La Saga De Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 4)
- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS-
Explication sur les matricules des esclaves : E46MSE (par exemple) E= Esclave, 46 le numéro attribué par le Maître et MSE = Maître Sir Evans)
Une semaine plus tard, à la nuit tombante, Maître Sir Evans arrivait à l'heure prévue dans un vieux château chez son vieil ami le comte de Beusgley afin de répondre avec ponctualité à l'invitation pour la grande soirée mondaine occasionnée pour fêter l'anniversaire du comte. Walter, le chauffeur une fois qu'il avait ouvert la porte du marquis et que celui-ci descendit de la Roll-Royce, alla ouvrir le grand coffre et tira sur une laisse. Il fit descendre 2 des esclaves nus de Sir Evans. Il y avait ainsi l'esclave femelle E46MSE et l'esclave mâle E69EMS. Tous deux se mirent de suite à 4 pattes sous la cravache de Walter et évoluèrent en grimaçant à cause des gravillons qui blessaient leurs genoux. Mais vu que Walter tirait sur les 2 laisses, ils ne pouvaient faire autrement.
Firmin, le majordome de Beusgley alla à la rencontre des nouveaux venus et dit d'une voix linéaire :
- Si Monsieur le Marquis veut bien me suivre, Monsieur le Comte l'attend parmi les nombreux invités déjà arrivés
- Merci Firmin. Je vous confie ces 2 chiennes. Allez les enfermer où bon vous semblera. Nous irons les faire chercher dans la soirée, pour s'amuser un peu ! Mais ne dite rien à Monsieur le comte, je veux lui faire une surprise. Et même que je lui offrirai soit la femelle soi le mâle comme cadeau d'anniversaire. Car c'est bien à cela que nous sommes invités, n'est-ce pas, à son anniversaire !!
...
Firmin se saisit des deux laisses et, laissant le Marquis d'Evans gravir le grand escalier de pierre qui menait au hall d'honneur du château, il entraîna les deux esclaves à l'écart.
Quittant le sentier de gravier qui blessait leurs genoux, il leur fit contourner l'angle de la noble demeure. Le majordome imposait un rythme soutenu aux deux chiennes qui se dandinaient à sa suite, tentant de ne pas provoquer d'à-coups.
Ils ignoraient tout de ce qui les attendait. Mais ils avaient été instruits de leur "mission". Le comte de Beusgley était un ami intime du marquis d'Evans et ils partageaient un goût affirmé pour le Statut de Maîtres. Ils étaient fiers de leurs harems et une amicale rivalité les opposait. A Celui qui saurait au mieux éduquer et façonner Son cheptel, afin de disposer des meilleur(e)s esclaves.
S'ils avaient été choisis, c'était qu'ils allaient devoir défendre L'Image de Leur Maître en se pliant à toutes les épreuves qui leur seraient imposées. Ils devraient tout accepter, tout subir, ne jamais rechigner quelles que soient les situations qu'ils devraient affronter. En cas d'échec, ils savaient que le pire les attendrait... Leur pire crainte, la plus terrible sanction qui les hantait étant de risquer d'être "répudiés" et définitivement chassés par Maître Sir Evans. De se trouver ainsi dépouillés de leur plus chère raison de vivre, de Celui qui avait su donner un vrai sens à leur insignifiante existence. Firmin les entraîna jusque dans un recoin du parc. Il n'avait rien dit, se contentant de les faire avancer à un bon pas, qu'ils suivaient comme deux bonnes chiennes bien dressées.
Là, un espace avait été dégagé, la pelouse était plus rase qu'alentour et plusieurs piquets avaient été plantés, à égale distance les uns des autres, environ deux mètres. A chaque piquet était fixé un gros anneau de fer où pendait une courte chaîne. Firmin s'arrêta devant le premier piquet.
Les deux esclaves demeuraient immobiles. Ils avaient appris à ne s'exprimer que lorsqu'ils y étaient autorisés et aucune instruction ne leur avait été donnée. Parler sans autorisation était toujours sévèrement puni. Même si aucune présence n'était décelable à proximité, ils gardèrent donc le silence. ils n'avaient qu'une seule volonté, celle de se montrer irréprochables, afin de se montrer dignes du choix de leur Maître. Ils n'eurent pas à attendre longtemps. deux silhouettes s'approchaient, venant du château dont ils apercevaient la puissante silhouette au-delà du rideau d'arbres qu'ils avaient traversé tout à l'heure jusqu'à cette aire d'attente. Les silhouettes se précisaient peu à peu. Un homme et une femme, nus... portant un seau. Ils portaient un épais collier de métal au cou et, au-dessus de leur pubis intégralement rasé, ils étaient marqués du sceau du comte de Beusgley. Des esclaves du comte...
