L'Histoire Érotique Devient Une Aventure Réelle : Épisode 2


Episode 2

Fanny a quitté le train, je la regarde partir au loin, le pas pressé, sans se retourner. Moi je reste immobile sur mon siège et je peine à comprendre ou plus exactement à réaliser ce que je viens de vivre. Pendant les 10 minutes du trajet restant, j’ai compris une chose qui changera ma vie, j’ai découvert l’importance des mots et de l’érotisme dans une sexualité. Mieux, j’ai rencontré une femme qui comme moi a envie de vivre, de réinventer sa libido sans se soucier du « quand dira-t-on » ou du jugement de son partenaire. L’instant d’un trajet de train nous avions oublié toute retenue pour se concentrer sur notre excitation et nos désirs.
Mon train arrive en gare, je me hâte de regagner mon appartement, dépose mes affaires négligemment sur le sol, puis épuisé par tant d’émotions je m’affale sur mon canapé. Je reste alors là, immobile le regard et l’esprit vides peinant à réaliser ce que je venais de vivre. Je glisse alors ma main dans ma poche et retrouve le string encore humide de Fanny. Ses derniers mots résonnent alors dans ma tête : « ce soir fais toi jouir en pensant à moi, comme je l'ai fais hier en lisant ton histoire. ». Je suis très excité, l’odeur du sexe de Fanny est encore présente sur ma main, comme un rappel du moment fabuleux que je viens de vivre. J’ai envie de prendre mon temps, comme pour honorer mon amante du cadeau qu’elle m’a laissé. J’éteins la lumière et enflamme deux bougies que je pose sur ma table basse. Je prends alors le string, puis le porte délicatement à mon visage. Je sens son odeur, je l’imagine, face à moi. Je suis sur le dos, nu, elle porte des bas et un porte-jarretelles en dentelle noir, le même que celui que j’ai pu observer quelques minutes lus tôt. Elle écarte les cuisses, m’enjambe au niveau de ma taille, remonte peu à peu puis après un baiser langoureux prend mes mains, les plaque derrière ma tête avant d’offrir son intimité à ma bouche. Entre deux mouvements de bassin de mon amazone, je vois son visage rougi par l’ivresse du désir.

J’imagine également ses petits seins dressées se balancer langoureusement. Doucement je descends ma main de mon torse à mon ventre avant de prendre mon sexe en main. Tout en restant dans mon rêve je commence à le caresser, je sens ma verge chaude sur mon abdomen, l’excitation provoque de petits spasmes qui coupe ma respiration. La main à plat je remonte doucement de mes bouses à mon gland, imaginant la langue humide et le souffle chaud de Fanny. Je commence alors à me masturber tout en m’enivrant de l’odeur de cyprine de mon amante virtuelle. Je ne sais pas comment expliquer ce moment, mais je la sentais sur moi, mon esprit était comme en transe, ne faisant plus la différence entre mon imagination et la réalité. Je ferme les yeux, sens alors mon sexe se dresser avant d’être comprimé. Je pénètre Fanny, je perçois la chaleur de son ventre, je vis les vas et viens de ses seins sur ma peau, je m’étourdis de son parfum jusqu’ à l’extase. Mon corps se dresse alors brusquement, l’espace d’un instant qui me semble alors une éternité mon diaphragme se bloque, la bouche grande ouverte je cherche à reprendre ma respiration quand enfin dans un grand cri de jouissance j’arrive finalement à trouver mon souffle. Toujours les yeux fermés, je sursaute alors que ma semence s’écoule par à-coups sur mon torse puis mon ventre. Perdu dans ma confusion, j’ose ouvrir les yeux que plusieurs minutes plus tard. Je suis seul dans mon salon, les murs baignés par la lumière oscillante des bougies. Aujourd’hui encore j’imagine ce plaisir solitaire comme notre premier rendez-vous, comme si j’avais attendu qu’elle parte pour ouvrir les yeux. La nuit qui a suivit je n’ai cessé de penser à elle. Qui est-elle ? Que fait-elle ? Je me demandais si elle pensait à moi puis dans un élan de doute je me posa LA question : est-elle en couple ? C’est alors que tout devint confus, entre l’envie de transgresser l’interdit et la morale quelque peu puritaine qui m’avait été inculquée dans mes jeunes années. C’est donc avec la volonté farouche d’avoir une réponse à ce cas de conscience que je trouva tardivement le sommeil.

