Cette Petite Branleuse Qui Me Domine 3

Je n’avais plus de nouvelle de Natasha depuis plusieurs semaines, nous sommes mi-juin et l’école n’est pas terminée, mais j’évite de me rendre disponible pour aller les chercher à l’école ma fille et elle. Je ne veux surtout pas être confronté à Natasha en présence d’autres personnes et encore moins en présence de ma fille. Toutes les excuses liées au boulot, je les ai testées, je peux même m’autoriser à revendiquer le titre d’expert dans ce domaine.

Cette absence de Natasha me pesait, cette petite peste m’avait rendu accro, moi un homme marié de 44 ans complètement en manque d’une gamine qui pourrait-être ma fille, je dormais mal, pensais à elle jour et nuit, je me branlais très souvent en me remémorant nos rencontres ou imaginant des scénarios plus excitant les uns que les autres.

Aucun appel, aucun SMS, je me sentais comme en manque.

Si un SMS un vendredi soir, ce qui m’a permit de la voir quelques minutes, mais rien à voir avec mes délires imaginés lors de mes séances de masturbation,

Je reçois ce SMS vers 23h00 :
(Je le retraduis pour que tout le monde puisse le comprendre, il me faut bien le relire 2 ou 3 fois pour en saisir le sens)

[Fait chier, je suis à X.. et j’ai plus de clopes, tout est fermé, tu en as ?]

Toujours les cigarettes ! Mais, bon sans elles rien ne se serait passé, je lui réponds :

[Oui, j’en ais]

Sa réponse est toujours aussi rapide, ah les jeunes et les SMS :

[Bouge et viens sur le parking X.., quand tu es là tu m’envois un SMS]

Elle semble être de sortie ce soir, et reste toujours aussi direct, ce qui me déplait pas, je l’attendais trop, je lui réponds :

[J’arrive Natasha]

Au bout de quelques minutes, aucune réponse ? Elle ne prend même pas la peine de me dire, je t’attends, ou merci, c’est vrai qu’un merci de sa part serait surprenant.

Je trouve une nouvelle excuse de boulot pour sortir, monte dans ma voiture et me dirige sur le parking indiqué.


Arrivée sur place, je stationne et lui envoi un SMS pour lui signaler ma présence, aucune réponse, je regarde mon téléphone, non rien, ça fait 5 mn que je lui ais envoyé ? J’en renvois un second, mais toujours rien. Au bout de 10 mn, un appel, le numéro n’est pas enregistré, ce n’est pas elle, je réponds et je reconnais immédiatement la voix de Natasha qui me dit :

- T’es où exactement ?

Moi :
- Ce n’est pas ton numéro de téléphone ?

Natasha :
- C’est à une copine, j’ai plus de forfait, t’ais où ?

Je lui indique mon stationnement le plus précisément possible, deux minutes plus tard je la vois arriver accompagnée de trois autres filles et deux garçons. En la voyant s’approcher de ma portière, je ne peux m’empêcher de l’admirer dans sa mini jupe en jean, petit top vert très décolleté et un petit gilet boléro par-dessus, elle est craquante.
Elle s’approche, les cinq autres restants à 4/5 m, ma vitre est baissée, elle s’y appuie me donnant une vue inespérée sur sa jolie petite poitrine, le remarque et me dit :

- Profite en, t’as les clopes, t’as combien de paquet ?

Moi :
- J’en ai pris un neuf pour toi …….

Natasha ne me laisse pas terminer :
- Pas tu mais VOUS, t’es pas assez barge pour vouloir te faire claquer devant eux quand même, si ?

Moi :
- Non, je ne préfère pas

Natasha :
- T’inquiète gros porc, bon je te demande pas combien de clopes tu as prévues pour moi, mais combien tu en as, commence pas à m’énerver

Moi :
- Un paquet neuf et la moitié d’un autre, je n’ais que ça

Natasha :
- Alors donne, donne les deux paquets

Moi :
- J’en aurais plus pour moi ?

Natasha me prend le menton, me regarde fixement avec son petit sourire moqueur et me dit d’un ton très doux :
- Qu’est-ce tu veux que ça me foute, tu matte mes seins là, ça les vaut, non ?

J’acquiesce et lui remet les deux paquets, elle les prend avec un sourire satisfait et se relève, puis semble réfléchir quelques secondes, puis reprend sa position, descend sa main sur mon sexe, la retire et me dit :
- Je te fais bander, hein, il t’excite mes seins, t’as ta petite bite bien dure mon gros, hein.
. t’as combien de fric sur toi ?