La femelle alla vers E46MSE, tandis que le mâle s'arrêtait près d'E69MSE. Ils posèrent leur seau avec une parfaite symétrie, y plongèrent la main pour en retirer une éponge dégoulinante. Puis, ils se mirent en devoir de frotter le corps des deux esclaves enchaînés en ne négligeant aucune partie. Les seaux étaient remplis d'une eau qui avait été agrémentée d'un léger parfum dont s'imprégnaient progressivement les corps des esclaves de Sir Evans. E69MSE avait le sentiment que celui qui s'occupait de lui s'attardait avec insistance sur ses parties les plus intimes... Il ne doutait pas qu'E46MSE subissait le même genre d'attouchements. Les esclaves de l'hôte de Sir Evans profitaient de la situation pour leur imposer un petite épreuve supplémentaire... Mais cela ne dura pas. Déjà Firmin revenait... Sur un geste de Lui, les deux esclaves, tête baissée dans une attitude servile, reprirent leurs seaux et s'éloignèrent d'un pas rapide.
Le corps encore humide et parfumé... ils attendaient.
...
Cette position suite aux attouchements de lesclave du comte mit lesclave mâle en érection encouragé par la situation à laquelle il était exposé.
Au bout de dix minutes, en cette chaude nuit dété, ils entendirent des voix venant dun bosquet à une dizaine de mètres deux et ils distinguèrent un couple de jeunes gens visiblement amoureux qui sembrassèrent à pleine bouche avec toute lapparence dune excitation à saccoupler. Lhomme, à peine la trentaine avait déjà défait le décolleté de la fille et pelotait sa poitrine dune main vicieuse. Les esclaves comprirent vite quil sagissait de 2 amoureux qui avaient décidé de prendre du bon temps dans les jardins du château. La jeune femme dune 20 aine dannées environ aperçut les 2 chiennes attachées et sen approchait avec ironie, sans réajuster son décolleté, bien au contraire, elle laissait deviner une belle poitrine généreuse :
- Mais regarde Gérald, regarde qui voila !
- Mais ? Ce ne sont pas des esclaves de mon père, je ne les connais pas ceux là !
- Alors, à qui peuvent-il appartenir ?
- Je ne vois quun propriétaire pouvant venir ici avec ses esclaves, le grand ami de mon père, le fameux Marquis dEvans.
- Oui mais pourquoi, ils sont là ?
La jeune femme réfléchissait et enchaîna subitement - Ecoute on dirait quon les a mis là pour un bon moment et si on samusait un peu ! Jaimerai bien dominer ce chien de mâle
Regarde, il bande déjà
- Mouais .
- Oh merci Gérald ! Si tu veux, tu peux toccuper de cette femelle
La jeune femme retourna alors rapidement vers les buissons et revenait avec un air pervers et sadique, et tenait dans sa main son mouchoir qui contenait un branche dortie. Elle sapprocha dE69MSE et sans préambule lui fouetta les couilles, et la verge bandée, à coups dortie. Celui-ci ne pu réprimer un cri de douleur subite et instinctivement referma les cuisses.
- Ecarte tes jambes, sale chien, lui ordonna la jeune femme sur un ton autoritaire en brandissant lortie.
Le mâle qui déjà était plein de boutons rouges dû à lurtication écarta alors de nouveau les cuisses avec une crainte non dissimulée. Son appareil génital était enflammé et paradoxalement la bite de ce chien ne sétait pas dégonflée, bien au contraire.
- Mais cest que ça le fait encore plus bander, sexclama la femme ! Attend, je vais te punir pour cela !
Puis elle sortit de son sac un énorme god en disant très vicieusement et droit dans les yeux effrayés de lesclave :
- Jadore que Gérald mencule et jai lhabitude de me goder en même temps, jai donc tout ce quil faut dans mon sac ! ha ! ha ! ha !
Et elle se positionna derrière lui et retira le plug de lanus de lesclave, puis elle enfila dun coup sans aucun ménagement le god qui senfonça profondément sans difficulté, le passage étant déjà fait par le plug.
