Un Trio Organisé - Partie 4 : Seconde Journée
Florian trouve qu'il a l'air "malin" avec son sac poubelle à la main. Il s'est coltiné tout le trajet jusqu'au lieu du siège social de l'entreprise avec son encombrant colis ; Mathilde a voulu en rajouter à l'humiliation de son assistante par le choix du conteneur de ses habits, mais en fait il se demande si ce n'est pas lui qu'elle a d'abord visé de la sorte. Il aurait pu prendre un sac de voyage en cachette, mais elle veillait au grain, et après la scène de la veille au soir il n'a pas voulu accroître le conflit latent.
Après le départ de Nicole, c'est lui qui a tout rangé : débarrassé le salon, fait la vaisselle au passage, passé l'aspirateur malgré l'heure tardive ; il n'a pas voulu se disputer, le moment n'était pas opportun et ils n'ont pas échangé un mot depuis l'annonce du divorce.
Il reconnaissait en lui-même qu'il lui devait une fière chandelle : grâce à sa réactivité, il se trouvait prémuni contre un usage trop abusif des photos prises par son assistante ; en tous cas contre une diffusion intempestive, par exemple sur internet ; à l'intérieur de l'entreprise ou en cercles privés, c'était beaucoup moins certain.
En revanche, Nicole allait lui faire payer cher l'humiliation qu'elle avait subie. Quant au fait qu'il avait profité de son avantage pour la provoquer et l'insulter alors qu'il était en train de la sodomiser ... Mais ça c'était son côté taquin qui avait pris le dessus, et surtout il avait saisi une occasion qui n'était pas près de se renouveler.
Il sent une main sur son épaule et se retourne. C'est Nicole qui l'attend. Elle s'est tenue en embuscade pour le voir arriver car elle ne voulait pas qu'il lui rende ses affaires devant ses collègues. En voyant le sac poubelle, elle se félicite de son initiative.
- J'ai préféré venir en voiture ce matin pour récupérer mes affaires dis-crè-te-ment. Suis-moi.
Il obtempère. Arrivé au niveau du véhicule de son assistante, Florian dépose le sac poubelle dans le coffre de la voiture.
- Et mon téléphone ?
- Il est dans un sac en plastique dans le sac poubelle.
- Connard !
- J'ai obéi aux instructions de mon épouse.
- Tu aurais pu le sortir sur le trajet, elle n'était plus là pour te voir.
Elle récupère son téléphone, insère sa carte SIM, allumme son appareil, tape son code PIN.
- Pas un mot sur ce qui s'est passé hier soir, compris ?
- Un mot ne suffirait pas ...
La paire de claques qu'il reçoit lui fait comprendre que son humour ne passe pas.
- Je vais te soumettre, grosse bite. Madame L. m'a fixé cet objectif et je l'atteindrai. J'ai pu voir hier que tu es à la fois une lavette puisque même ta femme te domine et une forte tête puisque tu en as profité pour me provoquer alors que tu savais que tu aurais à en subir les conséquences. Je mouille à l'idée de faire plier des mecs dans ton genre. Je mouille de soumettre mon chef de service. Tu comprends ?
Réponds.
- Oui, je comprends.
- Alors ?
- Je ne dirai rien de ce qui s'est passé sauf si j'y suis contraint.
- C'est-à-dire ?
- Vous m'avez bien faire comprendre que vous être venue chez moi sur les ordres de Madame L. Elle va vouloir savoir comment ça s'est passé. A
vous de faire en sorte qu'elle se dispense de me questionner.
- Bien, je vois que tu es redevenu raisonnable. Tant que nous y sommes, ce soir c'est chez moi que tu rentreras, et tu ne préviendras pas ta femme. Nous passerons la nuit ensemble. Maintenant que mon anatomie n'a plus de secret pour toi, cela ne doit pas te poser de problème.
- Aucune, Nicole. Je viendrai chez vous.
- Allons-y maintenant pour ne pas arriver en retard.
Comme ils se présentent ensemble, c'est Nicole qui fait passer à Florian les divers sas d'accès ; en effet il ne dispose pas encore de son badge personnalisé, et comme il était prévu qu'ils passent la nuit ensemble, leur directrice ne lui en a pas fait attribuer un temporaire.
Ils arrivent donc de concert à leur bureau, bons derniers, saluent chacune des trois occupantes - Nicole en leur faisant la bise traditionnelle, Florian en leur serrant la main - et, avant qu'ils se mettent au travail, Nicole demande discrètement à Florian de se foutre à poil et de mettre ses habits dans le tiroir à dossiers de son meuble, qui ne lui sert pas véritablement car c'est elle qui gère tout.
Peu après, Martine se lève, frappe à la porte séparatrice et disparaît pour réapparaître dix minutes plus tard.
Lorsque la directrice pénètre dans leur bureau, elle a la satisfaction de constater que Florian est nu à genoux par terre en train de consulter un dossier tout en suçant les orteils de Nicole. Elle lance un bonjour à la cantonade, auquel toutes, sauf Martine qui l'a déjà saluée - répondent par un "Bonjour Madame" sans se lever pour autant ; Florian se conforme à l'usage unanime qu'il constate et continue par conséquent sa double tâche.
