Cette Petite Branleuse Qui Me Domine 3
Je navais plus de nouvelle de Natasha depuis plusieurs semaines, nous sommes mi-juin et lécole nest pas terminée, mais jévite de me rendre disponible pour aller les chercher à lécole ma fille et elle. Je ne veux surtout pas être confronté à Natasha en présence dautres personnes et encore moins en présence de ma fille. Toutes les excuses liées au boulot, je les ai testées, je peux même mautoriser à revendiquer le titre dexpert dans ce domaine.
Cette absence de Natasha me pesait, cette petite peste mavait rendu accro, moi un homme marié de 44 ans complètement en manque dune gamine qui pourrait-être ma fille, je dormais mal, pensais à elle jour et nuit, je me branlais très souvent en me remémorant nos rencontres ou imaginant des scénarios plus excitant les uns que les autres.
Aucun appel, aucun SMS, je me sentais comme en manque.
Si un SMS un vendredi soir, ce qui ma permit de la voir quelques minutes, mais rien à voir avec mes délires imaginés lors de mes séances de masturbation,
Je reçois ce SMS vers 23h00 :
(Je le retraduis pour que tout le monde puisse le comprendre, il me faut bien le relire 2 ou 3 fois pour en saisir le sens)
[Fait chier, je suis à X.. et jai plus de clopes, tout est fermé, tu en as ?]
Toujours les cigarettes ! Mais, bon sans elles rien ne se serait passé, je lui réponds :
[Oui, jen ais]
Sa réponse est toujours aussi rapide, ah les jeunes et les SMS :
[Bouge et viens sur le parking X.., quand tu es là tu menvois un SMS]
Elle semble être de sortie ce soir, et reste toujours aussi direct, ce qui me déplait pas, je lattendais trop, je lui réponds :
[Jarrive Natasha]
Au bout de quelques minutes, aucune réponse ? Elle ne prend même pas la peine de me dire, je tattends, ou merci, cest vrai quun merci de sa part serait surprenant.
Je trouve une nouvelle excuse de boulot pour sortir, monte dans ma voiture et me dirige sur le parking indiqué.
Arrivée sur place, je stationne et lui envoi un SMS pour lui signaler ma présence, aucune réponse, je regarde mon téléphone, non rien, ça fait 5 mn que je lui ais envoyé ? Jen renvois un second, mais toujours rien. Au bout de 10 mn, un appel, le numéro nest pas enregistré, ce nest pas elle, je réponds et je reconnais immédiatement la voix de Natasha qui me dit :
- Tes où exactement ?
Moi :
- Ce nest pas ton numéro de téléphone ?
Natasha :
- Cest à une copine, jai plus de forfait, tais où ?
Je lui indique mon stationnement le plus précisément possible, deux minutes plus tard je la vois arriver accompagnée de trois autres filles et deux garçons. En la voyant sapprocher de ma portière, je ne peux mempêcher de ladmirer dans sa mini jupe en jean, petit top vert très décolleté et un petit gilet boléro par-dessus, elle est craquante.
Elle sapproche, les cinq autres restants à 4/5 m, ma vitre est baissée, elle sy appuie me donnant une vue inespérée sur sa jolie petite poitrine, le remarque et me dit :
- Profite en, tas les clopes, tas combien de paquet ?
Moi :
- Jen ai pris un neuf pour toi
.
Natasha ne me laisse pas terminer :
- Pas tu mais VOUS, tes pas assez barge pour vouloir te faire claquer devant eux quand même, si ?
Moi :
- Non, je ne préfère pas
Natasha :
- Tinquiète gros porc, bon je te demande pas combien de clopes tu as prévues pour moi, mais combien tu en as, commence pas à ménerver
Moi :
- Un paquet neuf et la moitié dun autre, je nais que ça
Natasha :
- Alors donne, donne les deux paquets
Moi :
- Jen aurais plus pour moi ?
Natasha me prend le menton, me regarde fixement avec son petit sourire moqueur et me dit dun ton très doux :
- Quest-ce tu veux que ça me foute, tu matte mes seins là, ça les vaut, non ?
