Semaine De Reunions Chapitre 3

Dès que la porte fut ouverte ; elle se retourna pour lui fourrer la langue dans sa bouche en s’accrochant à sa nuque, pressant fortement son bassin contre lui. Il la souleva, claqua la porte du pied.
-Tu as envie de baiser!! Et c’était plus une constatation qu’une question.
- Ouiiiiiiiiii je veux que tu me fourres la chatte de ta queue.
-Oh, Je dois retrouver la forme !!! Ensuite je vais te niquer toute la nuit, petite chienne !! lui affirma-t-il en basculant avec elle sur le grand lit.
Alertée par l’ouverture de la porte et les voix, Chloé abandonna son livre et alla se poster devant la vitre sans tain. Sa lecture avait calmé le feu que cette femme avait déclenché en elle plus tôt dans l’après midi. Elle se doutait que Karim s’était rendu compte de son émoi.
Voyant le couple entrer, elle devina que la nuit risquait d’être particulièrement chaude, et que sa libido allait être mise à rude épreuve. D’autant plus que mater de la baise l’exciter au plus au point. En effet, il lui arrivait souvent de regarder des films pornos pour calmer ses frustrations, surtout quand elle était en période de manque. Et c’était le cas depuis quelques semaines, depuis que sa copine l’avait quittée.
Elle regarda les deux protagonistes se rouler sur la couette de satin. Leur mains se palpaient, se malaxaient et leurs langues dansaient une sarabande endiablée.
Puis l’homme se retourna vers le miroir, le regard scrutateur, et Chloé eut un mouvement de recul. Quelle idiote, se dit-elle, il ne peut pas me voir !!!.
L’homme se redressa, attirant sa compagne avec lui, et tout en se bécotant, il l’attira jusque devant la grande glace.
-J’aime regarder ce que je vais te faire, et tu vas adorer te voir peloter !!
-huuuuuuuuuum répondit-elle en se dandinant contre lui.
Et avec une lenteur calculée, il laissa filer se mains sur les formes appétissantes.
Il descendit le zip de la robe, puis écarta les pans aux épaules.

La faisant ensuite glisser centimètre par centimètre, il mignotait chaque parcelle de peau découverte. Il suivit de la pointe de la langue la colonne vertébrale, vertèbre par vertèbre. Arrivé aux hanches, il massa subrepticement le creux des reins de ses doigts. Odile frissonnait sous cet érotique déshabillage tout en finesse.
Bientôt la robe fut à ses pieds. Elle la dégagea, et Fabrice alla la poser avec soin sur un fauteuil. Que cet homme est prévenant, se dit-elle charmée.
Il revint se plaquer dans son dos, plaçant ses paumes en corbeille sous ses seins. Il les comprimait adroitement, laissant son index venir batifoler sur les tétins. Puis d’une main, il dégrafa le soutien-gorge, laissant sortir ces deux beaux oiseaux de leur nid douillet. Il admira la poitrine ferme aux larges aréoles rosées qui entouraient deux sémillantes fraises des bois. Il les agaça aussitôt entre ses pouces et index. Odile ronronnait sous l’exquise tourmente.
De l’autre côté, Chloé se massait aussi à travers son t-shirt. Elle ne portait jamais de soutien-gorge, le frottement direct d’un vêtement lâche sur ses tétons lui causant un indicible plaisir. Pour vamper ses conquêtes, il lui arrivait de porter des redresse-seins, mais jamais pendant le boulot. Elle avait déjà la foune en feu.
Elle était tranquille car Karim était dans la salle de bain et elle entendait l’eau clapoter dans la baignoire.
Elle vit l’homme couler une main dans la culotte de la femme et devant sa réaction elle devina qu’il lui titillait sans détour son bouton d’amour. Jetant un œil vers la porte de la salle d’eau qui était toujours close, elle passa sa main sous sa jupe.
Fabrice joua un moment des doigts sous la culotte de soie. Il l’écartait d’une main, pour laisser voir à sa maitresse, les 5 autres coquins qui branlaient, caressaient, fouillaient sa minouche. Odile avait écarté son compas, pour bien lui offrir son intimité. Elle ondulait, couinait sous les attouchements toujours plus précis.
