Madjid - Première Partie : Mes Retrouvailles Avec Un Ancien Élève
Depuis maintenant deux années, jai entamée sous la direction éclairée de mon mari Salim une double vie. La première étant celle dune enseignante darabe dans un Lycée du centre dAlger ayant une réputation de femme et de mère de famille sérieuse et respectée de tous. Cest ce que jappelle ma vie officielle ; une vie en apparence bien ordonnée et bien rangée. Aucune aspérité qui puisse faire jaser quiconque.
Mais ma vie réelle ma deuxième vie correspond mieux à ma nature profonde. Cest une vie vouée au sexe et à lérotisme débridés. Cest une vie secrète, remplie de ce que la société appelle le vice et limmoralité. Immoralité par rapport à lenvironnement social dans lequel est plongé le pays depuis la nuit des temps, mais surtout depuis sa prise en charge par le phénomène du fondamentalisme islamiste et ses multitudes dinterdits.
Le pays est devenu, depuis maintenant une trentaine dannées, la proie de cette morale islamiste qui condamne absolument tout ce qui nest pas « hallal » : la femme non totalement couverte ; la mixité ; les comportements « impudiques »; les couples non légitimes; lamour hors mariage ; légalité des sexes ; le plaisir pris par les femmes ; etc.
Les personnes qui comme moi, veulent vivre pleinement leur sexualité « anormale », nont plus aucune place dans ce pays. Du moins aucune place qui soit en évidence. Elles doivent pratiquer intensivement lhypocrisie sociale : avoir un comportement apparent conforme aux règles sociales en vigueur, pour ne pas sattirer les foudres des gardiens du temple et vivre, en cachette, une vie dissolue répondant mieux à leur nature profonde.
Ma sexualité « anormale » consiste à croquer, comme une affamée, la pomme de la vie, guidée par mes seuls fantasmes érotiques et ceux de mon mari. Pour moi, il sagit dassouvir mes besoins sexuels tyranniques (à la limite de la nymphomanie) et prendre le maximum possible de plaisir, sous les coups de boutoir damants bien montés, super résistants et infatigables dans la pratique de la « chose ».
Depuis que Salim mavait annoncé son candaulisme et mavait poussée à prendre des amants, à lui raconter tout le plaisir que je prenais entre les bras dautres hommes et à le faire participer à mes ébats, soit en tant que spectateur, soit en qualité dacteur, jai vécu une vraie vie de rêve. Une vie complètement dédiée au sexe et à lérotisme.
Nous avons eu, Salim et moi, au début de notre relation, de longs moments de parfait bonheur et dextase. Nous nous sommes toujours énormément aimés. Pendant longtemps le couple que nous formions sétait suffi à lui-même. A aucun moment, nous navions eu besoin dun « complément » pour assouvir notre besoin de jouissance et dorgasmes. Tout se passait parfaitement entre nous, y compris en matière de sexe où nous atteignons régulièrement le nirvana des amants.
Mais depuis que Salim mavait fait part de son envie de me partager avec dautres hommes, et que nous sommes passés à lacte, nous sommes passés à un palier supérieur de lérotisme et du plaisir. Depuis, nous vivons pleinement nos fantasmes, et, notre amour lun pour lautre, na fait que grandir : nous nous aimons encore plus intensément.
Je ne compte plus les amants que jai eus jusque là : parfois plusieurs en même temps. Je ne compte pas non plus les innombrables moments où je métais retrouvée entrain dêtre tirée dans toutes les positions et en tous lieux par un ou plusieurs mecs montés comme des étalons, qui prenaient possession de tous mes trous et me faisaient vivre des instants dextase intense. Je nai jamais été aussi heureuse dans ma vie de femme, que depuis que je suis devenue la femme que je suis maintenant : une machine à faire fantasmer les mecs, à leur donner un maximum de plaisir sexuel et à en prendre moi-même, sans aucune retenue.
Depuis mon premier amant, je nai plus tenu la comptabilité de mes aventures adultérines : les hommes qui mont partagée avec Salim avaient été très nombreux. Les relations que nous avons entretenus avec eux avaient été souvent longues et super jouissives. Très rarement, depuis deux ans, mon mari et moi sommes restés longtemps sans avoir dans notre lit au moins un autre partenaire. Parfois deux ou trois, si lon compte le nombre de femmes, qui ont-elles-aussi joué le jeu du partage et de léchangisme.
