On Reste En Contact !
Encore une fois, je me retrouvais dans ce long couloir qui menait à la porte de son appartement, le cur battant la chamade et me demandant si je faisais le bon choix. Encore une fois j'avais cédé face à ses messages, son insistance, ses grands yeux noirs et mes envies.
Une semaine auparavant, il m'avait envoyé un mail après pratiquement un mois d'absence. La dernière fois que l'on s'était vu, on avait fini par se disputer... Enfin, je voulais qu'on se dispute, j'ai tout fait pour provoquer une dispute. De but en blanc comme ça, alors qu'on venait de coucher ensemble ou au moins quelque chose de rapprochant, je lui ai dit que je ne voulais plus le voir, que c'était fini, qu'il fallait qu'il sorte de ma vie et que je ne remettrai plus un misérable pied dans cet appartement. Je voulais qu'il m'arrête, qu'il me stoppe, qu'il me retienne et s'excuse d'avoir été grossier, de ne me voir que lorsqu'il avait envie, de me considérer comme sa chose, de m'embarquer dans ses drôles de fantasmes, et de me mettre dehors parce que ses amis venaient prendre un verre... Au lieu de ça il a souri, m'a dit « si c'est ce que tu veux. N'oublie pas de supprimer mon numéro de ton téléphone. » Furieuse, j'étais furieuse. Mon portable en main, j'ai effacé son numéro sous ses yeux en hurlant que c'était fait, et je suis partie en jurant de ne jamais revenir, jamais. Sur le chemin jusque chez moi, j'ai pleuré. Les gens me dévisageaient dans le métro mais personne n'osait s'approcher. Je me sentais stupide , idiote et sale... Mais pourquoi donc avais je cédé à ce type ?
Le mois passant, j'avais fini par remettre de l'ordre dans ma vie. J'avais décidé de déménager, de quitter cette colocation qui m'étouffait, je m'étais focalisée sur mon travail, mes projets avançaient et mes camarades me traitaient de plus en plus avec respect et non plus comme « la petite Française qui débarque ».
« Je n'ai plus envie non. Je suis fatiguée de devoir jouer ta petite esclave, fatiguée de tes fantasmes bizarres. J'ai besoin de quelque chose de plus normale, de plus doux et de plus tendre. Donc oui, nos chemins se séparent maintenant ».
Sa réponse ne s'est pas faite attendre. Une heure après je recevais un nouveau mail de sa part. Toujours aussi flatteur, il m'était en avant mon manque d'expérience avec les hommes, me proposant alors de reprendre sans violence notre relation comme un entraînement, qu'il pourrait m'apprendre 2/3 trucs... Je croyais rêver. J'étais... Je ne sais pas ce que j'étais à vrai dire. Je sais juste que j'ai répondu non, avec un magnifique point d'exclamation. Ça ne l'a pas empêché d'insister. Me promettant d'être doux, gentil, « soft », si je pouvais lui être un peu soumise. Et j'ai continué à lui dire non, soumise jamais, passive parfois mais jamais soumise. Et j'étais prise dans cette boucle de réponses, perdant petit à petit du terrain. Finalement en ayant assez qu'il me court après de la sorte, bien que flattée quelque part au fond de moi, j'ai fini par lui demander pourquoi il continuait de m'écrire, s'il était à ce point en manque de sexe pour revenir me contacter après un mois parce qu'il faut l'avouer, je ne suis pas un canon de beauté, juste une petite brune grassouillette et banale avec un cruel manque de confiance en soi.
Sa réponse fut des plus charmantes : « ah je te rassure, j'ai pas mal de plans cul.
Une victoire certes ! Mais de courte durée. En ré-ouvrant ma boîte le lendemain, je trouvais pratiquement 3 mails de sa part. Le premier me demandait d'y réfléchir, le deuxième si j'avais réfléchi et le troisième me demandait si j'étais intéressée par un plan à 3. C'était un connard. Et moi je ne valais pas mieux à lui répondre et continuer ce petit jeu stupide. A dire non et à le laisser insister encore et encore, en sentant au fond de moi que mon désir montait, en sachant qu'il savait que je craquerai et en me répétant inlassablement que tout ça devait cesser d'une manière ou d'une autre. Il savait que ça ne me laissait pas de marbre de lire ses messages. Il finit par me le dire d'ailleurs, il savait que j'avais envie. Et c'est là que je me suis dit à quoi bon lutter. J'ai fini par demander quand il voulait me voir. En bon prince il m'a laissé choisir : quand j'en avais envie... Il était à mon service. Finalement une heure après il me renvoyait un message en me disant « maintenant ? ». J'ai décliné, prétextant un rendez vous. Il a dit « viens après, je t'attendrai ».
