La Trahison De Mon Épouse, Son Abattage Mérité (2)

Durant les premières semaines de notre relation, j’avais l’impression de dominer le monde.
Je pouvais tout lui demander sans même devoir lui imposer. Je savais qu’elle accepterait tout car je lui offrais ce qu’elle n’avait jamais connu auparavant.
Elle allait devenir une personne qu’on remarque enfin car elle était avec moi.
Je lui donnais ce qu’elle avait toujours voulu, la reconnaissance, elle m’apportait ce que j’avais toujours souhaité, une soumission totale.
J’allais chaque fois un peu plus loin.
Je lui racontais mes fantasmes les plus enfouis et elle n’était jamais choquée de cela.
Je vivais dans un autre monde.
Je voulus alors savoir jusqu’où elle pouvait aller, je souhaitai m’approcher de ses limites, je tenais à savoir ce qu’elle accepterait juste pour rester avec moi.
Avec le recul, je me dis encore aujourd’hui que j’aurais pu aller bien plus loin.
*
* *
Elle était en train de séparer de son mari, elle me répéta par la suite qu’il n’avait aucune ambition et ne la faisait plus rêver.
Je compris un peu tard que c’était bien cela qu’elle recherchait en réalité. L’ambition n’avait pas beaucoup d’importance, la chose essentielle était la lumière.
Je l’avais invitée à dormir chez moi, c’était d’ailleurs la première fois, elle habitait à quelques kilomètres de mon domicile.
Elle avait accepté la proposition avec plaisir et avec une réelle envie mais elle s’était malheureusement engagée auprès de ses amies à les accompagner dans un club local.
Ce club n’avait rien de particulier si ce n’est de recevoir des quadras et quinquas en recherche de sensations fortes.
Une boite assez réputée mais sans intérêt à part pour les hommes et les femmes en charge d’une relation d’un soir.
« Cela ne t’embête pas que je te rejoigne chez toi dans la soirée ? J’avais promis à mes amies de les accompagner. »
« Non bien sûr mais tu auras un gage comme tu peux t’en douter.

»
Ce mot fut un électrochoc pour elle, dans ma bouche « gage » signifiait que j’allais encore lui demander des choses qu’elle n’avait jamais connues auparavant.
Il était 20h quand elle m’envoya son premier texto.
« Je suis arrivé, mes amies sont déjà là, il n’y a pas grand monde. Je suis pressée de te retrouver. »
Je décidai alors de ne pas lui répondre, elle devait patienter et croire surtout que tout cela me laissait indifférent.
Je n’étais pas encore amoureux d’elle en réalité, je la consommais simplement et je me foutais de ce qu’elle pouvait ressentir.
« Tu es où, nous avons pris une table et le monde commence à arriver ?»
De mon côté, j’avais déjà commencé à picoler, comme souvent, comme tous les soirs en réalité et cette situation m’en donnait encore plus envie.
« Tant mieux et amuse toi alors. »
Je m’endormis au moins 2 heures et me réveillai alors vers les 23h, elle était toujours là-bas.
« Tu es où merde, tu es chez toi ou encore ailleurs, je suis inquiète ? »
« Je suis là, ne t’inquiète pas. Alors comme cela se passe dans ton club de quadras à la con ? »
« Il y a beaucoup de personnes désormais mais je m’ennuie de toi, j’ai envie de venir te rejoindre, j’en ai assez d’être ici. »
J’avais envie également qu’elle me rejoigne, elle me manquait en réalité, curieusement, je ne savais pas encore pourquoi mais je voulais m’endormir contre elle.
Mais je devais poursuivre ce que j’avais imaginé.
« Tu as bu quoi ce soir ? Tu es bourrée ? »
« Non, je n’ai pas bu grand-chose, tu me connais, deux mojitos et c’est déjà suffisant, je me sens déjà partir. »
« Très bien et si je te le demandais, tu voudrais boire un autre mojito pour moi, pour me faire plaisir ? »
« Ben oui, si cela te fait plaisir, ça ne me dérange pas, mes amies sont déjà totalement parties. Elles sont déchainées. »
« Très bien mais nous avions parlé d’un gage non ? Alors tu vas devoir rechercher un homme présent ce soir et lui demander de t’offrir ce mojito.
»
« Si tu veux, ça peut être marrant comme challenge. »
« Je suis totalement d’accord mais en échange de ce verre, tu lui proposeras juste de lui sucer sa queue. Tu as compris ? »
Je ne reçus que le silence face à ma proposition, un silence qui dura plusieurs secondes.
« Pardon ? »
« Tu as bien entendu, un mojito à plus de 10 euros mérite bien une fellation en échange. C’est le tarif dans ses boites à deux balles, non ? »
« Ben non, jamais de la vie, je ne comprends pas ce gage. »
« A toi de voir, tu fais ce que je te dis ou tu ne viens pas me retrouver. Et surtout arrête un peu de te la jouer, je sais très bien que tu en meurs d’envie. »
Une nouvelle fois, le silence fut pesant. Je savais alors que j’allais gagner.
« Perso, je ne te comprends pas. Nous commençons à nous voir régulièrement et tu me demandes de sucer un autre homme. C’est quoi ton but ? »
« Il n’y en a pas réellement mais tu as fait le choix de passer la soirée avec tes amies au lieu d’être avec moi. Tu as accepté un gage en échange. Le voilà. »
« Très bien mais tu me promets alors que cela ne changera rien entre nous et que tu ne m’en feras jamais le reproche ? »
« C’est moi qui te le demande ! »
« Bon, je veux bien essayer alors. »
J’éprouvai alors un sentiment de pouvoir immense, je demandai à une femme de sucer un homme car je le voulais et elle acceptait tout simplement.
« Ah au fait, j’ai besoin évidemment que tu m’apportes une preuve de ta réussite. Tu devras donc garder ton oreillette pour que je te donne mes ordres et lui demander de filmer toute scène en direct avec ton téléphone. »
« Très bien. »
« Vas y donc, je reste à l’écoute. »
Je savais très bien qu’elle n’avait jamais eu l’habitude de faire cela et qu’elle devait même être très gênée mais elle devait le faire car je lui avais demandé.
Sa recherche dura au moins une demi-heure. Je devinais à l’entendre qu’elle hésitait et ne savait pas comment engager la situation.