Satisfaite, elle interroge Nicole du regard et comprend que tout ne s'est pas passé exactement comme elle l'aurait souhaité.
- Florian, avez-vous passé votre visite médicale ?
- Non, Madame.
Elle n'a pas besoin de regarder Nicole ; celle-ci a déjà décroché son téléphone. Trois minutes plus tard elle annonce qu'il est attendu au premier étage pour le contrôle médical. Il regarde, mi-affolé, son assitante qui éclate de rire.
- Qu'est-ce que tu attends pour te rendre présentable, grosse bite, questionne-t-elle en éclatant de rire ? Tu espères séduire quelqu'un comme ça ?
Pendant son absence, la directrice fait entrer Nicole dans son bureau et l'invite à s'asseoir dans le coin salon.
- Alors, Nicole, racontez-moi.
- Comme vous le savez, j'ai réussi à contraindre grosse bite de me faire rencontrer sa femme dès notre arrivée ; j'ai enlevé mon soutien-gorge juste après la sortie du métro pour la rendre jalouse dès notre arrivée. Je me suis arrangée pour qu'il soit obligé de m'adresser la parole, donc en me vouvoyant et je lui ai répondu en le tutoyant ; je suis sûre que sa femme l'a remarqué.
- C'est une tactique - un peu violente comme démarrage, mais voyons la suite.
- Elle a été très intéressée par le récit de sa journée et je me suis arrangée pour qu'il n'omette aucun détail. J'en ai même appris auxquels je n'ai pas assisté.
- Il a donc joué le jeu.
- Oui, il a essayé de tourner autour du pot, mais il s'est soumis à la règle que je lui ai rappelée juste avant d'entrer, sous menace d'ailleurs.
La directrice la fixe en souriant.
- Celle-là, se dit-elle, est de la pire espèce. On peut compter sur elle pour les coups tordus, surtout s'il y a un enjeu gratifiant pour elle.
- Continuez, Nicole.
- Mais à la fin, grosse bite en a rajouté. Il a raconté à sa femme que j'avais enlevé mon soutien-gorge avant d'entrer et que je l'avais menacé.
- Perdu pour perdu, il a joué le jeu à l'extrème. Ce type est un finaud, Nicole, vous aurez fort à faire pour le mâter. Mon collègue des Affaires Administratives et moi-même avons remarqué son inteligence exceptionnelle et sa formidable faculté d'adaptation lors de son recrutement, ainsi que la grande maîtrise dont il sait faire preuve dans des situations difficiles. Cela confirme parfaitement le rapport des psychologues. Ne l'oubliez jamais.
Puis la regardant droit dans les yeux :
- Nicole, ce type je vous l'offre sur un plateau pour en faire votre es-cla-ve. Rendez-le moi à plat ventre. Cela prendra 6 mois s'il le faut.
- Bien Madame.
- Continuez.
- Sa femme a très mal pris la chose. Je l'ai bien observée pendant qu'il racontait sa journée. Elle me détestait, mais son mari lui répugnait de plus en plus.
- Elle ne serait donc pas partie comme je l'espérais, alors.
Nicole hésite.
- Répondez-moi franchement, Nicole. J'ai besoin de vous faire confiance. Je vous offre comme esclave un type extraordinaire, que nous allons complètement déglinguer, juste par plaisir et pour lui rabaisser sa belle gueule de gagneur sûr de lui.
- Non, je ne crois pas qu'elle serait partie, mais qu'elle nous aurait foutus à la porte.
- Et au lieu de cela ?
- Madame, pouvez-vous garder pour vous ce que je vais vous raconter maintenant ?
La directrice sent son instinct de chasseuse reprendre le dessus, mais elle a besoin de Nicole pour mener à bien son opération d'anéantisement de Florian.
- Y aurait-il eu un retour de bâton ?
- Je ne connais pas encore grosse bite, j'avais seulement pu entendre qu'il venait de me jouer un sale tour, donc je ne savais pas à quoi il était prêt, même s'il savait qu'on allait se revoir aujourd'hui.
- L'apprentie maîtresse a eu peur de son soumis.
- Ils étaient deux, et sa femme s'est transformée en furie. En plus j'étais chez eux ...
- Sur leur territoire !
- Suis-je obligée de vous tout vous raconter, Madame ?
- Bien sûr, Nicole, dans les moindres détails. Je veux TOUT savoir.
Alors elle lui raconte comment elle a été obligée de se déshabiller entièrement, comment la femme de Florian a demandé à son propre mari de la sodomiser à quatre pattes en l'agrippant par les seins, comment il lui a chuchoté à l'oreille le plaisir qu'il trouvait à cette situation, comment il a refusé de lui obéir quand elle lui a demandé de la baiser à la place, comment il l'a retournée pour finir sa jouissance en se déversant dans sa bouche, comment elle l'a alors agrippé pour l'embrasser à pleine bouche pour se venger de cette femme en la rendant jalouse si c'était possible.
Elle raconte les poses obcènes qu'elle a dû prendre pendant que Florian prenait des photographies.