Je métais même découvert une vraie tendance à la bisexualité avec des femmes belles et sensuelles, offertes à ma concupiscence et à mes perversions sexuelles. Des hommes et des femmes ont donc bénéficié de mes charmes. Ils (elles) mont donné autant de plaisir quils (elles) ont en pris avec moi. Mais javoue que ce que jai toujours vraiment adoré plus que tout le reste ce sont les hommes montés comme des ânes et brutaux dans leur manière de me baiser. Jai pu ainsi jouir de partout : par ma chatte et par mon cul, qui ont reçu des zobs tellement immenses que je craignais pour leur intégrité et même par ma bouche et ma gorge qui ont reçu en sus des gros zobs des quantités immenses de foutre épais, chaud, et visqueux.
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A notre retour de France où, contrairement à ce que nous pensions, nous navions pas réussi à nous installer pour y vivre, à labri dans une société plus permissive que la nôtre nous sommes restés près dun mois seuls, Salim et moi. Nous continuions à nous aimer sincèrement et à faire lamour comme des bêtes. Mais ni lui ni moi, nétions dupes : il y avait un manque en nous. Il manquait un ou plusieurs partenaire (s) à nos ébats. Nous ne nous lavouions pas (ni lui, ni moi nen faisions allusion) mais je sentais que Salim était à la recherche désespérée dun nouvel éphèbe à offrir à sa chérie.
A peu près un mois après notre retour, je tombais par hasard sur Madjid. Et, le jour même, jentamais avec lui une nouvelle aventure érotique des plus savoureuses. Salim, que javais mis au courant de laffaire, ny participera directement que quelques journées plus tard : le temps que Madjid devienne véritablement accro à moi, prenne petit à petit conscience du mode de vie que je lui préparais et en accepte les règles qui pourraient, à première vue, le choquer.
A notre retour de France, il nous fallait racheter à peu près tout les équipements électriques et électroniques de la maison. Nous avions dispersé ceux que nous avions avant de partir définitivement, pensions-nous. Parmi les équipements, il y avait lindispensable micro-ordinateur. Jallais donc dans un magasin du quartier qui sétait spécialisé dans la vente et la maintenance de matériels informatiques. Et ce fut là que je tombais sur Madjid, le gérant du magasin.
La tête du garçon (il devait avoir vingt-trois ou vingt-quatre ans) ne métait pas inconnue. Je lavais perdu de vue depuis longtemps, mais rapidement je me suis rappelé le jeune « touaïchi » (turbulent et blagueur) des classes de première, deuxième et troisième année secondaires auxquelles jenseignais larabe. Il avait toujours été très turbulent et blagueur et, souvent javais eu à sévir contre lui, en le sortant de la classe et en lenvoyant sexpliquer chez le surveillant général.
Physiquement cétait un garçon précoce ; depuis son arrivée lycée, il paraissait faire plus que son âge. Il était grand et maigre, avec des épaules larges, une taille fine, des hanches étroites, un fessier petit et mignon et de longues jambes, toujours prises dans un pantalon jean très serré. Le garçon que javais sous les yeux, ce matin, avait mûri physiquement : toujours aussi grand, mais moins maigre et plus musculeux. Il portait une fine moustache qui le vieillissait et qui lui donnait un air de faux pirate, très séduisant.
Je ne sais pas pourquoi, mais dès que je lai vu, jai ressenti un léger picotement au niveau de mon bas-ventre, qui chez moi était révélateur dun début démotion très spécifique : cétait comme si je venais de tomber sur la perle rare que je cherchais depuis mon retour de France. Quand nos yeux se sont croisés et que jai vu le sourire carnassier quil ma envoyé, en me reconnaissant, jai senti mon bas ventre frémir, ma chatte palpiter et mon cur battre la chamade.
Je me suis immédiatement rappelé le regard lourd et tellement chargé de concupiscence - quil avait quatre années durant, quand il me regardait en classe ou même dans la cour du lycée, pendant les récréations. Javais lhabitude des regards pleins de désirs de mes élèves, quand ils me regardaient évoluer dans la classe ou quand jétais entrain de faire une démonstration au tableau, ou bien quand jétais assise au bureau. Je mhabillais pourtant volontairement de manière très sage, pour ne pas paraître provocatrice et donner des idées coquines à tous ceux qui pouvaient me regarder. Quand je masseyais, je faisais toujours attention à tenir mes jambes serrées, pour ne pas permettre aux élèves dapercevoir lintérieur de mes cuisses. Je minterdisais même de croiser les jambes, sachant que cette position laissait entrevoir le dessous de mes cuisses, ce qui aurait été une véritable provocation pour la trentaine de lions affamés qui composait la classe (jenseignais dans un lycée de garçons) et que je sentais plus intéressés par les fantasmes érotiques que provoquaient chez eux mon corps de femme mûre, que par mes leçons de langue ou de littérature arabes.
