Les Épreuves D'Une Chienne Soumise...

Résumé : Jusqu’au bout… Jusqu’au bout de moi-même je décide de continuer le jeu que j’ai entamé pour ne pas perdre mon HOMME… Devenu mon MAITRE l’espace d’un week-end…


Nous nous promenâmes sur les bords de la Charente… L’air était frais mais le soleil de cette fin de matinée nous réchauffait naturellement…
J’avais toujours ce gros truc dans mes fesses et Alban ne cessait de m’administrer quelques petites fessées pour que je garde une démarche correcte… voire même que j’accentue davantage mon déhanché !!
C’est vrai que là il me gênait… Ce plug !!

Nous marchâmes une bonne heure très amoureusement… Lorsqu’Alban compris que mes talons hauts n’étaient pas adaptés à cette promenade :
A : Une salope se doit de faire des efforts pour plaire à son maître… Tu veux retirer tes souliers et finir la promenade à 4 pattes comme une chienne ?

Il venait de briser la glace… Me ramenant à nouveau à ma condition…
E : Oh non maître… Surtout pas… Je vais faire de mon mieux !!
A : Je te le conseille vivement !!

Nous reprîmes la marche… Et bien que nous étions sur le chemin du retour, je ne sais plus si du plug dans mon cul ou des chaussures j’étais le plus gênée !
A : Tu m’avais dit que tu ferais des efforts… Je constate qu’il n’en est rien !
E : Pardon maître… Mais j’ai absolument pas l’habitude de marcher l’arrière train rempli et encore moi avec des talons si hauts !!
A : Très bien… Puisque tu te plains… Je vais ajouter à ton épreuve un fardeau supplémentaire… Si tu y arrives tu auras le droit à un bon bain bouillonnant…

Il sortit de sa poche un nouveau plug… Aussi gros que celui que j’avais dans les fesses… Mais nettement plus long !!
A : Relève ta jupe que je puisse le mettre dans ta chatte !

Il dût lire sur mon regard que j’étais effrayée… Comment pouvais-je engloutir un truc pareil dans ma chatte…
Pourtant je relevai ma jupe…
A : Plus haut sale chienne… Et écarte les cuisses !

Il glissa mon string sur le coté… Et plaça la tête du jouet entre mes lèvres intimes…
Machinalement je fermai les yeux et penchai ma tête en arrière…
Je le senti me pénétrer tout doucement… J’étais si trempée que je ne m’aperçus pas qu’il était entré de toute sa longueur… Ce sont des voix de promeneurs qui me firent sortir de ma léthargie… Et qui me firent me rajuster…
Alban était là… devant moi… Le sourire jusqu’aux oreilles…
A : Tu vois bien que tout est possible !

Je n’en revenais pas… J’avais les entre-jambes remplis !!!
A : Maintenant applique toi et marche comme une putain… Je me tiens à distance pour mieux t’observer…
E : Oui maître !
A : A chaque faux pas c’est 10 coups qui viendront rougir ta peau !
E : Je serai irréprochable mon Maître…

Mais que n’avais-je pas dis là…
A peine 10 enjambées que je manquais déjà de m’affaler…
A : 10 !

L’embase de celui-ci était plus large… Si bien qu’il frottait davantage sur mes cuisses… Et comme Alban l’avait coincé sous l’autre embase du plug dans mon séant… Les petits vas et viens au rythme de mes pas me faisaient fléchir…
Je repris donc ma marche… En me concentrant et en respirant profondément…

Je n’ai jamais eu autant de plaisir à marcher que ce jour là…
J’aurai voulu courir pour jouir et en finir de ce supplice…
Mais au lieu de ça, je mis toute mon attention à tortiller du cul comme pour mieux exciter mon homme et aussi les quelques flâneurs qui rôdaient le long du fleuve…

Arrivés à l’auberge… Alban qui m’avait rattrapée en silence me prit par le bras… Et me susurra à l’oreille…
A : Bravo ma chérie… Tu as été parfaite… Tu auras le droit à une récompense…
E : Je t’aime… J’en peu plus mon amour…
A : Je sais… Mais il te faut regagner la chambre… Et n’oublie plus à qui tu t’adresses dorénavant !
E : Oui Maître…
A : Ah oui… J’oubliai… Tu en es à 40 !

