L'Éboueur Et Ses Calendriers

Nous sommes mercredi ,quinze jour avant Noel , je suis seule à la maison et j’entre dans la douche pour me laver , je fais couler l’eau et je commence à me savonner et au fur et à mesure je commence à me caresser les seins puis une de mes mains descend sur mon sexe , au bout d’un moment je jouis mais j’en veux encore , alors je sors de la douche , me sèche , j’enfile mon peignoir de soie et je passe par ma chambre pour prendre le gode que je viens de m’offrir et je descends au salon , arrivée dans la pièces je branche l’ordinateur portable et je me connecte à un site porno pour regarder quelques vidéo , cela m’excite et je me caresse les seins avec mon gode avant de l’enfiler dans mon sexe tout trempé , je n’en peux plus je suis allongée sur le canapé avec les pieds sur la table basse le peignoir à moitié enlevé et je pratique un va et vient de plus en plus rapide avec cette fausse queue , quand l’interphone vient à sonner .
Je me redresse, je réajuste mon peignoir et je vais voir quel est l’individu qui vient m’importuner
Je décroche le combiné et voilà qu’une voix, m’annonce que c’est pour les calendriers des éboueurs.
Je suis furieuse mais la personne insiste, je lui demande un moment, je vérifie mon porte-monnaie, puis je lui ouvre, pendant que la personne traverse le jardin j’éteins l’ordinateur et je cache le gode sous les coussins en me jurant de reprendre ou j’en étais restée, je vérifie mon peignoir et j’ouvre à l’importun.
Et là je vois un homme la cinquantaine bedonnant habillé en salopette de travail, je reconnais le chauffeur de la benne qui passe tout au long de l’année, il me sourit et me tend ses calendriers.
Je le fais entrer pour qu’il puisse les poser sur la grande table du salon.
Une fois les calendriers posés sur la table, je lui propose de s’assoir sur le canapé en attendant que j’aie choisi.
Ce que je n’avais pas vu, c’est qu’en s’asseyant l’homme mis à jour mon gode.
En le voyant, l’éboueur eu un grand sourire et quand je me retournai j’ai croisé son regard lubrique, puisqu’il me déshabilla du regard, avec le gode à la main, il se leva et se rapprocha de moi
J’étais mal à l’aise, comme une petite fille pris en faute et en même temps je voyais ce vieux pervers se rapprocher de moi et plus il se rapprochait plus ma vue, haut de mes 1m50, se dirigeait vers son entre jambes.


Il me tendit l’objet et dans un grand rire il me dit : » je crois que vous avez perdu quelque chose. »
J’étais toute rouge, je pris le gode et je le posai sur la table.
Sa main attrapa la ceinture de mon peignoir et tira dessus d’un coup sec, le peignoir s’ouvrit et il le fit glisser sur mes épaules il tomba à mes pieds.
Sans voix et par reflexe je mis mes bras devant ma poitrine, j’étais nue devant ce vieux cochon mais je sentais l’excitation monter en moi, il attrapa un de mes bras et dirigea ma main vers sa braguette en me disant : « je pense que celui-ci est plus gros. »
Au touché, je pus me rendre compte qu’il était en effet plus gros.
Machinalement, je me mis à branler cette bosse, au travers de la salopette puis avec ma deuxième main j’ai baissé la braguette et libéré un sexe d’une bonne vingtaine de centimètre, puis j’ai senti deux mains m’appuyer sur les épaules pour me mettre à genoux, je m’exécutai bien volontiers.
Mon visage se trouvai en face d’une bite épaisse et j’hésitai à ouvrir la bouche , mais l’homme m’attrapa par les cheveux et poussa mon visage sur son sexe , j’ouvris la bouche et il me pénétra jusqu’à la gorge , j’ai cru que j’allais vomir , puis il se retira je repris mon souffle puis il l’introduisit de nouveau en faisant un va et vient régulier , j’avais une main qui le masturbait pendant que l’autre lui caressait les couilles , je crois qu’il aimait cela , parce que je l’entendait râler .
Puis ses deux grosses mains m’attrapèrent sous les bras et me soulevèrent pour me poser sur la table, j’étais nue allongée sur la table et je le vit retirer sa salopette, son tee short et son slip, il était encore plus impressionnant nu, il enfila un préservatif.
Il m’attrapa par les hanches et sans ménagement il me pénétra en me faisant glisser sur la table , je senti son pieux s’enfoncer en moi et il me pilonna en me disant des obscénités , du genre : » j’aime prendre les petites bourgeoises , elles couinent vite et c’est vrai que j’étais dans un état second , j’avais le dos qui faisait des aller et retour sur la table et mes cuisses étaient maintenues par ses grosses mains mes fesses claquaient sur ses couilles et son pieux me défonçait la chatte , je n’en pouvais plus , j’ai joui en le suppliant d’arrêter tellement s’était bon mais fort et lui plus je le suppliais plus il me pénétrait .