Elle raconte qu'elle a dû leur laisser son téléphone mobile, qu'elle n'a eu le droit de repartir qu'avec sa jupe sans sous-vêtement, donc seins nus sous les insultes de l'épouse.
- Un prêté pour un rendu, conclut la directrice sans aucune compassion pour sa secrétaire, promue assistante pour satisfaire ses délires.
- Je ne pouvais même pas téléphoner à grosse bite pour lui demander de me rendre mes habits !
- Qui se ressemble s'assemble. Il ne lui a pas fallu longtemps pour tout prévoir. Comment êtes-vous rentrée ?
- Je ne pouvais pas prendre les transports en commun dans cette tenue ! Heureusement il me restait un peu d'argent : j'ai marché jusqu'à ce que je puisse prendre un taxi. Mais je ne vous dis pas le nombre de voitures qui se sont arrêtées !
- A part Florian, personne ne vous a violée ?
- Non ...
- Alors tout va bien. On vous remboursera votre taxi, vous avez conservé la note ?
- Oui, Madame.
- Vous me la donnerez, je m'arrangerai.
- Avez-vous récupéré vos habits ?
- Je suis venue en voiture et j'ai attendu grosse bite près de l'entrée. Il les avait mis dans un sac poubelle : ordre de sa femme.
- Elle a la rancune tenace. Son mari, elle s'en fout depuis longtemps, c'est clair. Mais nous avons perturbé ses plans : après ce qui s'est passé, et surtout maintenant qu'elle le sait officiellement, elle ne peut plus vivre avec lui. Elle s'est assurée qu'on ne diffusera pas les photos de SON mari - car il restera au moins son ex même après leur séparation - mais elle ne nous pardonnera pas pour autant. Qu'avez-vous prévu pour ce soir ?
- Je le ramène chez moi.
- Quand allez-vous le lui annoncer ?
- Je le lui ai dit avant d'entrer dans l'immeuble, en même temps que j'ai exigé son silence sur ce qui s'est passé.
- Il a accepté ?
- Pour le silence, il a essayé de plaisanter, mais une bonne paire de claques l'a remis d'aplomb.
La directrice sourit devant la façon de Nicole de prendre Florian en main.
- Pour venir chez moi, il n'a fait aucune histoire.
- Et sa tenue ?
- Il m'a obéi en tous points dès qu'il est entré dans l'immeuble. Comme un petit toutou.
- Bien, poursuivez son éducation. Vous aurez les jours de congés que vous avez gagnés ; pour les autres, vous aurez d'autres occasions. Et puis, avec les compensations que je vous octroie ...
Elle se lève, signifiant que l'entrevue est terminée.
Au moment où Nicole est sur le point de quitter le bureau de la directrice, elle s'entend rappeler :
- Nicole !
- Oui, Madame.
- N'oubliez jamais votre objectif.
- Oui Madame.
- Il doit primer sur vos impulsions, vos ressentiments, vos colères. Faites marcher votre intellect ! Une bonne dominatrice ne cède pas à ses instincts.
- Je comprends Madame.
- En êtes-vous sûre ? Plus le cercle des personnes au courant d'un secret s'accroît, moins bien il est gardé. Votre bureau est rarement fréquenté, mais êtes-vous
certaine à 100 % que personne d'autre que vous quatre - vous cinq maintenant - plus moi-même ne risque jamais d'y mettre les pieds ?
- Je vois ce que vous voulez dire.
- Bien sûr, devant un tel esclandre, je vous soutiendrais et nous ferions pression sur vos collègues pour qu'elles se taisent, sans en être totalement certaines. Mais à supposer que nous y arriverions, nous obtiendrions son exclusion pour faute lourde ... et non l'atteinte de notre objectif. Maintenant que vos collègues l'ont vu nu et qu'il a ainsi été humilié, peut-être y a-t-il d'autres façons de l'atteindre ; faites jouer votre imagination.
- Bien Madame.
Nicole rejoint sa place à la fois satisfaite, perplexe et combative.
Satisfaite d'abord car, contrairement à ce qu'elle craignait, elle n'a pas été réprimandée pour son échec cuisant de la veille ; elle a même pu se soulager du fardeau de raconter ce qu'elle avait subi, malgré la honte qu'elle avait resentie, sans conséquence apparente : la directrice ne s'attendait pas à ce qu'elle réussisse apparemment.
Ensuite car elle a même bénéficié de confidences : sur les capacités de Florian et ce que la Direction en pensait, sur les sentiments
qu'éprouve la directrice à l'égard de ce type elle doit avoir un compte à réglr avec lui -, et sur l'objectif qu'elle compte atteindre au travers elle.
Perplexe car la tâche lui paraît de plus en plus difficile ; le dernière remarque de la directrice ne laisse aucun doute à ce sujet : elle veut atteindre un objectif, et même si elle la soutiendrait face à lui de toutes façons, elle saurait le cas échéant lui reprocher ses erreurs alors qu'elle avait été avertie.
Combative car ce qu'elle vient de relater lui a douloureusement et cruellement rappelé les événements de la veille au soir, lui donnant furieusement envie de se venger.
