Semaine De Reunions Chapitre 4

CHAPITRE 4

Odile enfila un séduisant déshabillé de soie blanche pour aller voir qui toquait à la porte de sa chambre à cette heure.
-Hhhhmmm toujours aussi sexy ma beauté !!
-Axel ??? fit-elle étonnée et un peu gênée.
Sans en être invité, il pénétra dans l’entrée de la suite, posa l’attaché-case qu’il avait à la main et enlaça Odile, lui plaquant les deux paumes sur ses deux rondeurs jumelles. Collé à son corps de déesse, il la faisait reculer jusqu’à la chambre.
-Ca fait 3 ans que je ne pense qu’à te baiser de nouveau !! Prit-il le temps de lui avouer avant de recouvrir la bouche appétissante de la sienne.
-Eh bien mon salop, tu ne m’avais pas tout raconté sur elle !!! Fit alors une voix qu’Axel reconnut aussitôt.
-Fabriiiiiiiiiice, tu n’as pas perdu de temps dis-donc !!! répondit le black dans un grand éclat de rire.
Odile ne savait quelle contenance prendre. Le contact d’Axel, avait réveillé en elle bien des souvenirs bouillants. Elle n’avait plus gouté à une belle queue de black depuis son retour des States. Et elle sentait contre son ventre qu’elle n’avait pas perdu de son envergure depuis !!
La taille toujours emprisonnée dans les mains de son ancien amant, elle sentit la présence toute proche de Fabrice.

-Ce que je peux te dire, c’est qu’Odile a un appétit sexuel infatigable !!!
-Oooh !! Axel !! répliqua l’intéressée dans un air de reproche, plus amusé qu’autre chose.

-Alors, nous ne serons sans doute pas trop de deux pour en venir à bout !! fit Fabrice

Et ne percevant aucune réticence de la part de la jeune femme, il vint se frotter sans retenue contre son dos, lui saisissant les seins, bécotant sa nuque.

La belle n’avait jamais connu de partie fine à plusieurs, mais s’apercevant dans le miroir, prise en sandwich par ces deux silhouettes masculines, elle sentit une fulgurante décharge d’adrénaline dans tout son corps.