Je regardais donc l'horloge tournait sans savoir si c'était de l'anxiété ou de l'envie que je ressentais dans mon bas ventre. Et puis, une heure avant mon rendez vous avec lui, j'ai commencé à discuter avec des amis restés en France. A partir sur un gros projet futur qu'on aimerait développer. On n'avait pas encore vraiment d'idée. Mais l'heure du rendez vous approchait, et je tentais de trouver une excuse pour laisser mes amis en plan sans leur avouer que j'avais cédé à mes pulsions primaires, que j'allais le retrouver. Elles auraient pu m'envoyer une bombe, elles n'avaient que ma version de l'histoire de ce qu'il se passait entre lui et moi, et pour elles je faisais la pire des conneries de le laisser me recontacter.
Et encore une fois, je me retrouvais dans ce couloir, qui menait à son appartement, et mon cur battait la chamade. Et je me demandais ce que je foutais là mais mes pieds refusaient de faire demi-tour. Je suis arrivée devant sa porte qui s'est ouverte. Il est apparu les cheveux en bataille, dans un vieux pantalon de sport en coton bleu, le torse nu. Je n'ai pas su le regarder dans les yeux, j'ai juste senti mes joues s'empourpraient. Il était beau. J'ai remarqué la moustache. C'était nouveau ça. Ça ne lui allait pas vraiment, mais ça ne le rendait pas non plus moche... D'ailleurs je pense que même dans la pire des tenues il serait sexy. Il paraissait gêné de me voir.
« Ah ! Merde ! T'as pas reçu mon message ».
Je l'ai regardé intriguée.
« Apparemment non... vas y entre entre ! ».
Il a fermé la porte.
« J'ai un rendez vous de dernière minute, je t'ai envoyé un message pour annuler...
- Je peux repartir si tu veux, c'est pas un problème. »
Je venais de poser ma main sur la poignée de la porte pour accompagner mes paroles. Toute sensation de papillons dans le ventre avait disparu. Du soulagement. Voilà, je ressentais du soulagement... Finalement ce sont nos emplois du temps qui rendraient tous ça incompatible. Mais il m'a retenu.
« Non, reste. T'as 2 sec ? Je prends une douche, je m'habille et on repart ensemble. Il faut qu'on parle non ? J'ai l'impression qu'il faut qu'on remette les choses à plat entre nous.»
J'ai acquiescé, étonnée que ce soit lui qui le propose. J'ai enlevé mon manteau et l'ai posé sur le dossier d'une chaise de la cuisine. Il s'est retourné et s'est dirigé vers sa salle de bain. Je regardais l'évier, au moins une semaine de vaisselle traînait, il y avait des verres partout sur la table.
Et puis j'ai entendu un bruit de pas pressé, des vêtements froissés. Il m'a attrapé le bras, m'a tourné vers lui et m'a embrassé. J'ai passé mes bras au dessus de ses épaules, ma main dans ses cheveux. J'aime ses baisers, ce petit goût de menthe sucré, cette façon qu'il a de poser sa main dans mon dos et de me coller sur lui tout en se penchant sur moi. J'ai fermé mes yeux, j'ai senti sa langue cherchait la mienne, j'ai gémi. Il a passé sa main sous mon T-shirt allant directement la poser sur mon sein. Il le massait doucement en tentant de le dégager de l'emprise de mon soutien-gorge. J'ai fini par enlever moi même mon haut pour l'aider, il m'a embrassé la poitrine, descendant de plus en plus sur mon sein gauche, arrivant sur le téton, le titillant, le suçant, le mordillant, pendant que je tentais tant bien que mal de dégrafer mon sous-vêtement.
