Le Nouvel An

Le nouvel an

Pour une fois, réveillon en amoureux, devant la cheminée ;si c’est moi qui assure pour les mets, ma douce épouse a bien fait les choses pour l’ambiance ; musique douce, champagne et tenue affriolante, à savoir guêpière noire avec des bonnets pigeonnants, laissant à découvert les mamelons, , string et bas de soie, le tout simplement recouvert d’un voile transparent : le moins que l’on puisse dire bandant ; il va de soit que il y eu plusieurs coupures dans le repas. De plus le champagne agissant de façon aphrodisiaque sur sa libido, c’est une Chantal déchainée qui termine l’année 2011 ; tout y est passé et le passage à 2012 et l’appel ou l’envoi des sms est une aubaine pour moi ; enfin un peu de repos, à poil devant la cheminée pour ma part, simplement en guêpière pour Chantal
Après la famille, c’est le tour de nos amis. je prends un peu le relais, oubliant ainsi que Chantal est libre de ses mouvements et je me retrouve rapidement le sexe englouti par une bouche avide, et une main baladeuse qui chahute mes boules , un doigt s’insinuant parfois sur mon anneau ; j’ai du mal à garder mon calme et quand je converse avec un de nos amis intime , il comprend vite que je ne suis pas complètement avec lui « je suppose que tu es dans de bonnes mains, » que répondre sinon la vérité « oui elle me suce et j’ai du mal à résister » « si tu as besoin d’aide, j’arrive ; je ne suis pas loin » j’avoue que cela ne me tente pas, pour une fois je veux profiter des charmes de ma moitié. Il est vrai que le tableau est superbe : assez grande, mince, la taille fine, un tour de poitrine de95b ; deux seins fermes malgré ses deux maternités , auréolés de deux tétons charnus ; un fessier rond et ferme, accueillant, et d’ailleurs souvent honoré, une chatte surmontée d’une fine bande de duvet ; comment résister à de tels attributs ! je ne réponds pas à la proposition et raccrochant, je me laisse aller aux douces caresses ; c’est au tour de mes tétons de subir les assauts de ses lèvres, tandis que sa main me branle doucement ; je me laisse aller, vite envahi par le plaisir ; il lui faut peu de temps pour m’enjamber et elle se fiche mon pieu dans la chatte ; pas de difficultés car elle est pleine de sa cyprine et de mes précédentes sécrétions ; elle me chevauche allègrement , laissant son plaisir l’envahir ; penchée sur ma poitrine, me susurrant entre deux râles, des paroles salaces » mon con est plein, regarde je m’enfonce…….

. ; Ta queue me défonce la matrice, tu me fais jouir…… pour toi je suis une putain qui aime se faire remplir ; continue baise moi, fais moi jouir comme tu fais jouir les salopes que tu baises devant moi » soudain vaincue, elle s’écroule sur ma poitrine, hurlant son plaisir. Je n’ai pas joui, (après plusieurs éjaculations je peux rester longtemps en érection). La sonnette de la porte d’entrée résonne. Je comprends rapidement que c’est Marc qui met son projet à exécution et je le fais comprendre à Chantal qui récupère « on ouvre ou pas ? » pas de réponse, mais elle se relève, et à moitié nue elle ouvre la porte ; sur son regard, la surprise ; elle recule et à mon tour la surprise : il n’est pas seul. Un grand noir l’accompagne, pas loin de 2 m, costaud, un sourire aux lèvres. Très à l’aise marc entre, plotant au passage les seins de Chantal ; ses tétons se dressent aussitôt « je me doutais que vous étiez en train de baiser et mon copain avait très envie de vous connaitre ; il faut dire que je lui ai souvent parlé de nos soirées »
