Leslie Hd38
Leslie HD38 Aude me raconte, suite
La semaine qui suivit le fameux soir avec Angélique, jessayais de lui parler, de prolonger lexpérience que nous avions eu toutes les deux.
Jétais frustrée du fait quelle ne se souvienne plus de ce qui sétait passé. Je la désirais encore tellement
Jessayais de lui faire comprendre que javais envie, que jétais prête à me donner à elle, mais rien ny fit, et je dû me résoudre à abandonner lidée de coucher avec elle.
Je me mis alors à la recherche dune autre fille qui pourrait minitier aux plaisirs lesbiens.
Je sus que je lavais trouvé après une petite discussion dans les couloirs du lycée avec Lise, une fille du même âge que moi, et qui avait été dans ma classe les années précédentes.
Elle ma toujours beaucoup plu, timide et un peu gênée en public, mais tellement délirante en privé, elle se lâche, raconte sa vie, rigole et dit des conneries, elle est très drôle au final.
Elle venait alors de me dire quelle navait plus de petite copine, ce qui implicitement voulait dire quelle aimait les filles.
Je savais quelle maimait depuis que lon se connaissait, elle semblait gênée quand jétais près delle, elle rougissait quand je lui faisais un sourire.
Elle me demanda donc si je voulais sortir avec elle. Je lui répondis :
- Oui, bien sûr.
Et elle minvita chez elle le prochain vendredi soir. Je savais à quoi mattendre avec elle, elle nétait plus vierge, et avait la réputation dêtre une vraie coquine au lit.
Physiquement, elle était plutôt jolie, elle avait un visage en longueur aux pommettes saillantes et des lèvres pulpeuses, de longs cheveux châtains et des yeux bleus.
Son petit air timide, la rendait très mignonne.
Je ne pouvais vraiment pas limaginer être une vraie cochonne au lit qui adore baiser avec tout le monde, mec ou fille.
Lise était un peu plus petite que moi, avec un fin tour de taille.
Vendredi soir, je me rendis donc chez elle. Je sonnais et Lise mouvrit la porte, avec son petit sourire timide que jaimais tant. Je la regardais, elle portait un jean et un petit débardeur rouge qui permettait dadmirer les courbes de sa poitrine.
Jentrais dans la maison.
- Tes parents ne sont pas là ?
- Non, ils sont partis pour le week-end et nous ont laissé la maison pour nous, répondit-elle.
Son sourire me faisant fondre sur place.
Elle mattrapa par la taille, et membrassa passionnément à peine bouche.
Surprise au début, je mabandonnais, sa langue venant trouver la mienne, ses mains me caressant le visage et le dos. Elle embrassait vraiment bien et je me laissais aller.
Elle mit fin à notre baiser, et mentraîna au salon. Assises sur le canapé, nous avons engagées la conversation.
Elle me racontait ses aventures au lycée et sa vie en générale. Elle me fit beaucoup rire et je ne pouvais pas mempêcher de temps en temps de lembrasser délicatement.
Puis nous nous sommes enlacés sur le canapé pendant quelques minutes, sa tête reposant sur mon torse et moi lui caressant doucement les cheveux. Nous étions ensemble, nous étions heureuses.
Ce fut elle qui minvita à aller dans sa chambre, les yeux pétillants. Sa chambre nétait pas très grande, avec des posters et des photos pleins les murs et un grand lit deux places.
Elle me poussa avec tendresse sur le lit, sallongea sur moi et commença à membrasser. Je sentais quelle restait un peu réservée, un peu timide. Je décidais de détendre latmosphère. Tout en lembrassant, je lui caressais le cul avec insistance. Nos respirations saccélérèrent. Nos baisers étaient passionnés et fougueux.
Je sentais mon antre se mouillé dans ma petite culotte.
Lise se redressa alors et retira rapidement son haut.
Elle me sourit, lair toujours timide bien quelle soit en les seins nus sur son lit devant moi.
Je restais bouche bée devant ses superbes seins dressés de désir, ne me retenant plus, je plongeai la tête en avant pour lécher et peloter ses seins, mordiller ses tétons tout durs. Ma langue allait et venait sur le bout de ses seins, et Lise gémissait, cambrée en avant. Jétais aux anges. Mais ce nétait rien comparé à ce qui allait arriver après.
