Leslie Hd33
Leslie HD33 - Week-end en Bretagne, suite
Après laprès-midi mouvementée que nous venions de vivre avec Fabienne et Luc, aucunes de nous trois navait une grande fraîcheur physique.
Une seule envie, grignoter un petit quelque chose puis, une grâce matinée et plus, dodo. Un petit déjeuner, avec des laitages et des fruits, a fait laffaire.
Nous retrouvions un certain entrain, et comme il fallait sy attendre, le sujet de conversation se porta sur nos "exploits" de laprès-midi, ce qui eut pour effet de nous échauffer à nouveau.
Cathy, si nature, si cool, avait été séduite par Fabienne. Elle ne tarissait pas déloges sur cette femme quelle trouvait si sexy.
Laure, comme moi, elle avait aussi été très impressionnée par la taille du sexe de Luc, et surtout par laisance avec laquelle Cathy lavait englouti.
Cathy essaya de nous transcrire le plaisir quelle pouvait ressentir lorsquelle était pourfendue par ce pieu.
Laure et moi écoutions religieusement ses confidences. Ses mots faisaient sur moi de leffet, je me prenais à mimaginer dêtre à sa place et de me faire défoncer le cul comme une salope.
Le bungalow caravane baignait dans une douce pénombre. Sous limpulsion de Laure, nous avions décidé de nous changer et de nous vêtir en vue de goûter à un sommeil réparateur.
Nous nous préparâmes à labri du regard des autres pour ménager le suspense à la découverte de nos tenues de nuit.
Jarrivais la dernière dans ce que nous appelions le séjour, y retrouvant mes amies affalées sur les banquettes-lits déjà dépliées.
Laure portait un long tee-shirt de fin coton blanc lui arrivant à mi-cuisses. Il était facile de se rendre compte quelle ne portait pas de soutien-gorge, comme il se doit pour la nuit, tant ses mamelons marquaient le tissu.
Cathy, elle, avait opté pour une nuisette plus que coquine, en voile noir sous la poitrine, ses seins étant emprisonnés par une dentelle noire fort ajourée, du plus bel effet.
Une certaine excitation remplaça vite la surprise première que jéprouvai à la vue de Cathy.
Pour ma part, mon choix sétait porté sur un simple tee-shirt, suffisamment long et entièrement nue dessous, il ne cachait à peine mon sexe, le bas marrivant à peine en dessous des fesses.
Nous étions les composantes dun trio assez inattendu, mais nos envies se confondaient, profiter au maximum de ces quelques jours de liberté pour nous laisser aller là où notre corps et notre esprit nous entraînaient, vers le plaisir.
Nous nous installâmes, sur notre couchette. Il faisait un peu frais et le drap qui nous recouvrait était le bienvenu. Laure parla encore un peu, avant de tomber dans les bras de Morphée. La pénombre avait envahi notre "chambre". Je percevais distinctement le souffle régulier de Laure.
Cathy ne dormait pas, cétait sûr. Jentendais le bruissement de son drap, régulier, trop régulier
Sa respiration ne pouvait que la trahir. Elle devait sans aucun doute se caresser, jen étais persuadée, alors je me suis déplacée vers elle afin davoir accès à son corps
Javançais ma main sous le drap, jusquà sa peau. Du bout des doigts, jeffleurai sa cuisse. Elle ne cessa pas son mouvement continuant de se caresser.
Mes doigts montèrent le long de sa cuisse, découvrant au passage quelle ne portait pas de culotte. Marrêtant sur laine. Je me fis plus insistante, jaimais la douceur de la peau à cet endroit précis.
Cathy stoppa ses caresses. Elle devait être dans un état dexcitation déjà très avancé, car elle posa de suite sa main sur la mienne, et sans autre forme de procès, me guida vers son pubis, mencouragea en caressant ma main, ce qui, par la pression, la masturbait.
Elle resta peu de temps à cet endroit, memmenant vers lentrée de sa vulve déjà humide. Je la laissai me guider encore.
Ma propre excitation augmentait, impossible de rester aussi passive encore bien longtemps, je bandais comme une folle. Je commençais à agiter mes doigts, à les mouvoir le long de ses lèvres maculées de jouissance.
Je prenais un immense plaisir à faire glisser mon index entre ses lèvres luisantes, ma phalange extrême enserrée par ses deux bourrelets intimes. Partie à la rencontre de son clitoris, je le découvris gonflé de désir. Je le caressai de la pointe de mon index enduit de sa mouille.
Cathy ne tenait plus en place, ondulant, le souffle court. Je ne pouvais pas, je ne voulais pas marrêter. Je me dirigeai vers sa couchette.
Je me délectais à présent de son fruit juteux. Laure était allongée sur le dos, jambes relevées et largement ouvertes, moffrant son sexe. Ma bouche posée sur son intimité, je dégustais son miel, ma langue sinsinuant entre ses lèvres, venant par moments taquiner son bouton damour.
Je la sentais vibrer sous mes caresses, la voir se cambrer, lentendre haleter, gémir doucement parfois.
Je gobais son pistil entre mes lèvres, le léchant du bout de la langue, sans plus marrêter, Cathy ondulais de plus belle, moffrant ses gémissements qui me comblaient et me faisaient bander. Elle se cambra soudainement, se raidit et poussa un long râle. Elle jouissait sous ma langue qui lapait la liqueur de son plaisir.
Toute à son plaisir, les secondes que durèrent sa jouissance furent une éternité.
Elle retomba, essoufflée. Je me levais pour partager avec elle un long baiser damour. Elle glissa sa main sur mes hanches, venant vite sur mon sexe quelle massa sans hésiter et sans pudeur.
- Donne-moi ton sexe, Leslie, me dit Cathy.
Je vins sur elle en 69, sa bouche se jeta littéralement sur mon sexe. Ses lèvres enserrant mon membre, me suça comme une dingue. Je vibrais sous sa langue et ses lèvres, sentant mon sexe couler de plaisir dans sa bouche.
Je ne pus même pas poser ma bouche sur sa chatte, elle me fit jouir bien avant.
Cathy me dit plus tard que javais crié et sans doute réveillé Laure qui sétait retournée, mais nous avait laissées seules.
Un peu plus tard je lui fis lamour et cest fourbues, nous nous endormîmes enlacées.
A suivre
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!