Jacquiesce et lui remet les deux paquets, elle les prend avec un sourire satisfait et se relève, puis semble réfléchir quelques secondes, puis reprend sa position, descend sa main sur mon sexe, la retire et me dit :
- Je te fais bander, hein, il texcite mes seins, tas ta petite bite bien dure mon gros, hein.
Moi :
- Je ne sais pas, 20 à 30 euros
Natasha :
- Donne
Moi :
- Que je te
pardon vous donne
(le faite de la vouvoyer ma tout de suite remis à ma place, la question se posait pas)
oui tout de suite
Je fouille dans ma poche et lui remet tout ce que javais, 28 euros et quelques centimes, elle les prend, se retourne vers son groupe de copain et leur montre largent comme un trophée et dit :
- On va pouvoir aller à la fête foraine
Se retourne vers moi :
- Ben voilà, il est gentil le gros porc, il va pouvoir aller se branler maintenant
Et dun ton plus autoritaire et emprunt de dégout :
- Dégage
Jai redémarré et quitté immédiatement le parking, elle avait raison, quelques kilomètre plus loin, je me suis garé dans un petit chemin et me suis branlé en revoyant ses petit seins, jai giclé en à peine 2 mn.
Puis je suis revenu bien sagement chez moi
Un paquet et demi de cigarette et plus de 28 euros pour mater de jolie petit seins dans un décolleté et pouvoir me branler après, cest beaucoup quand même, petite branleuse elle fait ce quelle veut de moi.
Après ça plus de nouvelle jusquà ce mercredi (5 jours plus tard), je reçois un SMS dun numéro que je ne connais pas :
[Appel-moi sur ce numéro, Natasha]
Ce numéro ne correspondait pas au numéro de téléphone de sa copine quelle avait emprunté vendredi dernier, jappel, ça décroche mais personne ne répond, je dis :
- Cest C..
Je reconnais la voix de Natasha :
- Mon téléphone marche plus, les touches déconnent, et en plus jai un forfait à la con, alors tu va macheter un X.. (Marque dun téléphone) et me prendre un forfait illimité, internet et tout le reste ok ?
Moi :
- Natasha, il est cher ce téléphone et un forfait illimité ce nest pas donné
Natasha avec une petite voix douce et sensuelle :
(Ce qui tendait à prouver quelle nétait pas certaine de son emprise sur moi)
- Fait ça pour moi, tas du fric toi, tinquiète pas je saurais te remercier, tu auras un cadeau, tu ten rappelleras
Moi, trop heureux à lidée du cadeau, ce moment va être inoubliable « tu ten rappelleras » comment refuser :
- Bon daccord, mais ce nest pas facile, ce genre de dépense pourrait se voir, ma femme pourrais sen rendre compte
Le ton de Natasha change, elle a compris que je ne pouvais rien lui refuser, elle ne prend plus de gant, sa voix est autoritaire et une certaine méchanceté :
- Ta salope, je men tape, tu lachète et tu me rappelle sur ce numéro quand tu las, tas compris
Je nais pas le temps de répondre que la tonalité résonne, elle a raccroché, certaine de mon acceptation.
Le lendemain, je me rends dans une boutique de téléphonie mobile, achète te téléphone et prend un abonnement illimité.
Tellement impatient de mon « cadeau », que dès la fin de matinée je la rappelle sur le numéro de la veille, une voix masculine me répond :
- Ouais
Je raccroche, vérifie de nouveau le numéro, cest bien le bon ! Mais ce nest pas Natasha, jessaye de réfléchir, et au bout dun quart dheure je rappelle :
- Ouais
Moi :
- Bonjour, je mappel C.. et Natasha mavait de mandé de la rappeler sur ce nu
.
Lui :
- Cest toi le connard qui ma raccroché au nez ta lheure ?
Sa voix à un accent magrébin, mais semble jeune :
- Oui, désolé je croyais mêtre trompé
Lui :
- Elle nest pas là, elle te rappellera, tas son tél ?
Il est au courant ! Elle sen vante à toute lécole ! Je ne sais pas trop quoi répondre :
- Heu
oui je lais, elle me rappellera
Lui :
- Ben ouais, tu comprends rien ou quoi
Et il raccroche
Je reste très anxieux de la divulgation faite par Natasha, qua-t-elle dite, à qui ?