Je savais parfaitement les sensations - physiologiques et chimiques qui traversaient les corps de mes jeunes élèves en pleine puberté, et à lénergie débordante. Je savais que, dès que javais le dos tourné, ils mataient avec insistance mon fessier proéminent et devaient bander comme des boucs. Et quand je masseyais, ils ne pouvaient sempêcher de zieuter vers mes genoux ronds et brillants et priaient silencieusement pour que je desserre les jambes, pour leur permettre dapercevoir lintérieur de mes cuisses et peut-être même ma petite culotte. Je ne leur ai jamais donné satisfaction, mais intérieurement, jétais assez contente de faire fantasmer les garçons.
Madjid, lui ne cachait pas son jeu. Il ne se gênait pas pour me faire savoir quil avait envie de me tirer. Il me regardait toujours de manière effrontée et insolente. Ses yeux brillaient en permanence de désir et je pouvais y lire, quatre années durant, son envie de faire lamour avec moi. Jétais convaincue que toutes les nuits, il se masturbait en pensant à moi ; à mes appâts ; à mon cul ; à ma poitrine, dont même les vestes ou les pulls larges que je portais en permanence, ne pouvaient cacher la proéminence et la fermeté. Je le surprenais souvent qui regardait ma bouche avec dans les yeux une espèce de voile qui indiquait une série de pensées coquines : il devait mimaginer entrain de lui faire une fellation denfer. Il souriait aux anges en me regardant.
Jétais parfois gênée par son sourire et son regard impudiques qui hurlaient en silence, la force du désir qui le traversait et lenvie irrépressible quil avait de me tirer. Pas de me faire lamour ! De me tirer ! Comme un taureau ! Mais je ne laissais jamais voir les sentiments qui manimaient : javais comme règle stricte de ne jamais me comporter, au lycée, autrement que comme un professeur sérieux et sévère, qui ne sintéressait à rien dautre quà la pédagogie et à lévolution de ses élèves dans lapprentissage de la langue et de la littérature arabes. Je me comportais ostensiblement en femme « sérieuse ». Une femme qui ne pouvait pas penser au batifolage avec ses collègues masculins, et encore moins avec ses élèves.
Mais, même si je ne me lavouais pas, jétais assez contente déveiller de tels sentiments chez Madjid. Il marrivait même, en surprenant son regard impudique posé sur mes genoux surtout au cours des deux dernières années quil avait passé au Lycée (les années du bac) - de limaginer entrain de se branler en force, en soufflant comme un phoque, en mimaginant en chienne soumise, entrain de subir les vigoureux assauts de son manche. Et cette idée me réjouissait et, parfois, faisait couler ma chatte.
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Madjid mavait immédiatement reconnue. Et aussitôt, je revis sur son visage, le regard brillant et le sourire sarcastique du lycéen quil avait été, il y a maintenant quelques années.
- Bonjour madame ! Je suis très heureux de vous revoir ! Vous vous rappelez de moi ? Jai été votre élève pendant quatre ans au Lycée.
- Bien sûr que je me souviens de toi ! Madjid, lélève le plus dissipé que jai jamais eu de ma carrière de professeur. Comment vas-tu ? Que fais-tu dans ce magasin ? Tu y travailles?
- Oui jy travaille. En fait jen suis le gérant. Après avoir échoué deux fois au bac, jai pris des cours dinformatique et jai décroché un diplôme de technicien supérieur. Cela ma permis douvrir et de gérer ce magasin.
- Cest très bien ! Javoue que je ne te voyais pas tintéresser à linformatique ; ou même à autre chose de sérieux. Je suis très contente pour toi.
- Vous avez besoin de quelque chose ? Je suis à votre service !
- Un micro ordinateur, avec tous ses équipements. Tu as certainement ça en magasin. Mais comme moi je ny connais absolument rien, il faudra non seulement me conseiller sur le produit, mais aussi venir me linstaller à la maison. Est-ce faisable ?
- Bien entendu !
En fait, je venais dinventer cela. Je nétais ni novice en matière déquipement informatique (du moins concernant les PC et les Lad tops, que jutilisais régulièrement depuis des années) ni incapable dinstaller moi-même un micro et le faire fonctionner. Je venais de céder à une pulsion irrépressible jen avais souvent et de décider dinviter Madjid chez moi pour être seule avec lui pendant un moment. Cétait encore inconscient, mais javais déjà mis le grappin sur le garçon et je voulais voir sil nétait pas possible den tirer quelque chose en matière de sexe.
Javais senti, au moment même où je lavais revu, mon corps frémir et ma chatte palpiter. Ce signe ne me trompait jamais : cétait lindication que jétais en chaleur et quil fallait que je me fasse tirer par le mec qui avait éveillé en moi ce désir.
Madjid accepta immédiatement ma demande et, tout en me regardant avec insistance de ses yeux devenus globuleux et concupiscents, me montra différents ordinateurs, me parla de leurs capacités et qualités respectives et me conseilla pour en choisir un.