« J'ai tellement envie de toi ! » M'a-t-il murmuré dans l'oreille avant de la mordiller et de descendre doucement jusque mon épaule. Ses mains s'attaquaient à mon jean, il l'avait déjà déboutonné et commençait le faire descendre sur mes cuisses. Je l'ai repoussé gentiment. Il m'a regardé, étonné, et j'ai moi même fait tomber mon pantalon, et glissé ma culotte en bas de mes pieds. Il s'est mordu la lèvre. J'ai souri. Il a enlevé son vieux survêtement bleu, a dit adieu à son boxer. Il s'est recollé à moi, m'a fait me retourner. J'avais mes fesses contre son bas ventre, son nez était dans mes cheveux, et glissait dans mon cou au fur et à mesure qu'il tentait de rapprocher son sexe du mien. Finalement, ne parvenant pas à me pénétrer il m'a pris la main et m'a attiré plus loin dans l'appartement.
« On va aller au lit, sinon là, on ne va pas s'en sortir ».
J'ai rougi, il a ri.
Le trajet jusque sa chambre n'a même pas pris 2seconde. Il m'a laissé entrer la première, me collant de très près, me caressant les fesses, me les tapotant, me murmurant de me dépêcher. Je me suis retournée vers lui et me suis laissée tombée sur le lit. Il me dominait de toute sa hauteur. Il aimait ça, je le savais. Me voir nue, allongée, offerte, jambes écartées juste pour lui. Il s'est rapproché de moi, a appuyé son pénis contre mon sexe jusqu'à ce qu'il rentre facilement m'arrachant quelques gémissements au passage. Sa bouche est revenue s'attaquer à mon cou, à mon menton, me chatouillant un peu. Il allait avec douceur au début, en me regardant avec ses grands yeux noirs. Je ne sais pas si c'est son regard ou le plaisir mais je fermais les yeux. Il a fini par accélérer de plus en plus vite, augmentant mes cris, ma respiration saccadée et ses propres gémissements. Il a agrippé ma jambe, l'a remonté au dessus de son épaule, augmentant encore mon plaisir. Je me mordais la lèvre, enfonçais mes ongles dans son dos.
Et puis je l'ai stoppé. Je glissais, je voulais me remettre contre lui, plus proche, mieux le ressentir, au lieu de ça il s'est retiré et s'est allongé sur le lit. Il était là entièrement nu, le sexe droit, et il me regardait. Je sentais une chaleur intense m'envahir. Il aurait pu tout me demander, mon compte en banque, la lune, ma mère, je lui aurai donné sans même chercher à comprendre.
« Tu viens ? » .
Je me suis rapprochée de lui lentement et ai grimpé sur ses cuisses, à califourchon. Je me suis soulevée doucement, et ai attrapé sa queue, et l'ai introduit en moi. Ses yeux se sont fermés. Il a poussé un râle. Ça m'a amusée. Je me rendais compte que j'avais une influence sur ses réactions ce qui jusqu'à présent ne m'avait jamais effleuré. J'ai commencé à bouger doucement, il a tendu ses mains sur ma poitrine. Les regardant se soulever au rythme de mes mouvements, les caressant encore et encore, les pinçant. Il me faisait mal mais c'était agréable aussi, alors j'ai continué, allant de plus en plus vite. La tête levait vers le plafond, mes cheveux tombant dans mon dos. Je l'entendais gémir, et soudain il m'a stoppé. Il était à deux doigts de jouir. Je me suis calmée, j'ai repris ma respiration, en le regardant droit dans les yeux, les cheveux en bataille.
Il a posé sa main sur mon visage, a fait glisser son pouce sur ma joue jusqu'à mes lèvres qu'il a entrouverte. J'ai attrapé son pouce avec mes dents, passé ma langue dessus. Mes cheveux tombaient sur mon visage, j'étais sûre de ressembler à une sorte d'amazone. Il a passé sa main derrière ma nuque et m'a murmuré de venir en m'attirant sur lui. Ma poitrine était alors au niveau de son nez, l'idéal pour lui. J'ai recommencé à bouger d'avant en arrière plus doucement, en collant ma tête sur son front, mon nez dans ses cheveux, il me mangeait littéralement les seins. De temps en temps, il me donnait un petit coup de bassin, m'arrachant quelques onomatopées surprises. Et puis il m'a collé contre son torse, mon visage auprès de son oreille. Et il a commencé à prendre le contrôle de ses va-et-vient. Il y allait fort, je m'agrippais à lui en poussant de petits cris aigus, il a planté ses dents sur mon épaule et a mordu. Je ne sentais même pas la douleur de son geste, j'étais trop occupée à lui dire à quel point c'était bon.
