Fistage À Trois
Nous nous rencontrons tous les jours à la sortie des écoles. Comme toutes femmes nous bavardons de tout et du temps qui passe. Par dautres amies je sais quelle sont peu recommandables, à cause de leurs murs. Je men fiche totalement, nous sommes devenues des amies, je ne vais pas me séparer comme ça de femmes sympas. Je suis sur le point de les inviter à la maison quand je suis prise de vitesse, Julie minvite pour le début daprès midi chez elle avec Laurence. Jaccepte avec joie. Je me vois bien faisant plus amples connaissance avec ces deux « chipies ».
Dès la fin du repas, chez moi, je fais vite la vaisselle: pour deux assiettes, et les couverts cest vite fait, mon mari ne rentre pas de son travail avant 18 heures. Jemmène le gamin à lécole avant daller chez Julie.
Je suis un peu en avance, ce nest pas grave: elle moffre un café, un bon café, pas un jus de chaussette. Jai juste le temps de massoir sur le divan quand Laurence arrive à son tour. Nous échangeons des bises et finissons le café. Enfin elles me parlent de leurs murs. Elles sont bisexuelles, Julie a quand même une préférence pour les hommes, et Laurence ne crache pas sur les jolies filles. Elles commencent à minquiéter. Dans mon, subconscient je me vois déjà violée par deux femmes. Pourtant elles mexcitent, en le sachant je pense. Cest Laurence qui mexplique leurs façons de faire lamour. Je sens dans son regard une lueur de désir, elle me veut cest sur.
Julie sapproche de Laurence pour lembrasser sur la bouche. Cest un vrai baiser, pas un semblant: je vois bien leurs langues roder de bouche à bouche. Elles se caressent même les seins. Je sens que je mouille. Si elle me proposaient de men faire autant jaccepterai, jen suis sure.
Elles font comme si je nétais pas là, Laurence passe sa main sous la robe de Julie qui écarte les jambes: la main monte plus haut, cest visible. Je sais quand elle arrive au paradis. Julie ferme les yeux pour profiter de la caresse.
Elles se déshabillent comme feraient deux amants, avec pas mal de caresses et de baisers. Maintenant elles ne soccupent toujours pas de moi, elles se masturbent mutuellement. Je suis sur le point de jouir quand elles aussi partent dans un grands cri. Ce cri me fait arrêter mes caresses: cest dommage, jallais jouir.
Cest Julie qui me demande de venir entre elles. Je fini de me déshabiller avant dêtre contre elles. Je sens la chaleur de leur corps contre le mien. Laurence pose une main sur mon genoux pendant que Julie membrasse sur le cou. Je sens la main monter, monter vers mon entre jambes. Jécarte les cuisses: jattends avec impatience cette première caresse lesbienne. Je ne suis pas déçue: Laurence a une façon personnelle et sensuelle de me masturber. Elle devine linstant où elle doit arrêter pour faire durer le plaisir. Elle doit bien mettre ½ heure avant de me faite jouir. Je crois que mise à par mes masturbations elle est la seule à mavoir faire jouir aussi fort. Maintenant jai les lèvres de Julie contre les miennes, sa langue envahi ma bouche. Jaccepte cette initiative, surtout quelle me caresse les seins que jai sensibles.
Laurence, décidément celle qui commande me fait presque coucher sur le divan, jai le dos contre le divan, les jambes en lair. Ces mains reviennent me caresser les jambes avant de venir se poser sur mon vagin. Il y met deux doigts quelle fait aller et venir. Julie ajoute un autre doigts sur le clitoris. Je peux à peine les toucher, jarrive à poser ma main sur la chatte de Julie pour trouver son bouton que je branle.
Je sens les chair sécarter largement, bien plus quavec une grosse bite. Je regarde ce quelle fait: sa main entre doucement en totalité . Elle lenfonce presque à mi bras. Jai mal et je ressent un plaisir étrange. La douleur disparait pour faire place à une plaisir malsain. Il me semble être prise pas un cheval. Ca passe dans mon inconscient en un éclair, submergé par le plaisir qui arrive. Je jouis autour de sa main. Elle cesse à peine, le temps pour moi démerger du fond du plaisir. Elle recommence lentement. Je nai plus rien contre, au contraire, puisque ce qui me manque, je me le donner: je caresse mon clitoris pour jouir encore plus. Je commence à peine quand un doigt, celui de Julie vient dans mon cul. Jaime la sodomie, je ne pensais jamais que des filles entre elles se faisaient ce genre de privauté. Je ne suis pas au bout de mes surprise, outre un doigt Julie entre deux puis toute sa main enduite dun produit huileux. Toute sa main est dans mon anus. Elle calque ses allers et venue sur ceux de Laurence. Jai Je ne connaissait pas le fistage, jen suismal au début, le plaisir arrive, décuplé par rapport à une sodomie normale comme me fait souvent mon époux quand je le lui demande.
Cette double pénétration est réellement inhabituelle, mais tellement bonne. Je dois jouir deux ou trois fois, je nen sais plus rien. Elles sortent de mon ventre lentement. Je ressent une soulagement et un vide. Nous nous embrassons sans cesse. Jai envie de me venger, si on peut dire: rendre un plaisir par un autre nest pas désagréable. Je pose ma main sur la chatte de Laurence. Mes lèvres sur les siennes font un baiser fougueux: je lembrasse comme quand mon mari ma bien fait lamour, cest dire. Je trouve le clitoris que je branle lentement. Je descend ensuite ma main sur son trou.
Je ne connaissais pas le fistage, jen suis devenue folle. Je le demanderai à mon mari. En attendant jai les spécialistes près de moi. Cest entendu, demain après midi, nous baiserons encore. Ce sera au tour de Julie de se faire fister.
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