Le god démesuré emplissait profondément le cul d'E69MSE dont l'anus n'avait jamais subi un tel calibre... Mais la douleur engendrée n'était rien à côté de la terrible irritation provoquée par les orties sur ses parties intimes.
L'esclave n'aurait jamais cru qu'une aussi jeune femme pouvait se montrer si perverse, ni si cruelle. Pourtant, ayant goûté à ce dont Elle était capable il demeurait aussi immobile que possible, les cuisses largement ouvertes, tandis que La Jeune Femme tournait autour de lui, les yeux rivés sur ce corps martyrisé dont la souffrance ne s'exprimait que par le léger tremblement qui l'agitait doucement...
A deux mètres de là, Gérald s'était penché sur la femelle E46MSE... Tirant sur ses cheveux, Le Jeune Homme l'avait obligée à relever la tête vers Lui. La maintenant toujours ainsi, il avait écarté ses lèvres de son autre main et passait son doigt sur l'émail parfaitement lisse des dents de la femelle :
- "Mmhhh Sir Evans est toujours aussi exigeant sur l'hygiène de ses esclaves... Tes dents sont parfaites et tes cheveux ont été bien lavés et lissés. Tu es une jolie chienne"
disant cela, Il relâcha les cheveux et se redressant vint se positionner derrière la soumise.
Tandis que sa jeune compagne engodait le cul d'E69MSE, Gérald s'agenouilla derrière la femelle. Il enfonça son pouce dans le cul d'E46MSE, tandis qu'il poussait son sexe déjà bien dur entre les cuisses de la femelle qu'il commença à baiser brutalement.
Tout en la baisant, il enleva le plug qui obstruait son cul et enfonça les doigts de sa main gauche dans son cul qui s'écartait de plus en plus tandis que de son autre main, il commençait à la fesser violemment.
Docile, E46MSE gardait ses cuisses bien ouvertes, offerte comme la chienne qu'elle avait appris à être en toutes circonstances. Et son cul déjà largement ouvert subissait l'assaut de plusieurs doigts qui l'écartaient et la fouillaient ...
Gérald se retira rapidement de l'esclave, mais il poursuivit le travail implacable de son cul... Les doigts s'enfonçaient, deux... trois... l'anus s'élargissait peu à peu....
Tout près de là, La Jeune Fille se tenait debout devant E69MSE... écartant les jambes, elle commença à pisser sur l'herbe, à quelques centimètres seulement du mâle dont l'entrecuisse était devenu brûlant sous l'action urticante des orties. La brûlure était telle qu'il en oubliait presque le god qui lui déchirait l'anus...
Le filet de liqueur dorée finit par se tarir, laissant une large flaque dans l'herbe fraîche.
La Jeune Fille se pencha alors :
- "Tu vois esclave... Je sais aussi être douce. J'imagine que tu dois avoir soif, alors je t'offre de quoi te désaltérer" et elle éclata de rire.
Nul besoin de rajouter quoi que ce soit. E69MSE avait compris, il pencha la tête et commença à laper la flaque devant lui. Sans oser bouger la tête, il entendit un gémissement venant du côté d'E46MSE...
Gérald venait d'enfoncer sa main tout entière dans l'anus de la soumise et il la fistait sans ménagement.
- " Tu t'amuses bien mon chéri ?" demanda la voix un peu nauséeuse de La Jeune Fille.
- "Mmhh cette pute a le trou déjà bien formé, on sent qu'elle a été bien formatée !
On est jamais déçu avec les esclaves de Sir Evans, mon père le dit toujours, même s'il est toujours en compétition avec son ami"
- "tu sais (dit La Jeune Fille) je crois qu'on devrait y aller, ils vont finir par se demander où nous sommes passés"...
Gérald retira brusquement son poing, mais cette fois, E46MSE parvint à retenir toute manifestation.
- "Oui, tu as raison... Retournons à la fête. De toute façon, on aura encore l'occasion de s'amuser, la nuit ne fait que commencer".
Les deux jeunes gens arrangèrent leur tenue et Gérald, sortant un mouchoir immaculé de sa poche essuya l'entrecuisse et le cul de la femelle, avant de s'en servir pour essuyer la bouche du mâle. Dans le même temps, La Jeune Fille retirait le god du cul d'E69MSE et y replaçait le plug, faisant ensuite de même pour E46MSE.
