Chantal, Traque Et Hallali
La suite viendra bientôt si le début vous plaît.
Et voilà ! Elle a les bras en croix sur le lit, les yeux cernés de fatigue, rassasiée.
La traque aura duré quelques semaines, mais la proie en valait la peine.
Je lai dabord découverte près du local des maîtres-nageurs-sauveteurs, sur la
promenade qui longe locéan, et un moment, jai suivi sa croupe mise en valeur par la jupe souple, qui au fil de sa marche féline la dessinait parfaitement. Il faut dire que cest ce que je regarde en premier chez une femme.
Mais un homme la bientôt rejointe et ma confirmé que son alliance nétait pas un accessoire. Dommage !
Et puis je ne sais pas si je dois remercier le ciel, vu que je ne suis pas croyant, mais quelle ne fut pas ma surprise de la retrouver devant mes yeux une dizaine de jours après, cette fois-ci au Leclerc de la périphérie du bourg.
Cest là que je chasse pour mes aventures passagères certains après-midi ; mais jusque là jamais le mercredi à cause des gosses.
Pour la première fois, jen avais le coeur qui battait. Un gibier pareil, ça se voit assez peu somme toute. Et puis toujours féminine, avec ce cul qui devait être somptueux sous les assauts ; et à cette évocation, ma queue a pris une ampleur peu convenable.
Quelques coups doeil comme par hasard furent les premiers échanges. Moi, je marrangeais pour la retrouver dans des rayons alors quelle semblait fuir.
Mais au fil des semaines, ses regards étaient plus francs, et ses sourires répondaient aux miens. Je la suivais dans les rayons en convoitant le postérieur dansant, et je voyais bien ses yeux fixés de temps en temps sur la bosse qui déformait mon pantalon à cause des pensées salaces qui me passaient par la tête. « Oh oui » lui disais-je muettement, « ma grosse bite de black a envie de ton cul » ! « Je sens déjà ton anneau qui me la branle » !
Et puis jai pu lui adresser la parole sur le parking, me proposant pour laider à charger son pack deau en bouteilles.
Quelque temps plus tard, elle acceptait de prendre un verre au bord de locéan ; là où elle était sûre quon ne la connaisse pas. Elle riait assez facilement, se racontait à peine, mais suffisamment pour que je comprenne que son mari nétait pas là la semaine.
Enfin jour béni, elle maccompagnait aux champignons, pour savoir les reconnaître plus tard disait-elle.
« Oh ma cochonne », me disais-je, « jen ai un bien gonflé à te proposer si tu me laisses faire ».
On se baissait pour ramasser des cèpes et je matais ou son décolleté ou son entrecuisses ; les deux étaient appétissants.
Jai fini par la coincer contre un tronc et lui prendre les lèvres ; puis la langue, en passant mes mains sous sa jupe pour caresser la peau chaude.
Sa croupe majestueuse était pelotée comme il faut , et javais hâte de lui mettre la main dans la culotte, dont je sentais lhumidité espérée sous mes phalanges.
Le gong de début fut frappé par ses mots : « Pas ici ! On pourait nous surprendre ! »
Alors le combat aurait lieu dans mon appartement.
Je la sentais effarouchée et elle regardait partout en commentant ; sans doute pour retarder sa reddition.
Je répondais à ses remarques par des sourires, mais je pensais « tu peux toujours tourner dans le salon, cest dans la chambre que tu vas y passer ma belle » !
Je mapprochais de plus en plus près en bavardant alors que ma queue bandait très fort, et mon impatience ma fait oublier de lui offrir un verre.
Je lui ai attrapé la taille dun bras et lai plaquée contre moi. Elle na pu que passer les siens autour de mon cou pour rester en équilibre. Et puis elle na pas pu ignorer la taille de la bite qui allait soccuper de sa chatte, vu quelle la moulait du bas-ventre, juchée à nouveau sur ses hauts talons après lintermède champêtre.