Pour se trouver des idées, elle s'occupe de classer les prises de vues de la veille afin de les mettre sur clé USB pour l'ordinateur de la directrice.
C'est à ce moment que Florian revient de sa visite médicale.
Sans changer de tâche, elle lui demande :
- Alors tu es bon pour le service, grosse bite ?
- Oui, Nicole.
Il s'approche de l'ordinateur de sa collaboratrice et lui demande :
- Où en êtes-vous ?
- Qu'est-ce que ça peut te foutre, lui répond-elle en lui triturant les fesses ? Il va falloir muscler tout ça, tu vas en avoir besoin pour ce que je vais te faire faire.
Ses collègues se regardent surprises.
- Tu ne me crois pas ? On va vérifier. Appuie-toi là.
Il n'a pas d'autre choix que de subir. Il s'appuie face au mur juste à l'opposé de la porte de communication avec le bureau de la directrice.
- Baisse un peu tes mains et la tête, et recule les pieds.
De la sorte son torse est à peu près perpendiculaire à ses jambes et ses fesses saillent sous le pantalon. Nicole enlève une de ses chaussures et lui envoie un violent coup de son pied nu sur l'une de ses fesses. Il ressent durement la secousse, tout son corps en est affecté.
- Tu vois, tes fesses n'ont même pas été capables d'amortir le coup ! Et pourtant j'étais pied nu.
Les deux jeunes femmes se cachent pour rire.
Mathilde ne sait quelle contenance prendre. Il est évident, se dit-elle, que la directrice lui a donné des prérogatives particulières pour qu'elle puisse se permettre ce genre de choses ; autant elle est amusée - et rassurée par rapport à son propre statut - de voir ce qu'il advient de ce type, autant elle ne se sentirait pas à la hauteur de jouer ce jeu de dominatrice "bestiale", d'ailleurs ça ne l'intéresserait même pas, elle préfère gérer les affaires du bureau, c'est plus son domaine. Tant que ces deux-là se donnent en spectacle avec leur jeu et ne se mêlent pas de ses prérogatives à elle, elle s'en moque. Mais qu'a-t-il bien pu faire pour devoir subir tout cela ?
Elle est interrompue dans ses pensée par la voix de Nicole :
- Tu t'es occupé du café, connard ?
- Tiens, les insultes ont changé, se dit Mathilde
- Non, répond Florian.
- Qu'attends-tu, trou du cul ? Le café c'est le matin en arrivant et le midi après le déjeuner ; t'as vu l'heure qu'il est ? Depuis que tu es arrivé, tu n'as eu pas grand' chose à faire, il me semble : le café, la vaisselle du café, deux fois par jour, et arroser les plantes chaque jour, voilà ton boulot.
Mathilde trouve qu'elle y va un peu fort, d'autant plus que le café, c'est normalement son tour pour la semaine en cours ; elle a ainsi réussi à modifier le fonctionnement du tour de service à son profit ; mais si le nouveau venu ne fait pas l'affaire ou s'il démissionne - ce qui n'est pas impossible avec le régime qu'il subit - il faudra bien remettre le système en place ; et il pourrait bien y avoir des
contestations pour la première prise de service ... d'autant plus que Nicole aura pris des goûts de domination dont elle aura du mal à se défaire.
Florian prépare le café. Il sert Martine, puis Nicole, puis Sandrine et Christine ; au moment où il va se servir lui-même, Nicole exige qu'il prenne une des tasses dépareillées qui sera toujours la sienne et qu'il ne la remplisse que partiellement. L'ordre adopté par Florian satisfait pleinement Martine, Nicole ne trouve rien à y redire. Après avoir reposé la cafetière, il passe pour proposer le sucre et les
petites cuillers. Nicole lui demande de baisser son pantalon et de se masturber devant ses collègues et elle-même ; il obtempère pendant que ses collègues dégustent leur café en jouissant du spectacle. Comme il arrive au point crucial, Nicole approche la tasse de Florian et la place juste en dessous de son phallus de façon à y recevoir le sperme.
- Maintenant rhabille-toi, mélange et bois. Récolte bien dans la sous tasse le trop plein, je ne veux pas de gâchis, grosse bite.
Florian est sur le point d'attr Nicole et de la forcer à boire ce qu'elle lui a fait préparer mais il se contient. Il a besoin de sa place.
Il remue donc le contenu de sa tasse en essayant d'en faire déborder le moins possible pour tenter d'éviter d'avoir à boire ensuite une tasse contenant presque uniquement du sperme ; mais il ne réussit pas bien.
Il la boit en regardant bien son assistante droit dans les yeux, comme par provocation. Puis il verse le contenu de sa sous-tasse dans sa tasse, veut se chercher un peu de café pour rendre l'ensemble liquide mais Nicole l'en empêche, et le boit donc un résidu de sperme sans adjonction de café. Nicole est satisfaite. Il profite ensuite de la vaisselle pour se verser une dernère tasse afin de faire passer le goût.
- Mais à ce rythme, se dit-il, son estomac n'y resistera pas. Jamais il n'a bu autant de café !