Le lendemain matin je passe un temps inhabituel dans la salle de bain afin de me parer des artifices nécessaires à un jeu de séduction. C’est avec une sensation tentée d’appréhension et d’impatience que je gagna mon train, mais alors que mon cœur battait avec fougue à l’arrivée de la gare de Fanny, ma douce inconnue n’était pas au rendez-vous. Je ne sais pas comment décrire ma réaction j’étais déçu, triste même, puis je senti un grand soulagement, comme si le destin avait mis fin à histoire trop compliquée à assumer. Je retrouve alors la monotonie de mon travail, me pose devant mon pc et consulte mes mails. Je suis intrigué par un message d’une adresse inconnue avec pour titre « Et si on continuait ? ». J’ouvre avec anxiété le message.
« Chère Stan, tu seras peut être étonné de lire mon message, mais je tenais vraiment à t’écrire pour te parler de notre aventure d’hier soir… »
Je stoppe ma lecture étonnais que Fanny ai connaissance de mon mail, puis comme une évidence je me rappelle du bout de papier sur lequel j’avais écrit la veille la suite de mon histoire. Pris par l’exaltation ou simplement par étourderie j’avais utilisé un papier à entête où figurent non seulement mon nom mais également mon numéro et mon courriel professionnel. Je continue alors la lecture du message.
« Il m’ai difficile d’expliquer ce que je ressens, mais voilà pour faire simple j’ai beaucoup aimé ce qui s’est passé. J’ai envie, si tu veux bien, de continuer notre jeu. Je suis à mon travail demain après midi, je suis seul dans un bureau donc si tu veux tu peux m’écrire à ce mail, je pourrais le lire sans difficulté. J’espère avoir une réponse de ta part ». Elle ne me boudait donc pas, si elle n’avait pas pris le train c’est simplement parce qu’elle ne travaillait pas. Dès la fin de ma pause déjeuner je lui envoie un premier mail succin « Excuse moi d’être direct, mais j’ai envie de savoir si tu as un homme dans ta vie et comment vois tu la suite ? ». Après avoir envoyé le message je me suis demandé si ce ton sérieux n’allait pas brusquement stopper l’érotisme de notre « première fois ».
A peine cinq minutes plus tard elle me répond : « Je n’ai pas d’homme dans ma vie, en fait je n’ai pas vécu beaucoup d’expériences. Je ne sais pas pourquoi mais avec toi je me suis abandonnée, j’ai osé ce qu’avant j’avais peine à imaginer. J’ai simplement envie de vivre des choses, que tu me demandes l’inavouable, j’ai envie d’avoir une seconde vie pleine de désir et me sentir être une femme épanouie. ». A la lecture de ce message je me suis senti soulagé, comme si destin m’ordonner de foncer. Durant plusieurs minutes on échange des messages assez sages, puis je lui demande où elle travaille. Elle était tout comme moi une « administrative », en charges de la gestion immobilière de la mairie. Je décide donc de finir un peu plus tôt et d’aller la surprendre à son bureau. A l’accueil je me présente et demande maladroitement « je suis désolé mais j’ai rendez-vous pour visiter la salle des congrès avec Madame… j’ai oublié son nom, mais je me souviens de son prénom, c’est Fanny, enfin il me semble ». Mon stratagème à fonctionné et la secrétaire très gentiment me répond : « oui, il s’agit de Melle Dubernard, je la préviens de votre arrivée… », je coupe alors la parole lui demandant de simplement m’indiquer son bureau. Le souriante fonctionnaire me renseigne alors avec un sourire me faisant comprendre qu’elle avait deviné la supercherie. J’arrive face à la porte du bureau de Fanny, je frappe et attend qu’elle m’invite à entrer. En me voyant elle rougit puis sursaute à la vue d’une collègue qui passe devant son bureau. Elle se lève et d’une voix forte à destination de la curieuse me lance « bien Monsieur, suivez moi je vais vous montrer nos infrastructures ». Elle me prend le bras et nous nous retrouvons dans l’ascenseur. Je commence à l’embrasser fougueusement, puis nous sortons au premier arrêt, avant de s’engouffrer dans la salle la plus proche. Il s’agit d’une salle de réunion, le planning est affiché sur la porte et y indique qu’elle n’est pas occupée de la journée. Je m’assois sur une chaise et demande à Fanny de me faire face.
