L'Envie (Suite 2)
Nous nous sommes revus.
Aujourd'hui.
Nous avons passé plusieurs journées sans nous voir, mais à échanger des messages plus ou moins érotiques.
Nous avons évoqué nos fantasmes et ces confidences réciproques n'ont fait que nous émoustiller un peu plus.
J'avais très envie de lui et je sentais que son désir pour moi grandissait au fur et à mesure que nous partagions de petits messages coquins.
Un premier baiser volé ce matin au bureau, entre deux portes.
J'aime quand il m'embrasse. Instantanément je sens monter le désir. Quand ses lèvres effleurent délicatement les miennes.
Quand il glisse sa langue dans ma bouche. Quand il mordille mes lèvres. Ses baisers invitent déjà au plaisir.
Difficile de se maitriser quand l'envie de l'autre est aussi forte. Pire encore lorsque l'on ressent que cette envie est partagée.
Chaque geste est calculé : ne pas se frôler, avoir l'air "normal" alors que tout le corps est en ébulition. Personne ne doit savoir.
Et je voudrait hurler : Touche moi. Caresse moi. Embrasse moi
Un deuxième baiser plus tard dans la matinée. Non, pas un simple baiser...ses mains ont parcouru mon visage,mon corps, mes seins, mes fesses.Il a délicatement passé ses mains sous ma jupe, parcourant lentement la lisière de mes bas pour se poser sur ma chatte déjà trempée. Un doigt inquisiteur s'est introduit dans ma fente mouillée et j'ai réfréné un cri de plaisir. J'ai passé ma main sur son sexe : il bandait et cela m'a encore plus excité.
Lèche moi. Mange moi. Baise moi.
Quelques mètres séparent nos bureaux respectifs et pourtant lorsqu'il faut garder le secret d'une relation, cette distance est incommensurable. Comment résister à ce qui ne semblent être que des pulsions... des aimants qui s'attirent..
Nous avons continuer à échanger des messages toutes la matinée. Inutile de préciser leurs contenus : j'ai envie de toi, ma queue est dure et t'attend, je mouille à n'en plus finir, viens te coucher sur mon bureau.
Ce petit jeu nous plait. C'est une forme de complicité "sexuelle", une tension érotique.
Peu avant la pause déjeuner, que nous ne pouvions malheureusement pas partager, j'ai retiré ma culotte et lui ai apporté dans son bureau. Il a tout de suite compris ce que je tenais sagement plié dans ma main.Je me suis assise, croisant les jambes si haut pour lui laisser entrevoir ce qu'il convoite tant. Sans aucune hésitation, il s'est mis à genoux cherchant à me lécher. Mes seins pointaient, ma chatte glissait. Les sens en émoi.
Il m'attire : j'aime sa facon de me déshabiller du regard. Son regard me mouille.Je voyais sa queue compressée dans son pantalon.
Il souffle qu'il a envie de moi, envie de me prendre quelque part, n'importe où.
N'y tenant plus, je lui ai finalement donné rendez-vous à la sortie du bureau, dans un bois. La réponse ne s'est pas fait attendre : j'arrive.
Mon désir de faire l'amour avec lui est grandissant.Cette relation secrète me rend gourmande.
Dans sa voiture, éclairés en intermittence par les phares des voitures de la route toute proche, ses mains sur mes seins, ses lèvres collées aux miennes.
Sa bouche sur mes seins, ses mains entre mes cuisses.
Mes mains sur son sexe.Sa bite dans ma bouche,la cambrure de mes fesses est une invitation à être pénétrée.
J'ai un plaisir immense à le sucer. J'aime sentir sa queue tendue dans ma bouche.
J'écarte les jambes.
Le désir est augmenté par la proximité de la route, le risque d'être vu..
Ses doigts dans mon bas ventre, des caresses à faire hurler de plaisir. Ma perle qui gonfle. Ses doigt tournent autour, puis cherche au fonds de mon sexe
cette substance chaude.Il me lèche, puis me caresse à nouveau. Il continu ce va et vient jusqu'à ce que le désir devienne incontrôlable.
Je ne pense plus à rien, je vis dans le présent. Il y a quelque chose de rare entre nous...à chaque fois que nous baisons, une trace de la première nuit partagée.
Banquette arrière: il a retenu son désir jusqu'à cet instant. Il finit par me pénétrer, son souffle me réchauffe. Mélange de plaisir et de peur.Ne plus faire qu'un alors que nous sommes définitivement deux.
Je tente de respirer pour ne pas me laisser emporter par un tel ravage, un bonheur trop vif.
Si cela était possible j'aimerais garder en permanence son sexe en moi.
J'aime le sexe. J'aime le sexe avec lui.
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