Elle se cambra sous les quatre mains qui jouaient maintenant de son anatomie et ferma ses yeux pour profiter pleinement de ses sensations.
Ces deux polissons l’avaient, individuellement fait grimper aux rideaux, alors elle imagina ce qu’allait être le reste de la nuit entre ces deux amants hors pair.
Elle ne sut qui lui ôtait son peignoir, ni qui l’entrainait sur la couche, mais elle sentit deux bouches la parcourir, deux langues la lécher, et quatre mains la pétrirent.
On la couchait sur le flanc, lui écartait les jambes et une langue virevoltante s’attaqua à sa chatte en effervescence. Et au même instant, elle sentit une matraque de belle taille contre le bas de son dos. Elle comprit qu’Axel se branler dans la raie de ses fesses.
La queue de l’autre homme frôlait sa bouche, elle pointa sa langue pour en agacer le gland. Echauffé par les jeux qu’il entrevoyait, Fabrice tenait de nouveau une forte érection et les coups de langue de la belle délurée ne firent qu’accroitre son état.
Elle le prit bientôt en bouche pour une savoureuse fellation. Elle jouait de sa queue avec un art magistral. Il se rendit compte que son compagnon de débauche, venait de lui planter deux doigts dans le con et que sa sucette se faisait encore plus appuyée.
- C’est ça, doigte lui fort la chatte, elle me pipe du tonnerre !!!
-Tiiiiiiiiiiiiiens, elle adore çaaaaaaaaaaa cette petite moule !! fit-il en la ramonant hardiment, alors que Fabrice lui bouffer le clito avec vigueur.
-Ouiiiiiiiiiiiiii broute-moi !! Fourre-moi tous tes doigts !! Les harangua la gourgandine ayant libéré le nœud de l’étau de ses lèvres. Entre deux feulements, elle léchait la tige de Fabrice, en lentes montées et descentes puis soudain, elle lui happa un testicule dans un enivrant bruit d’aspiration.
-Ouiiii, bouffe-moi les couilles, ma cochonne, Ohhhhhhhhhh que c’est bon !!
N’en pouvant plus de se retenir, Axel, empoigna son pénis et positionna son gros pruneau sombre au contact des grandes lèvres.
-Tiens ma poupée, empale-toi sur ton beau joujou !!
Et d’un coup de rein, la chaudasse s’emmancha.
-Oh ma salope !! Tu te la fourres toute entière cette grosse queue noire !! Elle te remplit bien la chatte, hein ma cochonne ? Fit Fabrice tout en lui lustrant frénétiquement son petit bouton de son majeur.
Axel, passif, n’avait pas bougé d’un pouce. Il savourait la vision de cette affriolante croupe qui se démenait sur son engin. Il avait tout le temps pour la sabrer comme un hussard.
-Regarde comme elle aime se baiser la chatte, cette diablesse !!! C’est ça continue, polissonne, astique toi, fais-toi du bien !!
Elle se démenait de plus en plus vite sur l’impassible morceau d’ébène. Et c’est se faisant branler le clito par l’un et se secouant sur l’autre qu’elle prit un pied démentiel. Elle jouit quatre fois d’affilé et semblait bien partie pour d’autres oraisons. Mais les deux hommes avaient d’autres projets pour cette femelle assoiffée de sexe.
Lui laissant retrouver un peu son souffle, ils la caressaient avec délicatesse, appréciant le velouté de sa peau dorée.
-Oooooooh que c’est booooooooon !! fit-elle. Quelle baise !!!
-Et ce n’est pas fini !!
-J’espère bien !!! répondit-elle en leur lançant un regard des plus fripons. Je ne vais pas vous laisser dans cet état. Elle se lécha la paume de ses mains, et se saisit de leur bite pour les branler de concert.
-C’est la première fois que j’ai deux belles queues à la fois !! Je veux en profiter au maximum.
-Hmmmmmmmm Alors montre-moi si tu es toujours une aussi bonne tailleuse de bite !! fit Axel.
Elle se mit à quatre pattes Se faisant elle savait pertinemment qu’elle offrait sa croupe à l’autre compère.
-Monte-moi Fabrice, pendant que je suce ce gros sucre d’orge.
Le ruffian ne se fit pas prier plus. Alors qu’Odile fondait littéralement sur sa proie avec une faim évidente, il empoigna ses hanches pour lui enfourner sa trique d’un trait dans sa chatte béante. Et en cadence avec la sucette qu’elle avait entreprise sur Axel, il lui labourait soigneusement les reins.
Il stoppait régulièrement ses va-et-vient pour laisser sa sève redescendre. Mais cette dévergondée, ne l’entendait pas ainsi. Elle voulait de la queue !! Elle se cambrait en furieux coups de reins pour se lustrer le berlingot, aussi dut-il l contenir d’un bras, la main plaquée fermement sur son ventre pour ne pas gicler trop vite. De sa main libre, il lui branlochait sa perle d’amour couverte de cyprine.
-Ouiiiiiiiiiiii ma chérie, tête ma pine. Oh putain, ça c’est une pipe !!! Et sentant que son complice était sur le point de la faire venir, il lui empoigna doucement les cheveux pour qu’elle ne le lâche pas. Son cri de plaisir fut ainsi qu’une plainte rauque. Tout son corps vibrait sous le déchainement orgasmique et sa fellation se fit aussi plus puissante. Axel, se retira de sa geôle quand la première goutte de foutre gicla sur la langue agile. Il dut se concentrer violemment pour ne pas la crémer copieusement.
-Plus elle jouit, plus elle pompe !!! C’est trop bon !! Sa pression maintenant retombée, il comptait bien se faire biberonner de nouveau jusqu’à l’extrême limite.
Fabrice montait toujours l’infatigable pouliche, laissant folâtrer ses mains sur le dos et les hanches de la donzelle. Il lui empoignait parfois les fesses pour les resserrer fermement sur sa bite. Puis les écartant largement, il laissait filer un doigt le long du sillon culier.
Axel sentit l’effet de ce geste sur sa suceuse. Il jeta un regard interrogateur vers son complice. En effet quelques années auparavant, quand il était sortit avec Odile, il n’était pas encore adepte de la sodomie, et elle ne lui avait pas laissé entendre qu’elle la pratiquait elle non plus.
Mais connaissant la lubricité de son coéquipier, Axel se dit qu’il avait bien pu la dépuceler.
Fabrice s’humecta copieusement le majeur de salive, puis vint placer son doigt sur le petit opercule. La jeune femme se cambra aussitôt, avalant du coup plus profondément la queue d’Axel.
-huuuuuuuuuuuum, ne put-elle que prononcer.
-Tiens, ma poupée !!fit Fabrice en lui forant l’œilleton du sa première phalange.
-hhhhhhhhhhhhhaaaaaaaaan !!fit-elle en réaction.
-Oh, il te met un doigt dans le cul Odile !! Et tu as l’air d’apprécier, dis-donc, ma cochonne
-Oh ! Elle a jouit comme une furie quand je l’ai enculée avant ton arrivée !!
-OOOOOOOh, ouiiiiiiiiiiiii doigte moi la rondelle !!! Réclama la vorace succube tout en fustigeant le champignon gonflé d’Axel.
-Voilàààààààààààààà !!! dit-il en immergeant l’intrus jusqu’à la garde. Il alternait les coups de boutoirs dans la minouche et les intromissions enthousiastes de chacun de ses doigts.
La belle remuait son cul, savourant chaque attaque. Bientôt se furent deux coquins accolés qui fourrageaient son macaron dilaté.
-Ohhhhh, plus il te doigte, plus tu me suces divinement !!! Et se penchant sensiblement, et vint glisser son index dans la raie de ses fesses alors que celui de son autre main, venait affoler le clito.
Conciliant, Fabrice lui laissa la place. Et ne laissant pas à l’attirante bague le temps de se refermer, il y engloutit toute la longueur de son doigt.
Et c’est ainsi que prise en tenaille, elle éructa encore à répétition, contractant automatiquement de concert ses lèvres et son vagin sur ses assaillants.
Les deux hommes déversèrent le flot de leur sauce dans un rugissement bestial. Odile, aiguillonnée par ces cris de libération, connut encore une jouissance phénoménale, tout en avalant le copieux geyser de foutre qu’Axel lui déversait entre les lèvres.
Rompus les deux hommes se laissèrent retombés sur les coussins, Odile lovée à plat ventre entre eux deux. Ils caressaient affectueusement le dos de cette extraordinaire partenaire de jeu.
Elle se tourna vers eux en alternance pour leur déposer des petits coups de langue sur leur bouche.
-On peut faire un petit break ? Questionna Fabrice rieur.
-Hum ? Juste un petit alors !! répondit la satanique libertine.
-Odile ne m’a pas l’air calmée !! fit Axel en pouffant de rire.
-Non, mais moi, je souffle !!rétorqua son comparse. Trois éjaculations en deux heures, j’ai besoin de récupérer !!!
-Tu veux que je te masse ? fit la bougresse en posant sa main sur l’organe fatigué.
-Mais elle est incroyable !!!
-Ne t’inquiète pas j’ai ce qu’il lui faut !! affirma Axel qu’un air guilleret. Et il se leva du lit pour récupérer la mallette qu’il avait abandonné à son arrivée.