Je lui lançai alors un regard de colère…
A : Encore une fois où tu me manques de respect et je double la correction !
Baissant les yeux par crainte… Et aussi par soumission… Oui pour la première fois du week-end… Je me sentis absolument soumise… cérébralement !
E : Oui maître

La reprise de ma marche me valut un : « 50 ! »

Quand nous arrivâmes à la chambre… Non sans avoir attiré les regards des quelques personnes présentes dans le hall…
A : Très bien… Tu m’as bien excité salope… Va falloir que tu me soulages…

Sur ces paroles… Il s’installa dans le fauteuil près de la fenêtre…
Sans aucune hésitation, je me mis à quatre pattes et vins le rejoindre comme une bonne chienne docile…
Je me frottai le visage contre son sexe au travers le pantalon… Puis j’entrepris de le déshabiller pour le sucer…
Je me souvins alors qu’il n’avait pas pris de douche… Mais j’étais enivrée par cette odeur…

A : Tu as 10 min pour me faire jouir… Fais comme tu le sens…

Je le regardais dans les yeux… Puis je me suis jetée sur sa queue pour l’engloutir en entier d’un seul trait…
Je l’ai pompé comme une folle… J’en bavais tellement j’allai vite et profond !
Quelques minutes passèrent et la peur de ne pas pouvoir réussir la nouvelle épreuve qu’Alban venait de me présenter… Je me mis à le masturber vigoureusement en lui léchant partout entre les cuisses…
Croyez moi, l’exercice n’est pas facile…
Lui avait chaud et avait retiré son pull… Et il se mit à cracher ton son orgasme sur son ventre…
Fière de moi, je relevai la tête avec un sourire de contentement
A : Eh bien… Tu t’améliores… Tu as le droit à ta récompense… Nettoie… Lèche bien partout…

Ma récompense !!.

.. Ma récompense ??!!
Je m’attendais à ce qu’il me fasse jouir mais absolument pas à çà !

Vexée… Mais aussi pour lui montrer que j’avais du caractère malgré ma nouvelle condition du week-end…
Je me léchai d’abord langoureusement les doigts… Feignant de me régaler…
Non en fait je ne feignais pas… Je me régalais véritablement…
Puis ensuite je léchais tout le foutre de mon Maître et Amoureux… jusque dans les moindres recoins… Même dans son nombril où je dus aspirer son jus…

Mon affaire faîte, il me prit par les cheveux pour me relever en même temps que lui…
A : Nous allons déjeuner… Tu as le choix… De retirer le plug que tu veux…

Afin de lui montrer ma détermination…
E : Maître… Je peux garder les deux ?

Surpris et très amusé… Il me caressa la tête en remettant aussi un peu d’ordre à ma chevelure…
A : Oui… J’espérai cette réponse… Tu es une très bonne chienne !

Il me donna une tape sur les fesses… Ce que je pris comme un « on peut y aller »…
Mais non…
A : Attends… J’ai moi aussi mon mot à dire… Et tu n’as pas le droit de refuser !

Totalement interloquée
E : Euh… Oui maître ?
A : Retire ta jupe, ton pull et ton soutif et mets ça…

Il me jeta dans les bras une robe moulante en matière stretch…
E : Oh non… Pitié… Pas ça maître !?
A : Tu oses encore me désobéir ?

Je me mordis la langue pour ne pas répondre et entamai de me déshabiller… Pour revêtir cette robe ridicule tant par sa finesse que par sa trop courte longueur…
J’avais tout l’air d’une pute…
A : Bien maintenant nous pouvons descendre… Et je te prie de bien tortiller du cul si tu ne veux pas que j’en rajoute une couche !
E : Oui Maître…

C’est les yeux rivés au sol que je me suis dirigée à la salle de restaurant…
L’embase du plug dans mon séant, la moins discrète au regard des autres personnes… formait une boursoufflure plus que visible au travers dans la robe…
Je fus apaisée lorsque je pus enfin m’asseoir… Enfin presque… Tout au long du repas je devais sans cesse tirer sur le bas de ma robe pour cacher la lisière de mes bas…. En plus des objets qui envahissaient mes orifices qui me ramenaient sans cesse à ma condition…

Au milieu du déjeuner… Déjeuner au cours duquel nous avons encore un peu trop bu… Alban m’ordonna :
A : Vas aux toilettes et inter-change les plugs…
E : Mais tu es fou… Jamais je ne pourrai mettre le grand derrière !!
A : Bon maintenant ça suffit… Tes 50 coups vont-être cuisants !