Je tournai la tête dans tous les sens, j’ai bien cru que j’allai m’évanouir de plaisir, puis il s’arrêta au fond de moi, me lâcha les cuisses pour venir attr mes seins, mon 95 D paraissait tout petit dans ses mains, et il me malaxa les seins jusqu’à m’en faire mal, il se coucha sur moi pour les mettre dans sa bouche.
Il s’arrêta, se releva et me dit : » maintenant que j’ai agrandi le trou de devant, je vais agrandir celui de derrière.
Je fus pris de panique, j’ai déjà gouté à la sodomie (voir mes aventures précédentes) mais là, j’avais devant moi un monstre.
Je voulu me dégager mais il m’attrapa et me retourna comme une crêpe, je me retrouvai plaquée sur la table, les seins écrasés sur la table, les jambes pendantes dans le vide et les fesses en arrières.
Je senti son doigt s’introduire dans ma chatte pour le lubrifier puis il introduisit son doigt dans mon anus, j’essayai en vain de me défendre.
Il m’encula avec son doigt et je commençai à prendre du plaisir puis il entra un deuxième doigt et continua son va et vient, je gémissais.
Voyant que je prenais du plaisir, il retira ses doigt enfila une nouvelle capote et présenta sa queue sur ma rondelle, j’étais tétanisée, je sentais son énorme engin m’écarter les fesses et me dilater l’anus.
J’avais mal mais je ne pouvais pas bouger , il s’était plaqué sur moi je sentais son souffle dans mon cou et me murmurai : » tu vas aimer , ma truie , je vais t’exploser ton gros cul . » En même temps son sexe continuai à m’exploser l’anus à un moment il se retira et recommença en allant à chaque fois de plus en plus loin, les larmes me coulaient sur les joues, j’avais l’anus en feu et je ne pouvais pas bouger.
Quand ses couilles sont rentrées en contact avec mes fesses , il s’est arrêté au fond de moi ,j’étais empalée sur son pieux , puis il ressortit et pratiqua un va et vient ,lent au départ puis mon anus avait dû s’habi ,parce que la douleur s’estompait un peu et son va et vient plus rapide me donnait une sensation de plaisir , il me pénétrai violement , faisant frotter mes seins sur la table , j’essayai de me tenir avec le plus grand mal ,j’étais comme une poupée que l’on lance dans tous les sens.

Ses coups de boutoir ont eu raison de ma douleur , j’ai eu un orgasme qui me fit crier , il me mis à quatre pattes sur la table ,avec le cul bien relevé , il se mis debout derrière moi et me sodomisa à nouveau avec une force , je tournai la tête pour le regarder et je vis son regard fou d’excitation .
Puis tout s’arrêta, il se releva retira son préservatif, me pris par les cheveux pour que je me mette à genoux devant lui et il déchargea son sperme sur mon visage et ma poitrine, plusieurs jet épais m’éclaboussai, il me demanda de lui nettoyer la bite avec la bouche, son sperme avait un goût fort
Mais ce n’étais pas désagréable.
Une fois fini, il me lâcha et je me suis écrouler sur la table, épuisée.
Il descendit de la table, se rhabilla et se tourna vers moi, comme si de rien était, et me dit
: » Quel calendrier avez-vous choisi ? »
Surpris par la question je descendis à mon tour de la table, je pris mon porte-monnaie, je lui tendis 10€ et pris le premier calendrier que j’eu sous la main.
Oubliant complètement que j’étais nue, il me donna une grande claque sur les fesses, ce qui me ramena directement à la réalité et me dit : » je pense que mes tournées dans le quartier vont devenir intéressantes, il y a de la bourgeoise cochonne. »
Puis il fit demi-tour et sorti avec ses calendriers, je suis restée 10 minutes sans bouger, j’étais nue avec une marque de main sur la fesse et l’anus qui me faisait mal, je n’arrivai pas à croire ce qui venait de se passer, en y repensant, je me dis que je l’avais bien cherché, recevoir un inconnu juste en peignoir, je crois que je souhaitai ce qui m’est arrivé, bien que ce fut douloureux.
Je ne sais pas si je le reverrai dans le quartier, mais si c’est le cas, je crois que je l’inviterai à rentrer de nouveau.
Bises à tous

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