Première Soumission

- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS-

Élodie marchait dans la rue, sentant les regards se retourner sur elle. Elle adorait ça, sentir l’admiration et le désir dans les yeux des hommes. Elle portait une minijupe noire qui mettait en valeur ses longues jambes nues et un chemisier blanc légèrement transparent qui mettait en valeur sa magnifique poitrine, du 95D. Ses cheveux blonds étaient coiffés en deux tresses et ses yeux bleus brillaient de fierté. Elle rentrait chez elle, et en passant devant un bar habituellement fermé ce jour-là, elle sentit une main serrer son bras. Elle fut tirée vers l’intérieur et l’inconnu referme immédiatement la porte, puis la tira vers l’arrière-cuisine.
« Allez, viens par là, salope »
Élodie avait peur, elle avait perdu toute assurance, elle paniquait à l’idée de ce qui allait se passer.
« On m’attend chez moi , tenta-t-elle de dire
- Tu mens pétasse, je sais que t’habites seule.
Il l’obligea à se lever et la plaça dos à la table.
« J’ai bien vu que tu passais ton temps à aguicher les hommes, salope. T’aimes te faire désirer, c’est ça ? Moi je vais t’apprendre à te soumettre. » Il approcha sa main et lui tâta un sein. « Dis que tu es une cochonne ».
Son corps était presque collé au sien, elle ne pouvait reculer à cause de la table. Elle tenta de se débattre, de le griffer. « Vous êtes complètement fou, vous n’avez pas le droit… ». Il lui asséna une énorme gifle qui la fit tomber en arrière, le dos contre la table.
« Silence, salope ! J’ai tous les droits sur toi, je suis un mâle et toi une femelle qui va bientôt être soumise, allez dis que tu es une pétasse, que tu es une cochonne !.»
Elle n’eut aucune réaction, encore sous le choc de la gifle. Il se pencha sur elle et la gifla à nouveau : « Dis que tu es une pétasse !
- Je suis une pétasse, dit-elle les larmes aux yeux
- Parles plus fort, crie que tu es une salope.

