Leslie Hd 35
Leslie HD35 - Androgyne
Laure est retournée aux States pour son boulot, et Aude est chez ses parents, je suis seule à Paris et en plus jhéberge un ami de Laure, quelle ma laissée sur les bras.
Un rendez-vous annulé me permet de rentrer à la maison au milieu de laprès-midi. Quelle aubaine, je vais pouvoir prendre long un bain parfumé, me pomponner, me faire belle pour sortir, traîner en attendant de sortir dans un de mes endroits favoris et regarder la télé avec un apéritif, bref un bon moment en perspective et qui sait une belle soirée.
Me voilà donc ouvrant ma porte, en escarpins vernis à talon haut, vêtue dun joli tailleur jupe, qui dissimule à peine le haut de mes Dim-up, et dont la veste encore boutonnée cache un très joli bustier, qui, sans être impudique, est très sexy.
Depuis le hall de lappartement, jentends des gémissements.
Laure serait-elle déjà rentrée ou bien est-ce son ami que nous hébergeons quelques temps.
Non cest son ami, Laurent, il est sur le canapé du salon, à genoux derrière un corps fin à la peau dorée. Les mains accrochées à des hanches fines.
Je vois Laurent besogner en levrette un adorable petit cul. Je ne distingue quune tignasse à cheveux courts, on dirait un corps de garçon, et le buste écrasé sur les coussins rend impossible le vison déventuels seins
Ça alors, Laurent se tape aussi des mecs, je retire mes escarpins pour être discrète et traverse le salon pour aller boire un coup sur le balcon.
Laurent maperçoit et me sourit, depuis le balcon, je ne peux mempêcher de jeter des coups dil furtifs mais très intéressés.
Cela ne me dérange pas que Laurent se tapé un mec, dautant que, la vue de la queue du Laurent senfonçant entre ces fesses fermes me fait beaucoup deffet.
Je suis excitée de voir son sexe dur entrer et sortir de létoile sombre et dilatée de son partenaire. Les deux garçons ont lhabitude de senculer.
Sentant quil va jouir, Laurent se retire et aide son compagnon à se retourner.
Mais, mais
cest une fille ! Un corps androgyne aux si petits seins, dont les aréoles sombres pourraient être celles dun mec, et pourtant, malgré des hanches menues et à peine dessinées, cest bien une vulve que je distingue sous une toison brune taillée ras en V.
Et puis ce visage est celui dune fille. Même avec ses cheveux courts coupés à la garçonne, elle a de grands yeux noirs soulignés dun trait de khôl, ses pommettes saillantes lui donnent un air pudique et sa bouche si bien dessinée ne laisse aucun doute sur sa féminité.
Tendrement, elle prend la queue de Laurent et le branle fermement au-dessus de son ventre. Plusieurs jets de semence arrosent la jolie jeune fille. Lorsquelle tourne la tête pour embrasser Laurent, elle maperçoit et un éclair de panique traverse son regard, vite oublié grâce aux mots tendres et aux caresses rassurantes de Laurent.
Je les rejoins dans le salon en mexcusant dêtre rentrée si tôt, mais en les remerciant du spectacle délicieux quils viennent de moffrir.
Laurent me présente sa conquête, Anaïs. Nue devant moi, elle nose pas membrasser, cest moi qui viens vers elle, posant ma main sur son épaule. Je lui fais une bise tendre, lui glissant que je la trouve très jolie.
En prenant sa montre, Laurent pousse un :
- Merde, mon entraînement !
Et, avant que nous nayons eu le temps de réagir, il sest habillé, a posé un baiser sur le la bouche dAnaïs, et lancé un :
- Salut les filles.
En disparaissant dans un claquement de porte.
Un ange passe.
Que cette fille est jolie ! Nue devant moi, malgré une coulée de sperme sur son ventre, elle est terriblement désirable, dune sensualité inhabituelle, dun exotisme total
Brisant la glace, je lui propose de prendre une douche, et sachant quelle ne connaît pas la maison, je linvite à me suivre en disant que je vais lui montrer la salle de bains.
Seule, en rangeant le salon, je tombe sur son brésilien que je porte à mon nez.
- Humm.
Elle sent bon et mon excitation, qui commençait à retomber, remonte de plus belle grâce aux effluves de cette culotte parfumée.