J’enfile juste mon pantalon, et Chantal se couvre pudiquement de son voile qui ne cache rien ; plus même il donne envie car sa chatte est toujours visible et ses tétons pointent sous le voile. Marc est très à l’aise par contre son ami est plus gêné ; une bosse est très visible sous sa braguette et il ne quitte par Chantal des yeux, très intéressé par les charmes à peine voilés. Je ne peux que leur proposer une coupe, vite acceptée par marc, qui d’ailleurs se met à l’aise dans un fauteuil, la chemise à demi ouverte, sur de lui et du résultat à venir ; il faut dire qu’il est beau mec, bien membré et surtout que ce membre a de nombreuses fois fait jouir ma petite femme ; infatigable, un tantinet dominateur, chaque possession a fait chavirer les sens de ses partenaires et Chantal est de celle là ; et il sait que si je donne la permission, il pourra en ce début d’année la posséder sans limites. Chez lui aussi la marque de ses envies est visibles et il ne tarde pas à le faire remarquer « ton corps est toujours aussi bandant, d’ailleurs je ne suis pas le seul, n’est pas René ? » celui-ci ne dit rien, mais la bosse est énorme ; il doit être à l’étroit ; il ne sait pas quoi faire, ne nous connaissons pas. C’est moi qui le libère en lui demandant ce que lui a raconté notre indélicat ami. J’apprends ainsi que marc lui a dévoilé la grande majorité de nos rapports et qu’il reconnait lui avoir dit qu’il aimerait nous connaitre « votre femme est superbe et j’apprécie la découverte, visuelle de ses charmes ; je suis toujours surpris quand un homme offre ainsi sa femme à d’autres sexes que le sien, mais je serais ravi d’en faire partie » la situation commence à me stimuler et à mon tour je bande ferme ; Chantal allongée devant la cheminée a depuis un moment pris le chemin de la provocation , car le voile écarté dévoile son intimité et ses doigts jouent habillement avec son clito, nous regardant à tour de rôle ; je sais qu’elle attend mon accord, mais je retarde le moment afin que les deux loustics soient bien excités. Je m’amuse de leur regard plein d’envie d’autant plus que la situation évolue vite ; c’est maintenant deux doigts qu’elle se rentre dans la chatte, et quand ils ressortent, ils brillent, plein de cyprine. René ne la quitte pas des yeux, se caressant par-dessus son pantalon. D’un clin d’œil, je donne le signal et elle se précipite sur lui, dégrafant sa braguette, baissant le slip avant de lui sortir la tige gonflée ; elle est encore plus impressionnante que je le croyais, sans doute plus de 25 peut-être même 30 cm, épaisse large, congestionnée, le gland décalotté ; avec mes 20 cm, j’ai l’impression d’être minuscule, même si je ne fais aucun complexe. Une langue avide lui lèche le gland turgescent , puis les lèvres grandes ouvertes, elle le gobe ; c’est une championne de la sucette et malgré la taille du vit, elle l’avale, s’enfonçant sans aucun doute au plus profond de sa gorge ; l’effet ne tarde pas car sous la dextérité de la bouche experte, ses yeux traduisent son plaisir ; lui enserrant la tête, il se branle entre les lèvres enserrées, alors qu’elle lui triturent les bourses, tout aussi volumineuse que le sexe ; la tète renversée, il se laisse aller à une jouissance qui monte, d’autant plus qu’elle en profite pour lui enfoncer un doigt dans le cul ; il se cambre essayant de se soustraire au doigt, mais elle s’y incruste ; le résultat est rapide et il lui déverse sa semence sa queue est parcourue de soubresauts. Elle ne peut tout avaler et de la jute coule bientôt entre ses lèvres ; marc lui ne perd pas son temps ; elle n’a pas le temps de se retourner qu’une bite vient lui investir la chatte ; sans barrage et dans un conduit déjà bien lubrifié, la queue s’enfonce profondément ; seul un petit hoquet de plaisir s’échappe des lèvres gluantes de jute. Pour moi, c’est le pied ; j’aime voir Chantal se faire remplir par une ou plusieurs queues ; certains de nos amis ne le comprennent pas ; et pourtant quel plaisir de savoir que sa femme est heureuse, amoureuse de moi, mais aussi prenant beaucoup de plaisir ; nous sommes tous les deux bi et notre amour se conforte à chacune de nos escapades : pour l’instant, elle ne s’occupe pas de moi, tout à sa saillie sous l’emprise d’un vit puissant qui la besogne avec vigueur ; elle couine de plaisir, réveillant par la même occasion la virilité du black.