Il s'est arrêté, je suis restée quelques minutes sans bouger afin de reprendre une respiration normale. Quand je me suis redressée il m'a agrippé la taille pour que je reste assise sur lui.
« Tu regrettes d'être venue ? ».
Je ne lui ai pas répondu, je me suis juste soulevée pour laisser son sexe retomber sur son ventre. Il a ri, et a posé ses mains sur mes cuisses. Il les caressait avec force, de temps en temps il en claquait une. Je faisais un bond de quelques centimètres et le regardais en faisant les gros yeux. Il riait d'autant plus. Il a pris une de mes mains et l'a posé sur sa verge. Je la sentais battre, c'était vraiment chaud, et une partie semblait dur et en même temps molle. Jusqu'à présent je n'avais jamais vraiment toucher son sexe de mes mains. J'ai voulu le branler, un peu pour voir sa réaction. J'y allais doucement, un peu gauche, sans vraiment savoir si je m'y prenais bien.
« Vas y plus fort ! Empoigne la bien ! ».
Je l'ai fait du mieux que j'ai pu. Quand il a jugé que c'était assez bien pour lui il m'a demandé de stopper. Je me suis remise à califourchon, il m'a regardé avec un sourire en coin. J'ai recommencé mes va et vient en le regardant droit dans les yeux cette fois, il ne réagissait pas. J'ai accéléré, aucune réaction, encore un peu plus vite, ah je crois qu'il se retient, encore un peu plus vite, mais là c'est moi qui commence à gémir, encore un peu plus vite, il m'att la main, encore plus vite je suis en train de lever ma tête, mes doigts sont mêlés au sien, encore un tout petit peu plus, je sens que je vais jouir ! Il l'a fait juste avant moi.
Il m'a alors demandé de bouger de là. Je me suis levée. Il s'est mis sur le ventre. Ses petites fesses rebondis me narguaient. Je me suis assise à côté de lui. Il m'a regardé en faisant la mou.
« quoi ? Ai je demandé
tu me masses un peu ?
- S'il te plaît ! »
J'ai soupiré mais c'était plus pour la forme. En fait j'aimais le masser. C'étaient les seuls moments ou nos rapports étaient tendres durant le peu de temps où l'on s'était fréquenté. Je me suis donc assise sur ses fesses. J'ai passé mes mains sur son dos. Il était ruisselant de sueur, elles glissaient toutes seules le long de sa colonne vertébrale.
« Je dois avoir un T-shirt dans le coin, tu peux m'essuyer avec si tu veux ».
Effectivement, au pied du lit j'ai trouvé son vieux T-shirt gris avec une pin up dessinée dessus. Je l'aimais bien ce T-shirt, j'ai toujours bien aimé les pin-up. Je l'ai passé doucement sur son dos. Et j'ai commencé à le masser, passant mes mains sur ses épaules, suivant la ligne de sa colonne, les faisant aller sur les bras, grattant ses cheveux, massant sa nuque.
« T'as rencontré d'autres mecs ce mois-ci ? A-t-il demandé l'air de rien.
-non. Je n'ai pas vraiment eu le temps. J'ai bien essayé mais... C'est pas pour moi la drague et tout ce genre de truc.
- je vois... Tant mieux pour moi du coup... Masse un peu mes bras avec s'il te plaît.
- okay
- Et ? Sinon ? T'es partante pour qu'on recommence toi et moi ?
- J'en sais rien. »
Et puis il m'a tapé l'épaule en repliant sa jambe. Alors j'ai continué en massant ses chevilles. Je pense que si j'avais voulu, juste en lui massant la cheville j'aurais pu le mener au summum du plaisir. Mais avant même de réellement m'y attaquer il m'a demandé de revenir m'occuper de son dos. Alors je me suis rassise sur son fessier. En prenant soin de ne pas trop l'écraser. Il a attrapé ma main gauche et l'a posé dans ses cheveux, je pensais qu'il voulait un massage au niveau de la nuque mais non. Il a attrapé mon autre main et l'a amené vers son visage, je me suis retrouvée allongée sur son dos. J'ai passé mon nez sur sa nuque, soufflé doucement dans son cou, léché le haut de son oreille.
