Lucie, Obéis. (Épisode 3)

L'homme libéra brutalement sa prisonnière. Elle recula malgré elle, et ne bougea plus. Elle ne daigna pas même réajuster ses vêtements martyrisés.

Donnez-moi la vidéo, dit-elle enfin.
D'accord.
Lucie n'osait rien dire, de peur que l'homme ne change d'avis. Puis une pensée traversa son esprit. S'il était d'accord pour lui rendre cette vidéo, c'est qu'il devait avoir fait une copie.
Qu'est-ce qui me prouve que vous n'avez pas fait de copie ?
Rien, affirma l'homme. Il faudra me croire sur parole.
Le silence emplit la pièce, Lucie avait l'impression de négocier. Elle voulait se sauver des griffes de ce manipulateur, qui avait en sa possession une séquence capable de détruire bien des pans de sa vie.
Je vous en prie ne faites rien avec, supplia-t-elle.
Le quadragénaire sembla se détendre soudain. Son visage devint plus rassurant, et il fit un pas vers Lucie.
Ne t'en fais pas Lucie, je ne te veux pas de mal. Je suis d'accord pour te rendre cette vidéo.
Vraiment ?
Oui. Alors en échange je vais te demander un service.
Lucie baissa les yeux malgré elle. Elle voulut se taire, de peur de comprendre, mais une voix en elle s'échappa soudain :
Que voulez-vous ?
Montre moi tes seins, tes jolis seins bien ronds.
… Maintenant ?
Oui, maintenant, s'il te plaît.

Lucie hésita, qu'est-ce qui lui prouvait que ce n'était pas un piège ? Mais elle était trop pressée d'en finir.
Elle leva les yeux, puis les détourna aussitôt dans le vide. Alors, elle entreprit de se déshabiller. Elle déboutonna son gilet, glissa les bras hors des manches, puis demeura ainsi immobile, le gilet en boule dans ses mains, cherchant du regard un endroit où le mettre.
L'homme s'approcha et lui prit des mains, sans violence.
Elle continua.
Lucie leva son haut au dessus de sa poitrine, laissant apparaître un soutien-gorge blanc, dans lequel ses seins semblaient compressés.

Elle attendit ainsi, une main tirant sur son haut, et interrogea son voisin du regard. Comme pour demander si cela suffisait.
Continue.
Elle détourna à nouveau le regard, puis croisa ses mains à la base du tissu. Quelques secondes plus tard elle leva les bras et le vêtement se déroula comme un emballage qu'on retire. Sa tête passa au travers, ses cheveux s'emmêlèrent, aussi les remit-elle en place d'un mouvement leste.
Ses bras étaient côte à côte, pris dans l'étoffe. Elle chercha à s'en débarrasser, mais il fit un geste pour lui dire d'attendre.

Le voisin, avec un air carnassier, semblait apprécier la scène. Il fouilla dans la poche de son veston, et en tira un appareil photo.
Non ! Fit Lucie en faisant mine de se cacher.
Attends, fit l'homme, tu ne crois quand même pas que je vais partir sans un souvenir. Détends-toi, je ne ferai rien que tu ne veuilles pas.
Je veux que vous partiez.
Chut...
S'il vous plaît, ne me prenez pas en photo.
C'est ça où je donne la vidéo à ton mec. Tu veux que je lui montre ?
Non...
Alors demande-moi de te prendre en photo.
…
Juste quelques photos de toi Lucie, tu es tellement belle. Je les garderai pour moi seul, je te le promets.
Lucie se ravisa, elle cherchait un échappatoire qu'elle ne trouvait pas.
Demande-moi, fit l'homme d'un ton calme.
…
Lucie tu es en train de t'attirer des ennuis, alors que ça pourrait être fini en deux minutes.
Elle ne bougeait plus, elle n'hésitait pas. Elle refusait de faire le moindre geste.
Alors il s'approcha, saisit le vêtement en boule sur ses poignets, et tira dessus sèchement. Lucie fit un pas vers l'avant, puis ses bras furent libérés.
Alors ma petite Lucie, tu veux que prenne en photo tes jolis seins ?
… oui, fit-elle.
Alors enlève ce soutien-gorge.
Elle passa les mains dans son dos, s'affaira avec l'agrafe, puis les bretelles tressaillirent. Ensuite, doucement, elle écarta les deux extrémités, libérant ainsi ses deux mamelons.
L'homme sourit, lui dit que c'était bien, puis visa avec l'appareil. Il prit quelques clichés.
Ecarte les bras, montre-moi fièrement ces seins !
Elle s'exécuta tant bien que mal, peu encline à se mettre en valeur.
Je sais que ça te plaît de te déshabiller devant un inconnu, fit-il en prenant d'autres photos, ça te plaît non?
Oui ça me plaît...
Tu m'as montré tes seins, à mon tour de te montrer quelque chose.
Non, s'il vous plaît...
Tu m'as dit que tu étais une grosse salope. Tu es une salope n'est-ce pas ?
Oui, mais...
Ta gueule ! Tu es une salope qui aime la bite non ?
…
Dis-le !
Je suis une salope qui aime la bite...
Dis-le plus fort !
Je suis une salope qui aime la bite !
L'homme déboutonna rapidement son pantalon, et libéra son sexe bandé.
Tu suces ton mec ?
...oui.
Tu as déjà avalé ?
...oui.
Tu aimes le sperme.
J'aime le sperme.
Tu en veux ?
… oui.... s'il vous plaît.

L'homme s'approcha, et posa ses mains sur les épaules de Lucie, la forçant à s'agenouiller.
Puis il entreprit de se branler, sans toucher sa jeune voisine, en la regardant droit dans les yeux. Il tenait fermement sa bite, à quelques dizaines de centimètres de Lucie, et lui dit :
Ouvre la bouche, et demande moi encore.
Du sperme, s'il vous plaît.
Salope ! Je vais te jouir à la gueule. C'est ça que tu veux grosse pute !
...oui, articula Lucie en ouvrant grand la bouche.
Puis une giclée frappa son visage, la surprenant. Une seconde giclée atterrit dans sa bouche, le reste dans ses cheveux.

Ne bouge pas ! Fit-il en reprenant son appareil. Je veux me souvenir de ton visage couvert de sperme.
Puis il fit des photos, tandis que le jus coulait le long du menton de Lucie, sur ses seins, sur son jeans qu'elle portait encore.

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