Il accentua son frottis quand il vit les yeux chavirés de la belle.
-Ouiiiiiii, tu vas jouir mon bébé, allez, viens, viiiiiiiiiiiiiiens sur mon doigt !!
-Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii lança-t-elle sous la violence de la jouissance et elle se déhanchait sans manière sur les fripons responsables de se frénésie ;
-Tu en veux encore !! Oui j’aime cela, alors crie ton plaisir, branle-toi sur mes doigts !!
Et une nouvelle plainte s’échappa de la gorge d’Odile, sans calmer pour autant les mouvements de son bassin.
En face, Chloé s’astiquait elle aussi. Sa moule était ruisselante, elle sentait le plaisir poindre. Captivée par ses sensations, elle ne se rendit pas compte que le calme était revenu dans la salle de bain, et que Karim l’observait depuis le seuil.
Le spectacle lui provoqua sur le champ une totale érection. Il s’approcha sans bruit de sa collègue qu’il voyait fermer les yeux pour se concentrer sur sa branlette. Il lui saisit la taille de ses deux mains gigantesques et lui fit sentir son état en se collant à ses fesses.
C’est à cet instant, qu’elle poussa un petit cri de plaisir et de surprise confondus.
Sans attendre, Karim mêla ses doigts à ceux de Chloé pour continuer à la masturber. Il lui léchait le cou, lui mordillait une oreille.
-J’ai bien vu tout à l’heure, qu’elle t’avait chauffée cette salope. Moi j’ai une trique d’enfer depuis !!
Manifestement la jeune femme ne le repoussait pas et même se trémoussait avec vigueur sur ses phalanges.
-Voilà, tu vas juter encore petite garce !! Vas-y viens sur mes doigts !! Voilàààààààààà !! Puis après avoir ramené un fauteuil devant la glace, il la souleva aussi aisément qu’une plume, l’assit sur le bord et à genoux entre ses cuisses entreprit lui aussi de lui brouter la minette.
En effet de l’autre côté, Fabrice, assis entre les jambes d’Odile debout au dessus de lui, les jambes légèrement fléchies, lui lutinait le con avec entrain. Il lui empoignait les fesses avec empressement, les écartant et les comprimant fermement.
Il pianotait avec vigueur sur le cul de cette belle ensorceleuse. Odile avait plaqué ses deux mains sur le cadre pour garder son équilibre.

De chaque côté de la vitre, les deux femmes subissait avec délectation les assauts buccaux et digitaux de leur complice et exprimaient leur félicité en un concert de feulements ininterrompus.
Profitant de l’état de transe d’Odile, Fabrice tenta une nouvelle approche de la petite lucarne étoilée, son majeur plein de mouille flatta distraitement l’œillet fripé. Odile eut un « ohhh » nullement réprobateur, aussi accentua-t-il la pression de son doigt sur la plaisante cocarde. Loin de l’éviter, il lui sembla bien que la gourmande se frottait dessus.
-Ca te plait ?
-Ohhhhhhhhh que me fais-tu là? Questionna-t-elle alors qu’il enfilait sa première phalange.
-Je te doigte le cul, et tu vas adorer !!
Et tout son majeur disparut dans l’étroit fourreau. Effectivement, elle gémit de plus belle à chaque va et vient de l’intrus. Devant le bonheur manifeste d’Odile, il décida de prolonger ces prémices bien installés sur le lit, où il pourrait l’embrocher de tous ses doigts à loisirs.
Il la fit se placer sur lui en tête à queue, car la belle voulait aussi faire remonter sa tension sexuelle. Le lit de 2 mètres leur permettant de s’étendre dans la largeur, ils pouvaient toujours profiter du reflet de leurs ébats.
Sans plus attendre ; la bouche avide d’Odile goba son phallus jusqu’à la garde et elle le biberonnait dans d’enivrants bruits de succion. Lui écartant bien les deux lombes, il se mit à la lécher avec art, prenant soin au départ d’éviter sa petite lunette. Puis il passait du plat de sa muqueuse, tournoyait tout autour pour finalement pointer sa langue au centre de cette petite cible et l’enfiler d’un coup, arrachant un long « Oh » de volupté à sa suceuse. Il répéta son petit manège pour se saouler de ses plaintes métalliques.