- Je suis une salope !
- Dis que je suis ton maître et que tu te soumets à moi.
- Non, non » voulut-elle protester. Il la gifla à nouveau
« Dis le, crie le, salope !
- Tu es mon maître et je me soumets à toi.
- Bien maintenant on va pouvoir passer aux choses sérieuses. » Il se pencha vers elle. « Je vais te baiser bien violemment ma cochonne ».
Elle hurla, se redressa assise sur la table et tenta de lui mettre un coup de pied dans ses attributs, mais il lui saisit le pied et le leva et elle se retrouva de nouveau allongée sur la table. Il se glissa entre ses jambes et d’une main la tint plaquée contre la table. Il la gifla à nouveau. « Tu es rétive comme une pouliche sauvage ma petite salope, mais je vais te soumettre quand même ». Il saisit le chemisier à deux mains et tira de chaque côté, explosant la boutonnière. La vision de la poitrine le ravit. Il ne put résister et lui arracha son soutien-gorge. Deux magnifiques seins à petits tétons furent libérés. Il les malaxa, une main sur chaque. Puis il tenta de trouver l’ouverture de la minijupe, mais il s’énerva en essayant d’ouvrir et arracha le bout de tissu qui dévoila un string blanc qu’il déchira aussitôt. Il vit alors sa magnifique chatte soigneusement épilée. Il se mit à poil et présenta une bite imposante, d’une vingtaine de centimètres, mais surtout très large, qu’il tapota sur le clitoris de la demoiselle.
« Tu vas voir salope, je vais te baiser comme une chienne ! »
La pénétration fut brutale, il s’enfonça d’un seul coup jusqu’à la garde. Elle cria de douleur et tenta de le frapper, mais il avait une main sur chacun de ses nibards et la maintenait allongée sur la table alors qu’il était debout. Elle ne pouvait l’atteindre et les coups de griffe qu’elle lui mettait sur les bras ne faisaient que l’exciter encore plus. Elle lui enfonça alors ses ongles de toutes ses forces dans son poignet. Il dégagea sa main et lui mit une gifle aller-retour qui fit trembler le nibard qu’il ne pétrissait pas. Il lui mit ses deux mains sur la taille et reprit sa pénétration avec plus de rapidité et de force, ses couilles venaient claquer sur le magnifique cul d’Élodie. Celle-ci cessa peu à peu ses griffures, car il montait en elle un plaisir insoupçonné. Elle haletait, elle se mit à gémir, puis elle cria de plaisir. Elle cria qu’elle était une salope.
« Tu aimes être soumise ?
- Ahhhh, oui ahhhh j’adore ça.
- Et ben tu vas voir salope, je vais te soumettre comme une pute.
Il se retira et la retourna, l’allongeant face à la table. Il lui mit une fessée sur son cul magnifique et la prit en levrette, brutalement. Ses couilles claquaient à chaque aller-retour et il la fessait de plus en plus fortement. Elle jouissait d’être soumise, prise comme une chienne. Alors il prit une de ses tresses dans chaque main et tira, elle se cambra sous l’effet de la traction, mais sa douleur ne la faisait que plus jouir, elle hurlait, jamais elle n’aurait crû qu’il était possible d’avoir tant de plaisir.
Il relâcha les tresses, se retira et lui demanda
« Tu t’es déjà fait enculer ma grosse salope ?
- Non, non pas ça.
- Oh si ma pétasse, et je t’assure que tu vas en jouir.
Il prit une de ses jambes si désirables et la lui fit plier sur la table, ainsi son cul était plus ouvert, puis il mit une main sur une des hanches qui complétaient superbement la croupière de cette jeune salope et de l’autre il dirigea sa bite raidie comme jamais vers son petit anus. Il tapota l’orifice avec son gland et d’un coup s’y enfonça jusqu’à la garde. Elle hurla de douleur, son anus lui faisait l’effet d’avoir été pulvérisé, mais ça ne le gêna pas et il la pénétra de plus en plus vite. Elle-même y prit du plaisir, elle ne jouissait pas aussi fort que tout à l’heure, mais se faire soumettre par l’anus l’excitait terriblement et elle était fière de fournir du plaisir à un homme. Soudain, alors qu’il était enfoncé jusqu’à la garde, il s’arrêta et la releva en tirant sur ses nattes. Il se mit à lui malaxer les seins.
« Tu aimes la sodomie, hein ma salope, tu aimes te faire enculer comme une vulgaire chienne ?
- Oui, j’aime ça.
- Tu dois m’appeler maître salope, tu es mon esclave, ma femelle soumise.
- Oui maître.
- Maintenant, tu vas sucer ma queue pétasse, c’est normal que tu la lave, c’est dans ton cul que j’ai été la salir.
- Oui maître.
Il la fit se mettre à genoux et lui présenta sa bite. Elle commença directement à le sucer bien fort, elle lui pompa le gland comme elle ne l’avait jamais fait à aucun autre, elle était avide de recevoir son sperme chaud dans la face, elle voulait sa récompense de femelle soumise pour avoir bien servi son maître, mais il n’en était pas encore là, il lui prit la tête à deux mains, l’immobilisa et commença à lui pénétrer la bouche comme il l’avait fait avec son cul, violemment et sans ménagement, il se retirait juste lorsqu’elle était sur le point d’, et recommençait aussitôt à la pénétrer. Enfin, il se retira et pointa sa bite vers sa face de salope soumise.
« Tu vas avaler mon sperme salope !
- Oh oui, donne moi ton sperme maître, emplis-moi de ta semence. »
Il lui mit une giclée dans la face, rapprocha sa tête de la bite, éjacula la seconde giclée de sperme dans sa bouche, mais alors qu’elle attendait avec impatience la troisième giclée, il se détourna et éjacula sur le pavé.
« Non ! pourquoi ? » s’exclama-t-elle, déçue. Il la bifla avec la bite qui l’avait si bien baisée.
« Silence, salope, avale déjà le sperme que tu as sur le visage ». Elle ramassa tout le sperme qui était sur sa jolie frimousse et l’avala goulûment.
« Maintenant salope, tu vas lécher le sperme qui est par terre et l’avaler comme la grosse chienne bien vulgaire que tu es.
Elle se pencha et commença à ramasser le sperme avec sa langue avec une avidité de parfaite soumise. Il lui mit un pied sur la tête et la força à se prosterner encore plus jusqu’à ce qu’elle eût avalé tout le sperme. Alors il fouilla sa minijupe, en sortit un portable et s’envoya un message.
« À partir de maintenant tu es à mon service, tu dois maintenir ce portable allumé en permanence, si j’en ai envie, je t’appelle et tu accours, c’est compris ?
- Oui maître, répondit-elle, à ce moment-là, elle était prête à n’importe quoi pour avoir à nouveau le plaisir qu’elle avait eu à se faire soumettre par cet homme.
- Bien, je t’autorise à te laver et à te rhabiller avant de sortir dit-il, et il la laissa nue sur le carrelage de la cuisine, souillée et soumise, mais heureuse comme jamais.