Leslie Hd46

Leslie HD46 – Aude me raconte, suite et fin

Jacques m’a pénétrée doucement tandis que je contemplais cette sodomie hors normes, son sexe progressant lentement en moi me procurait un plaisir incroyable.
Je sentais tout son membre investir ma chatte et il me remplissait complètement, l’étroitesse naturelle de mon intimité s’ajustant à l’épaisseur de ce membre, je sentais tous les détails de la verge de Jacques qui progressait en moi.
Il aimait j’en suis sure, prenant son temps lui aussi savourait mes chairs intimes qu’il forçait et lui enrobaient le sexe comme un étui.
Se penchant sur moi et plaquant sa poitrine dans mon dos il me dit à l’oreille :
- Comme tu es étroite ma chérie, c’est trop bon.
- Doucement je lui ai répondu :
- Attends, tu n’as pas encore gouté à mon petit cul.
- Tu me tentes, me dit-il, mais patience nous avons la nuit.
Ce fut que du délice quand Jacques se mit à s’activer en moi, son rythme calé sur la monté de mon plaisir me fit monter un orgasme qui m’emporta et me fit hurler.
Sans s’arrêter il m’envoya deux autres fois dans ce paradis de la jouissance où tous les sens son à fleurs de peau et que le moindre attouchement nous électrise tout le corps.

Du côté de Florence, après vingt minutes de ce traitement alternatif entre ses deux orifices, à bout Jacques dit à Florence :
- Je vais jouir !
- Remplit mon cul et mes entrailles !
Il se cabra et jouit au plus profond du cul de Florence, puis il se retira d’elle et les deux amants se relevèrent pour aller se doucher

Jacques venait de me faire jouir trois fois de suite, pas des petits plaisirs mais de vrais orgasmes, j’aurais bien fait une pause mais j’ai senti que mon amant en voulait encore.
Tandis que ma chatte accueillait toujours son membre raide, j’ai senti un doigt se poser sur ma rondelle et en caresser le pourtour.
Mon amant avait une idée en tête et après le plaisir qu’il m’avait procuré je ne pouvais lui refuser ma plus secrète intimité.


Tandis qu’il me pistonnait en me caressant l’œillet, je sentais ce dernier lentement s’entrouvrir, comme une invite pour mon amant lui donnant mon accord à cette pénétration que tant d’homme attente de leur amante.

Un doigt me pénétra l’anus me faisant me cambrer et serre mon sphincter sur ce doigt inquisiteur, en disant :
- Ohhh, oui !
Sentant que je réagissais favorablement à cette caresse pénétrante, il sortit de ma vulve et positionna son gland sur mon œillet en disant :
- Tu es serré, mais je vais te sodomiser ma belle !
- Ohhh oui, je t’offre mon petit cul, dis-je.
Il poussa son membre en moi, et je senti le gland passer la barrière, bien que serré mon anus était habitué aux sodomies, mais en passant la douleur vrilla mon anus et m’arracha un cri que je ne pus retenir.
Il resta ainsi le gland fiché dans mon cul sans bouger, mon muscle se détendait et s’habituait à cette dilatation qui m’irradiait les reins.
Sentant que j’étais prête à l’accueillir, j’ai reculé mon corps pour entièrement m’empaler sur la verge dressé, Jacques à pousser un :
- Ohhh, oui !
Surpris par mon audace, il se retrouvait on fond de mes reins sans avoir fait un geste, j’ai serré les fesses afin qu’il me sente bien autour de lui et il à commencer à me pistonner.
Il ne lui a pas fallu longtemps pour jouir et me remplir les entrailles et m’inonder le cul de sa jouissance.

Pierre était revenu, et lorsque Jacques s’est retiré de moi en me laissant pantelante, j’ai senti que Pierre prenait sa place.
Lorsque j’ai senti l’énorme queue de Pierre sur mes fesses, un frisson m’a parcouru et prise d’effroi, j’ai dit :
- Non, je suis trop étroite ne m’encules pas.
Pierre avait déjà positionné son gland sur mon anus encore entrouvert et la jouissance de Jacques s’échappait de mon trou, de plus Pierre me tenait fermement par les hanches.
- T’es encore toute ouverte, me dit Pierre, et en plus bien lubrifiée.

Il à pousser son sexe en moi et il est entré d’un coup, mais je me sentais déchirée en deux tellement ce membre en moi était épais.
Je souffrais un peu, mais la douleur était supportable, alors je me suis laissé faire et j’ai été enculée comme une chienne par une grosse queue de folie.
Pierre m’a sodomisé pendant un temps infini, mettant le feu à mon anus et me faisant jouir comme une chienne.

Pendant que je me faisais enculer, Florence est revenue en se séchant, Jacques la vit se caresser les seins en le regardant avec vice.
Puis de dos, elle se pencha en avant pour lui exhiber son cul.
On pouvait voir que son anus fraîchement défoncé était encore ouvert. Cette vision fit rebander Jacques immédiatement.
Il se colla contre le dos de Florence et elle lui dit en sentant son membre dur entre ses fesses :
- Mon salaud ! Tu bandes à nouveau !
- Ton amie est formidable et elle est tellement accueillante.
Sans rien dire, il la fit se cambrer. Puis il guida sa verge tendue vers l’anus de Florence. Celle-ci se laissa faire, elle en voulait encore.
D’un coup il entra sa verge dans son fion, lui tirant un feulement de plaisir.
Pendant près d’une heure, Jacques défonça le cul de Florence qui l’encourageait, en lui disant :
- Ohhh oui ! Défonces-moi ! Encules-moi !
Il martyrisait ses seins, la faisant gémir davantage. Florence ne sentait plus son petit trou tellement son anus était dilaté. Pierre avait fait le passage et Jacques lui pilonnait sans relâche le fondement.

Puis Florence déchainée voulut être prise en sandwich.
Jacques s’allongea à même le sol en lui disant de le rejoindre. Florence vint s’empaler sur lui à califourchon, face à face, et se penchant en avant elle libéra son anus.
Pierre vint s’agenouiller derrière elle. Il la fit se cambrer encore plus et Pierre força son petit trou déjà ouvert et s’enfonça en elle sans mal. Elle cria de plaisir !
Tandis que les deux hommes remuaient en rythme en elle, elle jouit plusieurs fois, entièrement soumise aux assauts coordonnés de ses deux amants.

Elle sentait les deux membres la pénétrer. Les deux queues en elle décuplaient sa jouissance, elle avait l’impression d’être transpercée de part en part.
Le sandwich dura plus d’un quart d’heure, Florence gémissant sous les coups de boutoir coordonnés des deux hommes.
Elle encourageait de ses mouvements et de ses petits cris ses deux partenaires qui la défonçaient.
Florence eut un dernier orgasme quand ils se vidèrent ensemble en elle. Elle sentit leur jus couler en même temps dans sa chatte et dans ses fesses.

Nous avons trinqués ensemble et Jacques nous demanda de rester pour dormir, c’est Pierre qui me demanda si je voulais bien dormir
J’ai accepté sachant qu’il allait dans la nuit me défoncer le cul une nouvelle fois, mais en fait ce fut dans la nuit et au petit matin que sans vergogne il m’a cassé le cul.
En partant j’avais le cul douloureux et je me suis passé de sodomie pendant plus d’un mois. »

A suivre…

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