La Belle Époque (Suite)

Je ne m’attendais pas à un tel accueil. Me reprenant un peu, je l’écarte gentiment et lui fais remarquer mon petit présent et lui demande aussi de me laisser respirer, de me laisser entrer. Elle me précède et j’ai le loisir d’admirer sa tenue mais aussi son physique. Il faut vous dire que comme sportive, Maryvonne est vraiment bien foutue. Sa petite robe du soir sait mettre en valeur sa poitrine, ses jambes, sa taille et son cul. Nous entrons donc dans le salon et après les politesses d’usage sur la tenue de son appartement, nous nous asseyons l’une à côté de l’autre sur le divan. Elle me propose un verre et j’accepte comme elle, une coupe. Puis, elle me demande si son accueil ne m’a pas plu vu comme je m’en suis dégagé mais je la rassure en lui disant que j’aurais préféré que ce soit moi qui l’entame de la sorte. Alors, elle me répond que jamais elle ne me laissera prendre d’initiatives de cette sorte nous concernant... Alors nous commençons à discuter de choses et d’autres, nous buvons une autre coupe, puis ma main effleure son genou. Sitôt, elle s’en saisit et la retire. Mais, elle reprend l’ouverture de ma chemise pour découvrir mon soutien-gorge rouge. Elle en est ravie et surprise car il se trouve qu’elle porte elle aussi un ensemble rouge, que je découvrirai plus tard, sous sa robe. Aussi, ma chemise tombée, elle s’attaque à ma ceinture et aux boutons de mon pantalon. Je la laisse faire et l’aide en me calant dans le fond du fauteuil. Sitôt ouvert, elle entreprend de le faire glisser sur mes jambes et reste un instant stupéfaite en découvrant ce que je porte dessous. Elle me traite de coquine et me dit que jamais je ne lui avais parlé que je portais de la lingerie aussi sexy. Mais, elle en est vraiment heureuse. Je suis un peu mal à l’aise quand même car mon sexe à pris d’autre proportion et mon gland passe la tête par dessus mon string. Elle s’en amuse en me disant que bientôt, il ne pourra plus se livrer à cet exercice. Pour me débarrasser de mon pantalon qui est sur mes chevilles, elle me demande de me lever.

Debout avec pour seul vêtements mes bas et mon ensemble trois pièces rouge, Maryvonne me lorgne sous toute les coutures. Elle me félicite pour mon épilation et me dit que certaines femmes devraient en prendre de la graine. Elle me félicite sur le choix de mon vernis à ongles en rapport avec la couleur rouge de mes sous-vêtements, cela est du plus bel effet. Elle regrette seulement que je n’en ai pas mis à mes ongles de mains mais me dit que cela peux s’arranger très vite. Je souris sans trop prêter attention à ces paroles. Aussi, elle me demande de marcher devant elle. Je m’exécute en tortillant des fesses un peu plus qu’à l’habitude. Elle me dit que je me débrouille très bien avec mes escarpins à talons. Alors que je me rassois, elle se penche sur moi, écarte mon string, sort mon sexe et le prend dans sa main, le caresse un peu puis le met dans sa bouche. Elle le gobe entièrement et commence un lancinant va et vient de ses lèvres sur ma tige. Elle salive beaucoup et fais de nombreux bruits de succions en me pratiquant cette première fellation que j’attendais depuis si longtemps. Je ne sais qu’elle attitude adopter mais ai-je le choix. Elle est entièrement habillée, penchée sur moi, sa bouche gobant ma queue et ses mains tenant les miennes aux dessus de ma tête. Je subis donc avec énormément de plaisir cette pipe et mes gémissements grandissants lui font accélérer sa bouche sur ma queue. Le résultat ne se fait pas attendre et je jouis abondamment au fond de sa gorge. Elle n’en perd pas une goutte et avale ma semence. Satisfaite, elle m’embrasse à pleine bouche et j’ai pour la première fois l’odeur et le goût du sperme dans ma bouche car en fait Maryvonne n’avait pas tout avalé et elle recrache dans ma gorge un excédent de mon sperme. Elle me demande ce que j’en pense et je lui dis que je préfère le champagne mais elle me répond qu’avec le temps je changerai très vite d’avis. Un peu parti dans mes pensées, elle me ramène à la réalité en se levant. Elle me dit de l’attendre sagement, qu’elle n’en aura pas pour longtemps.
