Le Manoir Du Péché (15)
Depuis son arrivée dans le domaine, la sur de la patronne saisissait toutes les occasions qui lui était donnée pour sétirer voluptueusement sous mes yeux, nhésitant pas à faire pointer ses mamelons libres sous la soie légère de son peignoir comme pour montrer quelle ne portait pas de soutien-gorge.
Ne se gênant pas de se pencher en avant, dos tourné, le tissu moulant son derrière et ainsi massurer quelle avait aussi hormis de se passer une culotte. Javais comme limpression que ma patronne lui avait parlée de moi, et que cétait pour cela quelle avait décidé de passer un séjour au domaine. Le temps qui lui faudrait sans doute pour apaiser son besoin sexuel, et cela grâce à mes services un peu spéciaux. À cette vitesse elle nallait pas tarder à me proposer de largent, voire même dire à sa sur de précipiter la chose, à moins que je prenne ça en main. Il faut dire quaprès mon épisode avec Mauricette jétais dans un cycle sexuel assez positif au point que je me masturbai plusieurs fois par jour. Il marrivait régulièrement de passer par ces phases-là, à défaut dautre chose. Tout bonnement parce que cette autre chose nétait pas très accessible en ce moment. Alors la Agnès ou une autre cela ferait bien mon affaire.
Le déjeuner passait, et comme à son habitude, Agnès sarrangea toujours pour rester en tête à tête avec moi dans la cuisine. Et là comme si jétais transparent, elle se plaça de profil et mit un pied en appui sur une chaise, se massant en toute innocence le mollet, tout en se plaignant dune crampe à haute voix. Comme si elle désirait attirer mon attention, et au mieux mon aide. Un massage serait toujours le bien venu ! Mais je restai là, sage, sans rien dire, témoin de son exhibition. Que le fait davoir lever sa jambe, les deux pans de son peignoir sétaient séparés, laissant libre à une cuisse nue. Et plus encore, pour mon plus grand plaisir de mes yeux, un pubis. Oui un pubis comme jaime en voir ! Je men mis plein les mirettes, et cela jusquà ce que, malheureusement la patronne comme par hasard, fasse son apparition.
Quelques heures sétaient passé avant quelle mapparaisse avec en mains, une bassine contenant un tas de linge. Sans doute à laver. Et comme pour me donner raison, elle me fit part de son souhait daller jusquà la buanderie.
- Excusez-moi Agnès, vous nallez pas me faire croire que vous ne savez pas où se trouve la buanderie.
- Oui bien sûr Alain ! Fit-elle en riant bêtement. Dans le sous-sol du manoir.
- Eh bien ? Répliquais-je.
- Cest bien pour cela que je demande vos services, Alain. Pour que vous my accompagner. Jai toujours eu une peur bleue de my aventurer seule dans ce coin perdu.
Je sentais là quil y avait anguille sous roche. Et comme javais autant envie delle de baiser, voir plus, jacceptais de laccompagner. Un endroit en retrait où nous pourrions aisément profiter dassouvir notre soif sexuelle.
Une fois dans les lieux et alors que je mapprêtais à lui mettre à disposition le bac de lessive ranger sur létagère, je sentis un souffle chaud sur ma nuque. Par pur réflexe je me retournais pour me retrouver nez à nez avec la bouche dAgnès, entrouverte, rouge et humide. Et comme javais une énorme envie de lembrasser. Je me laissais tenter à coller mes lèvres aux siennes. Jeux limpression dêtre pris en plein cyclone au milieu du Cap des tempêtes.
À bout de souffle, Agnès sécarta, et reprenant ses esprits, courut verrouiller la porte du local.
- Je ne sais pourquoi, fit-elle, en me désignant le baquet en béton.
- Et à cette époque vous naviez pas peur de vous retrouver seul ici ?
- Cétait un autre temps. Une autre époque. Fit-elle, en se déboutonnant bouton après bouton son corsage en toute impunité. Ceci fait elle sen soulagea et en fit de même avec le soutien-gorge. Puis les yeux dans les miens, elle pressa ses seins quelques instants, avant de les faire balloter sous ses paumes. Jétais comme hypnotiser par ses gestes, dans lincapacité de faire quelque ce soit, tant elle mavait mis misérable. Elle ferma ses yeux, et elle se pinça durement les pointes des seins.
- Moi aussi jaime la baise. Fit-elle, en ouvrant les yeux. Surtout avec tes types pervers de votre genre. Parce que vous en êtes un ? Nest-ce pas ? Jespère ne pas mêtre tromper sur votre compte ?
- Vous ne vous êtes pas tromper Agnès. Vous avez frapper à la bonne porte.
Faisant exprès de ne pas lui parler de sa sur.