Je lui ai dit à loreille en posant mon autre main contre sa cuisse : - Je te veux ! Jamais aucune femme ne ma fait autant envie !
Et cétait vrai ; tout ce qui pouvait soccuper de ce corps était en alerte : bouche, langue, doigts, queue.
Elle avait plus de quarante ans et avait certainement tergiversé à se faire plus jeune quelle, mais finalement, elle avait dû se dire que quel que soit lâge, elle ne voulait pas refuser de senvoyer un black à gros noeud, comme celui quelle sentait là, tapi entre ses cuisses. Et puis moi, jallais être doux et patient au début, avant de devenir sauvage et directif pour lui défoncer les deux trous.
Ma deuxième main est remontée sur le velouté de sa peau, a passé la hanche ronde, a malaxé la taille, puis a pétri ce cul que javais hâte dempaler.
« Cest ça ! » me disais-je encore, « frotte ton frifri ! », « jauge lengin que tu vas te prendre ! »
Cen était trop ; je voulais la voir nue et jai abandonné sa langue pour la soulever comme une plume et lamener sur le lit. Les escarpins sont tombés au sol et je me suis promis de lui remette quand jallais lenculer debout. Et là, jai visualisé les grands coups de reins que jallais lui administrer ; et mon boxer a encore enflé.
- « Jai envie de te lécher ! »
Et comme delle-même elle sallongeait confortablement dans le grand lit, jai salé mon langage.
- « Tu vas voir comme je vais bien te bouffer la motte ! »
Jai vite escamoté la jupe en dégrafant les boutons du côté, et écarté son compas en remontant mes mains à lintérieur de ses jambes, découvrant le triangle du string rose que jai vu plus foncé sur la fente ; et je me suis agenouillé entre elles avant de continuer:
- « Tu mouilles Chantal ! Tu as envie de baiser hein ? Regarde ! »
Et là, jai dégainé ma grosse banane devant ses yeux ébahis.
Elle sest un peu relevée pour pouvoir latteindre des doigts.
- « Tu veux téter ? Une femme comme toi doit en savoir long sur les pipes ! Je suis sûr que tu vas me régaler ! »
Elle a rougi un peu mais sest tout de même emparée de ma queue à deux mains, gourmande. Et moi, il me fallait mon festin.
Jai jeté tous mes vêtements, presque déchiré son chemisier en lui ôtant, et dégrafé le soutien-gorge doù jaillirent deux pommes bien mûres.
Et pour voir comment elle était chaude, jai arraché le string en la regardant bien dans les yeux :
- « Montre-moi ton minou ! »
Mais la cochonne navait dyeux que pour mon membre raide et le flattait comme un petit animal.
Allez ! Jallais contenter et son appétit et ma soif de ses orifices. Je me suis mis sur le dos en lattirant à lenvers sur moi. « Tu vas pouvoir me pomper ma garce », me disais-je, « et tu vas te faire sucer à gueuler en rafales » !
Bien que je les préfère imberbes, sa chatte à elle avait une belle touffe brune, et odorante des sucs de lattente. Et alors quelle se faisait les lèvres sur mon gros bourgeon, cherchant à lemboucher, jai pris ses fesses à pleines mains pour plaquer son triangle poilu sur ma bouche.
Chantal nétait pas bavarde, mais je ly amènerais certainement si notre baise pouvait faire des petites soeurs. Là, jallais assurer un minimum conventionnel, mais suffisant pour lui donner un goût de revenez-y.
Dabord, je devais voir tout ce que je pourrais lui faire sans quelle sen offusque. Et si tous mes espoirs étaient comblés, je réinviterais cette chaudasse dans mon antre pour bien lui démonter la chatte et le cul pendant tout un après-midi........
Mesdames, dîtes-moi où et quand vous faites vos courses, donnez-moi quelques détails, et je vous traquerai à votre tour !!!!!
Et on peut même faire des échanges hots par messagerie, ça doit être très excitant !
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