Après qu'il ait fait la vaisselle, Nicole lui impose quelques exercices de musculation des fesses. Il doit s'accroupir, puis se redresser, puis s'accroupir de nouveau, et ceci cent fois de suite.
C'est au cours de ces exercices que la directrice pénètre dans le bureau. Martine la suit aussitôt des yeux et constate qu'elle consulte du regard Nicole, qui valide d'un mouvement des yeux. Elle a donc la confirmation de ce qu'elle pensait. Les situations les plus insolites, si elles sont le fruit de l'imagination de Nicole, sont acceptées sans broncher.
Elle est venue lui donner un dossier ; d'habitude elle la fait venir dans son bureau et en profite pour lui donner quelques consignes ; là
elle a visiblement voulu voir ce qui se passait, comment Nicole s'y prenait avec le nouveau ... comment pourrait-elle l'appeler chef de service ! Tout comme plus tôt dans la matinée ele a eu consigne de décrire à la directrice ce qui se passait dans le bureau entre lui et Nicole après leur arrivée.
- A quoi jouez-vous Florian, lui demande la directrice ?
- Nicole m'a dit de faire ces exercices, Madame.
- Oui, regardez ses fesses, elles manquent de fermeté. Baisse ton froc, grosse bite pour montrer ton cul à Madame L.
Comme Florian ne réagit pas suffisamment rapidement, na sachant pas quelle attitude adopter, il reçoit un paire de gifles magistrale de la part de Nicole qui s'est approchée de lui. Florian dégraphe et baisse son pantalon, puis dégage son slip et présente ostensiblement ses fesses nues aux deux femmes.
- Tâtez-moi, ça, dit Nicole en s'adressant à la directrice et en empoignant la première une fesse de Florian.
Martine est curieuse de voir comment la directrice va se comporter. A sa stupéfaction, elle entre dans le jeu de Nicole ; elle saisit à son tour une fesse de Florian et décrète que décidément il y a des hommes qui n'en méritent pas le nom.
Nicole, fière de son succès, fait discrètement signe à la directrice de se reculer et renouvèle la démonstration effectuée quelques heures
plus tôt, cette fois-ci fesses nues. Le coup de pied fait encore sursauter Florian.
- Ne le brusquez pas trop quand même, Nicole, il est encore fragile même s'il a les apparences d'un homme.
- Rhabille-toi connard, lui dit Nicole.
Elle en profite pour glisser à l'oreille de la directrice ce qu'elle a fait boire à Florian juste avant. Celle-ci fait un gros effort pour conserver la maîtrise d'elle-même et ne pas éclater de rire devant les autres femmes.
- Vous allez déjeuner maintenant, je crois.
- Oui, j'y vais d'abord, intervient Martine. Ensuite ce sera Nicole.
- Et tant qu'il n'a pas encore son badge, vous emmenez ...
- ... grosse bite, la coupe Nicole. Il l'aura dans la journée, je pense. Mais il n'en aura pas besoin avant demain.
- Très bien. Bon appétit, Mesdames. Vous aussi, Florian.
- Bon appétit, Madame, répondent en choeur les diverses personnes du secrétariat.
Ils se sont installés à une table où Nicole connaît des collègues. Florian est maintenant connu de ces femmes, mais il ne peut entreprendre ni soutenir aucune conversation, autant à cause de la présence de Nicole que de son passé sans correspondance avec sa situation actuelle. Il reste donc vague dans les réponses qu'il fait, évite de trop s'intéresser aux personnes avec lesquelles il entre en contact. Au
cours du repas, Nicole s'arrange pour se fait servir par Florian, ne serait-ce qu'en eau, sel, poivre. Il doit se lever pour remplir le pichet et elle en profite pour ajouter aussi discrètement que possible du poivre dans son assiette, pas au point cependant de la rendre inmangeable, mais suffisamment pour qu'il remarque la différence ; en revanche elle le vouvoie et lui donne du Monsieur, conformément aux consignes de sa directrice, ce qui incite d'ailleurs ses collègues à garder leurs distances vis-à-vis de lui et contribue à l'isoler.
Après le repas, Florian prépare spontanément le café, espérant ne pas avoir à subir la même humiliation. Mais Nicole ne l'entend pas ainsi.
- Il me semble que tu as oublié quelque chose, lui dit-elle, comme il s'apprête à porter sa tasse à ses lèvres.
Il s'exécute donc pendant que Nicole prend une vidéo, mais cette fois-ci, la tasse est trop remplie. Nicole l'interrompt un peu avant qu'il
ne soit sur le point d'éjaculer.
- Arrête-toi et bois ton café.
Il croit qu'elle abandonne. Il boit son café, relativement rapidement car il est déjà tiède.
- Continue maintenant.
- Mais il n'y a plus de café dans la tasse !
- Ça te servira de leçon. A l'avenir tu ne chercheras plus à biaiser ; quand je donne un ordre, tu obéis.
Il reprend sa masturbation, se vide consciencieusement dans sa tasse et en consomme ensuite le contenu.