- "Restez bien sages les putes... On va se revoir très vite"
Et ils s'éloignèrent en riant vers la demeure, laissant les deux esclaves exténués par cette inattendue entrée en matière...
Le temps paru long avant que lon vienne les chercher. Une heure peut être se déroula quand Firmin et Walter arrivèrent dun grand pas. Sans dire mot, ils détachèrent les 2 chiennes esclaves et les tirèrent par la laisse en direction du château. La femelle grelottait un peu de froid et les frissons du à la fraîcheur de la nuit emplissaient le mâle, malgré une nuit estivale à 24 degrés. Une fois arrivés dans limmense salle de réception, ils furent surpris du spectacle qui soffrait devant leurs yeux. Il y avait effectivement placé au milieu de la grande pièce 2 autres esclaves de Sir Evans. Comment étaient-ils arrivés ici ? Ni E46MSE ni E69MSE auraient été capable de le savoir, mais ils étaient bien là, et même quil étaient dans une position très inconfortable, car ces 2 autres esclaves du marquis étaient debout, les bras attachés, écartés, levés et étirés vers le haut à de grosses chaînes solidement reliées à une énorme poutre de chêne. Les jambes, idem étaient écartées, liées à des anneaux de métal scellés au sol. Ils étaient nus et semblaient avoir été fouettés vu les traces évidentes sur les épaules et le dos. Ils neurent aucune peine à reconnaître les 2 esclaves mâles du cheptel du marquis, il sagissait de E12MSE et E22MSE. Tout autour deux, une cinquantaine dinvités tous bien toilettés vu les belles robes et les beaux smokings. Il y avait de chaque côté des esclaves, 1 homme debout sur une chaise de manière à que leur braguette ouverte soit au niveau de la bouche des esclaves immobilisés debout. Leur sexe sorti, ils étaient en train de se faire sucer. E12MSE et E22MSE avaient les yeux bandés et sactivaient du mieux quils pouvaient à pomper, pour chacun deux, la verge raidie qui envahissait leur bouche à grands coups de butoir. Du sperme coulait le long de leur bouche et de leur cou.On avait donc déjà éjaculé dans ces « 2 réservoirs à sperme ». Les hommes défilaient ainsi à la « chaîne », à la queue leu leu pour se faire pomper. Un homme montait de chaque côté, un par esclave, il se faisait sucer et à peine avait-il déchargé dans la bouche de la lope, quil redescendait et un autre prenait sa place et ainsi de suite Une longue file dattente devant chaque chaise se pressait. Au total il devait y avoir encore une quinzaine dinvités à chaque file dattente qui attendait leur tour en se branlant pour certain. Pendant ce temps là, derrière les deux lopes qui suçaient avidement, il y avait deux femmes qui sétaient positionnées, gode en main et sodomisaient les deux chiens ainsi attachés à grands coups de gode, pendant que lautre branlait vicieusement la queue d E12MSE et E22MSE
Les autres femmes invités étaient dans les immenses fauteuils et robes relevées, elles se masturbaient devant ce spectacle
Parmi les rares spectateurs accoudés au bar, il y avait le comte de Beusgley et le marquis dEvans en train de savourer un bon whisky glacé. Le compte se retournait et dit dune voix vive :
-Ah Firmin, Walter ! Vous voila
Mais quest-ce ???
- Cest pour toi, répondit le marquis dEvans, je sais que depuis une semaine, depuis que je tai prêté les 2 mâles E12MSE et E22MSE.je sais que tu apprécies leur obéissance. Alors je me suis dit :
« - Comme ce soir, il était convenu que je ramène ces 2 chiennes attachées (il montrait E12MSE et E22MSE) et si comme cadeau danniversaire, je lui offrait un de mes esclaves ! Alors je tai apporté ce couple, tu vas les tester ce soir et au final, je te laisserai choisir ton cadeau parmi cette belle femelle E46MSE ou ce beau mâle très docile aussi E69MSE.
- Hummm ! Japprécie mon cher Edouard, répliqua le comte. Quon approche cette femelle et ce mâle
Firmin tirant sur la laisse d'E46MSE et Walter sur celle d'E69MSE firent positionner les deux esclaves. Toujours à quatre pattes, ils durent se tourner afin de présenter leurs postérieurs plugués au comte de Beusgley et au Marquis d'Evans.