Il ne délaissait pas pour autant la chatte suintante, dans laquelle il plongeait hardiment des doigts accolés.
Quand ceux-ci furent bien oints de mouille, il en plongea un délicatement dans l’œillet capiteux.
-Ooooooooooh !!
-Voilààààààààà, mon index te fourre la rondelle. Oh, comme tu es bien serrée sur mon doigt !!! Tu vas être bonne pour ma bite !!
Et cette évocation la fit se contracter davantage sur son assaillant. Et quand il fit mine de se retirer, elle rua de la croupe pour s’enfiler les trois phalanges en couinant de plaisir.
-Ouiiiiiiiii, c’est bon de se faire doigter le cul !! Tu vas devenir une délicieuse sodomite !! Tu réclameras bientôt ma bite pour qu’elle te bourre l’oignon.

-Regarde cette salope comme elle se fait doigter le cul. Tiiiiiiiiiiiens, tu sens comme c’est bon ?
Grisés par les agissements du couple libertin, Karim faisait subir autant d’outrages à Chloé, lui fourrant l’opercule d’aussi accorte manière, jusqu’à la faire jouir à répétition.
Le saligaud en face, se faisait tailler une pipe d’anthologie et il sentait son engin prêt à exploser. Bien décidé à se faire faire la même gâterie, il se redressa, s’agenouilla sur les accoudoirs du confortable fauteuil.
-Maintenant tu vas me bouffer la bite !! fit-il en faisant jaillir un pieu démesuré de son caleçon.
Etant bi, Chloé avait déjà eu des amants, mais elle fut scotchée devant l’ampleur du sexe de son partenaire. Il devait bien mesurer entre 25 et 30 centimètres pour un diamètre de 6.


Chloé enfourna difficilement le monstrueux gland entre ses belles lèvres en lui saisissant les bourses des deux mains. Des siennes, il lui empoigna la tête pour canaliser ses tétées pour ne pas venir trop rapidement. Tantôt il lui baisait la bouche avec ardeur, tantôt il se retirait pour calmer la montée de son flot. Puis il repartait à l’attaque de la bouche gourmande.
Sur le grand lit la fête battait son plein. Odile ne libérait le sexe de son amant que pour jouir à gorge déployée. Puis sans crier gare, elle pivota sur elle-même pour se retrouver face à son amant et s’empala sur la queue redevenue turgescente.
-Ouiiiiiiiiiii c’est ça ma salope, baise moi. Oh quelle belle amazone fougueuse !!
Tu la sens bien ma trique ? Lààààààààààà je vais te la ramoner ta moule.
-Ohhhhhhhhhh défonce moi, ouiiiiii.
Et agrippant fermement ses hanches, il lui assénait de rapides coups de boutoirs. Ses beaux seins fermes se balançaient à chaque rebond. Il lui pinça alors les tétons faisant redoubler la frénésie de sa cavalière.
-Tu es bonne !!! Quelle baiseuse !!! Et il la renversa sans se démancher pour inverser les positions et se mit à la besogner en variant subitement la cadence. La belle le ceintura de ses deux jambes en s’accrochant aux fesses musclées de l’homme qui la culbutait.
Karim, pour sa part avait maintenant placé Chloé debout, les mains plaquées de chaque côté du miroir pour ne rien perdre se la scène de débauche. Et il la niquait ainsi par derrière, son énorme braquemart clapotant dans le berlingot inondé de cyprine. Elle se retrouvait soulevée de terre à chaque aller-retour sous la puissance des assauts du noir en rut.
Puis soudain, il l’introduisit de toute sa hampe, lui donna de légères secousses sans amplitude mais d’une cadence de plus en plus soutenue. Elle sentit l’imposant intrus palpiter contre ses parois laminées puis le geyser de foutre chaud qui gicla en saccades au fond de son ventre.
