Bonne Journée Ma Chérie
Je suis pliée en deux sur la table. Mes genoux me lancent un peu : mes chevilles, attachées aux pieds de la table, mes tirent les jambes en avant, et tendent dautant plus mes fesses en arrière. Mes bras, tendus devant moi, sont liés par les poignets, eux-mêmes attachés ailleurs. Je ne peux pas bouger. Je ne peux que rester présentée ainsi, passive. Réceptacle. Soumise.
Ma tête est, elle, tirée en arrière. Mon collier est attaché à une chaîne qui sachève par un crochet en métal, logé dans mon anus. La chaîne, tendue au maximum, me force à garder la tête relevée si je veux respirer. Parfois je fatigue, je me relâche. Je métrangle vite, et arque de nouveau le cou.
Mes fesses sont brûlantes. Mon dos aussi. Mon maître vient de me fouetter au martinet. Jaime lodeur du cuir, jaime le son de ces lanières qui me claquent la peau, et jaime cette sensation brutale, cette douleur qui irradie autour des coups. Jaime quil me fouette. Cela me rappelle que je lui sers à ce quil veut, pas seulement le plaisir. Ma douleur est à son service aussi.
Ce matin, il ma fouettée de manière à ce que je men souvienne toute la journée. Peut-être même un peu plus, à vrai dire. Je sens ma peau qui chauffe. Il est allé me fouetter jusque sur les cuisses, les mollets. Sous les coups, pourtant jamais violents, mes jambes ont parfois cédé, et je me retrouvais retenue seulement par les poignets. Je peinais pour reprendre mon équilibre, les chaussures à talon haut se dérobant parfois sous moi, mais toujours je revenais. Je veux que rien nempêche mon maître de me soumettre à sa volonté.
Cest la quatrième fois cette semaine que la journée commence ainsi. Nous nous réveillons une heure plus tôt que dhabitude, afin quil ait le temps de mutiliser avant que je parte au travail. Les deux premiers jours, il ne sétait occupé que de mes seins. Pincés, frappés, malaxés, puis pressés ensemble pour quil sen serve pour se faire jouir, sur ma gorge.
Hier et aujourdhui, cétait, littéralement, pour mon cul. Cétait lui qui avait subi les plus durs coups de fouet, cétait lui qui était tiraillé par ce crochet logé dans mon anus. Aujourdhui, nouveauté, ledit croché était terminé dune boule. Je le sentais donc encore plus bouger lorsque mon cou se relâchait et tirait de plus belle sur la chaîne. La veille, il avait terminé en me garnissant dun rosebud terminé par une queue en crin de cheval, qui sarrêtait quelques centimètres plus haut que lourlet de ma jupe. Javais passé la journée sans avoir le droit de lenlever. Je ne crois pas avoir eu une seule pensée cohérente après trois heures de laprès-midi.
Ouvre la bouche.
Jouvris grand. Il glissa entre mes dents la poignée du fouet, en travers, pour que je le tienne pendant quil ne sen servait pas. Je le serrai délicatement entre les dents, soulagée que les coups sinterrompent. Javais passé toute la matinée de la veille à trouver des excuses pour me lever de mon siège, tellement mes fesses chauffaient. Une deuxième séance narrangerait rien à laffaire.
Je sentis mon maître tirer sur la chaîne qui reliait mon collier à mon cul. Quelques petits mouvements, souples, pour agiter le crochet au fond de moi. Je lâchai un râle.
Car bien sûr, pour le quatrième jour consécutif, il ne soccupait pas du tout de mon sexe. Et si la douleur mexcite, si lhumiliation mexcite, si le fait de passer deux jours à sentir lodeur du sperme de mon maître maccompagner mavait fait vaciller les genoux à quelques reprises, je navais toujours pas joui. Quatrième jour consécutif
je métais sentie mouiller dès quil mavait plaquée sur la table.
Pour lheure, il détacha la chaîne de mon collier. Ma tête retomba presque aussitôt en avant, soulagée de cette libération. Puis il retira le crochet de mon cul, qui noffrit guère de résistance.
Mais non. Je sentis son sexe presser contre mon anus ainsi dégagé. Enfin ! Il allait me prendre. Et par expérience, je savais très bien quil pouvait me faire jouir par le cul. Mon anus souvrit volontiers pour le laisser entrer
mais il ne glissa en moi que son gland. Puis, quelques secondes après, je sentis une série de coups légers et rapides contre mes fesses. Croyant dabord à une nouvelle fessée, je serrai les dents
mais non, ce nétaient pas des coups. Alors
la lumière se fit, bien sûr. Il avait glissé le gland dans mon cul et se masturbait en moi. De mon côté, immobilisée comme je létais, je ne pouvais que subir cette utilisation, et sentir les légers mouvements quil imprimait à son gland. Encore une fois, de quoi mexciter, mais pas me satisfaire.
Quelques minutes plus tard, je le sentis jouir. Il se retira et remplaça vite son gland par un rosebud
sans doute le même que la veille.
Voilà. Aujourdhui plus que jamais, tu es une vide-couilles. Bonne journée au bureau.
Il me détacha, me donna mes vêtements et mamena mhabiller sur le palier.
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