Mon Collègue Gay (2)
Quelques jours après m'être fait bien sauté par mon collègue, celui-ci vint me voir dans mon bureau avec un petit sac à la main. Il me le lança avec un clin d'il en me disant juste que c'était pour le lendemain et que je devais attendre d'être chez moi avant de l'ouvrir. Il était alors 10h du matin et je du attendre avec une impatience à la limite du contrôlable d'être arriver chez moi.
L'attente fut interminable et je ne comprenais pas moi-même comment j'ai pu attendre aussi longtemps avant de découvrir ce qu'il y avait dedans. Peut-être que l'idée d'obéir à mon nouvel amant m'excitait plus que la découverte du paquet en lui-même.
Une fois chez moi, vers 19h, je me suis précipité sur le sac et l'ai ouvert rapidement. Il contenait une paire de bas blancs, un porte jarretelles blanc, un très beau string en dentelle à motif fleuri et une lettre. La lettre était une succession d'ordres à respecter pour le lendemain: porter dès le matin les vêtements contenus dans le sac (il vérifierait au cours de la journée selon lui), me raser toutes les parties intimes (cul, couilles etc...) ainsi que mes jambes, l'appeler mon chéri quand il n'y aura personne autour de nous et lui obéir aveuglément quoiqu'il arrive. A la fin de la lecture de la lettre, j'étais à la fois pétrifié, horrifié et très excité par cette missive explicite.
Pétrifié car j'étais en train de me dire que j'allais lui obéir, horrifié car ça me plaisait et excité car j'en avais très envie. Je n'attendis pas avant de m'exécuter et je me suis mis à me raser tout le corps. L'exercice était laborieux car je ne l'avais jamais fait mais je réussi à atteindre toutes les zones tout en me rasant le torse au passage. Je me suis retrouvé imberbe et la douceur de ma peau me donna des frissons. La nuit fut courte, j'ai peu dormi et j'attendais le lendemain impatiemment.
Le réveil sonna à 6h30 et je me suis levé d'un bond près pour une journée qui promettait d'être incroyable.
Nous primes donc sa voiture à midi pour aller dans un restaurant à 20 minutes du boulot. En arrivant sur place, il me dit que nous ne croiserons personne du travail et que nous serons tranquille pour toute la pause déjeuner. Je le suivi dans le bâtiment et je compris tout de suite pourquoi: c'était un lieu fréquenté uniquement par les gays. Nous nous mimes à table et avons passer un bon moment à discuter de ce qui s'était passé entre nous quelques jours auparavant. A la fin du repas, il me demanda de le suivre aux toilettes et une fois sur place, me dit de me mettre à poil. Je me suis exécuté et mon amant a pu me détailler sous toutes les coutures avec mes nouveaux dessous. Très satisfait, il ouvrit sa braguette, sorti sa belle bite et me fit mettre à genou. L'ordre tacite fut clair et je le pris en bouche tout de suite. Je lui ai bouffé sa queue comme une vraie petite salope et l'ai fait déchargé dans ma bouche.
Une fois arrivé, je me remis difficilement au travail repensant à la pipe que je venais de pratiquer. D'un coup, je reçu un mail succins de mon amant me disant: "ce soir à 20h". Ce fut court et cela voulu à la fois tout dire et rien dire pour qui tomberai malheureusement sur ce message.
L'après-midi me sembla interminable mais une fois 19H30, je fis les 100 pas en salle de repos, m'impatientant de ce qui allait suivre. 25 minutes plus tard, mon amant arriva tout sourire voyant que je l'attendais sagement.
- Content de te voir ma petite chérie, me lança-t-il.
- Moi aussi mon chéri, je t'attendais, lui répondis-je.
Il m'ordonna de retirer mes vêtements et d'être entièrement sous ses ordres. Il me fit danser pour lui de façon très salope et me fit le déshabiller en embrassant tendrement chaque partie de son corps. Il me fit mordiller ses tétons avant de m'embrasser passionnément. Il se mit à 4 pattes, ce qui me surpris, ce n'était pas son genre du tout. Mais je compris très vite quand il m'ordonna de lui lécher le cul en lui mettant un doigt. J'avais un peu peur de le faire mais je me suis exécuté de suite essayant de lui procurer un maximum de plaisir. Je le sentais gémir sous les coups de langues et son anus se resserrer sur mon majeur. Au bout de quelques minutes, il me fit arrêter et me dit de me mettre à 4 pattes "comme la petite chienne que je suis". Je me suis installé, il a écarté mon string et à commencé à me labourer à sec très fort. Je ressenti une violente douleur sur le moment que s'est traduit par un cri aigu mais le plaisir est très vite arrivé. Comme la première fois, il m'a défoncé mon petit cul et me l'a élargi comme jamais. Je gémissais et l'encourageais à y aller de plus belle. Je lui disais de continuer à bien me la mettre, de me baiser comme une salope, de me défoncer la rondelle.
Nous nous sommes écroulé en sueur et heureux même si je n'avais pas encore joui. Pour me féliciter selon lui, il me pris en bouche et m'appliqua une pipe comme jamais je n'ai eu. Même ma copine (qui suce pourtant comme une reine) ne m'a jamais sucé de la sorte. J'ai déchargé dans le fond de sa gorge en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. Il n'avala pas et m'embrassa en me rendant ma foutre qu'il me fit avaler. Nous nous sommes rhabillé et il m'a ordonné de mettre les bas et le porte jarretelles tous les jours que je travaillerais. Il me dit qu'il me fournirait suffisamment de strings pour que je puisse en mettre un par jour. Avant de partir, il me lança:
- A partir de maintenant, ton petit nom sera Sarah, un joli nom de pute, et je serais ton maître.
Sans savoir quoi dire, j'acceptais d'un hochement de tête et il m'embrassa comme sa petite amie avant de partir.
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