Moi :
- Je ne sais pas, 20 à 30 euros

Natasha :
- Donne

Moi :
- Que je te … pardon vous donne … (le faite de la vouvoyer m’a tout de suite remis à ma place, la question se posait pas) … oui tout de suite

Je fouille dans ma poche et lui remet tout ce que j’avais, 28 euros et quelques centimes, elle les prend, se retourne vers son groupe de copain et leur montre l’argent comme un trophée et dit :
- On va pouvoir aller à la fête foraine

Se retourne vers moi :
- Ben voilà, il est gentil le gros porc, il va pouvoir aller se branler maintenant

Et d’un ton plus autoritaire et emprunt de dégout :
- Dégage

J’ai redémarré et quitté immédiatement le parking, elle avait raison, quelques kilomètre plus loin, je me suis garé dans un petit chemin et me suis branlé en revoyant ses petit seins, j’ai giclé en à peine 2 mn.
Puis je suis revenu bien sagement chez moi
Un paquet et demi de cigarette et plus de 28 euros pour mater de jolie petit seins dans un décolleté et pouvoir me branler après, c’est beaucoup quand même, petite branleuse elle fait ce qu’elle veut de moi.

Après ça plus de nouvelle jusqu’à ce mercredi (5 jours plus tard), je reçois un SMS d’un numéro que je ne connais pas :

[Appel-moi sur ce numéro, Natasha]

Ce numéro ne correspondait pas au numéro de téléphone de sa copine qu’elle avait emprunté vendredi dernier, j’appel, ça décroche mais personne ne répond, je dis :

- C’est C..

Je reconnais la voix de Natasha :
- Mon téléphone marche plus, les touches déconnent, et en plus j’ai un forfait à la con, alors tu va m’acheter un X.. (Marque d’un téléphone) et me prendre un forfait illimité, internet et tout le reste ok ?

Moi :
- Natasha, il est cher ce téléphone et un forfait illimité ce n’est pas donné

Natasha avec une petite voix douce et sensuelle :
(Ce qui tendait à prouver qu’elle n’était pas certaine de son emprise sur moi)
- Fait ça pour moi, t’as du fric toi, t’inquiète pas je saurais te remercier, tu auras un cadeau, tu t’en rappelleras

Moi, trop heureux à l’idée du cadeau, ce moment va être inoubliable « tu t’en rappelleras » comment refuser :
- Bon d’accord, mais ce n’est pas facile, ce genre de dépense pourrait se voir, ma femme pourrais s’en rendre compte

Le ton de Natasha change, elle a compris que je ne pouvais rien lui refuser, elle ne prend plus de gant, sa voix est autoritaire et une certaine méchanceté :
- Ta salope, je m’en tape, tu l’achète et tu me rappelle sur ce numéro quand tu l’as, t’as compris

Je n’ais pas le temps de répondre que la tonalité résonne, elle a raccroché, certaine de mon acceptation.


Le lendemain, je me rends dans une boutique de téléphonie mobile, achète te téléphone et prend un abonnement illimité.

Tellement impatient de mon « cadeau », que dès la fin de matinée je la rappelle sur le numéro de la veille, une voix masculine me répond :
- Ouais

Je raccroche, vérifie de nouveau le numéro, c’est bien le bon ! Mais ce n’est pas Natasha, j’essaye de réfléchir, et au bout d’un quart d’heure je rappelle :
- Ouais

Moi :
- Bonjour, je m’appel C.. et Natasha m’avait de mandé de la rappeler sur ce nu….

Lui :
- C’est toi le connard qui m’a raccroché au nez t’a l’heure ?

Sa voix à un accent magrébin, mais semble jeune :
- Oui, désolé je croyais m’être trompé

Lui :
- Elle n’est pas là, elle te rappellera, t’as son tél ?

Il est au courant ! Elle s’en vante à toute l’école ! Je ne sais pas trop quoi répondre :
- Heu … oui je l’ais, elle me rappellera

Lui :
- Ben ouais, tu comprends rien ou quoi

Et il raccroche
Je reste très anxieux de la divulgation faite par Natasha, qu’a-t-elle dite, à qui ?

Je n’arrive même plus à bosser tellement je suis inquiet, je préfère rendre le téléphone, elle est belle, me rends complètement dingue, mais je ne veux pas être la risée de tous les gamins et mettre ma vie en l’air quand même !