- Je vais vous le préparer en y intégrant tous les logiciels quil vous faut et je vous le livrerai dans laprès-midi. Je vous aiderai à linstaller. Cest daccord ?
- Oui !
En le regardant sourire, je compris tout de suite que dans sa tête, les idées contradictoires sentrechoquaient. Il ne savait pas très bien comment prendre cette invitation à venir chez moi, sous prétexte de maider à installer un micro-ordinateur. Il savait très bien, quil ny avait rien de sorcier à le faire. Il soupçonnait que je devais avoir des arrières pensées qui ne pouvaient être que coquines. Cela lui faisait autant plaisir, que peur. Plaisir, parce quil était évident que je lexcitais (peut-être se rappelait-il, toutes ces nuits pendant lesquelles, il sétait branlé comme un malade en mimaginant dans toutes sortes de positions pornographiques) et quil voulait vraiment baiser avec moi. Peur, parce quil était encore très jeune et inexpérimenté en face dune femme mûre, certainement très au fait des choses du sexe.
Je crois, quau bout de la demi-heure que nous passâmes ensemble dans le magasin, il avait fini par se convaincre quil était à la hauteur et quil allait profiter de mon invitation pour me baiser comme une bête. Il sétait remis en confiance et reposa sur ses lèvres le sourire carnassier quil avait toujours eu en me regardant. Jétais sûre quil était entrain délaborer dans sa tête le programme de tout ce quil allait me faire quand nous serons seuls chez moi. Il était convaincu que le programme quil avait concocté dans sa tête était conforme à notre désir, à tous les deux, dentamer une relation qui na rien à voir avec le professeur ou le technicien en informatique. Un programme pour une vraie relation entre un homme et une femme, affamés de sexe.
Je quittai le magasin et rentrai directement à la maison. Je narrêtais pas de penser à Madjid. Je me demandais, sil nétait pas trop jeune pour faire un amant à la hauteur de mes besoins tyranniques et de mes espoirs. Je me disais quil navait certainement aucune expérience sexuelle réelle. Je connaissais bien mon pays et la difficulté pour les jeunes célibataires davoir des expériences sexuelles avec des filles ou des femmes. La plupart des hommes arrivaient pratiquement vierges au moment de leurs nuits de noces. Les seules expériences quils pouvaient se permettre encore fallait-il quils en aient les moyens financiers - cétait avec les prostituées. Et ces expériences là ne comptaient pas dans lapprentissage de la sexualité et de lérotisme.
Je pris une douche bien chaude, pour me délasser et préparer mon corps aux ébats qui mattendaient et que jespérais torrides. Je choisis une mignonne petite robe dintérieur en coton fin, qui avait la caractéristique dêtre transparente quand elle était traversée par la lumière ; je savais que mon futur amant ne manquerait pas dêtre émoustillé par les appâts quil allait entrevoir au cours de mes déplacements dans la maison. Jétais devenue experte, avec mes amants passés, dans ce genre de provocation érotique : je me déplaçais doucement en passant de temps en temps entre une source de lumière crue et lhomme (ou les hommes) qui me regardait (aient) et en y ressortant aussitôt pour provoquer chez le (ou les) spectateur (s) une grande frustration et le désir de me revoir repartir vers la lumière. Je jouissais, en vraie sadique, de ces moments où je sentais mes hommes bander comme des ânes en admirant mes appâts, à travers le tissu de ma robe.
Je venais juste de finir avec mes préparatifs quand la sonnette de lappartement se mit à vibrer. Jouvris et me trouvai face à Madjid qui tenait un grand carton dans chaque main.
- Re-bonjour madame ! Où dois-je installer le micro ?
- Entre ! je vais te montrer la place. Et arrête avec madame ! Je ne suis plus ton professeur ! Tu peux mappeler Warda !
Il rougit un peu. Comme sil ne sattendait pas à ce que je devienne aussi vite autant familière avec lui. Il pénétra dans lappartement et me suivit jusquà la chambre qui nous servait de bureau à Salim et à moi et déposa les cartons parterre. Il me jeta un regard interrogateur pour que je lui indique lendroit où installer léquipement. Mais au lieu de lui répondre, je le pris par la main et le forçai à me suivre jusque dans le salon, où un fauteuil, immense et confortable, nous attendait. Je sentais comme un peu dhésitation et de résistance en lui. Il se figea imperceptiblement comme si les choses allaient un peu trop vite pour lui. Cétait comme sil craignait ce qui allait suivre.
