Prisonnière

J’étais enfermée depuis une semaine dans l’appartement de ma maîtresse. Je n’avais pas le droit d’en sortir sans son autorisation. Touts les jours elle partait travailler et elle m’enfermait. Pour surveiller ce que je faisais, elle avait installé des caméras partout. Elle me confiait des « devoirs » touts les jours, pour que je m’améliore et que je me soumette de plus en plus et de mieux en mieux. Les seuls vêtements que je pouvais porter étaient un peignoir transparent, ou des tenues sexy. Aujourd’hui, elle m’avait ordonné de regarder des vidéos porno et de m’instruire de cette façon, puis d’aller sur le site porno et de chatter avec des internautes hommes. Je devais faire tout ce qu’ils me disaient. Comme j’étais filmée, je ne pouvais pas refuser. Sinon, j’aurais été punie. Ce matin, un internaute, un homme d’une cinquante d’année, m’avait demandé de me toucher devant lui, de me doigter, puis de me pénétrer avec un légume. Ma maîtresse avait tout prévu, et dans le réfrigérateur, elle avait mis des concombres. J’en pris un que je recouvris d’une capote. Je m’installais devant la cam, l’homme âgé était déjà en train de se masturber. J’étais nue sur la chaise, il pouvait voir tout mon corps, je commençais à sucer le concombre comme si c’était une bonne bite, puis je le passais sur mes seins qui se mirent à pointer. Je ne pus résister à la tentation de me pincer les tétons. Ensuite je descendais plus bas, je caressais ma vulve, ma chatte épilée et toute lisse avec le légume. J’avais un peu peur de me pénétrer avec. L’homme s’impatientait :
- Alors ma cochonne, tu te le fourres ce concombre !
- Tout de suite monsieur, dis-je obéissante. Regardez, je me pénètre avec… Huum… Aaah, c’est froid…
- Espèce de petite salope !! on doit bien s’amuser avec toi. Tes bons gros seins ne méritent que d’être martyrisés, ta bouche… Huuum
- Haaan…huuum…Haaaahhh… Oooh, c’est bon… Ouiii… Huuum
- Cochonne j’ai envie de te péter ta chatte, de te déchirer ton anus…
Le concombre m’avait fais mal, mais très vite la situation m’excitait et je mouillais, le légume me servait de gode, de bite.

Je m’activais de plus en plus vite sur ma chatte, je sentais ma mouille couler doucement vers ma rondelle. A ce moment là, je fus soulagée, l’homme coupa la communication. Comme ma maîtresse allait bientôt rentrer, j’allais me préparer. Je laissais le concombre sur le bureau de l’ordinateur. Je me lavais vite fait et je m’installais dans la chambre, sur le lit. Je devais touts les jours, faire de la même façon. Me mettre à quatre pattes pour laisser pendre mes seins dans le vide. Ils sont très réactifs et ils pointent vite. J’en suis fière, mes seins me permettent de donner encore plus de plaisir. J’attendis comme ça, pendant dix minutes. Mais c’était dix minutes de supplice, parce que je m’étais déjà échauffée avec l’homme de la webcam, alors je sentais le désir et l’excitation monter. J’ondulais des hanches, ce qui faisait balancer mes seins. Huum… ça me procure des sensations de plaisir. Je sentais mes lèvres vaginales se gonfler. Je devinais que mon petit bouton d’amour devait se durcir et s’humidifier. Je couinais d’impatience. J’avais envie des mains qui me caressent, de doigts qui me pincent les tétons et me doigtent ma chatte en chaleur. Il me fallait une bite, une belle queue, un beau gros gode pour me faire du bien.
Ma maîtresse arriva dans la chambre, déjà nue. Elle s’était déshabillée dans le salon. Elle ricana en me voyant dans ma position de soumise. Elle s’allongea sur le lit, jambes écartées. Sa chatte bien en vue. Elle m’ordonna de venir près d’elle. Je me dirigeais à quatre pattes à côté d’elle.
- Huum ! Tu es toute tendue on dirait, dis ma maîtresse. Tu veux que je te soulage ?
- Ouiii maîtresse… Mon corps est à vous, ma chatte, mes tétons, tout est à vous… Pitié ! dis-je en remuant du bassin.
- T’es vraiment qu’une sale cochonne ! Petite chienne en chaleur ! Viens me faire du bien d’abord ! Comme ça je verrais si tu as travaillé cette aprem ! J’espère que tu t’es exercée ! Tu dois être docile et douée pour me contenter !
- Oui maîtresse, tout ce que vous voulez, murmurai-je.
Je commençais à lui sucer les tétons. Je commençais à prendre du plaisir à faire ça. Je devenais petit à petit une petite cochonne, une petite esclave lesbienne. Elle m’ordonna ensuite de goûter sa chatte. Je léchais son bouton de rose, il ne fallut pas longtemps pour qu’elle me jouisse dessus. Comme une bonne chienne, je tirais la langue pour récolter le plus de son jus sur mon visage. Je gémissais de plus en plus. Puis, elle m’ordonna de me mettre a quatre pattes. Elle caressa tout mon corps, je la suppliais de me prendre. Ma chatte était en feu. Mes lèvres étaient gonflées, tendues.
Huum !! Ma maîtresse se plaça derrière moi, et me prit en levrette avec le gode-ceinture. Humm… C’est rentré comme on plante un couteau dans du beurre ! Elle me prenait lentement, elle me pénétrait lentement pour faire monter la tension. Elle en profitait pour faire rouler mes tétons entre ses doigts, me malaxer les seins. J’adorais ça ! Même là, je suis excitée, en train de vous écrire ce récit et je ne peux pas m’empêcher de me caresser le clito. Huumm ! Haann !!
- Tu couines petite cochonne, me dit ma maîtresse. Tu vas jouir dans quelques minutes, t’inquiètes pas cochonne de gouine !
- Pitié maîtresse… Ma chatte est en feu… Fourrez-moi ! J’en peux plus… Mon clito est tout dur et gluant… Je veux des coups de bites. Je veux que vous me ramoniez la chatte… Mes tétons ont besoin d’être martyrisés, suppliais-je.
- Oui, cochonne ! T’es qu’une salope ! Une cochonne d’esclave ! Tu ne mérites que ça !
Ma maîtresse me tira les bras en arrière, je dus poser ma tête sur le lit. Je devais me laisser faire. J’étais à sa merci. Huum… Ouiii… J’en veux ! Je bavais, les yeux perdus dans le vague.
- Huum… Haaan… Oui… Ouiii… Maîtresse… Je suis à vous… Je suis une esclave… Huumm… Haaan… aaahh…
- Tu couines bien… Tiens ! Tiens ! Prends ça cochonne ! T’es à moi maintenant ! Salope ! Esclave !! dit ma maîtresse.