Tomber Dans Les Pommes, Peut Devenir
Par une fin de matinée plutôt chaude et ensoleillée, puisque nous sommes à Douala au Cameroun, nous
sommes réunis, mes deux belles surs, Stéphanie, Myrice, Prudence ma femme et moi pour passer une
bonne journée ensemble. Tout dabord, nous commençons par prendre lapéritif et cela dure assez
longtemps pour dire quà plus le quatorze heures, nous passons à table. Prudence nous avait préparé
un superbe menu à la Camerounaise que javais accompagnée dun bon vin Français.
Peu avant de sortir de table, Myrice se lève précipitamment en nous disant. Ho lala, je ne sais pas
si cest le vin qui ma tourné la tête, mais je me sens un peu fatigué, je vais mallonger un peu
sur le lit.
La voilà parti dans la chambre, qui se trouve juste à côté, et quelques secondes après, nous
entendons un bruit, comme si quelque chose ou quelquun était tombée à terre. Stéphanie, qui était
la plus proche, se lève et se dirige vers la chambre. Dun cri, elle nous appelle en disant Mimi est
à terre. Régis vient vite, je crois quelle est tombée dans les pommes.
Bien sûr, à ces mots, nous voilà tous les trois en moins de deux secondes dans la chambre. Nous la
prenons délicatement et linstallons sur le lit. Je commence par lui défaire la ceinture de son
pantalon qui lui serait la taille, puis je déboutonne son chemisier et lui hôte et pour lui
permettre de respirer puis facilement, je lui dégrafe son soutien gorge. Et là, quelle surprise. Se
présente à mes yeux, une superbe paire de seins, bien ronds, ce qui ma fait battre le cur à cent à
lheure. Mais pour linstant, la première chose à faire était de la faire revenir à elle. Dans un
premier temps, je posais délicatement mon oreille sur sa poitrine pour vérifier que son cur battait
normalement. Une fois cela constaté, je minquiétais car son rythme cardiaque était un peu
irrégulier.
les pommes. Alors jai décidé de lui faire le bouche à bouche. Peut être que ça pourrait la faire
revenir. Ce petit manège dura plusieurs minutes. De temps en temps je reposais mon oreille sur son
sein pour écouter son cur, ensuite je reprenais mon bouche à bouche, jusquau moment ou la belle
Mimi commença à retrouver ses esprits. Une dernière fois, je mapprochais pour écouter son cur
battre. Mais cette fois, avant dappliquer mon oreille, je posais ma main sur son sein, et je me mis
à le caresser délicatement. Puis, jappliquais une fois encore mon oreille et cette fois, le cur de
Mimi se mit à saccélérer. Alors, je posais encore une fois mes lèvres sur sa bouche. Mais cette
fois ci, je sentis sa langue rejoindre la mienne pour un baiser chaud comme la braise. Heureusement
que nous étions restés seul dans la chambre. Car je me sentais un peu coupable, bien que cela soit
bon. A ce moment là, Miryce me dit à loreille.
- Quest ce quil mest arrivé.
- Tu tes évanoui, et je viens de te réanimer.
- Mais pourquoi tu mas embrassé ?
- Je ne sais pas. Mais je viens de te faire le bouche à bouche pendant plus de quinze minutes, et tu
sais, tes lèvres sont tellement tendres et désirables que je nai pas pu résister à la tentation, tu
vois
!
- En tout cas, cest bien bon.
Mais, ayant peur de nous faire découvrir par Prudence et sa sur Stéphanie, qui étaient juste dans
la pièce à côté, nous en sommes restés à ce baiser en attendant de pouvoir se retrouver à nouveau
seul un peu plus tard. Car Prudence devait accompagner Stéphanie qui allait prendre un bus pour
rentrer chez elle dans lEst du pays. Cela devait nous laisser au moins une heure voire même deux au
mieux.
Donc vers dix sept heures, Stéphanie et Prudence quittent la maison.
deux seul à la maison. Et pas plus tôt le dos tourné, nous nous retrouvons dans la chambre en ayant
bien prit soin de fermer la porte à clefs. Nous pouvons donc nous laisser aller à tout un tas de
petites coquineries. La mise en bouche ne sest pas fait attendre. Les vêtements de lun comme de
lautre se retrouvent un peu partout sur le sol. Et voilà ma petite belle sur dénudée comme un
vers. Quand à moi, ça ne prit que quelques secondes supplémentaires. Je la rejoins sur le lit. Nous
voilà repartis dans une joute de baisers et de caresses qui memmènent très rapidement à une
érection monstrueuse. Alors, Mimi prend en main la chose et lengloutit dans sa bouche comme une
morte de faim. Elle commença à la sucer avec envie. Quelques instants après, elle sarête de me
sucer, et là, elle me dit.
