais ses lèvres lorsquelle me présenta sa langue que je suçai furtivement.
En même temps je passai le dos de ma main sur ses seins et je sentis, au travers de son chemisier quelle ne portait pas de soutien-gorge, ce qui relança mon excitation. Elle sen rendit compte et me murmura dans loreille :
- « Si ça texcites de savoir que jai rien en haut, je te préviens tout de suite, jai rien en bas non plus ! »
Effectivement, ça me fit le plus grand effet ! Je bandai à nouveau. Soudain, alors que je dégrafai quelques boutons de son haut pour y passer ma main, japerçus un contrôleur qui avançait rapidement le long du couloir, en regardant rapidement les rangées mais sans demander les billets. Il nétait plus quà quelques mètres et, debout comme il était, ce nétait plus quune question de secondes avant quil ne découvre le spectacle.
Je tentai maladroitement de récupérer mon pantalon encore à mes chevilles et fis un brusque saut pour pouvoir me rhabiller. Pas le temps de reboutonner, mais les apparences furent sauvées !
Lorsquil fit demi-tour je me tournai vers ma chère coquine qui faisait la moue.
- « Ah ouais, cest comme ça, au moindre risque, monsieur me délaisse ? Et bien monsieur je suis désolé, mais vous mavez refroidie ! Je retourne à ma place et bon voyage ! »
Les paroles étaient dures mais son regard disait le contraire. Je la saisie fermement par le poignet alors quelle se levait et la fis se rasseoir.
- « Ah ouais, je tai refroidie ? » lui répondis-je sur le même ton. « Et ben ok, laisse-moi juste te réchauffer ! »
Je la calai à ma place, contre la fenêtre puis je passai à mon tour sous la tablette. Sans douceur aucune, je déboutonnai son pantalon, ouvris la fermeture éclair et lui retirai vite fait bien fait. Dun mouvement brusque je lui écartai les jambes. Relevant la tête une seconde, je croisai son regard qui visiblement, nétait plus très froid. Je crois même quil me suppliait de la faire jouir comme elle me lavait fait quelques minutes auparavant.
Ma bouche commença à embrasser lintérieur de ses cuisses. Dans ces moments où, plongé dans la douceur de ce paysage, je menivre de lodeur moite et épicée qui se dégage des sexes féminins, mes lèvres prennent leur indépendance et se laissent porter au gré des flots de chair.
Je parcourais ses jambes, du genou à laine, de laine à la commissure des fesses. Prenant bien soin de frôler ses lèvres et son clito, je les évitais à chaque passage, passant dune jambe à lautre.
Je sentais le désir se faire de plus en plus pressant et désirai mettre fin au supplice. Jembrassai alors son sexe avec la même volupté que pour sa bouche. Dabord pressant ses grandes lèvres entre les miennes, je fis pénétrer ma langue dans le méat chaud et déjà trempé. Puis je remontai doucement jusquà son clitoris que je suçai délicatement. Me déléctant de lappendice, je faisais tourner le mien autour, tantôt laspirant, tantôt le léchant.
Le rythme de sa respiration saccélérait et je suivi celui-ci en donnant de grands coups de langue, plaquant celle-ci contre le bas de son sexe et remontant de plus en plus rapidement.
Je continuais quelques secondes ce traitement, la sentant haleter de plus en plus fort à chaque passage. Elle ne tenait plus en place et avançait son bassin. Jen déduisis que ma bouche ne suffisait plus, et jentrepris de la pénétrer avec un doigt. Je rentrai sans résistance et, sentant quil y avait encore la place, en introduisis immédiatement un deuxième. Un fort gémissement sen suivit et jespérai quil fut camouflé par le bruit du train en marche
Elle remuait beaucoup. Je fis passer ses jambes sur mes épaules et la plaqua fermement à son siège en la tenant fermement dune main sur la hanche.
Je repris mon travail en maventurant cette fois un peu plus bas. Son petit trou mattirait comme un fou et je mourrai denvie de goûter à ce cul si propre et si bien fait. Je recommençai donc mes grands coups de langues en commençant désormais par son anus pour remonter jusquà son bouton. Elle adorait et javais désormais du mal à la retenir. Quà cela ne tienne, ce nétait que le début de ce que je lui réservais. Elle avait mis la barre haut en soccupant de moi et je devais lui rendre la pareille, question de fierté.
Je la fis basculer un peu plus pour pouvoir mattarder sur mon nouveau jouet. Je lui mordis gentiment une fesse, puis lautre puis je rentrai dans le vif du sujet. Ma langue glissait le long des replis, marquant une orbite qui se resserrait à chaque tour pour finir par plonger au cur du tourbillon.
Ne souhaitant pas frustrer sa chatte désormais délaissée, mes doigts senfoncèrent à nouveau, imprimant le tempo que suivaient mes baisers entre ses lunes. A nouveau rapide, le rythme semblait à son apogée. Jen profitais pour y introduire un troisième doigt qui rendit mes assauts encore plus efficaces. La mouille coulait à flots et ruisselait le long du canyon se mêlant ainsi à ma salive dans son anus.
Je lentendais contenir des cris étouffés tandis que je parvenais tout juste à la garder en place pour continuer mon entreprise.
Profitant de cette lubrification naturelle, je décidai de varier les plaisirs et dinverser. Ma bouche repris possession de son sexe et mon majeur se présenta à son cul. Ce dernier, amadoué par mon précédent supplice happa de lui-même mes premières phalanges, comme mût par une volonté propre. Bien installé, il entama une série de va-et-vient qui ne parût pas déplaire à la demoiselle. Je ne bougeai plus et laissai juste le bout de ma langue collée à son clito. Me servant de mon doigt comme dune télécommande, cest lui qui dirigeait le mouvement, la faisant avancer puis reculer en même temps quil senfonçait ou ressortait.
Je sentis sa main sapprocher de la mienne et me saisir lindex quelle enfonça delle-même pour rejoindre son collègue.
Son trou se dilatait et se resserrait de plus en plus fort. Jaugmentais alors la puissance des aller-retours et remis ma langue en marche. Son corps se crispait, des tremblements parcouraient son bassin, son sexe, son anus. Des spasmes de plus violent lagitaient et je crus me casser les doigts tellement elle sempala violemment dessus.
Puis, perdant peu à peu de sa raideur, les spasmes satténuèrent doucement en sespaçant au fur et à mesure pour laisser place à la quiétude. Je me retirais doucement et lui glissai à loreille pendant que je me dégageai :
- « Alors, jai été à la hauteur ? »
Elle me répondit dune voix tout aussi suave :
- « NON MAIS CA VA PAS, ESPECE DE PERVERS !? ZETES PAS TOUT SEUL DANS LE TRAIN !! »
- « Pardon ? » lui fis-je répéter en tombant des nues
Un violent mal de tête me pris suivi dun fort éblouissement. Je mis quelques secondes à retrouver la vue.
Je voulus lui faire répéter ce quelle venait de dire, qui navait aucun sens. Mais elle nétait plus là. Je regardai tout autour de moi. Personne. Le train était à larrêt et les voyageurs faisaient la queue debout dans le couloir pour sortir. Parmi eux, proche de mon siège, une dame, la soixantaine, me regardait dun air dégouté. Je ne comprenais pas. Je voulus me déplacer et compris tout à coup ce que me reprochait la vieille. Javais la main plongé dans mon caleçon, le jean dégrafé.
Je pensai alors, presque à voix basse :
- « Si tu nétais quun rêve, alors on se retrouvera ce soir
»
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