Je l’implorai du regard… Mais il ne broncha pas…
Aussi je me suis levée et je me suis dirigée vers les toilettes mixtes de la salle de restaurant…
Je pris le cabinet pour les personnes à mobilité réduite… Il avait l’avantage d’être plus spacieux et surtout… Il avait son propre lavabo…
Je n’ai eu juste qu’à rouler un tout petit peu ma robe sur mes hanches que j’avais déjà les fesses à l’air !
C’est avec le plus grand soulagement que je retirai le plug qui était derrière… Cela faisait plus de 3 heures qu’il était en moi…
J’appréciai alors ma toilette très intime du petit matin… Aucune trace… Aucune mauvaise odeur…
J’ouvris le robinet et le nettoya quand même…
Puis je retirai le second sans aucune difficulté… Encore maintenant je m’étonne d’avoir tant mouillée de cette situation.
Je me suis mise à les comparer… Celui que je venais de retirer, et que je croyais semblable au premier par son diamètre était en réalité nettement plus gros et très nettement plus long !!!
Là je pris peur !!!
Comment allais-je pouvoir me le mettre dans le cul !!!
Je le rinçais à nouveau en y ajoutant du savon liquide…
Et toute tremblante… Je pointai l’extrémité entre mes fesses…
Je ne saurai dire comment… Mais il est rentré sans trop d’effort… Presque même sans douleur… Juste un léger picotement…
Ensuite, le second est rentré très facilement dans mon sexe…

Je me suis rajustée… Enfin presque… Car plus je tirais sur le bas de ma robe… Plus ma poitrine était mise en avant…

Je rejoignis ma place…
L’énorme plug dans mon fondement rentra à fond… Je ne pouvais m’empêcher de serrer les fesses et dandiner sur la chaise… Je m’excitais en quelque sorte !
A : Tout c’est bien passé ?
E : Oui très bien Maître…
A : Tu vois… Quand tu veux… Comme ça ce soir le chemin va être largement ouvert pour ma queue…

Puis après un petit moment de silence… Juste avant que le serveur nous apporte le dessert…
A : Maintenant tu ne touches plus à ta robe… Et tu gardes les cuisses bien ouvertes…
E : Euh oui Maître…
A : Bien… Je vois que tu commences à comprendre qui décide… Et gare à toi si tu n’obéis pas…

J’étais maintenant très excitée…
E : Je ferai tout ce que vous me demanderez mon Maître !

Le serveur arriva sur ces paroles…
Aussi comme me l’avais demandé Alban, j’écartai largement les cuisses… Ma robe remonta très haut… Plus personne ne pouvais plus ne pas s’apercevoir que je portais bas et porte-jarretelles !

Le dessert avalé, le serveur revint débarrasser et commander nos cafés…
Il ne s’est pas privé pour glisser des regards furtifs à ma tenue…
Je me suis alors demandé si c’était lui qui était venu débarrasser le petit déjeuner de la chambre alors que j’étais en lingerie fine, yeux bandés… et menottée… Je me suis mise à rougir !!!
Quand il fut parti… Et alors que la salle s’était déjà bien vidée…
A : Retire ton string et pose-le sur la table !

J’étais complètement affolée…
E : Mais c’est impossible Maître… Il faut que je défasse mes jarretelles… Ici je ne peux pas… Je vous demande une faveur… Que j’aille le faire aux toilettes… SVP !!

Dix secondes de réflexion et Alban me répondit :
A : OK… Mais à une condition… Tu ne fermes pas ta porte de cabine à clé !
E : Oui Maître… Merci Maître…
A : Je te fais confiance Emilie…

Aussitôt dit… Aussitôt rendue dans les toilettes…
Je mis quelques secondes avant de me décider à ne pas fermer le verrou… J’étais toute tremblante…
J’ai donc relevé ma robe une nouvelle fois… ôté les jarretelles… fis tomber mon string à mes pieds… remis mes jarretelles non sans mal tellement je paniquais que quelqu’un ne rentre… redescendis ma robe… et attrapai mon string qui gisait au sol !
Personne n’était rentrée et c’est soulagée que je sorti du cabinet de toilette… Le string en boule dans ma main… String qui était déjà bien imprégné…