15 mn plus tard, la sonnerie de mon portable me sort de ma réflexion, c’est le même numéro, c’est elle. Je réponds et j’entends Natasha :
- Bon tu l’as, t’as fait vite c’est bien

Je lui réponds avec froideur :
- Oui je l’ais, mais tout à l’heure, le type qui a répondu était au courant, tu lui as dit ? Je ne s’avais pas que tu le dirais à tout le monde !

Natasha :
- Oh, gras du bide, tu va te calmer, et tout de suite, dis moi encore TU et je te fais éclater la gueule, t’as bien compris, tu vas changer de ton, tu crois pas que je vais me faire emmerder par une lope

Sa voix était blessante, sèche et elle me criait dessus, j’essaye de répondre :
- Pardon Natasha, c’était juste que je trouvais ça inquiétant que d’autre le sache, je suis marié et j’ais une vie de famille, tu le … pardon, vous le savez bien

Elle se met à éclater de rire :
- Arrête avec « je suis marié » « j’ai une femme » … tu te prends pour qui, tu ne t’es pas vu dans la cabane à te branler à poil avec ton gros bite et ta bite de pd, t’avait l’air de quoi, t’es une couille molle c’est tout

Je l’entends rigoler sans aucune discrétion, et reprend :
- Je ne l’ais pas dit à tout le monde, t’es un malade, tu crois que j’ai envie qu’on sache qu’un vieux pervers se branle devant moi, ça va pas.
Il y a que Rachid qui le sait, c’est un pote du bahut, t’inquiète pas, arrête de psy coter, c’est bon tu es rassuré

Moi :
- Oui mais pourquoi vous lui avez dit ?

Natasha :
- Lâche-moi avec ça, bon on revient au tél, comment on fait ça, Vendredi soir je t’appelle, tu feras le taxi pour la boîte, comme ça tu ne viendras pas pour rien et emmène le tél et la carte sim, t’as pas intérêt à oublier

Moi :
- Vers quelle heure, et tu avais … VOUS aviez parlé de cadeau ?

Natasha :
- Je t’appelle ok, tu ne vas pas me faire chier avec l’heure, et ton cadeau tu l’auras vendredi, je ne suis pas une garce, je l’ais dit, tu l’auras … et arrête de me vouvoyer, ça commence à me fatiguer, j’en ais marre

Elle raccroche, la discussion n’a pas été simple, la tutoyer maintenant ! C’est une vraie girouette, pas une garce ? C’est vite dit, elle me prend pour sa banque, elle en profite quand même, tu es une petite garce Natasha, que c’est bon de le dire, j’ai l’impression de me venger.
Un téléphone à 250 € et un abonnement illimité pour un cadeau, cette jolie petite branleuse a intérêt à me faire un cinéma d’enfer, humm j’ai hâte d’être à vendredi soir.


Arrivée au vendredi, dès le midi, je prends la précaution de prévenir ma femme que je vais devoir bosser très tard, ce qui m’évitera de trouver une nouvelle excuse à ma sortie ce soir.

A 17h00, je reçois un appel, un numéro de ligne fixe, le domicile de Natasha (je la trouve très en avance pour une sortie en discothèque) :
- Tu bouge, je t’attends chez moi, ma mère n’arrive pas avant 18h, et prend le téléphone

Et elle raccroche, ne me laissant même pas le temps de répondre, et si j’avais été bloqué au boulot ! Elle semble s’en foutre.

Je prends donc le paquet du téléphone, monte en voiture et me dirige chez elle. Arrivée à destination, l’absence de la voiture de sa mère me rassure et confirme ses dires.
Après mettre garé, je sonne à la porte d’entrée, Natasha m’ouvre la porte, regarde mes mains, voit le paquet, le prend et part avec vers sa chambre. Moi, je suis devant la porte ouverte comme un con !

Je décide donc de rentrer et d’aller dans sa chambre, prenant soins de refermer la porte d’entrée derrière moi,
Mon « cadeau » promis, dans la chambre ? Qu’a-t-elle prévue ? J’en bande déjà.
La porte de la chambre est entrouverte, je la pousse pour pouvoir contempler « mon cadeau », elle est allongé sur son lit, tapant sur son ordinateur, le téléphone relié à celui-ci ! Sa tenue, comme sa position n’avait rien du cadeau promis ? Elle paramétrait son téléphone, c’est tout !!!!!!!!

