Manon : Du Paradis Aux Portes Des Enfers. Épisode 17.


Lydia avait une idée en tête, lorsque Jules l’avait appelée, cette partie de sexe pure et bestiale sous les yeux de Manon fut si torride qu’elle rêvait de renouveler cette expérience magique. Jules était un de ces hommes qui savait donner beaucoup de plaisir à une femme. En l’attendant dans son appartement, après avoir roulé deux cigarettes coniques, Lydia, sachant que l’ambiance était primordiale, alluma quelques petites bougies ici et là. Éteignit le plafonnier pour n’allumer que ses deux petites lampes au sol aux coins de son salon puis passa de la musique douce en baissant le volume.

Sachant qu’il venait de connaitre une grande déception amoureuse, elle n’était pas certaine de réussir sa séduction. Elle essaya donc de mettre tous les atouts de son côté, pour stimuler son odorat, elle fit brûler un peu d'encens, s’était enduite le corps d’une crème parfumée et quelques gouttes d’huile essentielle devaient faire son effet. Avant d’enfilé une petite jupe s’ouvrant sur le devant, un chemisier presque transparent à boutons et des sous-vêtements très sexy, elle prévoyait de lui faire un petit striptease sympa pour le mettre dans l’ambiance si le besoin s’en faisait sentir.

Lorsqu’elle ouvrit sa porte, Jules n’avait pas la tête des grands jours, son visage était blême et semblait sortir d’une maison hantée. Lydia prit soin de lui et l’installa dans le sofa tandis qu’elle prit place dans le fauteuil en face lui. Après avoir ouvert une bouteille de champagne qu’elle avait pris soin, au préalable de mettre au frais, elle en servit deux coupes. Elle savait que cette boisson avait le pouvoir de la rendre euphorique et espérait qu’il en soit de même pour son invité. Elle alluma les deux joints et lui en tendit un :
— Qu’as-tu donc Jules, c’est cette petite conne de Manon qui te rends à ce point malheureux ? Tu sais qu’elle s’est barrée avec mon mec.
— Oui ! mais ce n’est pas ça Lydia, je viens de me faire larguer une deuxième fois par Tamara.


— Nonnn ! Ta petite martiniquaise ? Manon m’en avait parlé. Tu sais ce qu’elle a fait, au fait ?

Heureuse de pouvoir casser du bois sur son ex copine, Lydia lui expliqua que Manon avait tout manigancé depuis le début. De leur premier flirt jusqu’à la mise en scène de son avortement car elle n’était pas enceinte. C’était uniquement pour pouvoir vivre avec lui. Elle continua en disant que lorsqu’elle était avec Guillaume, il l’avait petit à petit amenée au BDSM soft. Lorsqu’elle en avait parlé à Manon, celle-ci en rêvait et ce fut comme cela que tout avait commencé. Ne voulant plus entendre parler de Manon, Jules en fit part à son amie et ils changèrent de conversation.

Ce n’était pas pour lui déplaire car Lydia voulait passer à l’acte. Elle lui avoua qu’elle fut enchantée de son après-midi passée dans ses bras, qu’elle avait pris beaucoup de plaisir avec lui :
— Tu sais maintenant que tu es célibataire, je ne serais pas contre un petit câlin entre nous. Dit-elle en se levant et en venant s’assoir à cheval sur ses genoux.
— Tu es très gentille Lydia, franchement moi aussi j’ai aimé baiser avec toi mais je n’ai pas le cœur à cela aujourd’hui.

Le champagne et le cannabis commençaient à faire son effet, Lydia n’avait pas dit son dernier mot, elle lui déposa ses lèvres sur les siennes. Elle n’était pas super jolie mais elle avait un corps magnifique, sa poitrine était un peu forte mais très ferme, un ventre plat, de longues et belles jambes et un cul galbé haut placé qui avait le pouvoir de faire se retourner les hommes qu’elle pouvait croisés. Elle passa donc à l’action en le prenant derrière la tête et en forçant sa bouche pour faire pénétrer sa langue. Jules qui n’avait pas ment envie fut incapable de lui résister, il l’avait pris par la taille et ils se laissèrent aller dans un baiser fougueux.

