Randonnée En Montagne (Suite)
Sortie randonnée (suite et fin)
Après cette fin d après midi qui vient de marquer une nouvelle étape de ma vie, cest avec la joie de vivre que nous nous rendons au restaurant ; la table a trois couverts, jen déduis donc quil y aura un invité et sur ma question, Gérard mindique que cest son ami qui a téléphoné tout à lheure et quil était curieux de me connaitre. Curiosité ou inquiétude ? Je nai pas le temps de pousser plus loin mes questions car lami en question arrive ; salutation pour ma part et bises pour mes hôtes ; manifestement ils sont très proches, ce que me confirme alors Gérard : » Gilles est son compagnon, même sils vivent chacun de leurs cotés. »
Cest un grand gaillard, (facilement 190,) costaud, le visage buriné par la montagne ; lui aussi guide de montagne, ils se connaissent depuis huit ans et même partenaires, ils vivent leurs vies de façon très indépendante. A priori, celui ci nest pas jaloux car il aborde facilement la relation que je viens davoir avec Gérard
« Cest la première fois, réellement ?»
« Réellement ; et de plus je navais jamais envisagé que cela se produise, bien que je navais aucun ressentiment envers cette situation ; jai des amis comme vous «
« Et maintenant ? Dabord as-tu aimé ? As-tu bien jouis ?» je ne sais trop comment me comporter
« Gérard ma apporté beaucoup de plaisir ; cela ma surpris mais jai aimé »
« Tu recommenceras ou tu vas en rester là » je ne sais où il veut en venir ; Gérard reste muet et attend mes réponses ; la conversation me renvoit vers ce qui cest passé et je suis surpris de sentir mon sexe gonfler ; je suis un peu gêné et Gérard sen apercevant demande à son ami de me laisser tranquille
« Il vient de vivre une aventure, fout lui la paix, sil en a envie, il recommencera « je le remercie en lui serrant la main posée sur la table ; cest en parlant de la montagne que le repas se termine ; terrain moins gênant pour moi.
Malgré ma fatigue, jai du mal à mendormir , le souvenir de mon dépucelage me triture lesprit ; ma queue est tendue et je regrette finalement dêtre seul ;pour me soulager, je me branle doucement
jai du mendormir car je nai pas joui ; cela fait une heure que je suis couché et une envie pressante me fait lever, à poil, le plus silencieusement possible ; à mon retour , du bruit séchappe de la chambre de Gérard ; la porte est entrouverte et par curiosité
. ou envie , je mapproche en silence ;seule une faible lampe éclaire la chambre mais il mest facile de découvrir la scène : Gérard à genoux est en train de se faire prendre par son ami et à entendre ses gémissements, il prend son pied ; Gilles lui parle et il ne me faut pas longtemps pour comprendre quil sagit de moi ; si je suis mal placé, il nen reste pas moins que je joue les voyeurs ; là aussi cest la première fois que je vois deux hommes faire lamour et cela mexcite . si je ne vois pas le sexe de Gilles, je limagine et sans aucun doute, à écouter Gérard, il lui fait beaucoup de bien ; naturellement je porte la main à ma queue déjà dressée et je me caresse ; je suis arrivé à la fin car bientôt gilles rugit , planté bien au fond des fesses ;il doit juter ; alors quil se retire, jai à peine le temps de partir et de me refugier dans ma chambre, excité, avec lenvie dêtre à la place de Gérard. Jai cru être discret, mais larrivée dans ma chambre de Gilles me fait comprendre mon erreur ; il ma vu les mater.
« Ce nest pas beau de mater, tu vas devoir payer et à voir ta bite tendue, je pense que tu sais ce qui tattend » il est près du lit, la queue à nouveau raide ; son mat, large et épais, est plus long que celui de Gérard ; le gland décalotté me semble énorme et soudain jappréhende ; il men reste pas moins que jai envie quil me prenne ; je sais que je vais déguster, mais jai à nouveau envie davoir une queue en moi ; de toutes façons je nai pas le choix ; il ma attrapé et me courbant sur le bord du lit, il promène son gland sur lanneau ; je sens quil va me défoncer, et jessaie de me détendre, mais quand son gland me perfore et me déchire le cul, je ne peux retenir un cri de douleur ; il nen a cure et sans pitié il senfonce, dilatant de force le passage ; la brulure est intense, profonde et quand dans une dernière et violente poussée, son bassin vient frapper mes fesses, à nouveau je ne peux me retenir ; « arrêtes tu me fais mal » agrippé à mes hanches , il nécoute rien et après un moment enfoncé dans mes entrailles, il commence à me pilonner, puissamment, violement, percutant à chaque fois mon bassin ; sa bite senfonce jusquà la garde ; bizarrement cette douleur qui me vrille le corps me procure rapidement une douce sensation de bien être ; je découvre le plaisir dune possession virile ; son pieu me défonce et jaime cela ; jai envie que cela dure et je ne peux me retenir :
»Vas y en fonce toi, fais moi jouir
.
Plusieurs fois dans la nuit, ils mont possédé, me faisant même subir une double pénétration, qui si elle ma déchiré, elle ma fait aussi découvrir le plaisir de se faire posséder , dominer même, ouvrant pour moi de nouveaux horizons ; au matin, cest épuisé que je décline la sortie en montagne et que je décide de redescendre vers la vallée, avec un dilemme : dois-je le dire à ma douce et tendre épouse , et surtout comment ;
Ce sera lobjet dune autre histoire
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