Arrivée à notre table… Toujours dans une démarche lascive malgré les objets qui me remplissaient… Je déposai le bout de tissu sur la table comme me l’avait ordonné Alban…
Heureusement les cafés avaient été servis !!!
A : Très bien… Tu m’épates d’heure en heure… Nous allons pouvoir nous délasser maintenant…

Nous quittâmes la salle de restaurant pour rejoindre la chambre quand Alban me stoppa…
A : Toi tu restes ici dans le petit salon là bas… Prends le fauteuil contre la fenêtre… Je reviens avec ce dont on a besoin…

Je regardais le sofa qu’il me désignait… Petit canapé bas, profond…
Je pris peur… Je n’avais plus de culotte… Et il était évident que j’étais à la vue de tous ceux qui entrent et qui sortent de l’auberge…
E : Bien Maître…
A : Ah !!... Et n’oublie pas de garder les cuisses écartées !

Pour toute réponse je me suis dirigée où il m’avait indiqué… Je m’assis et pris la pose demandée…
J’étais humiliée…
Satisfait, il reprit le chemin de la chambre et revint 5 minutes plus tard avec un petit sac à la main…

Je ne sais comment j’ai fait… Mais je suis restée plantée là comme il me l’avait demandé… Seuls les quelques employés passèrent… Non sans me jeter des regards insidieux…
A : Parfait… Viens nous allons à la piscine…

L’hôtel était pourvu d’une petite piscine couverte…
J’étais ravie de cette initiative… Mais aussi très intriguée parce qu’Alban me réservait…

Nous entrâmes dans le vestibule qui donnait accès aux cabines de change…
A ma grande surprise, Alban prit la direction d’un petit vestiaire qui servait aussi de transition entre la piscine et le vestibule…
A : Déshabille-toi… Que je te donne ton maillot…
E : Là ? Ici ???
Alban me lança un regard sombre…
E : Oui maître tout de suite…
A : Et prends ton temps surtout… J’aime regarder une salope se déshabiller…

J’étais rabattue à nouveau…
Le regard sans cesse à l’affût, je fis tomber ma robe au sol…
Poitrine à l’air… En porte jarretelles… Sans slip… Et 2 plug dans mes trous…
N’ayant pas reçu de consignes particulières quant à eux… Je détachai les jarretelles pour retirer le porte-jarretelles…
Puis je fis rouler les bas à mes pieds… Jambes tendues… Cul tourné vers Alban…
Je repris le peu de vêtements que je portais pour les rassembler dans mes bras et ainsi un peu me cacher au cas où quelqu’un rentrerai…
A : Et tu compte faire du zèle en gardant tes plug ?
E : Euh non maître… Mais comme vous ne m’avez rien dit à leur sujet…
A : Retire-les petite chienne… Je veux aussi pouvoir t’enculer ce soir sans gêne… Tu les as suffisamment portés pour l’instant…

Je m’exécutai…
A : Cambre-toi en avant et écarte les fesses que je vois comment tu es préparée…

La pose prise, il me mit un doigt… puis deux… Puis doucement trois dans mon cul…
A : Impeccable… Ne bouge pas…

Je sentis un objet très froid me pénétrer le rectum…
Comme je serrai les fesses de surprise…
A : Détends-toi… C’est ta récompense… C’est un petit bijou anal… Il y a une belle pierre « rubis » qui finit de te rendre plus belle…

Je reçus une tape claquante sur ma fesse droite…
A : Redresse-toi maintenant… Tu ne comptes tout de même pas te baigner à poil !!

Je me redressai et je reçu une autre claque sur l’autre fesse…
A : Tu ne me remercies pas ?
E : Merci Maître… Merci beaucoup…

La sensation était bizarre… D’abord c’était froid… Mais aussi c’était lourd…
La tige qui retenait le rosebud… C’est comme ça qu’il appelait la chose… était si fine que l’objet bougeait beaucoup dans mes mouvements… Faut dire que j’avais été bien élargie juste avant !!

Il fouilla dans son sac et sortit mon maillot de bain…
HORREUR… Il avait récupéré mon 2 pièces que je m’étais achetée il y avait plus de 10 ans… Juste avant ma première grossesse…
J’étais persuadée que je m’en étais débarrassé tellement il était devenu trop petit et « vulgaire » pour mon âge…
C’était un bikini triangle d’un blanc vif avec des ficelles qui se nouent sur les hanches pour le slip, et sur le cou et dans le dos pour le haut…
Toujours à poil…
E : Tu veux que je mette ça ?
A : Pardon ?
E : Pardon maître… Mais je ne rentre plus dedans maître…
A : C’est moi qui juge si oui ou non il te va !