Elle m’entend rentrer, tourne la tête, les yeux surpris et avec un air méprisant me dit :
- Qu’es-tu fout là ? Dégage et ferme la porte derrière toi

La sensation de m’être fait avoir revient, comme mercredi dernier quand j’ai appris que ce type était au courant, l’énervement me prend, et d’un ton agressif je lui dis :

- Natasha, arrête de me prendre pour un con, tu n’es qu’une petite branleuse, tu me redonne tout de suite ce téléphone et je veux plus entendre parler de toi petite conne

Le ton est donné, c’est exactement ce que j’aurais du faire la première fois, là elle va trop loin

Je vois qu’à son regard elle est surprise de ma réaction, même une impression de crainte ressort de son visage, reprenant une attitude logique qu’une gamine aurait face à un adulte après des remontrances appuyées.

Je lui laisse pas le temps de réfléchir, et poursuit ma demande :
- Bon tu remets tout ça dans la boite et me le redonne, dépêche-toi

Son regard semble apeuré, son visage est abattus, elle me donne l’impression d’une petite fille à qui on retire son cadeau (ce n’est d’ailleurs que vengeance, je venais de ressentir la même chose). Mais elle semble reprendre de l’assurance, pas entièrement mais assez pour me dire :
- Pourquoi tu change d’avis, tu étais d’accord, non ?

Sa voix n’est pas assurée, j’ai envie d’en profiter et de lui assainir le coup de grâce, mais elle me fait pitié, ne semble pas comprendre. Je décide donc de lui expliquer calmement la raison de mon attitude :
- Natasha, la semaine dernière je t’ais donnés des cigarettes et du fric, là tu me demande un téléphone portable, je t’ais dit que ça faisait beaucoup, sans parler de ton copain que tu avais mise au courant, mais je suis gentil, j’accepte parce que tu m’avais promis un cadeau ! Venant de toi, tu sais très bien quel style de cadeau j’attendais, mais toi tu prends le téléphone et me demande de partir. Clairement, tu me prends pour ta banque, donc non c’est fini…

Je reprends mon souffle et continu :
- C’est vrai que j’ai été trop loin avec toi, c’est moi le responsable et pas toi, avec ce téléphone, le jeu aurait pus dégénéré, donc dans un sens, je suis content que tu les pris comme ça. Maintenant tu me le redonne, je le rends et tout rentre dans l’ordre, c’est plus simple pour moi comme pour toi

Elle m’a écouté jusqu’au bout, sans me coupé la parole. Elle se décide à parler avec une voix douce :
- Je comprends

Se lève, descend du lit, marche vers moi, se positionne face à moi
Je commence à bien connaitre ses réactions, elle veut essayer de reprendre la main en me giflant, je m’apprête à anticiper son geste quand je reçois un violent coup dans le bas du ventre.
Elle venait de me donner un coup de genoux dans les couilles, à peine avais-je compris ça, qu’elle me balance cette fois-ci un coup de pied au même endroit, je tombe à genoux et me tord de douleur. Et je l’entends :
- C’est pour ça que tu me fais chier, pour ton CADEAU

Sa voix n’est pas violente, un peu forte, mais douce.
Elle me prend la tête par derrière, sans vraiment me tirer les cheveux, et la colle à son sexe !
(Elle portait un jean noir)

Je ne l’avais jamais approché de si près, ma douleur était toujours présente, mais j’avais trop envie de la toucher, la position étant inconfortable, je passe mes mains sur ses fesses pour mieux me tenir, et elle s’adresse de nouveau à moi en me caressant les cheveux, un peu comme elle le ferait pour un chien :
- Tu aime, je te plais, c’est bon de me peloter le cul, hein, vas y profite en

Puis elle se met à rigoler, ce rire moqueur qu’elle a l’habitude d’avoir avec moi, et rajoute :
- Ca c’est rien, tu l’auras ton cadeau, mais pas maintenant, ce soir quand tu joueras le taxi, je te promets que tu t’en rappelleras, je n’ai pas une parole de pute

Me tire la tête en arrière, je n’ais pas arrêté de lui peloter son joli petit cul, elle m’écarte mes mains et me dit :
- Tu t’es assez amusé comme ça, le reste ce soir, je t’envoi un SMS et tu rapplique, ok ?

Moi :
- Tu ne me fais pas marcher pour le cadeau ?