Je la regarde tout en la tenant par les hanches. Elle est debout face à moi un peu gênée, je lui demande alors d’ôter doucement ses vêtements un par un. Elle se tourne alors brusquement vers la porte, la ferme à clef avant de se remettre face à moi. Le regard vers le sol, elle commence par enlever ses talons puis ôte son chemisier blanc, je découvre alors un petit soutien-gorge blanc avec des motifs de fleurs en dentelles blanches et roses. Elle continue son striptease en tombant son pantalon noir. « Doucement, vas-y doucement ». Elle le fait glisser sensuellement sur ses cuisses. Elle commence à prendre plaisir à se dévêtir, elle me lance un regard complice et avec ses main continue à descendre son pantalon tout en se déhanchant. Elle porte un collant noir assez transparent et en dessous une culote à l’aspect satinée et aux motifs assortis à son soutien-gorge. Je la prends par la main et la fais assoir sur mes genoux dos à moi. Je lui caresse les seins et rapidement sens ses tétons se durcir entre mes doigts. Je la colle à moi, j’explore son corps fin avec mes mains, me concentrant sur sa respiration, l’odeur de sa peau. Je l’embrasse dans le cou, doucement, puis remonte le long de sa nuque. La sensation de mon souffle dans son oreille la fait transir. Avec sa main gauche elle prend ma tête pour m’inciter à continuer tandis qu’avec sa main droite elle s’agrippe à mon buste pour commencer à frotter son entre-jambes sur mon sexe déjà dure. A mon tour je la prends par la taille, la plaque sur ma queue excitée, avant de la balancer d’avant en arrière. Ce simulacre de coïte fait rapidement monter la température. Tour en continuant à se frotter l’un à l’autre je fais glisser mon pantalon puis mon caleçon jusqu’à mes chevilles. Fanny tourne sa tête vers moi et entame un large sourire. Elle se lève prend mon sexe puis le dépose entre ses fesses avant de se rassoir dessus. Le buste en avant et les mains fermement agrippées au siège, elle me masturbe avec une sensualité incroyable. La sensation du nylon sur ma peau est fabuleuse, mon phallus écrasé par le poids de son corps est bercé entre son vagin et son anus, provoquant au plus profond de moi un plaisir intense. J’ai l’impression de revivre mon rêve. L’excitation est telle que je n’ai qu’une envie : la prendre sur le bureau. Je résiste ou plutôt je me laisse gagner par le plaisir d’attendre. Je suis confortablement adossé au siège, mes mains accompagnent ses vas et viens. J’assiste à ce spectacle torride, alors qu’elle toujours la tête tournée face à moi se délecte de me voir en extase. Elle me lance « tu aimes ?». Si j’aime ? Je deviens fou. « Oui continue, tu est vraiment incroyable, branle moi avec ton cul !». Alors que je me surprends de cette audace verbale elle répond par une incroyable excitation : « ouiiiiiii ». Je me relâche complètement laissant mon amazone me chevaucher frénétiquement. « Vas-y, continue !», « Frotte toi à moi ! », « Branle-moi !». A chaque ordre elle me répond avec toujours plus d’ardeur. Ivre de plaisir et de désir, Fanny s’abandonne totalement. Lors des contacts de son clitoris sur mon gland elle ralenti son mouvement, cambre ses reins puis esquisse un doux gémissement aigu. Elle mouille tellement que son le collant est trempé dégageant une odeur forte qui envahit la salle. Ce mélange de parfums de transpiration, de mouille de sexe d’homme, créé une atmosphère indécente. Je me lève et fini de me mettre nu. Je prends ce petit bout de femme dans mes bras et la pose sur la table, assise face à moi. Après lui avoir décroché son soutien gorge, je déchire avec fougue son collant avant de l’en débarrasser totalement. Fanny est assise toute droite au bout de la table, je la colle à moi et l’embrasse. Durant plusieurs minutes, nos langues se mélangent, s’entrechoquent, je découvre enfin le gout de sa salive. Comme de jeunes amants nous nous tenons nos visages, pendant que je caresse son clitoris durcis avec mon sexe à travers sa culotte. Je tiens alors ferment sa courte chevelure, et tire sa tête en arrière. Elle se cambre, m’exhibant ses seins luisants de sueur. Je lèche sa bouche, puis descends jusqu’à sa chatte légèrement velue. J’hume son parfum, et caresse mon visage sur la douce culotte. Je la prends en