Ce dernier savourait son whisky tout en appréciant l'ensemble parfait avec lequel les deux esclaves s'étaient positionnés avec la plus absolue docilité. Le Marquis d'Evans tenait à ce que Ses esclaves se comportent sans la moindre faute, que leur attitude incarne toute l'excellence du dressage qu'il prodiguait quotidiennement à son cheptel.
L'arrivée inattendue de la femelle E46MSE et du mâle E69MSE n'avaient pas manqué d'attirer l'attention de plusieurs des invités...
Ils s'étaient regroupés en cercle, à distance cependant respectueuse des deux Maîtres auxquels ils tenaient à marquer leur déférence. Tous les regards étaient posés sur les deux esclaves qui attendaient, immobiles à quatre pattes, cuisses largement écartées afin d'offrir la meilleure vue sur les plugs qui occupaient leurs anus respectifs.
Le comte claqua simplement des doigts et Firmin, parfaitement au courant des habitudes de son seigneur, se pencha et d'un coup sec retira les plugs... Elargis depuis des heures par ces instruments (et, mais cela était "secret", bien travaillés par les jeux de Gérald et de son Amie), les culs des deux esclaves se présentaient comme deux beaux trous parfaitement offerts.
Le Comte, dans un mouvement lent et parfaitement étudié, descendit du tabouret sur lequel il trônait... Il se pencha sur la croupe de la femelle E46MSE et passa sa main entre les cuisses de celle-ci... Il avait enfoncé un pouce dans l'anus et de ses autres doigts, s'immiscait dans la chatte déjà fort humide.
- "Cette putain mouille comme une vraie chienne en chaleur", dit-il d'un ton satisfait et poursuivit :
- "C'est une bonne salope, il est vrai que je n'ai jamais été déçu par le bétail présenté par mon si cher ami Sir Evans"
Le Marquis le salua en tendant son verre de cristal vers le haut... et répondit sur le même ton :
- "Pour vous cher comte, je ne saurai présenter autre chose que le meilleur. Je sais votre goût pour l'utilisation intensive des esclaves... Ceux-ci se doivent donc de pouvoir combler toutes les perversions qu'il pourrait Vous plaire de leur infliger. Ces deux là accepteront tout, subiront tout... usez-en et z-en... Je suis curieux de découvrir la façon dont vous les avilirez. Vous seul sans doute savez encore me surprendre".
Les deux Maîtres échangèrent un clin d'oeil et les rangs des invités frémirent à l'excitation de ce qui allait bientôt consti l'attraction de la soirée...
Le Comte tapa sèchement dans ses mains. Immédiatement, tous les invités vinrent faire cercle autour de Lui. E46MSE et E69MSE se tenaient toujours à quatre pattes aux pieds du Comte et de son ami Le Marquis d'Evans.
Tandis que les derniers invités se rapprochaient, ils ne remarquèrent pas le petit groupe de serviteurs musclés qui entraient dans la vaste salle de bal par une porte dérobée. Les hommes au corps travaillé et huilé ne portaient qu'un léger pagne.
Rapidement et sans bruit, ils dégagèrent les deux esclaves mâles de Sir Evans et soutenant E12MSE et E22MSE, les mirent à quatre pattes pour les faire avancer vers l'attroupement.
Rompant les rangs compacts des invités, ils firent mettre les deux esclaves en rangs avec les esclaves 46 et 69. Ainsi, les quatre esclaves de Sir Evans étaient regroupés et présentés au regard curieux de tous les convives.
Les deux Nobles Seigneurs tournaient autour d'eux en les observant :
- "J'ai vraiment été très satisfait du service de ces deux putains mâles mon cher Marquis", dit le Comte en désignant 12 et 22... "Ils ne rechignent pas et sont plutôt endurants, même si je suis parvenu à en tirer quelques suppliques" poursuivit-il avec un sourire carnassier...
- "Vous savez que j'apprécie toujours vos commentaires mon cher Comte et je ne manquerai pas de recadrer leur dressage en fonction de vos commentaires éclairés", répondit le Marquis d'Evans... "ma proposition demeure, avez vous une idée de l'esclave qu'il vous plairait de conserver comme cadeau d'anniversaire ?"