Natasha :
- Tu as aimé te branler en me matant ma petite culotte dans la cabane, non ?

Moi :
- Oui tu es belle

Natasha :
- Oui je suis belle, je sais, tu me l’a déjà dit, mais dans la cabane tu as eu tout ça pour UN paquet de cigarette, pour un téléphone, ça va être du spectacle, t’imagine même pas.
Alors ce soir tu te ramène si tu veux l’avoir ton cadeau, ok

Moi :
- D’accord, j’attendrais ton SMS

Natasha :
- C’est bien, j’aime mieux quand tu es comme ça, par contre pour ce soir pas de caleçon ou slip et avec un jean, maintenant dégage si tu ne veux pas à avoir à expliquer à ma mère ce que tu fais là, allez bouge

Et elle se jette sur son lit et reprend le paramétrage de son téléphone, je me relève, une douleur toujours présente en bas du ventre, ressort de la maison et remonte dans ma voiture.
Obliger de repasser chez moi pour me changer comme elle me l’avait demandé. Je prétexte à ma femme un peu de fatigue et vouloir rentrer prendre une douche pour me revigorer avant de repartir au boulot. Ce que je fais, prenant le soin de changer de vêtement, jean et chemisette blanche à manche courte, avec un caleçon, mais que j’ôterai plus tard.

De retour au bureau, je patiente en prenant soin de ne pas me branler, me réservant pour ce soir,

A 23h30, un SMS de son nouveau téléphone, j’avais déjà enregistré le numéro :

[Viens et sonne à la porte]

Sonner à la porte, sa mère doit être là ? Mieux vaut ne pas chercher à comprendre avec elle. J’ôte mon caleçon et le laisse dans un tiroir du bureau, merde je bande déjà, il va falloir me calmer si sa mère m’aperçoit, j’espère que non, Natasha a du tout prévoir.

J’arrive devant la porte d’entrée, la voiture de sa mère était devant la maison ? Je sonne

J’entends « entrer », c’est Natasha, ouf, j’ouvre et j’aperçois Natasha, mais surtout sa mère un peu plus loin dans la cuisine ! Je l’entends me dire :
- C’est gentil de bien vouloir l’amener et la ramener de boite, sans ça je ne l’aurais pas autorisé

Je ne sais pas ce qu’elle avait raconté à sa mère, mais moi je me retrouvais dans un sale pétrin, si sa mère parle de ça à ma femme, comment expliquer ma présence avec Natasha !!!!!!!
Mon regard revient sur Natasha, elle est magnifique, mon inquiétude est oublié, elle porte des chaussures d’été beige à lanière et à talon de 8 cm attachées par une bande de la même couleur montant au dessus du mollet, une petite jupe volante courte marron foncé, humm quelle jambes, un blouson léger en haut ne me permettant pas d’apercevoir ce qu’elle porte dessous.

A peine sa mère avait-elle fini sa phrase, que je la vois sortir, sur le pas de la porte, elle se retourne vers moi :
- Bon on y va

J’étais perdu dans mes pensées en l’admirant marché vers la porte, j’espère que sa mère ne s’en ai pas aperçu. Je la rejoins immédiatement en laissant sortir un :
- Oui, j’arrive tout de suite

Et je la suis, sans même avoir dit au revoir à sa mère tellement captivé par la sensualité que Natasha dégage.
Je démarre la voiture, Natasha me regarde toute souriante :
- Putain, tu me kiffe grave ce soir, tu m’as maté direct sans faire gaffe à ma mère ! fait attention, merde

Moi :
- Pardon, c’est vrai, mais tu es tellement jolie habillée comme ça

Natasha :
- Bandante tu veux dire, allez arrête toi sur le parking de la dune, au fond, ok

Moi :
- Oh oui, tout de suite

L’enthousiasme de ma réponse la fait rigoler, je stationne au fond du petit parking, près des dunes. Elle descend et me fait signe de venir la rejoindre, elle est debout, appuyée à la voiture, moi en face d’elle ne sachant pas vraiment quoi faire, mais je bande comme un dingue, elle l’a vu et sourit en me disant :
- Bon ça c’est pour le téléphone, pour l’abonnement, tu verras ça quand tu viendras me chercher

Je sens déjà que je vais adorer cette nuit, et elle rajoute :
- Déboutonne ta braguette, et approche toi, tu as le droit de me toucher, mais dès que tu as giclé c’est fini, ok