« Il va falloir que tu décides car je commence à être fatigué de mon côté. Si tu n’y arrives pas, pas de problème, on remet cela à une première fois. Je te souhaite une bonne soirée. »
« Non, non, je vais y arriver, je te promets. »
Je l’entendis alors commencer à parler à un homme.
« Bonsoir, vous venez souvent ici. »
« Assez souvent oui mais vous non, je ne me souviens pas vous avoir déjà vue. Tout le monde se connait ici en réalité. »
« C’est la seconde fois que je viens ici. Je suis avec des amies et vous ? »
« Moi aussi, nous avons l’habitude de passer la soirée un vendredi par mois. Je suis avec deux collègues. »
« Vous travaillez dans quoi ? »
« Nous sommes tous dans l’informatique, nous travaillons à Paris et nous habitons le coin. Alors, avant de rentrer, nous aimons bien venir boire un verre ou deux et rencontrer de jolies femmes comme vous. »
« C’est gentil et vous en rencontrez souvent ? »
« Ici ? Évidemment, vous savez les femmes de plus de 40 ans qui viennent dans ce club recherchent avec tout un coup d’un soir. Ce n’est pas ce que vous êtes venue chercher vous ? »
« En réalité, pas vraiment au début mais l’alcool aidant, je dois avouer que je m’interroge. Il me suffirait encore d’un verre je crois pour que je sois totalement décidée. »
« Très bien alors que souhaitez-vous boire ? »
« Un mojito serait parfait. »
J’étais toujours en ligne et j’entendais tout. Elle avait réussi assez facilement en réalité à ferrer un homme en recherche de sexe.
Je l’entendis continuer la discussion en buvant son verre. Elle semblait de plus en plus détendue, l’alcool faisait son œuvre et ils discutaient de banalités qui ne m’intéressaient absolument pas.
« Demande lui s’il veut que tu lui suces la bite. »
Quelques secondes plus tard et alors qu’elle commençait sûrement à être bourrée, elle fit le premier pas.
« Bon, je vous remercie pour ce verre et effectivement il m’a vraiment décidé à passer à l’action.
Pour vous remercier, accepteriez-vous que je vous prenne dans ma bouche ? »
Au vu des secondes qui s’écoulèrent, je pense que l’individu dut être légèrement surpris de cette proposition très directe.
« Ah, vous êtes directe alors je le serais aussi. J’ai les couilles pleines de 5 jours d’abstinence alors effectivement je serais ravi de me vider dans votre bouche. »
En une phrase, il lui avait dit ce qu’il allait lui faire. Au-delà de prendre sa bouche, il voulait se vider au fond de sa gorge.
Elle n’émit aucune objection, elle était donc d’accord, il avait pris le dessus sur elle, elle allait sûrement devoir encaisser.
« Où allons-nous ? »
« Le sous-sol sera très bien, il y a des toilettes à l’écart, peu de personnes connaissent cet endroit et elles sont assez grandes pour que nous soyons à l’aise. »
« J’ai une demande complémentaire, vous devrez filmer toute la scène. Cela ne vous dérange pas ? »
« Curieux comme demande mais entre nous, je m’en fous, si cela peut vous faire plaisir, du moment que je puisse jouir rapidement et que je ne m’apparaisse pas sur la vidéo, çe va. »
J’entendis ses talons aiguilles sur le sol et sûrement à destination des toilettes du sous-sol.
« Venez, c’est ici, nous serons tranquilles, il n’y a personne. »
« Très bien. »
Je les entendis marcher encore quelques instants et je perçu le son d’un verrou d’une porte. Ils écoutaient enfin arriver à destination.
Très rapidement, le ton de l’individu devient de plus en plus directif.