Je narrive même plus à bosser tellement je suis inquiet, je préfère rendre le téléphone, elle est belle, me rends complètement dingue, mais je ne veux pas être la risée de tous les gamins et mettre ma vie en lair quand même !
15 mn plus tard, la sonnerie de mon portable me sort de ma réflexion, cest le même numéro, cest elle. Je réponds et jentends Natasha :
- Bon tu las, tas fait vite cest bien
Je lui réponds avec froideur :
- Oui je lais, mais tout à lheure, le type qui a répondu était au courant, tu lui as dit ? Je ne savais pas que tu le dirais à tout le monde !
Natasha :
- Oh, gras du bide, tu va te calmer, et tout de suite, dis moi encore TU et je te fais éclater la gueule, tas bien compris, tu vas changer de ton, tu crois pas que je vais me faire emmerder par une lope
Sa voix était blessante, sèche et elle me criait dessus, jessaye de répondre :
- Pardon Natasha, cétait juste que je trouvais ça inquiétant que dautre le sache, je suis marié et jais une vie de famille, tu le
pardon, vous le savez bien
Elle se met à éclater de rire :
- Arrête avec « je suis marié » « jai une femme »
tu te prends pour qui, tu ne tes pas vu dans la cabane à te branler à poil avec ton gros bite et ta bite de pd, tavait lair de quoi, tes une couille molle cest tout
Je lentends rigoler sans aucune discrétion, et reprend :
- Je ne lais pas dit à tout le monde, tes un malade, tu crois que jai envie quon sache quun vieux pervers se branle devant moi, ça va pas.
Moi :
- Oui mais pourquoi vous lui avez dit ?
Natasha :
- Lâche-moi avec ça, bon on revient au tél, comment on fait ça, Vendredi soir je tappelle, tu feras le taxi pour la boîte, comme ça tu ne viendras pas pour rien et emmène le tél et la carte sim, tas pas intérêt à oublier
Moi :
- Vers quelle heure, et tu avais
VOUS aviez parlé de cadeau ?
Natasha :
- Je tappelle ok, tu ne vas pas me faire chier avec lheure, et ton cadeau tu lauras vendredi, je ne suis pas une garce, je lais dit, tu lauras
et arrête de me vouvoyer, ça commence à me fatiguer, jen ais marre
Elle raccroche, la discussion na pas été simple, la tutoyer maintenant ! Cest une vraie girouette, pas une garce ? Cest vite dit, elle me prend pour sa banque, elle en profite quand même, tu es une petite garce Natasha, que cest bon de le dire, jai limpression de me venger.
Un téléphone à 250 et un abonnement illimité pour un cadeau, cette jolie petite branleuse a intérêt à me faire un cinéma denfer, humm jai hâte dêtre à vendredi soir.
Arrivée au vendredi, dès le midi, je prends la précaution de prévenir ma femme que je vais devoir bosser très tard, ce qui mévitera de trouver une nouvelle excuse à ma sortie ce soir.
A 17h00, je reçois un appel, un numéro de ligne fixe, le domicile de Natasha (je la trouve très en avance pour une sortie en discothèque) :
- Tu bouge, je tattends chez moi, ma mère narrive pas avant 18h, et prend le téléphone
Et elle raccroche, ne me laissant même pas le temps de répondre, et si javais été bloqué au boulot ! Elle semble sen foutre.
Je prends donc le paquet du téléphone, monte en voiture et me dirige chez elle. Arrivée à destination, labsence de la voiture de sa mère me rassure et confirme ses dires.
Après mettre garé, je sonne à la porte dentrée, Natasha mouvre la porte, regarde mes mains, voit le paquet, le prend et part avec vers sa chambre. Moi, je suis devant la porte ouverte comme un con !
Je décide donc de rentrer et daller dans sa chambre, prenant soins de refermer la porte dentrée derrière moi,
Mon « cadeau » promis, dans la chambre ? Qua-t-elle prévue ? Jen bande déjà.
La porte de la chambre est entrouverte, je la pousse pour pouvoir contempler « mon cadeau », elle est allongé sur son lit, tapant sur son ordinateur, le téléphone relié à celui-ci ! Sa tenue, comme sa position navait rien du cadeau promis ? Elle paramétrait son téléphone, cest tout !!!!!!!!