Je ne réponds même pas, je déboutonne vite fait ma braguette et m’avance tout de suite vers elle, ma main droite sur sa cuisse, la gauche essayant de passer sous son blouson, je me branle pas, voulant faire durer le plaisir de la toucher le plus longtemps possible.
Elle rigole une nouvelle fois, me repousse de la main, et enlève son blouson qu’elle pose sur le toit de la voiture. Humm, elle porte un top écru à bretelle, laissant découvrir un large décolleté mettant en valeur sa jolie poitrine, elle ne porte pas de soutien gorges, ses petits seins étant bien ferme, son utilité n’était qu’accessoire. Elle me regarde toujours aussi souriante :
- T’as le droit de les embrasser, mais t’as pas intérêt à dégueulasser mes fringues, allez régale toi mon gros

Sur cette invitation, je ne peux m’empêcher d’embrasser la naissance de ses seins, elle sent bon, de la main gauche je touche sa poitrine, humm c’est bon, ma main droite qui remonte en haut de sa cuisse. Et là, je sens sa main qui rentre dans mon jean, me prend mon sexe, je l’entends dire :
- Faut la trouver ta petite bite !

C’était un peu exagéré quand même, mais bon, elle ne peut pas s’empêcher d’en rajouter.
Sa main tiède sur ma bite m’excite encore plus, elle me branle, je l’embrasse dans le cou, ma main droite remontant sur son sexe, je suis aux anges, mais l’extase est de courte durée, elle me retire violemment ma main de son sexe, me repousse, et m’envoi une gifle !
- Tu ne crois pas que tu va me baiser quand même, tu me plote c’est tout, tu ne touche pas à ma chatte

Et avec la même main qui m’avait assaini cette claque, me prend par derrière le cou, et me tire de nouveau à elle, ma tête à la hauteur de ses épaules, et elle reprend sa branle sur mon sexe. Je pose mes deux mains sur ses cuisses, elles sont douces, j’en peux plus, je prends le risque de glisser ma bouche sur ses lèvres, elle ne bouge pas, me laisse l’embrasser mais sans ouvrir la bouche. Ses mouvement de va et vient s’accélère, je ne peux pas m’empêcher de jouir et je lâche tout ……
Elle arrête ses mouvements, mais ne relâche pas mon sexe, prenant soin de diriger mes giclées sur ma cuisse gauche à l’intérieur de mon jean. Elle ressort sa main tout en me repoussant pour me dire clairement « s’est fini », s’essuie la main sur ma chemise, réajuste son top, prend sa veste et remonte en voiture sans me regarder.

La récréation est finie, même sans parler, elle sait se faire comprendre.
Je reprends ma place et démarre, sentant mon sperme se coller à mon jean. Elle comme à son habitude me demande une cigarette, je ne cherche pas à réfléchir, j’en sors une, l’allume et lui tend, pas de merci bien évidemment, mais tire sur la cigarette, m’envoi la fumé et me dit :
- Le paquet, donne le

J’oubli pas qu’une seconde surprise m’attend dans quelques heures, elle semble de bonne humeur, je ne voudrais pas la faire revenir sur ce « second cadeau », je sors le paquet et lui donne. Elle :
- J’croyais que ça allait durée un quart d’heure, mais même pas 5 minutes c’est encore mieux, t’en a profité qu’en même, hein ?

Moi :
- Oui, mais pas longtemps

Natasha rit aux éclats en rajoutant :
- Fallait pas gicler si vite mon gros

Facile à dire, la toucher, l’embrasser, la sentir, dur de se retenir. Surtout que la dextérité qu’elle avait mise à me branler, laissait à penser qu’elle n’était pas à sa première expérience de branle, elle devait même en connaitre tout les aspects, je n’avais aucune chance de tenir et elle le savait.

On arrive à la boite, et elle me dit :
- Tu connais la musique, quand je veux partir, je t’envois un SMS et tu rapplique, ok … Oh faite, ne t’amuse plus jamais à m’embrasser sur la bouche, t’as bien compris… Et tu reste dégueu pour t’à l’heure, t’as pas intérêt à te changer … Arrête-toi là, je descends

Ces paroles n’attendais aucunes réponses, et d’ailleurs elle ne m’en a pas laissé le temps, j’admire une dernière fois ses jambes pendant qu’elle s’engouffre dans la foule.

Je fais demi-tour, essayant d’imaginer la surprise qui m’attend ……….

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