Il est puissamment monté et sa queue remonte jusqu’à son nombril ; à mon tour, je le suce, prenant mon pied avec cette verge qui me remplit la bouche ; mais je ne veux pas aller plus loin ; mon envie c’est de voir Chantal prise en double, par la chatte et en double par ses deux trous
« marc allonge toi, Chantal va te chevaucher, et me retournant vers le black prend la, encule là avec ta grosse queue » Chantal se cabre « salop, tu sais qu’il va me déchirer avec son gros vit » « tu vas aimer te faire ramoner les deux conduits » en un instant elle est retournée et une bite dans la chatte, et son anneau est provoqué par une queue pleine de vie ; mais c’est d’abord , en double dans la chatte qu’il s’incruste ; sous la dilatation, elle ne peut s’empêcher de crier « non pas comme çà, vous êtes trop gros….. Putain vous me déchirez la chatte……..oh oui je vous sens ……..putain mon chéri, ils me remplissent le con ……c’est bon …….défoncez-moi, remplissez moi, je vais jouir ……………………………….. » Il faut dire que les eux lascars s’en donnent à cœur joie, alternant leurs va et viens, ils la liment ardument ; à coté je me branle doucement, en profitant pour reprendre des forces ; manifestement eux aussi prennent du plaisir et accrochés aux hanches de leur victimes, ils la bourrent, commentant les ardeurs de Chantal ; c’est le black qui est le plus expressif
« Tu avais raison, quelle salope,……. elle en veut, sa chatte est dilatée au max et elle en redemande « marc ne tarde pas à lui répondre « tu n’as encore rien vu, tu vas voir quand on va l’enculer » Chantal ne réagit pas, tout à sa jouissance ; elle gémit de plaisir sous les coups de butoirs, la bouche dilatée par ses envies, les yeux révulsés. Un doigt sur la corolle, il lui élargit l’anneau, tournoyant avant d’y enfoncer deux puis trois phalanges ; il se retire du vagin et son gland vient s’écraser sur la pastille ouverte ; Chantal a poussé un cri de regret quand il est sorti de sa chatte, mais c’est un cri de douleur qui fuse de ses lèvres ; d’une seule poussée, il s’enfonce jusqu’-à la garde, les couilles venant frapper la bite enfoncée dans la chatte ; elle hurle, se débat, des larmes s’échappent de ses yeux ; il m’en tiens pas compte et ressortant complètement, il renouvelle l’enculade ; nouveau cri de douleur ; il faut dire que sa rondelle est envahit par ce membre démesuré qui maintenant la lime avec vigueur ; la plainte à changer, les gémissements sont dus maintenant au plaisir , puis se sont des rugissements qui envahissent la pièce . il n’en faut pas plus pour que Marc explose, l’ inondant de sa semence, puis doucement sa queue se retire de la chatte d’où s’écoule un long filet de sperme ; il encourage son ami ‘vas-y continue, défonce la……son mari n’attend que cela ; il aime voir sa pute se faire saillir, regarde il s’astique le manche ; remplit là, après il pourra lui lécher le cul plein de jute » sous mon regard acide il se tait, mais il a raison ; j’aime lécher sa chatte quand elle vient de se faire prendre par un autre male. Soudain s’enfonçant brutalement, agrippé à ses hanches, il jouit, et elle réagit aussitôt « putain, il jute ….c’est chaud, ses jets me remplissent……puis elle s’écroule sur la poitrine de marc qui n’avait pas bougé ; enfin il se retire, le sexe gland ; l’anneau est béant, et le trop plein de jute s »écoule le long de ses cuisses.
Epuisée, elle repose sur mon épaule ; à sa demande, je propose alors à René de rester avec nous ; je le reconduirais demain ; marc accuse le coup, mais part la queue entre les jambes. La nuit a été particulièrement courte ; pour Chantal, sa chatte et son cul furent plusieurs fois honorés, double vaginal et même double anal, tout y est passé, pour moi, j’ai vite compris qu’il serait le nouvel amant pour nous deux : l’amant d’une nouvelle année.