« Continue ! Excite moi ! » a-t-il susurré.
Je me suis sentie un peu perdue. Je n'avais pas la moindre idée de comment faire, mais j'ai continué. J'ai laissé ma poitrine s'écraser contre son dos, mes mains rejoindre les siennes, j'ai embrassé son cou. Il s'est retourné d'un coup et d'un geste violent m'a pénétré avec force. Il m'a regardé, m'a collé sur lui et m'a murmuré dans le creux de l'oreille.
« Je vais te démonter ! »
Je n'étais même pas choquée. Finalement, il restait égal à lui-même et j'étais dans un tel état d'excitation que je ne faisais pas vraiment attention à ce qu'il me disait. J'avais juste envie qu'il y aille fort, qu'il me propulse à des années lumières de la terre. Il allait vite, je me sentais secouée dans tous les sens, je tirais sur les draps, j'attrapais tout ce que je pouvais et j'ai fini par lui dire de me défoncer. Il a été surpris m'a regardé et m'a demandé de répéter. J'ai recommencé à lui demander plus fort, suppliante. Il m'a poussé en arrière, s'est mis sur moi. Mes jambes l'ont enfermé, mes mains tenaient ce qu'elle pouvait, je ne tentais même plus de retenir mes cris, il était concentré sur sa tâche, je ne voyais plus rien, n'entendait plus rien, je ne sentais que mon plaisir.
On s'est un peu calmé. Il était à moitié assis, j'étais allongée, la tête sur sa jambe. Je le regardais sans vraiment le regarder, les yeux un peu dans le vague, le corps encore en plein spasme. J'avais déjà, en si peu de temps, oublié la puissance de l'orgasme. Je me sentais en harmonie avec le monde, dans un de béatitude qui n'allait pas durer.
« dis donc, t'en veux aujourd'hui ! »
Je n'ai pas répondu. J'ai juste soupiré d'aise.
« Tu voudrais pas me sucer ? » Il me regardait en tenant sa bite entre les mains. J'ai hésité, un peu trop ailleurs pour vraiment m'exécuter. Mais j'ai fini par me tourner vers lui. J'ai mis mes cheveux en arrière, j'ai embrassé son ventre et je suis descendue petit à petit, il a posé sa main sur ma tête appuyant de plus en plus fort jusqu'à ce que je l'ai bien en bouche.
« Ouai ! Voilà ! C'est ça, comme ça ! Tu t'es sacrément améliorée depuis la dernière fois. T'es sûr que t'as eu personne d'autres entre temps ? »
J'ai froncé les sourcils tout en continuant ma tâche.
« hmmmm ! Tu sais que tu es à moi. »
Il m'a stoppé et a relevé ma tête vers lui.
« Ecoute. On peut vraiment reprendre à deux, je te promets d'être plus gentil, plus doux.
- Mais j'aime pas ce jeu idiot de domination, j'ai pas envie que tu me redonnes des ordres avant que j'arrive, j'ai pas envie que tu me gifles pendant que je te suce.
- Ouai mais moi, ça m'excite... Tu peux quand même m'appeler Maître. S'il te plaît ? »
Voilà, j'étais piégée. La tête entre ses cuisses, sa queue devant le nez, et il me regardait avec ses grands yeux noirs, la tête pas en état de réellement réfléchir, et je sentais sa main caressait mes cuisses et venir de temps à autre me caressait l'entre-jambe.
« Allez... juste un peu »
Il a glissé son doigt en moi, il s'est rapproché, m'a mordu l'oreille et m'a murmuré s'il te plaît. Et je lui ai donné mon accord. Parce que je ne pouvais plus rien lui refuser.
« Bien ! Je vois que t'en as encore envie. Supplie moi de te prendre, dis à ton Maître comment tu veux qu'il te baise »
je l'ai regardé en rougissant, j'étais génée. Et en moi même je me disais que les problèmes allaient recommencer. Il a insisté en s'énervant un peu, ou du moins en faisant semblant de s'énerver. Alors d'une voix mal aisée je lui ai demandé de revenir en moi en finissant ma phrase d'un « maître » qui ne l'a pas convaincu.
« Mets y plus de cur ! Allez !