L’ambiance qu’elle avait su apporter dans son salon, commençait à la stimuler mais elle n’était pas certaine que Jules soit aussi excité qu’elle dans la mesure où ses mains étaient beaucoup moins baladeuses que la fois dernière.
Elle passa donc la vitesse supérieure en faisant des allusions déplacées tout en se penchant afin qu’il profite de son décolleté. De sa main placée sur son sexe, incontestablement sa verge se raidissait, elle comprit qu’elle commençait à l’allumer. Elle se plaça debout devant lui et au rythme lent de la musique, fit tomber son chemisier.

Avec grande sensualité, un à un, les boutons furent défaits et en faisant un tour complet gracieusement sur elle-même, elle se retrouva son corsage à la main, lui dévoilant ainsi ses magnifiques seins comprimés dans son soutien-gorge en dentelle noire qu’elle retira immédiatement avec des gestes lents et érotiques. Elle fit de même avec sa mini-jupe, se présentant ainsi à lui dans un petit string en dentelle noire qu’elle retira de la même façon. Il avait déjà remarqué que Lydia s’épilait complètement, son sexe était glabre. Jules avait apprécié le spectacle, vu la bosse qui se dessinait dans son pantalon.

L’idée de se faire prendre par ce bel étalon l’excitait énormément, nue devant lui, Lydia s’approcha et posa sa main sur son sexe, elle ouvrit sa braguette attrapa son pénis qui prenait forme puis le caressa du bout des doigts avant de le prendre dans sa bouche. Pendant qu’il massait et caressait ses seins fermes, tout en triturant ses tétons afin de les faire durcir. Lydia était une experte avec ses lèvres et sa langue, Jules banda à bloc quelques secondes plus tard et lorsqu’elle l’avala entièrement en allant et venant lentement tout en aspirant son gland, quelques minutes plus tard, il éjacula plusieurs giclées de sperme qu’elle s’empressa d’avaler.

Voyant Jules légèrement amorphe et beaucoup moins entreprenant qu’habituellement, ce fut Lydia aux commandes, elle le fit mettre debout afin de le déshabillé entièrement puis l’invita à s’occuper de son minou. Il ne voulait pas lui déplaire, il s’exécuta en se mettant à genoux devant elle, comme hypnotisé par sa chatte sans aucun poil.
Il passa alors à l’action, sa langue titillait son clitoris et ses doigts sur sa fente pénétrèrent lentement dans sa petite chatte mouillée de désir. Tellement excitée depuis qu’elle avait appris que Jules venait à la maison et vu la situation, elle jouit presque instantanément.

Lydia mouillait beaucoup lors des préliminaires, mais n’était pas une femme fontaine, elle s’exprimait autrement lors de l’orgasme, elle criait énormément. Si elle avait trouvé Jules moins fougueux, elle fut surprise de la rapidité qu’il eut lorsqu’elle s’était penchée vers sa queue et qu’elle l’avait engloutie, il reprenait de la vigueur vitesse grand V. Cela l’avait une nouvelle fois excitée de sentir son si beau sexe grossir dans sa bouche, elle en mouillait encore d’avantage. Lydia ne pouvait plus attendre, elle s’allongea et écarta les jambes.

Il avait présenté sa queue bien dure à l’entrée de sa chatte et l’avait pénétrée d’une seule poussée. Elle poussa un cri de surprise en l’agrippant par ses fesses musclées afin qu’il lui remplisse le vagin. Menant toujours la danse, elle remuait son bassin en harmonisant ses mouvements avec ses va et vient tout en douceur. N’ayant pas fait l’amour depuis plusieurs jours, il n’était pas parvenu à tenir plus longtemps, mais cela avait suffi à Lydia d’atteindre un nouvel orgasme, juste avant qu’il ne se retire. Elle avait une nouvelle fois poussé des cris aigus de plaisir quand il éjacula sa queue coincée entre ses deux seins. Ils restèrent ainsi enlacés un bon moment, avant qu’il lui dise merci.

