Manon, Jeune Élève Obéissante (3)

Il a replacé mon string noir sans ménagement et j’ai senti une hésitation de quelques secondes dans sa main. J’étais dos à lui, je ne pouvais qu’essayer de deviner. Je m’attendais à tout telle que j’étais, seins nus, cambrée, appuyée contre son mur dans l’entrée. Il a fait claqué une des sangles de mon porte-jarretelles sur la peau de mes fesses. Puis il a embrassé mon cou, et mon épaule. Court moment de tendresse. Déjà je gémissais. A ma grande surprise il venait de remonter mon string plus haut que mes hanches, le faisant ainsi pénétrer profondément entre mes fesses. Par le même mouvement le tissu est venu s’introduire dans ma chatte, et ses doigts sont venus m’écarter pour que je sois entièrement et bien prise par mon propre string.
Il m’a tournée face à lui et m’a plaquée de nouveau sur le mur.
- Relève ta chatte tends la vers moi, m’a-t-il murmuré, remue la pour moi Manon…Prends le même plaisir à me faire envie que lorsque tu te donnais en spectacle tout à l’heure en boîte.
J’ai avalé difficilement. C’était donc ce qu’il pensait de moi ? Il me regardait droit dans les yeux. Cela n’était pas aussi simple que lorsque j’étais de dos et pouvais me laisser entièrement aller et éviter de croiser son regard. Dans cette position j’étais plus que nue, avec mes seins dressés, mes pointes dures, mon ventre chaud et j’imagine mon visage qui tout entier comme mon corps le suppliait de continuer à prendre possession de moi. J’ai remué mon bassin, j’ai fait danser ma chatte en tendant mon ventre vers lui. J’avais l’air d’une belle groupie, je ne pouvais rien dissimuler de mes sentiments pour lui, de cette année d’élève où j’avais durant chaque heure en sa présence rêvé qu’il se produise quelque chose.
Or il me regardait à présent avec un désir sauvage. « Mon dieu ce que tu es bonne ! » m’a-t-il redit en s’emparant de nouveau de mon string. Ses doigts en ont pris possession sans ménagement et j’ai de nouveau senti le tissu venir frotter à l’intérieur de ma chatte et contre mon clitoris.

J’ai cru tomber dans les pommes, être foudroyée pour si peu. Il a tiré dessus, comme sur une poignée, il m’a conduite vers lui en rigolant. Si bien que j’ai rigolé moi-même, nerveusement, il y avait une sorte de complicité, comme si nous nous connaissions très bien, comme s’il me connaissait par cœur, comme s’il avait parfaitement compris qui j’étais. Ce dont j’avais envi en mon for intérieur, et qu’il pourrait me faire et me faire faire. Oui j’avais ce sentiment idiot de l’avoir toujours connu et qu’il me connaissait parfaitement.
- Suis moi petite chatte, m’a-t-il ordonné en caressant mon sexe du bout du doigt et en tirant plus fort sur cette poignée noire par laquelle il me tenait prisonnière et soumise à sa volonté.
Il a continué de me conduire ainsi dans son salon en me guidant fermement. Il me faisait toujours face. Il m’a faite me cambrer, lui tendre mes seins, en m’ordonnant de me laisser guider, de me laisser aller, de lui appartenir et de lui faire confiance. Je fermais de temps en temps les yeux malgré moi, et lorsque je les rouvrais je ne rêvais pas, j’étais pour ainsi dire à lui. Il m’a conduite comme cela jusqu’à la cuisine, sans que jamais sa pression sur le tissu de mon string ne faiblisse. Je me faisais diriger par mon sexe, et j’avais le sentiment que j’avais toujours su que cela m’arriverai. Que j’avais toujours recherché cela sans le savoir.
Comme s’il avait lu dans mes pensées il a caressé mes bas et m’a murmuré qu’il fallait vraiment être une grosse salope pour porter un porte jarretelle à dix-neuf ans.
- J’adore les gamines comme toi, a-t-il continué. Tu vas voir je vais bien prendre soin de toi. Tu vas prendre beaucoup de plaisir, et tu vas surtout beaucoup m’en donner et bien me vider les couilles, n’est-ce pas ?