Je compris très vite que le garçon navait encore jamais été dans une telle situation. Il avait perdu toute son assurance et redevenait le jeune homme inexpérimenté quil était réellement. Pas le jeune homme sûr de lui quil croyait être. Je devais être la première vraie femme à qui il avait affaire, en matière damour. Il devait certainement avoir eu des flirts, plus ou moins poussés, avec des filles de son âge : il me semblait trop bien de sa personne pour être vraiment innocent en la matière. Mais je doutais vraiment quil ait eu une vraie aventure, avec une vraie femme. Il était vraiment intimidé de se trouver dans cette situation. Toute larrogance et leffronterie quil accrochait auparavant, comme un masque, sur son visage avaient maintenant disparu. Elles avaient laissé la place à une véritable panique, quil tentait vainement de me cacher.
Il ne restait plus du jeune blanc-bec provocant, qui jadis simaginait la nuit dans son lit - entrain de me tirer tout en se masturbant fébrilement, quun jeune homme perdu et qui ne savait pas trop quoi faire avec une femme mûre et expérimentée. Une femme qui prenait les choses en main. Visiblement, il craignait de ne pas être à la hauteur. Et cela le paniquait. Je décidais de le mettre en confiance, car au fond de moi, je savais quil avait les capacités dun amant hors pair et, quavec lui, jallais vivre des moments intenses dérotisme.
Je décidais de redevenir son professeur et de lui enseigner, non plus la langue et la littérature arabes, mais lérotisme le plus débridé. Et pour cela, rien ne vaut dy aller franchement et de lui mettre la pression en lui parlant crument dans la langue la plus érotique qui soit, larabe dialectal.
- Ma tkhafch ! (naie crainte !) En3alem-lek kiffach et-dir ! (Je tapprendrai comment faire !) En3adjbek ? Et-heb ezzouiazi ? Et-heb trami ? Bright et-nik-ni ? (Je te plais ? Tu aimes mes seins ? Tu aimes mes fesses ? Tu veux me niquer ?)
Tout en lui parlant comme cela, doucement avec ma voix rauque, que je savais très sensuelle, je me mis debout, entre la lumière crue provenant de la fenêtre et lui, lui permettant ainsi de mater toutes mes rondeurs, à travers le fin tissu de ma robe dintérieur. Il ne répondit pas à mes questions et il semblait gêné. Il évitait de me regarder franchement. Il avait baissé les yeux et ne me regardait plus que par en dessous. Mais même comme cela, je savais quil ne perdait rien du spectacle que je lui fournissais. Je savais quil était très excité par les formes que je lui mettais ainsi sous le nez.
- Hebit et-nik m3aya ? (Tu veux baiser avec moi ?) A3-djebtek ? (Je te plais ?) En-wari-lek culot-ti ? En-wari-lek zouaizi ? (Tu veux que je te montre ma culotte ? Tu veux que je te montre mes seins ?) Bghit et-bouss-ni ? (Tu veux membrasser ?)
Je ne lui laissai pas le temps de répondre. Je lattrapai par la main pour quil se mette debout au pied du fauteuil et lui pris la nuque pour lui appliquer un baiser furieux, dans le but de lui transmettre tout le désir qui mhabitait et que je voulais lui transmettre. Un baiser contagieux. Il mit un certain temps à réagir. Pendant quelques secondes, il resta comme pétrifié. Puis petit à petit, je le sentis qui se décrispait et qui commençait à répondre à mes sollicitations. Je sus immédiatement quil était novice en la matière. Ses lèvres glissèrent sur les miennes et il eut du mal à les remettre en place. Je men occupai moi-même et collai ma bouche sur la sienne, à linstar dune ventouse, ne laissant aucun interstice pour laisser passer lair. Avec ma langue, je forçai lentrée de sa bouche, lobligeant à écarter les dents et à la laisser pénétrer à lintérieur.
Elle se mit à la recherche de sa langue quelle finit par trouver et avec laquelle elle entreprit une espèce de jeu : celui du chat et de la souris. Javais limpression davoir affaire à un garçon qui navait encore jamais embrassé une femme. Il navait peut-être même jamais embrassé une fille. Du moins pas avec des baisers érotiques et torrides qui constituent les meilleures prémices à lacte sexuel proprement dit et qui, quand ils sont pratiqués comme moi je savais le faire, sont en eux-mêmes, de véritables actes sexuels. Madjid ne mit pas très longtemps à en comprendre le mode demploi.
Visiblement, les premiers moments démotion passés, il montrait quil aimait énormément les sensations que lui procuraient mes baisers. Je le sentais qui sanimait : non seulement il commençait à répondre à mes baisers, mais il se serra contre moi et colla son ventre contre le mien et bougeait les hanches de manière à me faire sentir à quel point il était excité. Je sentais quil était entrain de bander et que sa bandaison devenait de plus en plus forte, au fur et à mesure que se multipliait mes baisers ; et quils duraient.