bouche avec les dents et tout en fixant Fanny droit dans les yeux, je longe ses jambes avant de jeter à terre son dessous souillé. Je me relève, Fanny se jette à mon cou, ses bras m’enlacent, elle embrasse ma poitrine, suce mes tétons. Ses mains se perdent dans mes cheveux alors que sa langue parcours le creux de mon oreille. Je prends mon sexe en main et commence à me masturber sur son vagin. « Oui…Oui… C’est bon ». Je continue un peu, fais tournoyer mon gland rougir par les longs échanges corporel sur sa chatte. Je le présente à l’entrée de son vagin, l’introduit que légèrement, avant de stopper mon geste. Comme pris de tétanie, mon corps est alors envahit d’une chaleur incroyable, ma respiration devient difficile et je ne peux retenu un cri. En totale osmose Fanny me regarde fixement ouvre grand la bouche sans qu’un son n’en sorte, son ventre se creuse puis alors que je retiens mon sexe, hurle un grand « oui », en penchant sa tête en arrière, le regard perdu vers le plafond. Elle se penche en arrière et pose son corps sur ses coudes. J’admire son corps, la caresse de mon regard, m’émerveille devant ses fières petits seins, m’émeus face à son doux visage totalement relâcher. Je sorts mon sexe et continue de la pénétrer un peu plus profondément à chaque fois. Chaque coup de reins de ma part, nous procure une exquise jouissance, jusqu’à je sois complètement en elle. Nos ébats continuent puis elle se relève vers moi et toujours en prenant ma nuque avec sa main me demande « prends-moi sur le sol ». Elle se lève et s’allonge dos sur la profonde moquette bleue. Je la regarde quelques instants, les jambes écartées, sa chatte velue trempée de mouille, dans l’attente d’être prise. Je m’allonge sur son corps et d’un coup brusque en prend possession. Collé l’un à l’autre, débute alors un ardent échange de cris et de gémissements. Je sens monter ma semence mais en ralentissant le rythme j’arrive à retarder l’échéance. « Je vais pas tarder à jouir, je veux que l’on termine ensemble ». Fanny m’embrasse et me répond « d’accord ». « Je veux que l’on se voit pendant ce moment. Lève toi et montes-moi dessus ». Je me mets alors sur le dos, Fanny m’enjambe, prend mon sexe trempé et délicatement s’assois dessus. Je prends sa main et lui dépose sur son clitoris. « Vas-y, branles-toi et dis-moi quand tu seras prête ». C’est alors qu’une main dans son intimité et l’autre sur mon torse elle se berce sur ma verge bouillante. On s’observe, à l’affut du moment crucial. Je transpire à grosses goutes, Fanny cette fois en position dominante orchestre nos orgasmes. Je prends ses seins en main et à l’approche de la fin les serre de plus en plus fort. « Tu me rends fou, j’en peux plus». Fanny se masturbe de plus en plus vite, de plus en plus fort, ses lèvres brulantes sont gonflées, son clitoris dressé. Je me délecte de la voir m’observer, la lumière scintillante des néons m’enivre, je sens chaque muscle se contracter, ma vision se trouble. Fanny commence à sautiller, elle sursaute, bouge son bassin dans tous les sens. « Oui, ouiiii, c’est bon ». De mon coté je ne peux retenir mes cris, « Fanny je vais jouir… ».
Elle enlève sa main prend appuis sur mon corps et par de plus amples mouvement de haut en bas, longe ma queue. De manière quasi-irréelle, bien que voulue, Fanny toute tremblante s’abandonne à un long gémissement pendant que mon foutre chaud envahit son corps. Je cède aux délices de la jouissance, pendant que Fanny continue de me galoper. Elle cri à nouveau cette fois plus brusquement, voir même plus brutalement. Prise de vertige elle syncope, ses jambes tremblent frénétiquement puis alors que je sens un léger filler liquide glisser le long de mon sexe et descendre entre mes jambes, Fanny tombe sur moi sans dire un mot, ma queue encore en elle. Pendant plusieurs minutes on reste là, immobile à tenter de reprendre notre souffle. Alors que mon sexe peu à peu perd de sa vigueur, il continu par réflexe à se dresser dans le corps de ma complice.
Puis comme par évidence non nous rhabillons et sans se parler, nous regagnons ensemble notre train, symbole de cette folle histoire, imaginant chacun de notre coté ce que les prochains jours vont nous réserver.

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