« Bon, assis toi et ouvre ton chemisier que je vois un peu tes seins. »
« Comme vous voulez. »
« T’es mignonne à me vouvoyer toi. Je dois avouer adorer les salopes soumises comme toi. »
« Vous avez un préservatif ? »
« Tu veux rire ou quoi ? Tu viens me chercher pour me sucer la bite et en plus tu veux que je mette un préservatif ? Tu rêves ou quoi, tu vas me sucer direct et sans rien dire. »
« Oui, oui, ça ira. Je vous donne le téléphone pour que vous puissiez filmer. »
« OK, donne ton téléphone, je m’en branle du moment que tu me suces bien et à fond. »
De mon côté, je m’étais mis dans l’obscurité pour que personne ne puisse me voir.
Il descendit alors son pantalon. Il avait une bite beaucoup plus grosse que la mienne, deux énormes couilles déjà remontées et un gland démesuré.
« Ouvre bien ta bouche en grand maintenant, j’ai envie de te défoncer. »
Pendant plusieurs minutes, il se déchaina sur elle. Je le vis s’enfoncer à fond au plus profond d’elle-même.
Des filets de bave sortait de sa bouche et elle ressentit de nombreux haut-le-cœur. Très souvent, elle était à la limite de vomir. Il devait aller bien au-delà de sa luette et lui ramonait les amygdales.
« Putain, ouvre bien, tu me fais mal avec tes dents. »
Pour la punir de lui faire mal, je le vis plusieurs fois sortir sa queue extrêmement dure et frapper son visage.
« Ouvre bien merde, ouvre ! »
Elle ne put le choix, je la voyais ouvrir la bouche de plus en plus grand. Des larmes coulaient le long de ses joues et de la bile s’extirpait de nouveau de sa bouche.
« Non, tu ne mets pas les mains salopes, tu fais tout avec ta bouche et surtout tu arrêtes de chialer ou je vais encore plus loin. »
La scène dura encore quelques minutes lorsque je le vis plonger ses mains dans son chemisier.
« Ils sont beaux tes petits seins, je ne sais pas pourquoi mais j’ai envie de leur faire mal. »
Il commença alors à lui écraser tout en tirant sur ses tétons d’une manière bestiale.
« T’aimes ça quand on te tire dessus, dis-moi que tu aimes ça, dis-le-moi ! »
« Oui, oui, j’adore cela. »
Je ne sus jamais si elle fut sincère et si ses propos étaient réellement ce qu’elle ressentait à ce moment.
Je devinai quand même son excitation, celui de devenir la chienne d’un homme qu’elle ne connaissait pas quelques minutes auparavant et qui lui défonçait la gorge.
« Encore, vas plus profond, j’aime ta bite, elle est chaude, elle est si grosse, baise ma bouche, vas-y. »
Elle était déchainée et n’avait plus aucune retenue.
« Putain, c’est bon, je viens, ouvre bien en grand que je jouisse directement dans ton larynx. »
Une nouvelle fois, elle ouvrit la bouche encore plus grande pour qu’il continue ses allers-retours quelques secondes puis s’arrêta net.
Je vis alors sa tige vibrait et les yeux de ma salope se fermer.
Il vidait son jus de 5 jours au plus profond de sa gorge.
C’est à ce moment précis que je décidai t’intervenir et alors qu’elle ne faisait plus attention à ma présence.
« N’avale pas encore, montre-lui que tu as tout gardé dans ta bouche, approche-toi du téléphone et joue avec son sperme. »
Les énormes couilles du mec et à l’absence d’éjaculation de durant 5 jours lui avaient rempli la bouche.
« Montre lui bien et avale tout pour qu’il vérifie que tu es une bonne salope. »
Elle s'exécuta et ouvrit la bouche pour lui montrer qu'elle avait bien travaillé. Le mec semblait totalement surpris de sa soumission. Il n'avait pas vu une salope comme cela et même dans ce club très spécial.