- Vous menvoyez ravie, Alain. Je me suis même laissé dire que vous étiez aussi un flaireur de culottes souillées. Jespère ne pas mêtre fait bernée par cette personne ?
- Les nouvelles vont vite, à ce que je vois.
- Chez nous quand on aime on partage si vous voyez ce que je veux vous faire comprendre.
- Je vois ça.
- Sachez si cela peut vous intéresser, que je nai pas changer de culotte ce matin. Et il se trouve quelle est en tulle. Et comme vous devez le savoir cest un textile qui capte parfaitement toutes les bonnes odeurs. Et dailleurs je me suis laissé dire que ce sont celles que vous préférez.
- Encore une fois on vous a bien informer.
- Vous la voulez ? Me fit-elle.
- Je ne dis jamais non.
- Oui mais voilà ! Il va falloir la mériter.
- Je vous écoute ! Répondais-je en entourant ses hanches de mon bras. Cela ne vous importune pas au-moins ? La questionnais-je.
- Tant que je ne crie pas
Encourager par ses quelques paroles, je fis glisser ma main sur une de ses fesses. Elle prit le temps de me sourire avant de me tourner le dos et me présentait sa croupe ballonnait sous sa jupe droite de couleur sombre.
- Si ce quon dit est vrai, vous êtes du genre à vous servir tout seul.
Pour toute réponse je ramenais sa jupe aux creux des reins. Dessous la culotte en tulle marron se tendait sur les fesses. Le textile assouplit par lhumidité, soulignait sa raie, moulait ses grandes lèvres et sa fente.
Quand je fis rouler le slip, Agnès se cambra davantage. Sa raie et sa fente mapparurent. Si son anus tapi au fond du profond sillon, nétait pas visible, japercevais bien ses petites lèvres plissées dépasser des grandes, serrées lune contre lautre entre les cuisses.
Elle se prosterna, le buste contre le bac. Les fesses écartées au maximum des deux mains. Mexhibant ainsi son anus serré entouré dune petite couronne de poils. Incapable de me retenir plus longtemps, je magenouillais devant et sortis ma langue que jenfonçais dans la raie aussi loin que me le permit lélasticité du tissu saturé de bonne odeur.
Mélange de sucré et amer, qui valait de mon propre avis, toutes les saveurs les plus raffinées que javais eu le loisir de goûter durant toute ma vie. Pris dans un tourbillon dexcitation, je la soulageais de sa petite culotte. Jagissais avec cette femme que je connaissais sans plus que ça, sans réfléchir. Dailleurs jentendis cette dernière sécriait dune voix rauque :
- Oui ! Nettoyez-moi le cul, je suis sale.
Sous de si beau encouragement je fis alors balader ma langue dans sa raie. Et cela longuement. Faisant disparaître tout arôme malodorant qui imprégner sa peau.
- Fouillez-moi de vos doigts aussi.
Jenfonçais mon doigt dans son anus avec une aisance facilement explicable suite à ma caresse buccale. Un zone spacieux et vide. Une sensation exaltante que de pouvoir fouiller cet orifice.
Je sentais son corps se tendre, alors que les premiers spasmes de jouissance semparaient déjà delle. Je la branlais avec plus dexcès. Martelant plusieurs fois son anus. Elle jouissait, son corps agité de spasmes violents, en étouffant ses cris de sa main pour ne pas attirer lattention.
Peu après, alors quelle avait repris ses esprits, et sans comprendre très bien ce qui marrivait, je fus littéralement happer de mon pantalon, de mon slip. Et comme une démoniaque, Agnès me guida jusquà devant le bac. Où elle prit place dessus, et me plaça debout, devant le compas que faisait ses jambes. Ma verge avait une consistance dun morceau de bois. Et tout en membrassant, elle se saisit de mon gland et le frotta à tâtant contre la fente. Lengluant de mouille. Sous la pression sa vulve violacée, et fiévreuse, souvrait. Assez pour que dune seule poussée, je mintroduisis en elle. Une fois au fond, jy allais à grands coups de pilonnage. Son corps suivait le rythme de mon va-et-vient. On nentendait plus que des respirations sifflantes dans le local. Mon orgasme était comme souvent dans ces cas là, long à venir. À un tel point que notre baise poussée perdurait longtemps, trop même à mon avis, à en être ennuyeux. Puis, afin de parer la mélancolie, je me retirais doucement. Ma verge était toute luisante des sécrétions de la femme. La première réaction dAgnès fut de protester un peu, et cela dune voix enrouée :
- Vous en avez fini
La fin de sa phrase me parvint étouffée.
- Non !
Elle se tut, comme si la suite de sa réclamation était bloqué dans sa gorge, avant de pouvoir de nouveau retrouver sa voix et de lâcher :
- Tant mieux !