- Maître s'il te plaît, ai-je repris suppliante et gémissante, prends moi encore !
- C'est beaucoup mieux »
Il m'a poussé sur le lit, et m'a ordonné de me mettre à quatre pattes, de me cambrer un peu plus. Il m'a pénétré sans ménagement, j'ai crié sous la surprise et le plaisir. Il m'a frappé la fesse droite, a plongé sa main le long de mon dos, et arrivé à mes cheveux les a attrapé et tiré en arrière en accélérant encore et encore ses coups de bassin. J'ai agrippé les draps, tout ce que je pouvais et je serrais aussi fort que mes doigts le permettaient. Je l'entendais prendre son pied, balançant de temps à autre quelques « ouai » à intensité variable et avec plus ou moins de soupirs d'aise. Dans un sens, je prenais le mien également. Mes cheveux m'avaient fait mal sur le coup mais à cet instant précis, je faisais mes gammes. Augmentant au fur et à mesure de notes à chaque coup de bassin, et accélérant le rythme en même temps que le maître de cérémonie.
J'ai fini par m'écrouler de tout mon long. Il a frappé mes fesses en me disant que j'étais bonne. Et il s'est rassis en reprenant son souffle. Je suis restée sans bouger un long moment.
J'ai fini par lui réclamer un verre d'eau. C'étaient mes premiers mots depuis au moins 10 min de silence. Il s'est levé et n'est réapparu qu'au bout de 5 min. Il m'a attrapé les joues de sa main libre, m'a à ouvrir la bouche, a vidé le verre entre mes lèvres, m'obligeant à avaler pour ne pas m', à reposer le verre sans me lâcher et a fini par introduire sa langue dans ma bouche. Là, il a desserré ma mâchoire pour m'embrasser avec force. Il a laissé glisser ses mains jusque mes fesses et à commencer à jouer avec. Ils me les frappaient à tour de rôle, de plus en plus fort. Finalement j'ai enfin osé lui dire qu'il me faisait mal. Il m'a souri et a arrêté.
Il s'est rallongé sur le lit. Il bandait encore. Je l'ai regardé.
« je te l'ai dit je suis insatiable. Et je sais que t'en veux encore » Il a approché sa main de mon sexe et a caressé mes lèvres. J'ai frémis.
« Tu vois ? Allez viens. Remontre moi tes talents un peu ».
Je me suis avancée vers lui, j'ai remis mes jambes autour de ses cuisses. Je commençais à descendre sur son sexe mais il m'a stoppé.
« Non. Pas par là. »
Je l'ai regardé sans trop comprendre. Il s'est assis, a empoigné sa bite, a attrapé mes fesses, m'a serré contre lui et a commencé à caresser sa queue sur ma raie. Et sans crier gare, il a commencé à l'enfoncer entre mes fesses.
« voilà à sec »
Je gémissais, les larmes aux yeux, je lui disais qu'il me faisait mal. Il m'a embrassé et m'a dit de me détendre. Que ça allait être bon, je devais lui faire confiance. Il a patienté un peu avant de continuer de s'enfoncer en moi. Mon corps était engourdi, je me sentais bizarre. Et puis il a commencé à aller d'avant en arrière. Et ma douleur s'est petit à petit transformé en une sorte de plaisir. Je n'arrivais pas à parler, et même si j'avais su, je n'aurais su comment décrire ce que je ressentais. Je voulais lui dire stop et continue à la fois. Plus vite et moins fort. Finalement, il jugeait lui-même de ce qui était bon à faire sur le moment. Quand enfin j'ai fini par lâcher un son de la bouche, il a décrété qu'il pouvait y aller et sans ménagement aucun, il a accéléré encore et encore jusqu'à ce qu'il commence à jouir entre mes fesses. A ce moment il s'est retiré, m'a poussé et est venu jouir sur ma poitrine.
Il s'est allongé en murmurant un « vraiment bonne ». Je n'ai pas su quoi dire.
Je me suis levée. J'ai frotté mes fesses endolories. Je suis partie à la recherche de mes vêtements, je me suis rhabillée... Quand j'ai voulu repartir, il est apparu dans le couloir. Il se tenait près de la porte, encore nu. Et juste quand j'ai passé la porte d'entrée, il m'a regardée et m'a dit « on reste en contact ! ».
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