Puis tout comme en fin de matinée, il se reverse discrètement une vraie tasse de café en faisant la vaisselle pour masquer le goût qui lui reste dans la bouche.
Son rôle officiel voudrait qu'il s'intéresse à l'avancement des dossiers en cours. Certes l'attitude de la directrice ce matin a clairement montré quelle était sa priorité le concernant, mais pouvait-il pour autant abandonner les tâches qu'elle lui avait nommément confiées ?
Certainement non. Peut-être même sa perversité se situait-elle dans cette ambiguïté : il allait devoir continuer à prendre l'intiative de jouer au "chef" tout au cours des journées tout en étant humilié - et même sexuellement humilié - par sa propre assistante devant les personnes mêmes qu'il était censé diriger. S'il ne s'était agi que de Martine, voire de Nicole, peut-être aurait-il PRESQUE pu se dispenser de jouer ce rôle qui lui convenait d'autant moins dans cette situation surréaliste. Mais avec les deux jeunes femmes, rien ne justifiait qu'il ne s'intéressât pas à elles.
Prenant son courage à deux mains et ravalant le peu de fierté qui lui reste, il se dirige vers Sandrine et Christine afin de voir si elles ont besoin d'aide dans leur tâche, et incidemment il peut ainsi s'enquerrir de leur avancement sans avoir trop l'impression de jouer au petit chef. Elles se prêtent de bonne grâce à sa démarche, la lui facilitant même en prenant l'initiative de lui montrer ce qu'elles ont déjà fait. Non pas tant pour se mettre en valeur ; elles ont bien compris que le pauvre ne pourra rien pour leur avancement, mais elles ont pitié de lui, ne comprennent pas bien ce qui lui arrive et encore moins le comportement de Nicole ; alors si elles peuvent compenser par un
sourire, de la coopération, elles n'hésitent pas. D'autant plus qu'elles le trouvent vraiment mignon ... et que sa nudité ne le désavantage pas. Seule sa passivité les déroute et les retient de faire agir leur charme. A sa place nul doute qu'elles auraient rué dans les brancards et que Madame L. ne les aurait plus revues, toute directrice qu'elle est.
Florian goûte ce moment de répit et le prolonge délibérément. Au moins il est rassuré, elles ont bien pris sa démarche, il reste à ne pas commettre d'impair de façon à pouvoir poursuivre cette connivence, même si cet appui n'est pas bien solide puisqu'elles constituent le
maillon le plus faible de l'édifice. Mais à des moments de profonde détresse, il sait qu'il poura trouver ainsi une heure de relative détente.
Vient le moment où il lui faut aussi aller voir Martine. Après son passage auprès de ses deux collègues, et compte tenu de leur situation géographique respective, cela semble naturel, d'autant plus qu'il est évident que Nicole joue doublement un rôle à part. D'ailleurs ne pas le faire aurait été une grave erreur. La question qui se pose réside dans la façon de l'aborder. Il ne peut s'y prendre comme avec Sandrine et Christine : lui proposer une aide serait présomptueux, la contrôler vexant. Elle ne l'aide pas, attendant de voir comment il va s'adresser à elle. Nicole d'ailleurs l'attend au tournant ; il est trop éloigné pour qu'elle puisse entendre leur conversations chuchotées, mais si Martine réagit mal elle comprendra parfaitement ses propos. Il lui dit simplement que, comme Madame L. l'a voulu, il se tient au courant de l'état des lieux du bureau, précisant qu'il se doute qu'elle n'a probablement pas besoin de lui pour gérer ses affaires.
Martine esquisse un sourire :
- Il ne s'en tire pas si mal, le bougre, se dit-elle. Après tout, même si la directrice l'a balancé en travers de ses jambes, il ne lui est pas aussi antipathique que cela, d'autant plus qu'elle a compris que son rôle n'est que de façade. En elle-même, elle le plaint, il doit avoir de gros problèmes pour accepter cette situation sans rien dire. Et puis elle ne veut pas trop jouer le jeu de cette Nicole, qui a l'air très opportuniste et dont elle se méfie. Cela fait un an que cette négresse est arrivée, jusqu'à présent elle a su la canaliser, mais depuis que Madame L. lui a donné ces nouvelles responsabilités (officielle et cachée), elle ne se sent plus. Que la directrice qu'elle sert depuis si longtemps
ait pu avoir un secret avec cette fille lui reste en travers de la gorge. Alors tant que ce nouveau chef de bureau ne cherchera pas à lui piquer sa place, elle sera coopérative avec lui ; leurs affaires de cul, elle ne veut pas s'en mêler.
Elle lui montre donc ce qu'elle a fait, ce qui lui reste à faire ; et le fait d'autant plus volontiers qu'il n'est pas accompagné de Nicole.
Puisque cela se passe finalement pas si mal, Florian passe auprès de Martine plus de temps qu'il n'avait prévu.