Jules avait passé un excellent moment avec sa nouvelle amie, elle avait su lui faire oublier pour une heure et demi ses problèmes. Néanmoins, lorsqu’il se retrouva seul chez lui, ses pensées négatives refirent surface, toutes les femmes qu’il avait aimé un tant soi-peu l’avaient abandonné ou trahi : Manon, Tamara et Karine voulant se venger, avait téléphoné à sa princesse pour vendre la mèche. Il ne savait plus où il en était et se demandait que devait-il faire à présent ? Toute la semaine, il n’était pas sorti et n’avait pas répondu aux appels de Lydia qui voulait absolument le revoir, ni à ceux de Bénédicte qui avait tenté de le joindre plusieurs fois dans la journée depuis la veille.
Il ne se lavait à peine mais aussi surprenant que cela puisse paraitre, il ne faisait plus de sport. Il passait son temps devant la télé sans même la regarder, il était en pleine déprime.

Le vendredi 15 mai 2020, Tamara en revenant de chez le gynéco, croisa Bénédicte dans l’ascenseur et lui demanda si elle avait un peu de temps à lui consacrer pour parler en toute liberté. Bien entendu, la voisine toujours prête à rendre service accepta et l’accueillit volontiers, elle aimait bien cette jeune femme et était au courant de son futur départ en Martinique ce qui l’avait beaucoup peiné, pour elle mais surtout pour son beau-frère Jules. Une fois confortablement installée, Bénédicte lui demanda ce qu’elle avait de si important à lui dire :
— Je crois que je vais faire une grosse connerie Bénédicte, la gynéco est formelle, je suis enceinte de neuf semaines.
— Et le bébé se porte bien ? Tout est correct ? Il y a un problème ?
— Non ! tout va pour le mieux de ce côté-là mais le problème…ce n’est pas Grégoire le père, les dates ne correspondent pas du tout.
— Si je comprends bien c’est Jules le père, n’est-ce-pas ?
— Il n’y aucun doute, ce sont les dernières nuits que nous avons couché ensemble avant que je parte. Je ne vois que cela, tu vois, là encore il m’a trahi…

Bénédicte la voyant hésiter et désirant prendre la défense de Jules, lui expliqua en détail toute l’histoire. Manon la manipulatrice avait tout planifié, depuis le string, jusqu’à son faux avortement :
— Tu vois Jules et toi vous vous êtes fait avoir par cette petite.
Un petit silence s’étant installé, Tamara étant toujours dans ses pensées, la belle-sœur s’impatientait, elle reprit la conversation à son compte :
— Alors que comptes tu faire, te marier avec Grégoire en lui annonçant qu’il n’est pas le père ?

Tamara comprit que Jules, même s’il était fautif, n’était pas complètement responsable, d’après sa voisine, il fut difficile pour lui qui aimait tant le sexe de refuser de telles avances :
— Non ! J’aimerais renouer avec Jules, je ne sais pas comment faire. Dit-elle les larmes aux yeux.

Après un petit câlin afin de la consoler, s’en était suivi une longue conversation où Tamara expliqua à son amie avec laquelle elle pouvait se confier, sa vie sexuelle où elle n’aimait que les caresses, la douceur et la tendresse. Elle détestait l’amour bestial ou sauvage, le sperme, les fellations et la sodomie, tout ce que Jules appréciait et voulait lui apprendre à aimer. En insistant sur le fait qu’elle l’aimait par-dessus tout comme il était.