Il appréciait vraiment les baisers que nous étions entrain de nous échanger. Il se prit rapidement au jeu du duel de nos langues : au début, il avait laissé sa langue immobile au contact de la mienne qui la titillait, et passé le temps du désarroi, il comprit ce quil y avait lieu de faire et entreprit de faire faire à sa langue la même chose que moi je faisais faire à la mienne : et tout bascula. Nos langues entreprirent un superbe duel coquin, qui mit nos sens à fleur de peau ; parfois cétait ma langue qui attaquait la sienne et qui essayait de lui grimper dessus ou de lui passer par en dessous ou même de lenrouler. Parfois cétait la sienne qui sortait de sa bouche pour entrer dans la mienne et venir y chercher une giclée de salive quelle avalait aussi goulûment que moi je buvais la sienne. Nos baisers se multiplièrent et devinrent de plus en plus torrides.
Maintenant, il membrassait comme un affamé ! Il avait pris ma mesure et savait que je ne cherchais pas de la douceur, mais de la fureur. Il prit les choses en main et membrassa furieusement, en sécrétant des flots entiers de salive et me les envoyant dans la bouche. Sa salive était sucrée et délicieuse. Javais immédiatement adoré son goût et avalait goulûment tout ce qui me parvenait dans la bouche. Sa langue avait fini par prendre le dessus sur la mienne et se faisait plus entreprenante. Elle pénétrait dans ma bouche pour samuser un moment avec la mienne et ramasser la salive que, comme lui, je sécrétais en quantité. Nous continuâmes à nous embrasser ainsi très longtemps.
Je sentais, à travers les tissus de son pantalon et de ma robe, le sexe de Madjid qui devenait immense et aussi dur que de la pierre. Le contact du monstre - dont la taille, au toucher, me paraissait immense - transforma, en une fraction de seconde, ma chatte en véritable fontaine à cyprine. Javais envie quil le sorte de son pantalon et quil me le montre. Je voulais men emparer. Je méloignai de lui dune vingtaine de centimètres pour pouvoir découvrir le devant du pantalon de Madjid. Je vis une immense bosse impudique, mais tellement sensuelle que faisait son sexe comprimé par son slip (ou son boxer) et son pantalon.
Je lançai ma main en direction de limpudique bosse et me mis à palper le monstre. Quelle sensation de fermeté ! Je ne pus bien sûr pas évaluer la taille de lengin qui était trop comprimé par le pantalon, mais je devinai quil était à ma mesure ; juste ce quil fallait pour satisfaire ma chatte qui dégoulinait déjà. Madjid ne put réprimer un gémissement de plaisir au contact de son sexe avec ma main. Il lattrapa et la força à appuyer encore plus fort et caresser lendroit, à travers le tissu.
- Bghit en-choufouh ! Wari hou li ! En hab zboubs kbar ! En hab zboubs li yewedj-3ou ki yedakhlou fiya ! (Je veux le voir ! Montre-le-moi ! Jadore les gros zobs ! Jadore les zobs qui me font mal en me pénétrant !)
En même temps que je palpais limpudique bosse, je regardais le visage de mon jeune amant. Il avait les yeux la bouche grande ouverte, comme sil avait du mal à respirer. Ses narines palpitaient de désir et ses yeux avaient comme un voile qui le coupait de lextérieur et le laissait seul avec ses sensations dexcitation, de désir et de plaisir quil était entrain de vivre. Régulièrement, il montrait son plaisir en aspirant goulument lair et en le rejetant accompagné dun long gémissement de contentement.
Jarrêtai subitement mes caresses pour moccuper de lui enlever son pantalon. Je débouclai son ceinturon, dégrafai le bouton et ouvris la braguette. Jhésitai entre le fait de sortir immédiatement le monstre en écartant le slip qui le cachait à mes yeux brillant de lubricité, ou bien lui faire enlever complètement le pantalon pour jouir dun panorama plus complet. Finalement joptai pour la deuxième solution et lui fis descendre le jean sur ses mollets et lever une jambe après lautre, pour lui enlever ses souliers et le libérer totalement du pantalon.
Il resta ainsi en slip en coton de couleur grise. Il avait de longues jambes musculeuses tapissées dun duvet noir, clairsemé, court et soyeux. Son sexe, qui avait retrouvé un peu daise sans le pantalon, pointait au dessus de la ceinture élastique du slip. Il bandait comme un âne. Je voyais le gland, large et brillant, qui palpitait à lair libre. Je ne résistai pas à lenvie de le sortir complètement pour ladmirer. Je descendis brutalement le slip sur ses cuisses, puis tout le long des ses jambes jusquà ses chevilles. Je lui fis lever encore une fois, une jambe, puis lautre pour le débarrasser définitivement du bout de tissu en coton. Madjid resta ainsi, seulement habillé de son tee-shirt, le magnifique zob, brandi comme un glaive menaçant, palpitant de désir.