Elle mentend rentrer, tourne la tête, les yeux surpris et avec un air méprisant me dit :
- Ques-tu fout là ? Dégage et ferme la porte derrière toi
La sensation de mêtre fait avoir revient, comme mercredi dernier quand jai appris que ce type était au courant, lénervement me prend, et dun ton agressif je lui dis :
- Natasha, arrête de me prendre pour un con, tu nes quune petite branleuse, tu me redonne tout de suite ce téléphone et je veux plus entendre parler de toi petite conne
Le ton est donné, cest exactement ce que jaurais du faire la première fois, là elle va trop loin
Je vois quà son regard elle est surprise de ma réaction, même une impression de crainte ressort de son visage, reprenant une attitude logique quune gamine aurait face à un adulte après des remontrances appuyées.
Je lui laisse pas le temps de réfléchir, et poursuit ma demande :
- Bon tu remets tout ça dans la boite et me le redonne, dépêche-toi
Son regard semble apeuré, son visage est abattus, elle me donne limpression dune petite fille à qui on retire son cadeau (ce nest dailleurs que vengeance, je venais de ressentir la même chose). Mais elle semble reprendre de lassurance, pas entièrement mais assez pour me dire :
- Pourquoi tu change davis, tu étais daccord, non ?
Sa voix nest pas assurée, jai envie den profiter et de lui assainir le coup de grâce, mais elle me fait pitié, ne semble pas comprendre. Je décide donc de lui expliquer calmement la raison de mon attitude :
- Natasha, la semaine dernière je tais donnés des cigarettes et du fric, là tu me demande un téléphone portable, je tais dit que ça faisait beaucoup, sans parler de ton copain que tu avais mise au courant, mais je suis gentil, jaccepte parce que tu mavais promis un cadeau ! Venant de toi, tu sais très bien quel style de cadeau jattendais, mais toi tu prends le téléphone et me demande de partir. Clairement, tu me prends pour ta banque, donc non cest fini
Je reprends mon souffle et continu :
- Cest vrai que jai été trop loin avec toi, cest moi le responsable et pas toi, avec ce téléphone, le jeu aurait pus dégénéré, donc dans un sens, je suis content que tu les pris comme ça. Maintenant tu me le redonne, je le rends et tout rentre dans lordre, cest plus simple pour moi comme pour toi
Elle ma écouté jusquau bout, sans me coupé la parole. Elle se décide à parler avec une voix douce :
- Je comprends
Se lève, descend du lit, marche vers moi, se positionne face à moi
Je commence à bien connaitre ses réactions, elle veut essayer de reprendre la main en me giflant, je mapprête à anticiper son geste quand je reçois un violent coup dans le bas du ventre.
Elle venait de me donner un coup de genoux dans les couilles, à peine avais-je compris ça, quelle me balance cette fois-ci un coup de pied au même endroit, je tombe à genoux et me tord de douleur. Et je lentends :
- Cest pour ça que tu me fais chier, pour ton CADEAU
Sa voix nest pas violente, un peu forte, mais douce.
Elle me prend la tête par derrière, sans vraiment me tirer les cheveux, et la colle à son sexe !
(Elle portait un jean noir)
Je ne lavais jamais approché de si près, ma douleur était toujours présente, mais javais trop envie de la toucher, la position étant inconfortable, je passe mes mains sur ses fesses pour mieux me tenir, et elle sadresse de nouveau à moi en me caressant les cheveux, un peu comme elle le ferait pour un chien :
- Tu aime, je te plais, cest bon de me peloter le cul, hein, vas y profite en
Puis elle se met à rigoler, ce rire moqueur quelle a lhabitude davoir avec moi, et rajoute :
- Ca cest rien, tu lauras ton cadeau, mais pas maintenant, ce soir quand tu joueras le taxi, je te promets que tu ten rappelleras, je nai pas une parole de pute
Me tire la tête en arrière, je nais pas arrêté de lui peloter son joli petit cul, elle mécarte mes mains et me dit :
- Tu tes assez amusé comme ça, le reste ce soir, je tenvoi un SMS et tu rapplique, ok ?
Moi :
- Tu ne me fais pas marcher pour le cadeau ?
Natasha :
- Tu as aimé te branler en me matant ma petite culotte dans la cabane, non ?