Lise, ses beaux yeux bleus me fixant intensément, me repoussa sur le dos, et me déshabilla. Je me laissais faire, trop heureuse de ce qui était en train darriver. Elle enleva ma culotte et se retrouva nez à nez avec ma fente luisante de désir.
- Oh oui vas-y ma belle, vas-y, murmurai-je.
Elle posa timidement sa bouche sur ma fente, ses yeux fixés sur moi, ce qui me fit frémir, puis elle sapprocha un peu plus de moi. Je me demandais ce quelle allait faire.
Elle prit ses seins à deux mains et se mit à se caresser devant moi, puis elle se déshabilla et se branla devant moi.
La petite Lise, toujours timide, propre sur elle, qui se lâchait et faisait sa belle salope ! Les rumeurs étaient en effet justifiées ! Et elle avait lair dadorer ça en plus, elle se branlait en poussant des soupirs, puis elle me dit :
- Tu devrais en faire autant, sest si bon.
Sans me poser de questions je me mis à me branler la chatte, elle regardait avec passion et, voyant mon expression de bonheur, elle me sourit. Mais ce nétait pas le même sourire que dhabitude, celui dune vraie cochonne qui prenait son pied à me regarder me donner du plaisir.
Cela mexcita énormément venant de cette fille dhabitude toujours réservée et gênée. A genoux sur le lit Lise accéléra le mouvement de sa main sur a vulve, ses superbes seins se balançant de plus en plus rapidement.
Elle hurla son plaisir, puis membrassa longuement.
- Oh que cest bon, me dit-elle avec un sourire de cochonne.
Elle sallongea près de moi et se mit à me branler pour me faire jouir.
Le plaisir monta rapidement en moi et je lui dis :
- Tu es incroyable.
Je jouis en feulant de bonheur, alors elle sallongea sur le dos, écarta les jambes et me murmura dune voix sulfureuse, ses yeux brûlant de désir :
- Alors baise-moi maintenant.
Ce nétait vraiment plus la même Lise que je connaissais auparavant. Je narrivais pas à y croire. Lise me regardait avec ses yeux de braise, elle sortit un gode ceinture du tiroir de sa commode et me répéta :
Baise moi salope !
Me redressant, je tentais de méquiper, maladroite, Lise maida et je me positionnais au-dessus delle, la bite factice à lentrée de son sexe, le gland touchant sa vulve.
Je poussais alors doucement avec cette queue en elle aider de ses mains sur mes hanches et me guidant dans la pénétration, le gode entrait lentement dans son vagin.
Lise gémit de plaisir, fermant les yeux. Lorsque le pal fut rentré à fond dans sa chatte, je commençais à faire des va-et-vient, dabord lentement puis de plus en plus rapidement. Lise, se caressait les seins en se cambrant.
Puis jy allais à fond, les couilles du gode frappant contre le bas de sa vulve. Lise gémissait de plus en plus fort et ses seins remuaient et tressautaient violemment avec mes coups de reins.
Ce fut extraordinaire comme sensation de pénétrer Lise ainsi. Ses gémissements qui devenaient à présent des cris de plaisir mexcitaient encore plus. Je la baisais comme un mec, donnant de violents coups de hanche.
Le plaisir montait rapidement en elle, Lise eut un tremblement et hurla de plaisir en jouissant. Je retirais alors rapidement cette bite du sexe de Lise encore tremblante.
Lise, se redressa en me regardant fixement, et dit :
- A toi maintenant, je vais te baiser comme une salope que tu es !
Elle ne me laissa pas le temps de protester et elle fut rapidement sur moi harnachée, je la regardais le souffle court par létonnement et lenvie de me laisser baiser.
Elle me pénétra sans un mot et me tirant un cri de surprise et des gémissements de plaisir. Elle me prit longuement ainsi puis en levrette, essayant parfois de me sodomiser, mais je lui refusais mon petit trou et elle ninsista pas, après un orgasme me terrassant, je mallongeais et Lise vint membrasser passionnément.
Je dormis chez elle, cette nuit là, dun sommeil paisible et heureux.
Je passai ensuite la journée suivante avec elle. Nous baisâmes encore plusieurs fois par la suite, mais cette belle histoire ne pouvait continuer indéfiniment
A suivre
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