Je la vois entrer dans ce qui doit être sa chambre. Pas plus de cinq minutes et la voilà qui ressort. Je crois rêver. Elle est vêtue d’une guêpière rouge, un string de la même couleur, des bas noirs et des cuissardes noires pour unique vêtements. Se présentant face à moi, elle se saisit de ma tête et la fourre entre ces cuisses, la pressant fortement contre sa chatte comme pour m’y . Puis, elle me rejette sur le fauteuil, s’agenouille devant moi et reprend ma queue dans sa bouche. Pas encore remis de sa première fellation, ma bite se raidit quand même avec des proportions moindres. Mais le combiné main plus bouche de ma belle lui redonne vite de la vigueur. Mais même bien raide, Maryvonne n’en a que faire et l’engloutie entièrement, jusqu’aux couilles, en gorge profonde. De longues minutes durant, elle me suce, me caresse, me branle la queue, me gobe et me presse les couilles et lorsque Maryvonne sent monter une nouvelle fois la lave dans ma tige, elle cesse brutalement toutes manœuvres qui pourraient me faire jouir. Alors, elle me fait m’allonger sur le dos, par terre et s’agenouille à mon côté. Elle glisse mon string le long de mes jambes et le passe autour de mon cou. Elle reprend ces caresses en commençant par les épaules pour descendre progressivement le long de mon corps. Sa bouche aspire mes tétons, frôle mon corps, englobe mon sexe de nouveau pendant que ces doigts dessine sur ma peau, parcours mes courbes et s’enfonce dans... mon cul. Sans me prévenir, son index est allé se perdre dans mon anus. Et simulant des va et vient, il a vite fait de se faire sa place. Surpris non par la taille mais plus par l’initiative, j’apprécie néanmoins l’intromission. Voyant cela, Maryvonne sourit et continue ses initiatives. Elle se saisit de mes chevilles et ramène mes jambes derrière ma tête. Etant assez souple également, la position pas très confortable ne me dérange pas trop. Elle passe une jambe au dessus des miennes et pose sans trop peser son fessier sur mes tibias. J’ai la vue sur la cambrure de ses reins, de ses fesses.
Aussi, je ne peux bouger. Ainsi, j’ai mon sexe à quelques centimètres de ma bouche et alors je regrette de ne l’avoir un peu plus long car alors j’aurai pu me donner des coups de langue sur mon gland et voir même prendre ma queue dans ma bouche. Pendant mes réflexions, Maryvonne n’est pas restée inactive et ce sont ces mains qui claquent mes fesses qui me ramènent à la réalité. Je sens aussi un liquide chaud couler sur mes fesses et m’aperçoit que Maryvonne me lubrifie la rosette avec sa salive. Dès lors, je sais très bien ce qu’il va m’arriver mais ne fais rien pour y échapper. Son index reprend très vite sa place et son activité dans mon cul. Les yeux fermés, j’apprécie chaque instant. Je m’avoue enfin à moi-même qu’il y a longtemps que je rêvais de cela. Peut-être pas dans ces circonstances car jamais je n’aurai imaginé, même dans mes songes les plus fous, me faire violer par une femme. Elle ne perd pas son temps en attendant son plaisir et continue ses activités sur mon petit trou froncé mais en changeant de doigt. Son pouce, même s’il n’est pas énorme, est quand même plus gros en étant moins long. Je marque une petite résistance à cette pénétration mais cela ne déboussole pas Maryvonne qui à grand renfort de salive arrive à me trouer les fesses. Après un moment marqué par les assauts de son pouce dans mon anus et constatant un manque d’enthousiasme de la part de ma partenaire, je rouvre les yeux pour, sorti de je ne sais où, entrevoir dans la main de ma cavalière, un objet que je n’identifie pas distinctement mais dont je devine la destination. Il est d’une forme allongée, fait de boules de différents diamètres qui vont de la plus petite à la plus grande en s’éloignant de la base. La dernière me parait énorme. Je n’ai pas le temps de me poser beaucoup de questions que déjà, ma sodomite présente l’objet contre ma rondelle par le côté le plus petit et m’enfonce la première boule entre les fesses, puis très vite la deuxième et la troisième, toujours plus grosse, suivent.