J’ai acquiescé en rougissant, tandis qu’il m’a appuyé le ventre contre l’évier.
- Et elle a l’air d’une parfaite petite innocente lorsque vous ne la connaissez pas ! Voyez comme elle cache bien son jeu la garce…

Je crois que je ne savais faire que cela, être toujours d’accord avec lui, rester là docilement comme il me l’a demandé, face au robinet les mains dans le dos, mes seins bien dressés, et mon ventre en avant.

Il est revenu avec je ne sais quoi dans une main. De l’autre il a caressé mon ventre en me complimentant sur la perfection de mon corps. « Toi t’es pas faite que pour réfléchir, t’es surtout faite pour être baisée. La nature a bien fait les choses, elle a créée des salopes dans ton genre qui ne demandent qu’à se prendre des bites» a-t-il ajouté alors qu’il nouait entre eux mes deux poignets. Etais-je cette salope dont il parlait ? Il ne me laissa pas le temps d’y penser, et son œuvre terminée il me tourna vers lui, et me demanda ce que ça me faisait d’être attachée. Mais je ne su trop quoi répondre. Je n’avais jamais été attachée. Par personne. Encore moins par un de mes anciens professeurs. Je me sentais honteuse, une femme comme il faut ne se laisse pas attacher comme ça, et sûrement pas le premier soir. Je n’étais donc pas une femme comme il faut, il avait raison. Surtout que son geste n’avait fait que m’exciter davantage. Il s’en rendit compte aussitôt avec ses doigts, et il pu m’affirmer que j’avais de très bonnes prédispositions. Je rougis de nouveau, honteuse de mouiller autant, d’être aussi passive, de me soumettre aussi facilement, et d’aimer sa domination.
Il me fit passer devant lui en m’indiquant de me diriger vers la table de la cuisine. Il m’avait attaché les mains avec une sorte de bande de tissu en dentelle noire que j’avais à peine eu le temps de voir. Je le vis approcher avec une bande similaire qu’il a pris dans un des tiroirs. Il la posa sur la table à ma droite, comme s’il voulait que cette fois-ci j’ai tout loisir pour l’examiner. Que j’ai le temps d’observer ce qu’il venait de rapporter. C’était une bande large de cinq centimètres environ, aussi large que l’autre, mais beaucoup moins longue. Trente centimètre maximum peut-être, se terminant à chaque extrémité par deux lacets en satin assez longs.
Il fit descendre mon string le long de mes jambes, s’accroupissant pour cela. Je levais docilement mes talons l’un après l’autre afin de l’aider.
Il dézippa également ma jupe, puis la retira tout comme mon débardeur. Je ne portais plus que mes bas, retenus par mon porte-jarretelles, ainsi que mon soutien gorge qui ne servait plus qu’à mieux dresser mes seins qui étaient désormais à l’air et à sa vue depuis un long moment. Je sentis sa main se glisser entre mes fesses et les écarter comme s’il les examinait.
- Tu t’es déjà faite prendre par là ? me demanda-t-il.
Je rougis encore plus fort : « Une seule fois ».
Ses mains repassèrent devant. Il me donna deux doigts à lécher, avant qu’ils n’aillent taquiner la pointe de mes seins, tandis que l’autre caressait ma chatte.
- Tu sais ce que c’est Manon ? me demanda-t-il en désignant l’objet qu’il avait posé sur la table.
- Un collier ? dis-je.
- Tu sais de quel genre de collier il s’agit ?
Je pensais le deviner. Mais je fis non de la tête.
- Ce n’est pas ce que tu crois. On verra plus tard si tu te sens prête à porter un vrai collier. Celui-ci ne sert qu’à embellir ton cou ma chérie. A le protéger. Eventuellement à pouvoir te tenir ou te diriger. C’est plus pratique que ton string !
Il le glissa entre mes mains.