Le zob de mon jeune amant était vraiment beau. Il était presque marron, couleur qui contrastait avec la blancheur un peu mâte du reste de son corps. Il nen était que plus beau et impressionnant. Cétait un magnifique zob de jeune homme ! Un zob qui semblait navoir jamais servi (je ne sais pas comment je pouvais voir quun zob avait servi ou pas, mais sur le moment, cétait cette idée là qui mavait traversé lesprit). Il était gros, long et lisse. Et il palpitait. Une grosse veine située entre le gland et la hampe battait et donnait limpression que cétait tout le sexe qui palpitait. Il avait lair tellement vigoureux !
Il ny avait aucune trace de poil sur le manche, ni même sur les couilles. Cétait comme sil avait pris le temps entre le moment où je lavais quitté dans son magasin et celui où il mavait rejointe chez moi - de se raser, ne gardant quune petite touffe, noire et soyeuse, sur le pubis. Le spectacle était magnifique et bandant ! Le zob de Madjid frémissait dexcitation. Je le pris dans ma main droite pour le caresser; il était chaud et dur; très doux au toucher ; et tellement sensible ! Je me mis à le branler doucement tout en regardant le visage de mon homme : il souriait béatement, en gémissant tout doucement sous leffet aphrodisiaque de mes caresses.
Un filet de salive sécoulait du coin droit de sa bouche, montrant quil narrivait plus à se maîtriser. Il était totalement dans son désir et dans le plaisir quil prenait sous mes caresses. Puis brusquement, je me mis à genoux devant lui et arrêtai la douce masturbation que je lui appliquai. Je plongeai ma tête pour que ma bouche se retrouve au même niveau que le pubis de mon jeune amant pour moccuper de son zob. Une superbe odeur de mâle en chaleur une odeur de propre mélangée à un parfum plus fort, sécrété par les glandes du mec vint frapper mes narines et eut un effet aphrodisiaque qui démultiplia lintensité de mon désir de devenir lesclave de ce magnifique membre. Je me mis à embrasser et titiller avec ma langue, la belle queue que javais sous les yeux. Je promenai mes lèvres sur toute la longueur de la hampe, en marrêtant un moment sur les bourses très fortement contractées, devenues aussi dures quune pierre. Et je faisais repartir mes lèvres et ma langue en sens inverse. Au moins une dizaine de fois. Je sentais Madjid qui tremblait, sous leffet dune excitation paroxysmique.
Il ne put sempêcher denvoyer ses deux mains pour se saisir de ma nuque, me montrant, par les fortes pressions quil lui appliquait, quil voulait que jy aille plus franchement. Je compris quil voulait que je le prenne dans ma bouche. Et cétait exactement ce que je comptais faire ! Je pris la belle queue à deux mains pour pouvoir lentourer complètement. Je le palpai et le tâtai avec gourmandise. Jallais me régaler avec un tel zob! Jadorais sucer les beaux zobs ! Jétais même devenue experte es fellation. Jaimais cette sensation de chaleur que dégageait la peau dune grosse queue palpitante dans ma bouche. Jaimais sa fermeté et sa douceur. Et jaimais encore plus sa force. Javais même fini par aimer la douleur qui accompagnait souvent une fellation brutale. Tous les hommes que javais connus mont fait atrocement mal en baisant ma bouche et ma gorge. Et je savais que mon jeune amant, allait vouloir transformer la fellation, pourtant torride que jallais lui appliquer en une séance de pour ma gorge et mes cordes vocales. Cétait une chose qui me paraissait tellement naturelle, que je ne faisais jamais rien pour my opposer. Si ce nest, quand le zob est vraiment trop long, de le brider un peu pour écourter lamplitude des va-et-vient dans ma bouche et ma gorge. Je savais que jallais souffrir avec une telle queue dans ma gorge, mais mon Dieu, que jadore ce type de souffrance !
Jouvris très grand ma bouche, écartai les dents et introduisis le gland entre les lèvres. Je le titillai un peu avec la langue, avant davancer la tête pour le faire pénétrer à lintérieur de la bouche. Je le fis aller et venir quatre ou cinq fois, en accompagnant le mouvement par une masturbation. Pendant un moment, je me contentais de faire entrer et sortir la queue de Madjid dans ma bouche en faisant attention à ce quelle naille pas trop loin. En même temps que je le masturbais. Je levais de temps en temps les yeux, pour voir leffet que faisait la fellation sur mon jeune amant. Il souriait aux anges et poussait des petits gémissements de satisfaction. Ses mains étaient toujours posées sur ma nuque, sur laquelle elles appliquaient une pression de plus en plus insistante.