- Ca fait tellement de temps que je nai pas eu loccasion, que je suis un peu gourmande.
- Mais, ce nest pas grave. Fais comme tu le sens. Pour moi cest bon. Continu comme ça.
A mon tour, je commence à lui caresser ses superbes seins, ses hanches, et peu à peu ma main se
dirige vers sa petite fente. Un doigt vient trouver lentrée de sa grotte qui dégageait déjà uns
chaleur et une odeur enivrante. Dans un premier temps, je lui caresse délicatement son clitoris et
quelques secondes plus tard, les prémices dun premier orgasme se firent sentir.
Entre deux soupirs, elle me chuchota.
- Régis, quest ce que tu me fais. Mon dieu que cest bon. Continu comme ça. Tu me fais déjà jouir.
- Attend, cest que le début. Je vais te faire grimper aux rideaux tout à lheure, si tu le veux.
- Oui, si tu veux. Jai tellement envie de faire lamour. Et en plus, avec un homme blanc, ça ne
mest jamais arrivé.
A ce moment là, Myrice menjamba de façon à me coller sa chatte sur la figure, ce qui ne fut pas
pour me déplaire, et elle ressaisit mon sexe en main et recommença de plus belle à le sucer.
Quand à moi, dans cette position, javais désormais accès non seulement à cette superbe fente
brulante, mais aussi à son divin petit trou que je mempressais à déguster tout autant et tour à
tour avec application. Dans les secondes qui suivirent ma belle sur poussa un grand soupir et
commença à gémir pour ce premier grand moment de plaisir.
Passé ce temps, elle sassied sur le bas de mon ventre, ma verge bien raide entre ses cuisses, et
tout continuant à me masturber elle me dit.
- Prend moi maintenant, fais-moi lamour. Jen peux plus dattendre ton gros bâtons. Il est énorme.
Je nen ai jamais connu daussi gros.
- A bon, tu crois
Je ne savais pas. Ta sur ma bien déjà dit ça. Mais, je ne le croyais pas. Pour
moi, il est normal.
- Non, tous les hommes que jai connus navaient pas un sexe aussi gros et aussi long que le tien.
- Mimi, là tu exagères. Il ne fait que 17 centimètres.
- Peut être. Mais moi, je le trouve bien gros. Tout à lheure, quand je te suçais, jen avais la
bouche et la main bien pleine.
- Oui, je reconnais quil est un peu gros. Il ressemble a une grosse banane Plantin.
- Combien elle mesure ta banane, 4 centimètres au moins ???
- Bon oui, je te laccorde. Mais ce nest pas très gros. Il y en a de bien plus grosse que ça.
- Je sens que tu vas me faire bien jouir comme une folle. Allez viens vite me la faire goûter.
Elle se leva, sallongea sur le dos, écartant tout grand ses jolies jambes. A ce moment là, ses
désirs sonnant comme un ordre, je viens me positionner face à elle, et lentement je commence à
pénétrer cette fente étroite et brulante déjà passablement humide. Dés le premier va et vient, Mimi
se mit à gémir de plaisir. Là, elle me dit.
- Mon Dieu, que ta queue est bonne. Fais-moi monter au ciel.
- Ne tinquiète pas ma belle. On est là pour ça, et on va y monter même tout les deux.
Après ces quelques mots, je recommence mes va et vient en accélérant peu à peu. Mais que cette
petite chatte était étroite. Il me semblait faire lamour avec une jeune fille encore vierge.
Pourtant ce nétait plus le cas.
Que cette position du missionnaire est plaisante. Elle nous permet de nous observer, de nous
câliner, nous embrasser comme bon nous semble.
Passé une bonne dizaine de minutes à limer cette belle chatte accompagné par les gémissements
incessants de ma douce et tendre belle sur, je lui propose de passer à dautres positions un peu
plus coquines, une petite levrette pour commencer.
Ma savoureuse partenaire se met à genoux sur le bord du lit. Et là, quelle délicieuse image. Cette
belle chatte à demie ouverte et surtout cette minuscule rondelle étoilée entre ses fesses. Je ne
perds pas une seconde. Je prends mon sexe dans ma main droite, le dirige vers lentrée du volcan de
la Fournaise de ma belle sur Mimi.
Et hop là, voila ma grosse banane au fond de son intimité. Dans le temps qui suivit. Ma belle Myrice
reprend à fredonner sa chansonnette. Bon, les paroles sont pas très recherchées et se limitent à des
ah, des oh et des que cest bon ou bien encore, vas y, vous voyez. Mais quest ce que cest
excitant.
Cest vrai que ça donne du cur à louvrage. Bref si ma tendre amie se régale, elle nest pas toute
seule. Je laccompagne avec beaucoup dentrain.