Il lui reste à se renseigner auprès de Nicole, et là il craint le pire. Elle n'a certainement pas apprécié la coopération de ses trois collègues. Avec elle, inutile de lui rappeler la tâche qui lui a été confiée, ni leurs rôles respectifs officiels : elle se sait soutenue par la directrice et l'a déjà envoyée paître lors d'une demande précédente. Il s'agit là de son plus difficile challenge. Mais il vient de remporter une victoire, très teporaire soit, cependant il doit pouvoir s'appuyer dessus pour avancer ses pions. Il ne peut de toutes façons pas se permettre de ne pas la questionner, ni accepter qu'elle s'y soustraye. Les autres observent probablement du coin de l'il pour voir comment il va s'en sortir. Sa force à elle réside ici dans le spectacle, il faut coûte que coûte l'obliger à parler à voix basse. Il lui vient une idée : il acceptera d'être nu ou de se faire peloter pendant l'interview, ce sera sa contrepartie ; en revanche si elle en fait un peu trop, c'est-à-dire si elle ne coopère pas, il la menacera de révêler ce qui lui est arrivé la veille au soir. Il s'approche d'elle.
- A notre tour, Nicole. J'ai fait mon travail auprès de vos collègues.
- Tu ne m'as pas demandé de t'accompagner, grosse bite.
- Ne les dérangeons pas, s'il vous plait, parlons moins fort. J'accepte que vous m'obligiez à adopter une attidude ou une tenue humiliante pendant que je vous questionnerai à votre tour, mais laissez-moi faire à MA façon ce que Madame L. prétend m'avoir assigné comme tâche, même si nous savons tous deux que c'est de la poudre aux yeux.
- Approche ta chaise et baisse ton pantalon alors.
Florian s'exécute. Pendant que Nicole le pelote, Florian lui demande où elle en est sans prendre les mêmes gants que précédemment avec ses collègues car il sait que là n'est pas l'important. Elle lui répond et joue le jeu, mais en lui parlant grossièrement, en l'insultant dès que l'occasion se présente et en ayant l'objectif de couvrir Florian de sperme. Plusieurs fois il doit la rappeler à l'ordre pour lui faire baisser d'un ton. Par ailleurs il se prête à ses manuvres sexuelles.
Lorsqu'il éjacule, elle recueille une partie de son sperme dans ses propres mains et lui en barbouille le visage en en faisant tomber un peu sur le col de sa chemise, puis s'essuie d'abord un peu sur ses cuisses ; elle lui ordonne ensuite de relever son pantalon et essuie un de ses doigts sur le devant
de façon à ce que la tâche reste visible même sous la veste. Après quoi elle finit de s'essuyer les mains sur le thorax de Florian entre deux boutons de chemise, en en laissant un peu sur sa cravate.
- Lèche-moi les doigts maintenant.
Il obéit, et lorsqu'elle estime que ses mains sont correctement nettoyées, elle lui permet de se rhabiller complètement pour continuer leur travail.
Florian tente de prétexter une envie urgente d'uriner afin d'en profiter pour se nettoyer dans les toilettes, mais Nicole lui intime alors d'aller chercher sa tasse à café, d'uriner dedans debout devant ses autres collègues et d'en boire ensuite le contenu, plusieurs fois jusqu'à ce que l'envie lui soit passée.
Peu après qu'il ait eu fini d'interviewer Nicole et alors qu'il travaille enfin seul, la directrice apparaît et lui demande devant tout le monde et suffisamment fort où en est le bureau, avant d'ajouter :
- Mais vous puez, Florian !
- Ce gros dégueulasse ne peut pas s'empêcher de se laisser aller à ses pulsions, intervient alors Nicole.
- Nicole, emmenez-le se nettoyer dans les toilettes pour qu'il soit en état de venir me répondre dans mon bureau. Je n'ai pas envie qu'il y apporte des odeurs nauséabondes.
Nicole ne peut aller contre le désir ainsi exprimé, mais de toutes façons les tâches ont eu le temps de sécher, il ne réussira pas à les avoir ; et elle sera là pour l'empêcher de s'en occuper. Elle l'accompagne aux toilettes ; les hommes et les femmes ont chacun leur partie réservée ; Nicole entraîne Florian du côté des dames.
- J'ai oublié de prendre ma tasse pour la nettoyer.
- On s'en fout de ta tasse, c'est ta pisse. Mélangée à tout le reste demain, tu verras, cela fera un cocktail du tonnerre. Et ce soir tu boiras la mienne. Allez, lave-toi la figure.
- Et ma poitrine ?
- Ah oui j'avais oublié. Enlève ta chemise.
Il se retrouve torse nu et se lave rapidement avec des torchons en papier. Nicole se recule pour ne pas avoir l'air d'être mêlée à ces ablutions. Plusieurs femmes entrent et font remarquer à Florian qu'il s'est trompé de toilettes. L'une d'elles lui fait même carrément la remarque qu'au point où il en est de son exhibitionnisme, il pourrait même enlever son pantalon. Florian se rappelle alors qu'il a aussi du sperme sur les cuisses. Mais comme le défilé est continu, il n'ose pas baisser son pantalon. Ce sera mieux que rien.
Comme après s'être rhabillé il tente de nettoyer les tâches sur ses habits, Nicole le menace à distance de sa main et il s'en abstient.