Des bruits dans le vestibule me firent agripper la culotte pour que je l’enfile…
Alban, toujours très vicieux, avait pris soin de défaire les nœuds… Si bien que lorsque les 2 jeunes femmes entrèrent voir si la piscine pouvait leur convenir… J’en étais à tout juste boucler le dernier nœud…
Instinctivement je me suis tournée… Pour cacher ma poitrine de leurs regards…

La culotte me rentrait non seulement dans les fesses… Mais aussi entre les lèvres de mon sexe… En plus comme j’étais lisse… Il n’y avait plus de barrière « naturelle » au tissu…
Par ailleurs, et je ne le sus qu’après, Alban avait décousu le fin doublage de l’entre cuisses…

Les filles ont certainement dû distinguer l’ornement rouge que moulait le maillot entre mes fesses car elles émirent des petits ricanements singuliers…

Je me suis donc retournée pour récupérer le haut…
Comme je me cachais la poitrine avec mon bras… Alban fronça les sourcils…
Je compris de suite que je devais être fière de mon corps et le montrer…
Il me tendit le haut quand il fut satisfait…

Mes deux grossesses ne m’avaient pas du tout pénalisée quant à la très bonne tenue de mes seins… Mais le poids des âges avait eu pour effet une petite prise de masse graisseuse principalement à cet endroit…
A 22 ans quand j’avais acheté ce maillot… Mon tour de poitrine devait être un 90C… Aujourd’hui à 35 ans, il était passé à un bon 95D…
Autant vous dire que les deux pauvres petits triangles qui couvraient à l’époque mes globes ne suffisaient absolument pas ce jour là…
J’étais devenue Samantha Fox…
Les tissus abritaient tout juste les aréoles de mes tétons…

Lorsque les filles repassèrent dans l’autre sens… L’une d’elle me targua d’un regard d’envie je crois…
Je n’en revenais pas qu’à mon âge… Je pouvais encore être sensuelle et susciter encore le désir…
J’étais fière…
Alban s’en aperçu…
A : Tu vois que tu es parfaite la dedans… Tu es vraiment une parfaite allumeuse comme çà…
E : Merci Maître…
A : Aller je me change…

A ma grande surprise, il prit lui aussi tout son temps pour se changer… Comme s’il avait souhaité que les deux jeunes femmes refassent un passage…
Qui plus est, son sexe avait pris déjà une belle dimension…
Il plia ses affaires, prit les miennes, et il enfila enfin son maillot moulant lui aussi…

Bizarrement, j’avais vraiment envie qu’il se presse… J’étais presque jalouse qu’il puisse ainsi se montrer…

Le sac posé dans un casier, il me dit…
A : Je vais nous réserver deux chaises longues… Tu te douches bien… Je veux que tu sois bien mouillée… Puis tu longes le bassin… Et tu plonges !
E : Oui maître…
A : Et n’oublie pas que je veux être digne d’être avec la femme fatale que tu représentes maintenant…

Je suis restée 10 bonnes minutes sous cette douche presque chaude…
C’est à ce moment que je compris que le fond de ma culotte avait disparu… Le maillot était intrusif à souhait partout entre mes jambes… Et le rosebud était plus que jamais visible !!!
Mes tétons étaient devenus très durs… On pouvait voir leur pointe déformer le lycra et le brun des aréoles sous les triangles…

C’est ainsi que je pris la direction du bassin…
Il y avait deux hommes qui faisaient de courtes longueurs… Une femme qui jouait avec des s… Et deux couples âgés qui s’occupaient sur leurs chaises longues…

Je fis tout comme me l’avait ordonné Alban…
Dans une allure très lente… Je longeai le bassin… N’oubliant pas de gonfler le torse les bras ballant le long du corps… Et secouer des fesses…
Je me positionnai sur le seul petit plot qu’il y avait… Je pris ma respiration et je plongeai…
Arrivée dans l’eau… Inévitablement, les triangles qui cachaient mes seins glissèrent sur le coté…
Les deux hommes qui nageaient à contre courant de mon plongeon durent se rincer l’œil…