Après cet épisode, nous essayons avec plus ou mois de facilité des positions encore un peu plus
technique. Et nous ne relâchons à aucun moment notre étreinte. Ca fait un bien énorme. Elle voulait
monter dans les nuages. Bien quil ny en ait aucun aujourdhui dans le ciel de Douala. Pour ça,
cétait bien parti.
Car orgasme après orgasme, Myrice devait se trouver au moins à sept ou huit mille mètres daltitude.
Nous faisons lamour depuis plus dune heure. Maintenant, nous sommes bien à point autant lun que
lautre. Après tous ces différents exercices, pour ma part, je commençais à avoir une sérieuse envie
déjaculer.
Je demande à Myrice de se remettre sur le dos et lui dis.
- Si tu es daccord, on terminera comme on a commencé. Je commence à plus trop contrôler. Jai envie
déjaculer.
- Ok, moi aussi, je commence à être un peu épuisée.
- Mais avant ; tu vas venir tallonger sur moi. On va essayer une autre position. Mais, excuse moi,
jen connais pas tous les noms.
A ces mots, Mimi vient sallonger sur moi et se laissa glisser jusquà la pénétration totale de ma
verge. Elle resta un long moment immobile. Dieu que cest bon. Jai la chaleur de ses seins et de sa
chatte qui me redonne encore envie de lui faire lamour et de la faire jouir encore et encore. Puis,
ma douce partenaire se met à onduler de façon à nous faire repartir dans un nouveau tour de manège.
Dans linstant qui suit, ma douce Myrice connut un nouvel orgasme. Entre deux gémissements, elle
trouva la force pour me dire.
- Jen peux plus. Mais cest tellement bon que je ne peux pas arrêter là.
- Alors, allonge-toi sur le dos. On va finir par une missionnaire. Ca va te reposer un peu.
Elle sallongea sur le dos les cuisses largement ouvertes. Sa belle minette abondamment mouillée
nopposa aucune résistance à la pénétration de ma grosse banane Plantin toujours aussi raide. Les va
et vient sintensifient très vite et Myrice reprends à chanter de plus belle. Dans les deux minutes
qui suivirent, nous revoilà partis dans un concert mutuel jusquau point de non retour.
Brusquement, je sentis ma verge senvahir de la sensation de la délivrance. Je demandais à Myrice si
je pouvais décharger ma livraison de liquide blanc dans son vagin.
Ce à quoi, elle me répondit.
- Oui, il ny a pas de soucis. Ca ne risque pas, et en plus jai envie de sentir ton sperme chaud
couler au fond de mon jardin damour.
- Alors cette fois on va jusquau bout, daccord !!!
- Oui, alors vas-y.
Je repris mes mouvements de plus en plus rapidement et une poignée de secondes plus tard et dans un
ultime soupir, je lui inonde le vagin de ma semence brulante.
Nos esprits retrouvés, elle vient à nouveau se coucher sur moi. Me serrant très fort contre elle.
Myrice me dit avec beaucoup de tendresse.
- Tu sais, mon beau (beau frère), tu mas fait découvrir quelque chose de toi que je ne connaissais
pas. Et je crois que je vais men souvenir longtemps. Quel dommage que tu sois marié avec ma petite
sur
- Et oui, je sais. Mais bon, on ne peut pas revenir en arrière. Maintenant, si nous pouvons en avoir
encore loccasion, nous pourrons à nouveau nous donner le même plaisir. Qui sait
- Bien sûr. Mais il y a un petit problème.
- Lequel ?
- Lorsque vous partirez en France, ce ne sera plus possible.
- Et oui, je sais. Mais qui sait. Nous reviendrons bien pour passer les vacances et voir la famille.
Alors, on trouvera bien un moment pour refaire lamour ensemble. Et, en plus, jai dautres petites
choses à te faire découvrir.
- Oui, mais quoi ?
- Si ça tintéresse, je te ferai connaitre un truc quon appelle sodomie. Est-ce que tu as déjà
pratiqué ?
- Non jamais. Mais tu sais chez nous au Cameroun, on ne fait pas ça. Mais je ne te dis pas non. Ca
peut être aussi bon, non !!!
- Ah bon. Je ne savais pas. Mais bien sûr que cest aussi bon. Mais cest différent. Moi, jaime
bien.
Enfin, nous discutons, un peu de tout et de rien, le temps de retrouver nos esprits. Puis nous
filons vers la douche. Nous en avons bien besoin. Ensuite, après nous être habillés, nous sommes
revenus nous asseoir au salon pour attendre le retour de Prudence.
Voilà, une belle histoire qui se termine beaucoup mieux quelle navait commencée.
Zizou.
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