Elle était prête à lui pardonner son écart avec Manon puisqu’il avait trouvé en elle, une femme correspondant à ses besoins sexuels, mais avait des doutes sur sa fidélité :
— Si nous nous remettons ensemble, j’ai peur, qu’il me trompe si je ne lui apporte pas ce besoin. Pourtant tu ne peux pas t’imaginer comme je suis bien en sa compagnie.
— Je ne sais pas trop quoi dire Tamara, tu sais sans doute qu’en amour, il n’y a aucun tabou, aucune perversité si le couple est en osmose. Moi non plus je n’avale pas le sperme mais cela ne m’a pas empêché d’accepter d’en mettre un peu dans ma bouche, simplement que je recrache et Jérôme ne m’en a jamais voulu. Il n’essayait même plus. En recevoir sur les autres parties du corps n’a jamais fait de mal à personne, d’ailleurs c’est assez excitant.

— Oui ! Ça ce n’est pas le plus important, le plus difficile pour moi, ce serait qu’il aille coucher à droite ou à gauche avec des trainées, sans que je le sache.
— Cela veut dire que tu serais d’accord que Jules puisse satisfaire ses fantasmes avec une autre femme mais que tu devrais le savoir. C’est bien ça ?
— Oui ! Si c’est le seul moyen, de le garder, j’accorde beaucoup d’importance à la confiance, tu comprends ? J’y suis prête.
— Ça je ne te le conseille pas Tamara, c’est la porte ouverte à la perversité.

Bénédicte avait repris la parole en lui disant que Jules avant qu’il la connaisse, allait dans un club libertin et passait une grande partie de la nuit à satisfaire les femmes mariées pour la plupart, devant les maris qui ne pouvaient les combler eux-mêmes, du terme « candaulisme ». Tamara était stupéfaite qu’un tel endroit existe, elle n’avait jamais entendu parler de ça et lui demanda plus d’explications. Bénédicte lui donna d’autres détails, en rajoutant que certains couples qui désiraient mettre du piment dans leur vie sexuelle, s’échangeaient leurs conjoints en faisant de « l’échangisme » :

— Tu es déjà allée dans ce genre de club Bénédicte ? Tu me donnes l’impression d’en connaitre un rayon.
— J’étais danseuse dans un club, je te rassure, je n’ai jamais participé à quoi que ce soit. Celui dont je te parle se trouve en ville, je croise souvent André, mon ancien patron. Dans ce lieu, se trouve le genre de femme avec lesquelles tu serais prête à partager ton chéri. C’est inconcevable pour moi surtout que toi aussi tu es jalouse. C’est plutôt à toi de changer.

Tout ceci avait suscité une certaine curiosité chez Tamara qui voulait en savoir davantage. Bénédicte poursuivit : D’autres femmes pouvaient faire l’amour avec plusieurs hommes triés sur le volet, nommé plus couramment « gang bang », elles étaient prises dans le vagin par l’un pendant qu’un autre la sodomisait « double pénétration » et faisait une fellation au troisième, quelques fois, elle pouvait en masturber un ou deux autres.

Tout ceci bien souvent, devant des personnes qui les regardaient faire, c’était du « voyeurisme ». D’autres couples, se mélangeaient et faisaient l’amour à plusieurs, jusqu’à six ou huit personnes en changeant de partenaires à chaque occasion. « Les partouzes » comme on les surnomme. Mais ce n’en était pas terminé, Souvent dans ce genre de lieu, bien à l’écart, certaines personnes venaient trouver le plaisir dans la douleur et l’humiliation « BDSM » :
— Mais cela c’est tout autre chose, n’en parlons pas. J’aimerais que tu connaisses ce genre d’endroit pour t’en dégouter à jamais.
— J’aimerais bien voir, tu crois que je pourrais visiter ?
— Si tu y va seule sans participer, je crains que non. Mais accompagnée, je pense que c’est faisable. Tu veux que je me renseigne ?
— Oui ! Mais Jules dans tout ça, il y allait seul et trouvait son bonheur en contentant certaines femmes. Il ne draguait pas, il repartait seul comme il était venu.
— Tu as tout juste ma chérie. Appellerais-tu cela te tromper si jamais cela lui arrivait et qu’il te le dise.
— Non Bénédicte, avant il faudrait que je le rencontre afin que l’on se réconcilie.