Je me sens bien, j’apprécie cette sodomie un peu brutale et des gémissements de contentement sortent de ma bouche. Les yeux rivés sur l’entrejambe de Maryvonne, je distingue une tache noirâtre sur le string de ma belle, une tache humide au niveau de sa vulve. Maryvonne mouille. Maryvonne jouit de me posséder. La tache s’élargit vite. Maryvonne s’appuie plus sur mes tibias comme pour rapprocher sa chatte de ma bouche. Mais aussi, c’est ma bite que je vois approcher de ma bouche pour mon plus grand plaisir. Aussi, les efforts de ma belle ne sont pas vains et je suis de plus en plus excité. Cependant, je n’arrive toujours pas à prendre ma queue en bouche et je m’en veux. J’ai toutefois droit à quelques gouttes de semence qui coulent de ma tige et inconsciemment, c’est avec ma langue que je tente de les récupérer. Maintenant pratiquement couchée sur moi et offrant son intimité à ma bouche, elle m’invite à la lécher. Pourtant, elle m’interdit d’avoir recours à mes mains pour faire arriver ma langue sur sa chair nue et bloque donc ces mains sous ses genoux. En premier lieu, c’est son string que j’ai le droit de renifler, de lécher, et il faut que j’arrive avec ma langue à le lui écarter pour pouvoir avoir le contact de son sexe sur ma bouche. Mais Maryvonne continue à m’enfoncer dans mon cul ces boules anales. Les boules grossissent au fur et à mesure que celui-ci disparaît dans mes entrailles et je suis surpris de ne pas opposer plus de résistance, de ne pas avoir plus de mal à l’engloutir par les fesses. Pour un peu, il me semblerait que c’est moi qui fais l’effort de me l’enfoncer dans le cul en remontant mes fesses à la rencontre du gode par le biais de coups de reins. Cela ne décontenance pas Maryvonne qui accélère la progression de celui-ci dans mon cul. Elle en arrive à présenter la dernière boule qui est vrai, à un peu plus de mal à entrer au vu de son diamètre. Mais ce ne sont pas mes plaintes qui ont remplacées mes gémissements de plaisir qui la feront changer d’avis. M’arrosant encore de sa salive, elle pousse de plus belle sur la tige afin de me défoncer l’anus comme elle se l’était promise. Elle m’avouera plus tard qu’elle croyait bien que je capitulerai avant et ne pensait pas que ce serait sur la dernière boule que je bloquerai. Aussi, pour augmenter son plaisir, sa jouissance, elle n’hésite pas à faire des va et vient dans mon anus avec le sex-toy et c’est à chaque fois un petit supplice lorsque ressorti, elle me l’enfonce de nouveau au plus profond de moi. Ma queue perle de plus belle et copieusement ainsi que la chatte de Maryvonne et ma langue ne sait plus quoi récolter de mon sperme ou de sa mouille. Les plaintes de mon anus ravagé se sont tu et on fait place de retour à des gémissements de plaisir. Je jouis comme une folle et ponctue chaque déchirement anal par des « Oh, oui… encore !!! Vas-y ma chérie, défonce-moi bien. J’aime ça. Plus fort, plus vite… » Jalouse, Maryvonne ne tient pas à en rester là et cesse brusquement tout mouvement de pénétration. Elle me retire même sauvagement son gode de mes fesses. La voyant se relever, je crois que la partie de plaisir est alors terminée mais c’est bien mal la connaître. Son sourire et son regard sont une invitation à d’autres délices car elle a encore en réserve une petite surprise pour sa salope.
Mais la suite est pour plus tard…

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