Je savais par expérience quil nallait pas tarder à appuyer de plus en plus fort, jusquà devenir brutal, afin que je le laisse aller au-delà de ma glotte. Je savais que pour être complètement satisfait je devais le laisser baiser ma bouche et ma gorge ; comme il aurait baisée ma chatte ou mon cul. Petit à petit, je le laissais donc aller le plus profond que je pouvais, sans encore accepter quil aille trop loin. Le zob de mon mec était trop long ; si je le laissais aller jusquau bout, je savais quil allait m ou au moins, me faire vomir toutes mes tripes. Je pris donc la précaution de raccourcir le manche en serrant la base de lengin dans ma main pour en faire un frein et lempêcher de me déchirer lsophage et détruire mes cordes vocales.
Et comme je my attendais, je le sentis qui mattrapait violemment les cheveux avec ses deux mains afin de bloquer ma tête. Et il se mit à pilonner ma bouche et à travers elle, ma gorge - avec autant de force que si cétait ma chatte ; ou mon cul. Il me faisait mal et, malgré la précaution que javais prise de raccourcir lamplitude des allers-retours de lengin dans ma bouche, je sentais que jallais sil continuait trop longtemps comme cela. Son énorme sexe raclait lintérieur de ma bouche et élargissait ma gorge. Je faisais tout pour lempêcher daller trop loin, en retenant son sexe avec la main qui lenserrait à sa base.
Madjid, le novice, se laissait aller à ses pulsions. Plus rien ne comptait pour lui, que le plaisir quil prenait à me défoncer la gorge. Rien ne pouvait plus larrêter ! Il allait et venait dans ma bouche avec la brutalité dun taureau. Cétait comme sil se masturbait avec violence ; ou comme sil baisait une chatte ou un cul, avec brutalité et sans aucune douceur. Il était déchaîné. Il ressortait totalement de ma bouche et repartait aussitôt au fond. Je regardais, les yeux coulant de larmes provoquées par la douleur, le monstre entrer et sortir ainsi, tout en le remplissant de salive et même de vomis que je pouvais mempêcher de produire à chaque fois que le manche allait trop loin.
Javais les yeux qui se remplissaient de larmes et les narines qui coulaient telles des fontaines. Je levais de temps en temps les yeux sur Madjid comme pour le supplier silencieusement dy aller avec moins de brutalité. Mais lui me regardait en souriant de toutes ses dents, ne semblant pas avoir conscience de toute la douleur quil produisait en moi. Il était content de leffet de ses coups de boutoir dans ma cavité buccale et en jouissait de plus en plus bruyamment. Je lentendais qui gémissait à chacune des pénétrations, brutales et violentes, de son gourdin. A un moment, je lentendis pousser comme un long rugissement et accélérer le rythme de ses va-et-vient dans ma bouche et ma gorge. Et il éjacula une énorme rasade de sperme qui alla directement au fond de ma gorge et qui faillit m. Javais rarement vu un homme éjaculer, en une seule fois, une telle quantité de sperme. Il devait y avoir très longtemps que mon jeune amant navait pas fait lamour (Sil lavait fait un jour !)
Javais pris lhabitude des fellations qui se terminaient par un lâchage de sperme au fond de ma gorge que javalais sans trop de problèmes. Javais même fini par en aimer le goût et la consistance visqueuse et devenir une vraie spermophage. Mais la quantité de sperme que venait de lâcher Madjid dans ma gorge était tellement importante, quil métait impossible de tout avaler. Javais dû en recracher une partie sur son sexe, qui continuait imperturbablement à aller et venir dans ma bouche. Il éjacula encore trois fois à lintérieur et le reste il me lenvoya sur le visage et sur le cou. Quand il termina, il essuya son sexe encore en érection sur mes joues et mes lèvres. Il vint se mettre à genoux devant moi, me regarda avec un immense sourire de satisfaction, me délecter de son sperme. Il semblait tellement heureux ! Et surtout tellement fier de lui ! Il venait de baiser la femme sur laquelle, il avait tant fantasmé au cours de son adolescence et sa jeunesse. Et en plus, il lui a fait boire son sperme ! Il était vraiment devenu un homme ! Et un amant à la hauteur.
Il ne dit rien. Même pas merci ! Il était heureux et cétait suffisant pour lui. Dautant que moi non plus je ne dis rien. Ni pour lengueuler de mavoir fait autant mal ; ni pour lui faire des reproches. Au contraire, il me regardait avec des yeux brillants de curiosité et dexcitation, avaler à petites doses, le sperme que javais en bouche et ramasser avec mes doigts celui quil avait éjaculé sur mon visage et sur mon cou, pour ensuite les lécher avec gourmandise.
- En-heb ezzel en-ta3-ek ! Hlou ki sucar ! Ki a3cel ! (Jaime ton sperme ! Il est aussi doux que du sucre ! Que du miel !)
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