Mais ce nétait pas vers sa fente trop béante à mon goût que mon choix sarrêta, mais vers son petit trou.
- Oh
oh, je peux savoir ce que vous me faites, là ?
- Eh bien comme vous voyez je change de trou.
- Merci, javais remarqué ! Mais pourquoi ?
Mon cur battait plus fort.
- Vous verrez vous ne regrettera pas.
- Jespère que je naurai pas mal !
- Compter sur moi Agnès, pour vous faire apprécier mon choix.
Je laidai à relever ses genoux contre sa poitrine, exhibant son anus plissé. Je passais le doigt le long de son entaille pour récupérer de la mouille que je transférais jusquà la rosette. Deux à trois aller retour à suffit pour arriver à mes fins. Pour que son conduit devienne de plus en plus moelleux et très chaud. Son trou palpitait, comme si elle était impatiente. Elle poussait même son bassin, comme pour minviter à my enfoncer.
Je me saisissais alors de ma queue par la base pour la guider au centre de lorifice. Delle-même, Agnès vint à ma rencontre. Pour mon plus grand plaisir mon gland glissa à lintérieur. Tout de suite après le sphincter se referma, memprisonnant. Je bandais dur. La respiration dAgnès devint rapide, alors que ma verge disparaissait millimètres après millimètres dans le boisseau. Une fois entièrement en elle, je me mis à la pistonner. Faisant coulisser diaboliquement ma verge dans son trou du cul. Qui sélargissait nettement après chaque va-et-vient, à me faire divaguer.
- Vous êtes une belle salope !
- Bien-sûr que je suis une belle salope. Et aussi une belle enculée, vous ne croyez pas ?
- Ah ça, pour être enculée
vous en êtes une sacrée ! Répondis-je en continuant de la sodomiser au plus profond, au plus bestial, pour bien lui faire sentir que cétait moi le maître.
Un bref instant, je métonnais de me comporter de la sorte. Je ne me reconnaissais pas là. Mais avec cette femme, je franchissais décidément, diverses étapes de perversion, à men faire augmenter la cadence de mon enculade.
Cétait trop jouissif denculer une si belle salope. Cétait même délirant comme sensation. Je la malmenais, sous ses gémissements de plus en plus bruyantes. Cétait divin et infernal.
Soudain une immense euphorie semparait de moi, en sentant les premiers picotements annonciateur dun futur orgasme arrivé. Très vite mon foutre giclait de ma queue pour être catapulté au plus profond du cul de la belle, qui fut secouée de spasmes. Lui faisant lâcher des paroles inintelligibles.
Jattendais que ma verge est perdu de sa rigidité pour la ressortir. Agnès encore effondrée sur le bac se redressa sur un coude. Je laidai à redescendre.
Quelques instants plus tard, et après avoir repris nos esprits, je lui proposais un pacte, que je dirai jouissif pour tous les deux. Elle ne prit même pas la peine de réfléchir un seul instant pour donner sa réponse :
- Cétait bien, vous savez
très bien même
on
recommencera ? Fit-elle, en faisant recroquevillait un instant son trou du cul avant de se rouvrir plus franchement et de cracher un long filet de sperme rendu beige par ses intestins.
Par la suite, elle pétait encore deux ou trois fois, projetant à chacun deux, quelques gouttes brunâtres. Elle passait sa main entre ses fesses, décrochant une coulée de bave gluante qui pendait de son anus écarquillé.
Elle tournait les robinets deau du bac. Elle attendait la bonne température pour lever une jambe, de poser un pied en appui sur le rebord de pierre du bac et elle commençait là alors sa toilette. Il men fallait pas plus pour rebander. Jallais attendre patiemment quelle fini sa toilette pour la reprendre. Oui la reprendre, javais de nouveau envie de la foutre.
Recueillant de leau au creux de sa paume pour se nettoyer. Peu à peu sa fourrure se détrempait, leau qui lui éclaboussait lentrecuisse étirait les longs poils qui se collaient contre la naissance des cuisses, lui pendait entre les fesses. Les contours de sa chatte apparaissaient, avec le gros bouton au dessin irrégulier qui dépassait, et plus bas, les petites lèvres qui bâillaient sur une mince bouche mauve.
- Hou..hou ! Il y a quelquun en bas ? Fit une voix que je reconnus étant celle de la patronne et qui provenait du haut des escaliers.
Agnès sans trop de préoccuper continuer à se laver le cul.
Alors que pour ma part, pris de panique je me revêtis à toute vitesse. Avec la ferme intention une fois habiller, de ne pas trop mattarder dans la pièce.
Ce fut gorge serrée par lanxiété, que je regagnais la cuisine. Mefforçant de me calmer pour que ma queue débande au plus vite. En vain, tant la scène qui sétait déroulé dans la buanderie mavait excité.
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