Leslie Hd39

Leslie HD39 – Aude me raconte, suite

Après Lise…

Ma relation avec lise prit fin un jour où une nouvelle fois elle ne put me sodomiser, me refusant à lui donner ma rondelle elle me jeta en me disant :
- Puisque tu te refuses, je n’ai plus rien à faire avec toi !

Je m’en remis rapidement car cette année-là, je voulais travailler pendant l’été pour me faire un peu d’argent, j’ai décidée de réaliser un stage de vendeuse dans le cadre de mes études, espérant trouver quelque chose sur le terrain.
Dans le cadre de mes recherches, je tombe sur l’annonce d’une propriétaire de sex-shop, cherchent une vendeuse pour les deux mois de l’été.
Je décide donc de faire parvenir un CV et une lettre de motivation. Au bout de quinze jours, je reçois un appel pour me demander de venir passer un entretien d’embauche.
Le lundi suivant l’appel, je me rends à la boutique, celle où nous nous sommes rencontrées.
Une belle femme me reçoit, me salue :
- Bonjour mademoiselle.
- Bonjour, je m’appelle Aude, et j’ai rendez-vous avec vous suite à votre convocation pour la place de vendeuse.
- Oui, effectivement.
Elle ferme la boutique et me fait entrer dans son bureau situé à l’arrière de la boutique.
- Asseyez-vous mademoiselle, me dit la femme.
- Merci.
- Alors dites-moi, vous êtes intéressée par la place de vendeuse.
- Exactement, et je souhaite profiter de la période des vacances scolaires pour me faire une idée sur la vente. De plus, j’aime me confronter à la réalité.
- Très bien, je vais faire court. Vous avez pu constater qu’il s’agit d’un sex-shop, pas d’une boutique classique. Nous faisons dans le beau mais la clientèle est parfois, disons spéciale.
- J’avais remarquée, mais rien ne me dérange, dis-je.
- Bon, j’ai décidée d’ouvrir cette boutique et de me consacrer à un type de clientèle plutôt portée sur l’érotisme, je propose de la qualité et des tarifs abordables, la clientèle est exigeante, mais ça marche bien.

J’ai l’intention d’ouvrir une autre boutique et si ça marche pour vous, après les deux mois, de vous la confier en gérance, cela vous intéresse-t-il.
- Bien sûr, dis-je.
- Mais il faudra quitter le cursus scolaire.
- Ce n’est pas un problème, j’ai un BTS force de vente, et je voulais faire une année de perfectionnement, l’occasion qui se présente est trop intéressante.

A ce moment-là je pensais la conversation bien engagée et la femme intéressée par ma candidature. Alors elle me dit :
- J’ai donc besoin de vous tester et de vous expliquer le fonctionnement de la boutique le premier mois et de vous laisser seule le deuxième, je pars en vacances. Nous ferons le point à la fin du deuxième mois et verrons pour notre collaboration future.
- Très bien, je comprends. Que souhaitez-vous savoir sur moi en plus de ce que vous avez pu lire sur ma lettre si ce n’est que je suis motivée, curieuse d’apprendre et très rigoureuse et que vous pourrez donc compter sur mon investissement complet.
- Je pense en savoir assez et vous avez l’air sincère. Ayant vu peu de personnes, vous êtes la dernière que je rencontre pour ce poste et, vu que j’ai besoin de quelqu’un d’ici début juillet, je vais vous proposer ce poste, en comptant sur vous pour ne pas me décevoir.
- Merci pour cette opportunité.
- Je vous en prie. Pour information, vous serez rémunérée au SMIC pour trente-cinq heures par semaine et donc sous la forme d’un contrat à durée déterminée commençant début juillet et finissant fin août, après nous verrons, cela vous convient-il ?
- Oui, c’est ce que j’avais compris lors de notre premier échange téléphonique et cela me convient.
- Parfait, je prépare tous les dossiers administratifs et votre contrat. Je vous attends le premier lundi de juillet à huit heures trente pour tout vous expliquer.
- Très bien, je vous remercie et donc à très bientôt.
- Parfait, je vous raccompagne.
Elle me reconduit à la porte, puis je rentre chez moi toute contente d’avoir eu une réponse si rapide et d’avoir un boulot pour cet été et qui sait plus.


Comme prévu, le fameux lundi, je me rends à la boutique avec un peu d’avance pour mon premier jour, cela me paraît normal.
Christine, qui est ma patronne, arrive peu de temps après, ouvre la boutique et me fait entrer, nous faisons un tour, elle me présente les articles, les rayons, me donne quelques conseils sur sa façon de travailler et la journée démarre.
Jusqu’à la mi-juillet, tout se déroule parfaitement bien et nous sympathisons, une vraie complicité s’installe au fur et à mesure, en plus la boutique tourne super et Christine est heureuse.

Christine a trente-deux ans ; elle est plutôt grande (un mètre soixante-treize), assez mince et plutôt jolie avec un corps bien proportionné, elle est brune et a les cheveux longs et lisses.
Elle n’a personne dans sa vie et vit seule depuis plus de deux ans dans une maison bourgeoise non loin de la boutique.
Le 13 juillet, Christine me propose de passer le soir du 14 Juillet ensemble, ce que j’accepte. Étant moi-même célibataire et n’ayant rien prévu pour le 14, c’était plutôt bienvenu.
Nous nous retrouvons le lendemain soir vers dix-neuf heures chez elle pour boire un verre avant d’aller manger dans un petit restaurant pas très loin de là où devait être tiré le feu d’artifice. La soirée se passe bien et même si j’ai un peu trop bu, nous passons un bon moment à rigoler toutes les deux. À la fin du feu d’artifice, Christine tombe sur un ami à qui elle propose de rester avec nous pour le petit concert qui suit. Il est très sympa, il a à peu près son âge et est plutôt bel homme, je dois l’avouer. Il s’appelle Christophe et semble plutôt proche de Christine.
La soirée passe et nous rentrons chez Christine pour boire un dernier verre et je me prépare à rentrer chez moi afin de les laisser seuls. En partant, Christine m’offre mon 15 juillet et je reviens tranquillement chez moi…
Le lendemain matin en me réveillant, je culpabilise un peu de savoir Christine seule pour tenir la boutique, alors je décide d’aller travailler.

À neuf heures, je me rends donc à la boutique et je trouve porte close, alors je décide de me rendre chez Christine, la porte d’entrée est fermée alors je décide faire le tour de la maison pour frapper à la porte de la cuisine, mais, en faisant le tour, j’entrçois du mouvement dans sa chambre, ce qui attire mon regard.

A suivre…

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