Manon était en formation depuis un peu plus d’une semaine déjà. Si elle apprenait vite, elle ne discutait aucun ordre de Maitre André qui lui répétait à longueur de journée qu’elle devait être exactement la même, lorsqu’elle serait de retour avec son Maitre : Guillaume. André était le propriétaire de plusieurs établissements en ville, si le plus connu, tout à fait légal, était le club libertin du même nom « Le Libertin », il possédait en plein centre un bar très chic, un peu spécial, étant ouvert du milieu d’après-midi à minuit. Mais le cercle privé, se trouvant au sous-sol, était un peu moins légal, il avait des horaires allant jusqu’à l’aube.

Le prix des consommations étant élevés, sur lesquelles l’hôtesse touchait un pourcentage. La clientèle très souvent masculine était des hommes de plus de cinquante ans, assez fortunés. Ils avaient ainsi la possibilité de déguster des boissons après la fermeture des autres établissements plus conventionnels. Les clients, dans cet endroit où l’ambiance feutrée et la lumière tamisée, avaient la possibilité de s’entretenir avec une hôtesse rémunérée en fonction du nombre de coupes de champagne ou autres que le client avait partagées avec elle.

André était très en vue dans cette ville, employaient deux hôtesses déclarées, mais quatre soirs par semaine, elles n’étaient pas assez nombreuses. C’était la raison pour laquelle, il utilisait les soumises en formation en renfort. Leur rôle ne s’arrêtait pas à inciter les hommes à boire. Les clients habituels installés sur le canapé, derrière un paravent, étaient en droit d'attendre quelques gentillesses : sourires, discussions, petites caresses, baisers, compliments, petit flirt amoureux. L’hôtesse se devait de flatter et d’être à l’écoute de son consommateur. En échange, le type consommait et offrait des verres à sa “bien-aimée” d’un soir.

Mais pas que, pour quelques dizaines d’euros de plus, qu’il versait à la caisse, les soumises ne devaient pas hésiter d’ouvrir la braguette de leurs clients, les branler et leur faire une fellation sans jamais aller jusqu’à l’éjaculation. Elle devait également écarter leurs jambes pour laisser le client les posséder avec leurs doigts uniquement. Les hôtesses déclarées, faisaient la même chose mais recevaient leur pourboire dans le soutien-gorge. À la fermeture dites officielle du cercle au sous-sol, dans des alcôves capitonnées, les soumises donnaient la possibilité aux clients d’avoir un rapport sexuel avec elle. Vêtues de costume en cuir très sexy et de jolies dentelles, le client payait à André son droit de cuissage, c’était ce que vivait actuellement Manon.

Elle offrait à ses messieurs sa bouche, son sexe et son cul dans ce sous-sol. Ils étaient souvent plusieurs à venir s’amuser avec elle, Manon jouissait beaucoup sous les coups de langues, de doigts, de mains et poings qu’ils n’hésitaient pas à lui enfiler dans son vagin jusqu’à leur avant-bras. Il y avait comme clients privilégiés de nombreuses personnes influentes de cette ville, des avocats, des juges, le sous-préfet, des politiques et même des officiers de police. André ne les faisait pas payer ce service, ayant besoin de certains passes droits et d’appuis particuliers de toutes ses personnalités qui fermaient les yeux à toute cette magouille, il leurs offrait les soumises comme dame de compagnie lorsqu’ils venaient au club. En fin de nuit, avant de repartir, Manon avait sa récompense, elle avait droit à la merveilleuse queue de son Maître qui la baisait plusieurs fois. Avec Guillaume, elle obtenait toujours un orgasme foudroyant et attendait ce moment avec impatience.

Cependant, Maitre André ne s’arrêtait pas là, les soumises devaient également passer par « le poste de garde » un fois par semaine, un endroit où le BDSM était roi.

Nous verrons la suite dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous aussi, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par e-mail, avec votre aide, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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