En revenant à leur bureau, Nicole lui glisse à l'oreille qu'elle est impatiente de ce qu'elle va pouvoir lui faire faire chez elle le soir même.
Florian frappe à la porte de la directrice, doit attendre 5 bonnes minutes avant de pouvoir enfin entrer. Elle lui ordonne de laisser la porte ouverte, persuadée qu'il n'a pas osé prendre en charge la tâche de gestion du bureau, tant sa honte est grande. Elle va ainsi pouvoir le rabrouer de sorte que les femmes l'entendent. A sa grande surprise, il lui rend compte avec précision. Décidément, celui-là vaut vraiment la peine de ce qu'elle est en train de lui faire subir ! Elle fait l'effort de lui cacher son admiration. Prise alors de court, elle lui dit :
- Demandez à Nicole de vous confier la clé USB des photos qu'elle a faites de vous pour que nous puissions les voir tous les deux ensemble.
Florian sort du bureau et réclame à son assistante l'objet en question, lui précisant que la directrice n'a pas besoin d'elle pour en voir le contenu.
Lorsqu'il revient dans le bureau de la directrice, celle-ci lui demande de fermer la porte. Elle prend la clé USB, copie les photos sur un disque externe personnel qu'elle a apporté pour cet usage en précisant :
- C'est un disque personnel, rasssurez-vous. Ces photos ne resterons pas sur mon ordinateur. Je vais les rapporter chez moi, mais auparavant, je veux que vous les commentiez.
Pour la plupart, elle les connait puisqu'elles ont été prises ici même. Elle se moque ouvertement de lui, de sa position, de la tête qu'il fait. Elle lui demande de lui dire avec force détails ce qu'il a ressenti. Il décrit son humiliation d'être ainsi rabroué par la directrice qui l'a recruté, une femme qui plus est, d'être obligé de se dénuder, de s'exposer ainsi devant son assistante, de s'apercevoir qu'elle le tutoie, qu'elle l'insulte, lui impose des poses extravagantes, de devoir rester debout nu devant Martine assise pendant la répartition des rôles entre eux deux, de devoir repartir nu dans le bureau qu'il partage avec ses habits dans les bras, et qu'il en passe. Il s'aperçoit qu'il éprouve presque une sorte de jouissance à dévoiler sa honte et son humiliation à celle qui en est la cause.
Elle arrive aux photos qu'elle ne connait pas. Il doit lui expliquer qu'il a été contraint par Nicole de se masturber en public, de récolter le contenu de ce qui sortait de son penis dans sa tasse et de le boire mélangé à son café, et que cette scène devra se répêter deux fois par jour.
Bien que la directrice s'en soit gaussée, au point où il en est, il décide de jouer le même jeu qu'il a joué avec son épouse la veille au soir. Il lui raconte, bien qu'il n'y ait ni photo ni vidéo pour appuyer ses dires, que pour pouvoir questionner Nicole sur l'avancement de son travail, il a dû se soumettre à un harcèlement sexuel, d'où vient la puanteur qu'elle a senti parce que Nicole lui a interdit d'aller
aux toilettes pour se nettoyer et surtout nettoyer les tâches qu'elle a délibérément faites sur ses habits, l'obligeant à uriner dans sa tasse et à boire sa propre urine. La directrice éclate de rire, Florian a perdu son pari. La directrice n'est pas son épouse, elle n'a pas les mêmes intérêts.
- Moi aussi j'ai envie de vous voir à poil tous les jours.
Florian comprend qu'il doit se déshabiller. Il n'attend pas la paire de gifles.
Lorsqu'il est entièrement nu, elle lui dit :
- Alors, belle gueule, tu fais moins le fier maintenant !
- C'est la première fois qu'elle me tutoie, se dit-il ! Elle commence à dévoiler son jeu.
Elle s'approche de lui et lui att le sexe à pleine main.
- Je vais t'apprendre à ramper devant les femmes. Avec moi tu vas savoir ce que c'est qu'être gorgé de désir et ne pas pouvoir le satisfaire. Avec moi, tu n'éjaculeras pas de sitôt comme avec Nicole, tu sauras ce que c'est que la frustration, tu me supplieras. Je n'aurai pas besin de t'insulter. Pour l'instant je t'ai prêté à Nicole pour qu'elle fasse te toi ce qu'elle veut. Tu m'as entendu ? Je ne t'ai même pas vendu, je t'ai prêté, comme un vulgaire objet ans valeur. Rhabille-toi, il est l'heure de la raccompagner chez elle.
Florian se rhabille, s'approche de la porte, se retourne.
- Bonne soirée, Madame.
- Madame la Directrice.
- Bonne soirée, Madame la Directrice.
- Bonne nuit, Florian.
Elle éclate de rire.
Il ouvre la porte et pénètre dans son bureau. Seules Martine et Nicole sont encore là ; cette dernière l'attend.
- On peut y aller, grosse bite ?
- Oui, Nicole. Bonsoir Martine.
Martine leur répond, ils sortent tous deux, se dirigent vers la voiture de Nicole.
- A partir de maintenant et jusqu'à notre retour au bureau, je ne suis plus "Nicole", mais "Princesse".
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