Il continua à la limer jusqu’à se vider les burnes, et elle sentit un filet de sperme couler le long de ses jambes.
Fabrice, lui comptait bien faire durer leur partie de jambes en l’air. Aussi se retenait-il de jouir malgré l’excitation grandissante que lui apportait cette baiseuse hors pair.
Il se retira in extrémis du cloaque brûlant de l’affamée gourgandine. Lui maintenant les jambes en l’air, il trempa un doigt dans l’abricot juteux avant de l’introduire dans sa bague maintenant apprivoisée. Il ne lui en fallut pas plus pour atteindre un nouvel orgasme, plus intense que les précédents.
-Ohhhhhhhhh c’est booooooooooooooon !!
-Et là ? demanda-t-il en lui forant maintenant la pastille de son pouce.
-Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !! Éructa-t-elle en jouissant de nouveau.
-C’est ça petit catin, crie !! Tu es chaude pour ta première enculade maintenant. Tu sens mon gland sur ton petit pétale ?
-Ouiiiiiiiiii, prends-moi !!
-Oh, tu veux que je t’encule ? Il la défiait de son regard de rapace ;
-ouiiiiiiiiiii !! répondit-elle sans baisser le sien.
-Alors, demande-le !! fit-il avide d’entendre cette supplique qui lui fouetterait le sang.
-Viiiiiiiiiiiiiens salop, encule-moi !! Pine-moi le cul !!! lui ordonna-t-elle en le fixant de ses grands yeux brillants de désirs inavouables.
Il pressa son bourgeon sur la petite bouche qui se dilata sans façon jusqu’à l’engloutir et se refermer derrière son renflement. Il resta planter là un instant pour bien lui faire savourer la présence de son nœud dans son étroit fourreau.
-Oooooooooooooooooooooooooh !
-Làààààààààààààààààà !! Tu es enculée du gland ma cochonne. Tiiiiiiiiiiiiiiiiiiens, encore !! Et il la déflora plusieurs fois devant son plaisir manifeste.
-Viens, je vais te prendre comme une petite chienne en rut.
Et il l’installa en levrette face au miroir. Il voulait voir ses yeux lorsqu’il allait la soumettre à sa loi.
Il relogea son champignon dans le puits d’amour.
-Maintenant, je vais t’enculer lent…te….ment…..jusqu’aux couilles !! Voiiiiiiiiiiilà !! Et se faisant il glissa sa main entre les cuisses de l’épinglée et à peine eut-il posé un doigt sur le clito de la belle, que celle-ci hurla son plaisir. Elle rua de la croupe tant et plus qu’il dut la maintenir fermement en la ceinturant d’un bras, pour la garder bien empalée. Jouissant à multiple reprise, elle se démenait comme une furie sur sa trique, la branlant frénétiquement.
-Putain, tu vas me faire juter !! Rrhoooooooooooo !!! Tiiiiiiiiiiiiiiiiiiiens, prends ma crème dans ton cul !!!! Ouiiiiiiiiiiiiiiii, emmanche-toi encore, vide moi les couilles !!
L’image de cet homme la tronchant dans son dos ainsi que ses mots exacerbèrent les sens d’Odile, et elle fut de nouveau secouer de spasmes jouissifs.
Il s’effondra alors sur son dos, la queue toujours plantée dans son postérieur. Il lui caressa tendrement les flancs, les épaules, en lui butinant le cou avec tendresse.
Elle tourna son visage éclairé d’un magnifique sourire qui traduisait sa béatitude. Elle posa ses lèvres sur les siennes et leur baiser fut des plus doux.
Puis ils roulèrent dans les bras l’un de l’autre. Ils savouraient ce moment de tendre complicité. Quand ils eurent tous les deux retrouvés des battements de cœur plus calmes, ils se redressèrent et se lovèrent confortablement dans les oreillers.
-Que dirais-tu de faire monter une petite collation ? Lui proposa-t-il.
-Huuuuuum !! Excellente idée. Je boirais bien une coupe d’Asti et quelques biscuits seraient les bienvenus aussi.
Il décrochait le téléphone pour passer la commande, quand on frappa à la porte de la chambre.

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