« Putain, tu es bien meilleure qu'une pute et en plus avec toi, cela ne coûte qu'un mojito pour avoir le grand jeu ! »

Elle le regarda dans les yeux encore et une fois et je la vis déglutir. Elle venait d'avaler plusieurs giclées du sperme chaud d'un inconnu.

Elle avait bien travaillé et allait pouvoir être libérée pour me retrouver. Je n'avais pas alors imaginé que son attitude l'emmènerait encore plus loin. Le mec ne lui rendit alors pas tout de suite son téléphone.

« Attends un peu, j'ai pas fini, tu peux encore rester avec moi quelques secondes non ?
« Je dois partir maintenant, on avait bien dit que je vous sucerais pour le mojito. »
« Arrête un peu de jouer à cela avec moi. Tu viens de me sucer la queue comme cela ne m'était jamais arrivé auparavant. Tu as même avalé sans rien dire et en appréciant en plus. En plus, si tu commences à me faire chier, j'appelle mes potes et les autres clients de la boite pour qu'ils te remplissent tous le cul. C'est cela que tu veux ? »

Je sentis bien qu'elle commençait à avoir quelques craintes devant la situation qu'elle ne maitrisait absolument pas.

« Tu vas donc déjà me nettoyer la bite. Je ne veux plus aucune trace dessus. Tu ne veux quand même pas que je rentre chez ma femme la bite sale ! Ouvre bien grand. »

Elle s'exécuta alors qu'elle sentit qu'elle n'avait d'autre choix. De mon côté, je tentai alors de la rassurer.

« Ne t'inquiète pas, il profite de la situation car tu as vraiment fait ta salope avec lui et fais plus que je ne t'avais demandé. C'est normal qu'il fasse cela car il veut profiter de toi. Fais ce qu'il te dit et tu rentres à la maison me retrouver. Tu as réussi ton gage et haut la main. Bravo ! »

Il introduisit sa bite devenue molle dans sa bouche et tenta même de mettre ses couilles.

« Ouvre bien à fond et prends tout. Nettoie bien maintenant, je veux sentir ta langue me laver comme il faut »

Je devinai alors sa langue autour de la tige du mec. Elle fit ce qu'il lui demanda pour que cela se termine rapidement.

« C'est bien, tu vois quand tu veux. Bon, on va devoir arrêter là car on m'attend. Tu ne m'intéresses plus maintenant que je me suis vidé et que tu m’as nettoyé. »

Il laissa alors passer encore quelques secondes, la bite et les couilles encore bien enfoncées.

« J'ai un cadeau à faire à celui qui est de l'autre côté du téléphone. Tu sais, un homme a souvent envie de pisser après avoir joui alors pourquoi ne pas utiliser ta gorge pour cela. »

Il ne lui laissa même pas le temps de réagir et la bloqua complètement contre son ventre. Elle ne pouvait plus bouger car il était bien trop fort pour qu'elle puisse se dégager.†

L'emprise dura plusieurs secondes, il se vida en elle, bien profondément au fond de sa gorge, elle n'avait aucun autre choix à part celui d'avaler.

De la pisse sortit de sa bouche, coula sur son manteau, tomba sur le sol et sur ses vêtements. La situation semblait hors de contrôle.

« Voilà, ça y est, j'ai joui, j'ai pissé, je te remercie. »

Il sortit alors sa tige de sa bouche. Elle ruisselait encore de pisse et il l'essuya alors sur son visage. Il prit alors une serviette en papier pour sêcher sa queue et la rangea avant de partir.

« Je te remercie encore et si tu reviens, fais-moi signe car je n'ai jamais vu une salope comme toi ! Tu aurais même pu demander 2 mojitos. »

Il lui rendit alors le téléphone et sortit des toilettes. Elle se leva alors rapidement pour refermer derrière lui.

« Rentre maintenant, tu as été une grande fille, tu as bien travaillé et tu as réussi ton gage. »

Je me dis alors que j'avais été sûrement un peu loin et que la situation aurait pu être pire. Ce fut la dernière fois que je lui imposais un gage avec d'autres hommes, jusqu'au jour prochain de son abattage.

A suivre.

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