Quand je sortis la tête de l’eau, je me rajustai… Et entrepris de faire quelques longueurs également…
Cette baignade me fit le plus grand bien…
J’avais effectivement besoin de rafraîchir mes ardeurs…

Curieusement, les deux hommes qui se baignaient avaient toujours une longueur de retard derrière moi…
La brasse que je nageais tranquillement… Me faisait écarter les cuisses… Et donc encore plus enfoncer la culotte dans mon sillon… Et ressortir le rouge du rubis entre mes fesses…
Derrière moi ils n’en rataient pas une miette…
En ce croisant… Moi la tête hors de l’eau… Ils se rinçaient l’œil des mes pans de maillot qui s’écartaient sur ma poitrine…

Alban m’exhibait… Et plus je m’exhibais… Plus j’en montrais !!!

Un peu lasse tout de même de faire ces quelques brasses, je sortis de l’eau par l’échelle…
Encore une fois, les tissus sur ma poitrine se dégagèrent …
C’est donc en haut de l’échelle que je me réajustai une énième fois…
Mon popotin de femme presque mûr était à l’évidence la convoitise des vieux messieurs qui jouaient aux cartes… Faut dire que ma culotte ne cachait plus grand-chose du blanc de mes fesses…
Amusée… Oui amusée finalement… Je glissai mes index sous l’élastique de la culotte pour retendre le lycra… En vain… Ce maillot était vraiment trop petit…

Alban me tendit une serviette…
A : Sèche-toi… Et continue d’allumer les mecs ici… T’es une vraie salope ma chérie !
E : Oui Maître…

J’étendis la serviette sur le matelas de la chaise longue… Toujours jambes tendues l’arrière train bien haut perché…
Je m’affalais ensuite de tout mon long…
La journée d’hier… La courte nuit… Toutes ces épreuves m’avaient épuisée !!
A : Ecarte davantage les cuisses…

Et je me suis endormie…
C’est le violent réveil humide qui me fit crier…
Alban qui était parti lui aussi se baigner s’était allongé complètement trempé sur mon corps réchauffé…
Pour me faire taire il me prodigua un long baiser…

Il ne restait plus que les s dans l’eau…
Les deux hommes qui tout à l’heure faisaient des longueurs s’étaient jetés dans le jacuzzi…
A : Ca va ?... Tu es bouillante ?
E : Euh oui… Je vais très bien… C’est juste que…
A : Oui ??
E : J’ai envie de jouir !!
A : Mmmhh ça te plait donc… Ok… Vas rejoindre les 2 gugusses dans le bain bouillonnant… Place ta croupe sur un jet de bulle… Détends-toi… Et branle-toi…
E : Quoi !??

…
E : Oui Maître… Merci Maître…

Alors que je me levai… Alban qui avait agrippé la ficelle sur ma hanche fit tomber le pan de ma culotte…
Tout le monde ou presque pu voir mon pubis lisse…
Je lui jetai un regard noir qu’il me rendit…
Je baissai les yeux et refis mon nœud…

Installée dans le minuscule jacuzzi, je trouvai un emplacement où les bulles me chatouillaient la raie des fesses… Je posai ma tête sur un appui tête… Fermai les yeux… Et… Je commençai à me caresser…
Je dus mettre quelques minutes seulement à atteindre l’orgasme… Là au milieu de ces deux hommes qui me convoitaient tout à l’heure dans l’eau…
Leur pieds que parfois me frôlaient me donnèrent des pensées d’adultère… Je m’imaginais en train de me faire baiser par eux…

Dans ma torpeur… Je ne m’aperçus même pas qu’ils s’étaient éclipsés…
Alban vint me rejoindre…
A : Bon… Je vois que tu as pris ta récompense… Maintenant tu vas aller au sauna… Il est vide… Tu tournes le sablier… Et tu fais une séance…
E : Oui Maître…
A : Moi je file me rhabiller… Tu trouveras les affaires à mettre sur le banc des vestiaires… ainsi que ton portable… Appelle-moi quand tu es dans le vestibule !
E : Très bien Maître…
A : Ah au fait… L’un des types m’a féliciter à ton sujet… Il m’a même donné son numéro de chambre !!
E : Ah bon ?!... Euh…
A : Ne t’inquiète pas… Nous n’en sommes surtout pas encore là…

Je fus à peine rassurée… Que me réservait-il ??


A suivre…