- "Eh bien", répliqua le Comte, "figurez vous cher ami que j'ai une petite idée qui devrait nous divertir et me permettre d'éclairer mon choix. Allons !" Il fit un geste pour exiger que la presse des invités s'écarte afin de lui laisser plus d'espace.... "J'ai imaginé quelques... jeux... Des joutes dirais-je, qui vont opposer ces quatre chiennes. Il y aura trois épreuves, à chacune d'entre-elles, une chienne sera éliminée, je conserverai la dernière qui restera afin d'en jouir sans limites, puisqu'il s'agira du cadeau de mon très cher ami ! Quant aux trois autres, eh bien... Ils vous divertiront tout au long de la nuit, mes amis ! Mais en attendant la première épreuve, venez donc tâter un peu la marchandise mes amis !"
Une salve d'applaudissements accueillit ce bref discours, sous le regard satisfait du Comte et du Marquis, tous deux satisfaits de l'enthousiasme qui semblait animer les invités et promettait une soirée fort active. Déjà, les invités se pressaient autour des quatre esclaves qui se tenaient immobiles, à quatre pattes... ce n'était que doigts qui fouillaient et mains qui palpaient, pelotaient... Aucun orifice n'était négligé, on écartait les cuisses afin d'avoir un meilleur accès aux sexes et les commentaires créaient un véritable brouhaha.
Tandis que les invités s'attardaient ainsi autour des quatre jouets de la soirée, l'équipe de serviteurs musclés organisait la pièce.
Trois piloris avaient été disposés sur un côté de la pièce... l'installation sur laquelle les esclaves 12 et 22 avaient été utilisés avait été débarrassée et à la place étaient en cours d'installation divers éléments formant comme un parcours d'obstacles, avec de petites haies de cactus, des barres, des cônes de signalisation, etc. A un bout de la pièce, tout au fond de ce parcours, avaient été disposés quatre os à croquer pour chiens...
le Comte tapa à nouveau dans ses mains afin de calmer quelque peu l'assistance qui se prenait au jeu des pelotages et commençait à dépasser toutes les limites en abusant déjà de tout ce que ces esclaves dociles pouvaient leur offrir... Mais l'autorité du Comte ramena rapidement le calme...
- "Mes amis, mes amis... Vous aurez tout le loisir d'user et d'r de ces chiennes tout à l'heure. Mais l'heure est venue de les tester". Il pointa le bras vers le parcours qui avait été installé... "Ces quatre esclaves vont devoir effec un parcours d'obstacles qui les mènera jusqu'à l'autre bout de cette salle. Là, ils devront prendre leur os en bouche, puis refaire le chemin à l'envers sans lâcher l'os, jusqu'à la ligne d'arrivée. pour corser le jeu, je vais vous fournir des paniers de fruits abimés que vous pourrez jeter sur eux, afin d'avantager votre favori... le dernier arrivé sera éliminé et mis au pilori, tandis que les trois autres passeront à l'épreuve suivante. A la fin il ne doit en rester qu'un... ou une, qui sera mon cadeau d'anniversaire".
Une salve d'applaudissements vint ponc ces explications tandis que déjà, les invités se plaçaient tout au long du parcours et que des serviteurs venaient prendre en laisse les quatre chiennes afin de les mener jusqu'à la ligne de départ.
Ils furent ainsi placés dans l'ordre de leur matricule d'esclaves de Maître Sir Evans : 12, 22, 46 et 69... Installés à quatre pattes, libérés de leur laisse, mais portant toujours au cou un large collier de cuir noir clouté, ils étaient chacun flanqués d'un serviteur.
Sur un geste du Comte, ces derniers brandirent un instrument un peu étrange... Se penchant chacun vers l'un des esclaves, ils enfoncèrent tous dans un geste parallèle le plug qu'ils avaient brandi dans les culs des esclaves. Le plug s'enfonçait parfaitement dans les anus déjà bien travaillés... Mais en plus ils se terminaient par un joli faisceau de lanières faisant à chaque esclave une belle queue, rouge pour l'esclave12, verte pour l'esclave22, rose pour l'esclave46 et bleue pour l'esclave69. Ainsi, chacun serait encore plus facile à reconnaître pour l'assistance qui lorgnait avec envie vers les nombreux paniers garnis de fruits blets ou moisis qui avaient été parsemés tout au long du parcours...
Le Comte et le Marquis d'Evans s'installèrent sur deux Hauts fauteuils qui dominaient la salle, tandis que le public très excité garnissait tout un côté de la salle.
Les quatre esclaves, leurs reins cambrés faisant saillir la queue qui garnissait leurs culs attendaient maintenant l'ordre de départ...
(A suivre...)
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