Moi :
- Oui tu es belle
Natasha :
- Oui je suis belle, je sais, tu me la déjà dit, mais dans la cabane tu as eu tout ça pour UN paquet de cigarette, pour un téléphone, ça va être du spectacle, timagine même pas.
Alors ce soir tu te ramène si tu veux lavoir ton cadeau, ok
Moi :
- Daccord, jattendrais ton SMS
Natasha :
- Cest bien, jaime mieux quand tu es comme ça, par contre pour ce soir pas de caleçon ou slip et avec un jean, maintenant dégage si tu ne veux pas à avoir à expliquer à ma mère ce que tu fais là, allez bouge
Et elle se jette sur son lit et reprend le paramétrage de son téléphone, je me relève, une douleur toujours présente en bas du ventre, ressort de la maison et remonte dans ma voiture.
Obliger de repasser chez moi pour me changer comme elle me lavait demandé. Je prétexte à ma femme un peu de fatigue et vouloir rentrer prendre une douche pour me revigorer avant de repartir au boulot. Ce que je fais, prenant le soin de changer de vêtement, jean et chemisette blanche à manche courte, avec un caleçon, mais que jôterai plus tard.
De retour au bureau, je patiente en prenant soin de ne pas me branler, me réservant pour ce soir,
A 23h30, un SMS de son nouveau téléphone, javais déjà enregistré le numéro :
[Viens et sonne à la porte]
Sonner à la porte, sa mère doit être là ? Mieux vaut ne pas chercher à comprendre avec elle. Jôte mon caleçon et le laisse dans un tiroir du bureau, merde je bande déjà, il va falloir me calmer si sa mère maperçoit, jespère que non, Natasha a du tout prévoir.
Jarrive devant la porte dentrée, la voiture de sa mère était devant la maison ? Je sonne
Jentends « entrer », cest Natasha, ouf, jouvre et japerçois Natasha, mais surtout sa mère un peu plus loin dans la cuisine ! Je lentends me dire :
- Cest gentil de bien vouloir lamener et la ramener de boite, sans ça je ne laurais pas autorisé
Je ne sais pas ce quelle avait raconté à sa mère, mais moi je me retrouvais dans un sale pétrin, si sa mère parle de ça à ma femme, comment expliquer ma présence avec Natasha !!!!!!!
Mon regard revient sur Natasha, elle est magnifique, mon inquiétude est oublié, elle porte des chaussures dété beige à lanière et à talon de 8 cm attachées par une bande de la même couleur montant au dessus du mollet, une petite jupe volante courte marron foncé, humm quelle jambes, un blouson léger en haut ne me permettant pas dapercevoir ce quelle porte dessous.
A peine sa mère avait-elle fini sa phrase, que je la vois sortir, sur le pas de la porte, elle se retourne vers moi :
- Bon on y va
Jétais perdu dans mes pensées en ladmirant marché vers la porte, jespère que sa mère ne sen ai pas aperçu. Je la rejoins immédiatement en laissant sortir un :
- Oui, jarrive tout de suite
Et je la suis, sans même avoir dit au revoir à sa mère tellement captivé par la sensualité que Natasha dégage.
Je démarre la voiture, Natasha me regarde toute souriante :
- Putain, tu me kiffe grave ce soir, tu mas maté direct sans faire gaffe à ma mère ! fait attention, merde
Moi :
- Pardon, cest vrai, mais tu es tellement jolie habillée comme ça
Natasha :
- Bandante tu veux dire, allez arrête toi sur le parking de la dune, au fond, ok
Moi :
- Oh oui, tout de suite
Lenthousiasme de ma réponse la fait rigoler, je stationne au fond du petit parking, près des dunes. Elle descend et me fait signe de venir la rejoindre, elle est debout, appuyée à la voiture, moi en face delle ne sachant pas vraiment quoi faire, mais je bande comme un dingue, elle la vu et sourit en me disant :
- Bon ça cest pour le téléphone, pour labonnement, tu verras ça quand tu viendras me chercher
Je sens déjà que je vais adorer cette nuit, et elle rajoute :
- Déboutonne ta braguette, et approche toi, tu as le droit de me toucher, mais dès que tu as giclé cest fini, ok
Je ne réponds même pas, je déboutonne vite fait ma braguette et mavance tout de suite vers elle, ma main droite sur sa cuisse, la gauche essayant de passer sous son blouson, je me branle pas, voulant faire durer le plaisir de la toucher le plus longtemps possible.