Je suis troublée par la copine de Laurent, à cet instant je la désire. Pour me détendre, je me serre un autre verre et retire ma veste.
Lalcool me procure une délicate et fugace ivresse.
Je me regarde dans un miroir, je suis pas mal, Je tire doucement sur le bas de mon bustier en satin blanc pour dégager un peu plus mes seins et les offrir au regard.
On devine mes aréoles au travers du tissu, comme souvent je ne porte pas de soutien-gorge, je passe un doigt léger sur le bout de mes seins et me fait frémir.
- Tu moffres un verre ?
Anaïs vient dapparaître dans mon dos. Nous nous regardons dans le miroir. Ses cheveux encore mouillés sont plaqués en arrière. Elle sest remaquillée et a passé mon kimono en soie blanche dont elle a à peine noué la ceinture. Je lui tends un verre, elle fait quelques pas dans ma direction. Je ne sais pas si elle le fait exprès, mais, en bougeant, elle me montre sa jolie chatte, son buisson bien taillé aux lèvres lisses. La soie dessine ses tétons dressés. Elle me remercie en prenant le verre pour en boire une gorgée dans un soupir de plaisir.
- Voilà donc enfin la belle Leslie, dont Laurent ma parlé.
Elle me dit ça avec ses yeux qui pétillent dintelligence et dune lueur que je rêve dattribuer au désir.
- Voilà donc la chérie de Laurent.
- Seulement depuis deux semaines, me dis Anaïs.
Et, reprenant gorgée, je dis en riant :
- Celle qui offre son trésor le plus secret à la moindre occasion.
Elle rougit un peu et se laisse glisser avec grâce dans le canapé. Je ne me lasse pas de revoir son corps apparaître entre les pans ouverts du kimono.
- Je vais me resservir un verre de blanc, tu en veux un autre ?
Elle me sourit, timide.
- Bien sûr, me lance-t-elle tandis que je disparais dans la cuisine.
De retour, les ballons à la main, je massieds près delle et lui tends son verre, à la manière dont elle me regarde, je suis sûre quelle est à peu près dans le même état que moi. Dailleurs sa main frôle la mienne en prenant le verre et dans un éclat de rire je dis :
- Alors Anaïs, cest bien avec Laurent ?
- Cest un jeu, il me plait, plusieurs filles de luniversité se sont cassées les dents sur le beau Laurent, alors que moi, je suis comme une citadelle imprenable, me dit-elle dans un rire plus mystérieux.
Elle reprend son souffle en sirotant son verre. Je la laisse parler en buvant à petites gorgées. Elle passe son pied sous ses fesses, ouvrant ainsi un peu plus le kimono.
Cette petite garce mallume en plus, elle laisse glisser une manche du kimono, dévoilant un téton déjà bien tendu par son récit. Je demande :
- Pourquoi une citadelle imprenable ?
Elle me regarde et murmure :
- Jai envie de me donner par amour, avec Laurent cest un secret, personne ne le sait, jaime ce quil me fait et surtout jadore me donner par-là, ce que peu de fille font.
Elle me regarde dans les yeux, un regard brillant de désir. Elle sait quelle ma attrapée dans son filet. Cest moi qui rougis. Mes tétons sont érigés, je bande alors je croise les jambes pour dissimuler mon état.
Parvenant à peine à respirer je marmonne :
- Euh
et vous faites quoi tous les deux ?
Prenant ma main gentiment elle répond :
- Tout, oui vraiment tout.
Sans gêne, jai passé ma main sous ma jupe. Je suinte comme rarement je lai fait. Je passe ma main sous mon string, et caresse mon sex dur.
Elle reprend la parole, glissant sa main sous le kimono, sur sa chatte qui me fait tant fantasmer.
- Personne ne sait que je couche, tout le monde me croit vierge et prude, mais jaime me faire baiser par un beau sexe dur, et quand jai une queue en moi, surtout dans mon cul, je perds la tête, jadore me faire sodomiser et je deviens fontaine.
Elle ma bien eue. Elle sait que je vais aller vérifier, elle écarte ouvertement ses cuisses sans pudeur, me montrant sa petite chatte et minvitant à y mettre la main.
A suivre
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