Manon, Jeune Élève Obéissante (2)
Il ma faite monter à larrière dun taxi, côté gauche, et my a rejointe à la place de droite. Il a indiqué son adresse au chauffeur, légèrement en périphérie de la ville. Dans ces quartiers de maisons individuelles où je ne me rendais jamais, mon univers se limitant au centre. Il na pas tardé longtemps, dans lobscurité de la voiture, à reprendre où il en était resté quelques instants plus tôt à lintérieur de la boîte, et jai senti sa main parcourir à nouveau mes cuisses habillées de mes bas noirs satinés. Il a tiré sur une lanière de mon porte jarretelle, puis sur une autre, comme pour le régler plus court. Je frissonnais de nouveau, mon état était à peine retombé le temps de passer au vestiaire de la boîte et trouver un taxi, et je navais eu quà peine le temps de douter que jétais déjà à nouveau à sa merci. A peine sest-il mis à caresser de nouveau ma chatte à travers mon string, que jai compris que je ne voulais pas autre chose quêtre à lui, le suivre chez lui, et me donner corps et âme, entièrement si tel était son désir. Ainsi nai-je rien dit, ainsi nai-je rien fait lorsquil a relevé ma jupe plus haut sur mes cuisses, découvrant mon string de nouveau. Et je nai rien dis non plus lorsquil lécarta, dévoilant mon sexe nu.
- Hum tu es déjà tout baveuse, me murmura-t-il au creux de loreille. Tes en chaleur ma belle ! Et la soirée ne fait que commencer. Jai prévu une leçon rien que pour toi, jespère que tu te montreras à la hauteur
Jai senti un doigt froid pénétrer ma chatte, et jai eu un sursaut, autant provoqué par cette nouvelle intrusion que par ses paroles. Mais, malgré le froid de cette saison, ce nétait pas son index. Ni son pouce. Ni aucun de ses doigts. Jai du glisser ma main sous ma jupe pour comprendre quil venait de menfoncer un gros briquet genre Bic entre les lèvres.
- Amuse-toi un peu, il ne nous reste plus beaucoup de temps pour être à la maison, et notre chauffeur na dyeux que pour la route.
Il a serré ma main dans la sienne pour mencourager à faire des va-et-viens avec son briquet, avant de me laisser continuer seule, mais étroitement surveillée. Jai laissé légèrement tomber ma tête en arrière, imperceptiblement, comme je nai fermé que très légèrement mes yeux, mais je suivais ses consignes et me donnais du plaisir à larrière de ce taxi. Je ne le voyais pas entrer et sortir, pourtant je limaginais en plastique orange glissant lentement entre mes lèvres humides qui lenserraient amoureusement, comme cela narrive quà très peu de briquets. Mais cétait celui de Jérôme, ce nétait pas nimporte quel briquet, dans létat où jétais je crois que jaurais idolâtré de la même manière nimporte quel objet venant de lui.
Jai sursauté :
- Tout va bien mademoiselle ? Vous nêtes pas malade ?
Cétait le chauffeur. Il craignait pour la propreté de sa voiture. Par le rétroviseur central il me regardait, inquiet que je ne sois sur le point de vomir sur sa banquette.
Je fus lespace dun instant rassurée quil nai pas compris ce que je faisais exactement. Mais alors que je me félicitais que cet homme ne voit pas plus loin que le bout de son nez, à son regard dans le miroir jai su que javais commis une erreur de jugement sur son compte et quil avait désormais compris le petit manège se déroulant à larrière de sa voiture.
Il navait pas semblés sintéresser à moi plus que cela, jusquà ce quil profite dun arrêt à un feu rouge pour se retourner sans la moindre gêne, et parcourir des yeux tout mon corps durant une petite éternité. Jai cru sans mentir sentir son souffle sur mes cuisses. Il navait rien dit, il navait pas bougé de son siège, ni même approché sa main vers moi et pourtant je le sentais presque contre moi. Je me sentais nue, déshabillée
Il semblait essayer de même me pénétrer mentalement.
Jétais rouge de honte, et il navait toujours rien. Le silence sétait fait pesant et je nosais plus bouger ma main dun millimètre sous ma jupe, mes doigts étaient crispés sur le plastique du briquet.
Jérôme se pencha vers lavant de la voiture pour tendre des billets.
- Et la petite, elle vous a couté combien ? lui demanda le chauffeur dun ton complice
- Elle fait ça gratuitement, lui répondit-il. Elle aime ça. Pour linstant elle commence tout juste son éducation. Mais si on se recroise à lavenir, dici quelques mois, je pense que jen commencerai la location si vous êtes intéressé!
- Jespère bien ! Elle est magnifique. Timide comme il faut pour deviner la salope quelle va devenir ! Je pense que ça fera une adorable petite pute !
Jérôme me sourit. Je nen croyais pas mes oreilles.
- Tu as reçu de très gentils compliments Manon. Tu ne crois pas que tu pourrais remercier ?
Je regardais le chauffeur avec désormais un certain dégoût, tandis quil tendait sa main vers moi. Que simaginait ce type sur mon compte ? Et Jérôme ? Pourtant je ne su pourquoi je remerciais notre chauffeur, et mis ma main dans la sienne.
Jérôme ouvrit ma porte et me fit descendre poliment. Si bien que je nentendis pas la suite de leur conversation. Je les regardais tous les deux, debout sur le trottoir, me demandant si javais rêvé ce que javais entendu. Mais en vérité je savais ce que javais entendu, cétait aussi réel que ce briquet enfoncé dans mon bas ventre et ce string dont le fond était tout mouillé par ma faute.
- Tu plaisantais ? jai demandé à Jérôme tandis que le taxi repartait.
- A ton avis ? Quest-ce que tu en penses ? Qui penses-tu que je suis ?
- Tu me fais un peu peur
- Je ne ferai rien que tu ne veuille pas faire.
Je ne dis rien, et me laissais prendre la main pour traverser son jardin.
A peine la porte ouverte, je fus comme poussée agréablement à lintérieur de sa maison. Je ressentis un immense plaisir que toute saccélère de la sorte, et ai-je envi de dire « enfin ». Oui, « enfin » ce que jattendais arrivais. Javais à peine eu le temps dobserver que ça déco était à tomber par terre, quil avait déjà sorti ma poitrine de mon étroit soutien-gorge, et quil mavait déjà collé contre un mur sur lesquels mes seins étaient venus saplatir et se frotter. Ma jupe était relevée et mon string navait pas attendu bien longtemps pour se trouvé de nouveau écarté. Je me cambrais machinalement. Je sentis quelque chose venir forcer lentrée de ma bouche. Cétait son briquet, quil me conseilla de bien nettoyer pour le lui rendre aussi propre que lorsquil me lavait prêté.
- Manon montre-moi que tu es propre, que tu aimes la propreté. Montre-moi comme tu es douée avec ta langue et comme tu sais bien nettoyer
A suivre
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!