Elle rigole une nouvelle fois, me repousse de la main, et enlève son blouson quelle pose sur le toit de la voiture. Humm, elle porte un top écru à bretelle, laissant découvrir un large décolleté mettant en valeur sa jolie poitrine, elle ne porte pas de soutien gorges, ses petits seins étant bien ferme, son utilité nétait quaccessoire. Elle me regarde toujours aussi souriante :
- Tas le droit de les embrasser, mais tas pas intérêt à dégueulasser mes fringues, allez régale toi mon gros
Sur cette invitation, je ne peux mempêcher dembrasser la naissance de ses seins, elle sent bon, de la main gauche je touche sa poitrine, humm cest bon, ma main droite qui remonte en haut de sa cuisse. Et là, je sens sa main qui rentre dans mon jean, me prend mon sexe, je lentends dire :
- Faut la trouver ta petite bite !
Cétait un peu exagéré quand même, mais bon, elle ne peut pas sempêcher den rajouter.
Sa main tiède sur ma bite mexcite encore plus, elle me branle, je lembrasse dans le cou, ma main droite remontant sur son sexe, je suis aux anges, mais lextase est de courte durée, elle me retire violemment ma main de son sexe, me repousse, et menvoi une gifle !
- Tu ne crois pas que tu va me baiser quand même, tu me plote cest tout, tu ne touche pas à ma chatte
Et avec la même main qui mavait assaini cette claque, me prend par derrière le cou, et me tire de nouveau à elle, ma tête à la hauteur de ses épaules, et elle reprend sa branle sur mon sexe. Je pose mes deux mains sur ses cuisses, elles sont douces, jen peux plus, je prends le risque de glisser ma bouche sur ses lèvres, elle ne bouge pas, me laisse lembrasser mais sans ouvrir la bouche. Ses mouvement de va et vient saccélère, je ne peux pas mempêcher de jouir et je lâche tout
Elle arrête ses mouvements, mais ne relâche pas mon sexe, prenant soin de diriger mes giclées sur ma cuisse gauche à lintérieur de mon jean. Elle ressort sa main tout en me repoussant pour me dire clairement « sest fini », sessuie la main sur ma chemise, réajuste son top, prend sa veste et remonte en voiture sans me regarder.
La récréation est finie, même sans parler, elle sait se faire comprendre.
Je reprends ma place et démarre, sentant mon sperme se coller à mon jean. Elle comme à son habitude me demande une cigarette, je ne cherche pas à réfléchir, jen sors une, lallume et lui tend, pas de merci bien évidemment, mais tire sur la cigarette, menvoi la fumé et me dit :
- Le paquet, donne le
Joubli pas quune seconde surprise mattend dans quelques heures, elle semble de bonne humeur, je ne voudrais pas la faire revenir sur ce « second cadeau », je sors le paquet et lui donne. Elle :
- Jcroyais que ça allait durée un quart dheure, mais même pas 5 minutes cest encore mieux, ten a profité quen même, hein ?
Moi :
- Oui, mais pas longtemps
Natasha rit aux éclats en rajoutant :
- Fallait pas gicler si vite mon gros
Facile à dire, la toucher, lembrasser, la sentir, dur de se retenir. Surtout que la dextérité quelle avait mise à me branler, laissait à penser quelle nétait pas à sa première expérience de branle, elle devait même en connaitre tout les aspects, je navais aucune chance de tenir et elle le savait.
On arrive à la boite, et elle me dit :
- Tu connais la musique, quand je veux partir, je tenvois un SMS et tu rapplique, ok
Oh faite, ne tamuse plus jamais à membrasser sur la bouche, tas bien compris
Et tu reste dégueu pour tà lheure, tas pas intérêt à te changer
Arrête-toi là, je descends
Ces paroles nattendais aucunes réponses, et dailleurs elle ne men a pas laissé le temps, jadmire une dernière fois ses jambes pendant quelle sengouffre dans la foule.
Je fais demi-tour, essayant dimaginer la surprise qui mattend
.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!