- Mets-le si tu veux…
Je le caressais avec mes doigts, mais je savais déjà que j’allais le porter, que j’en avais très envi. Même si je ne savais pas combien d’autres l’avaient porté avant moi, car il était parfaitement impossible que ce collier soit dans cette cuisine et qu’il n’y attende que moi depuis toujours… Je le portai donc vers mon cou, décidée à en assumer les conséquences. Jérôme souleva mes cheveux dans ma nuque et sur mes oreilles pour dégager ma peau. Je déposais le tissu contre ma gorge à l’endroit où le collier de satin et de dentelle était orné d’une sorte de rose noire en tulle. Deux mains vinrent en saisir les deux extrémités dans mon dos, et délicatement refermèrent le collier sur ma nuque. Il me demanda si ce n’était pas trop serré, puis il laça le premier cordon, puis le second.
La peau de mon cou et la dentelle ne semblaient plus faire qu’un, le collier me rappelait sa présence à chaque fois que je respirais. Et ma respiration était en cet instant bien agitée. Comme il s’en assura, on ne pouvait pas passer un doigt entre mon collier et moi.
Il pouvait appeler cela comme il voulait, il pouvait me dire ce qu’il voulait, ce n’était pas un collier en cuir, mais je savais très bien ce qu’il signifiait. D’ailleurs ne m’avait-il pas dit qu’il pouvait éventuellement lui servir à me tenir ou me diriger ?
Alors oui ce n’était pas un collier officiel, c’était un peu comme la différence entre la bague de fiançailles et la bague de mariage, mais je lui donnais le sens qui faisait vagabonder mes fantasmes. Ce collier voulait déjà dire que j’étais à lui. Je n’étais pas qu’un coup d’un soir. C’était ce que j’espérais le plus au monde. Je ne pu me retenir de lui demander si j’avais bien compris cela. Il me rassura :
- Il y aura plusieurs leçons, je ne suis pas le professeur de plusieurs élèves lorsque je donne des cours particuliers. Tu peux être tranquille Manon. Tu peux poser tes seins et ton ventre sur la table devant toi et être rassurée. Une élève aussi brillante que toi me suffit. Tend ton cul ! Mon dieu ce que tu es bonne ! Ecarte tes cuisses. Montre moi ta petite chatte baveuse, on va prendre notre temps, on va faire connaissance gentiment, tu es tellement bandante que j’ose encore à peine te baiser…
Je gémis rien qu’en l’entendant prononcer ses paroles, mais je ne pus me retenir de gémir plus fort lorsque je sentis son sexe commencer à me pénétrer. Il s’enfonça sans difficulté. Je crois que je n’avais jamais été prise aussi facilement, même lorsque je m’étais faite baisée avec du lubrifiant. Je n’avais jamais imaginé pouvoir mouiller autant, ni avoir les pointes aussi dures et grosses.
Mes seins étaient de nouveaux écrasés, cette-fois ci sur le carrelage froid de la table, mais ce froid contre mes tétons et mon ventre me faisait du bien. Comme une boisson bien fraiche après des heures en plein soleil. A moins que cette sensation ne soit celle provoquée par sa bite s’enfonçant entièrement en moi, cette bite qui venait enfin en moi me prendre et me libérer de longues heures d’attente.
J’étais empalée sur son sexe. Il me palpa les fesses. L’espace d’un instant je ressenti la honte de n’être que moi. D’être ainsi à plat ventre sur une table de cuisine, en train de me faire baiser les mains attachées dans le dos, et un collier serré autour de mon cou comme une vulgaire salope. Et de prendre autant de plaisir à cette position.
- Mmh t’es bonne salope, lâcha-t-il comme si j’avais parlé à voix haute. Certains soirs après t’avoir eu en classe, tu ne t’imagines pas tout ce que j’avais envi de te faire Manon ! Et là tu es à moi, allongée sur ma table, attachée… Et je peux te faire ce que je veux. Tout ce que je veux. Tu es à moi. N’est-ce pas ?
- Oh oui !
- Dis « Je suis à vous ».
- Oui, je suis à vous !
Il me lança une grosse claque sur la fesse droite. Puis sur la gauche. Sa queue me baisait de plus en plus fort. J’étais prise et bien prise, sans ménagement, mes seins frottaient sur la table. Je ne m’étais jamais faite baiser comme ça, aussi fort, je n’aurais jamais accepté cela d’un autre. Je me mis à gémir de plus en plus fort. A presque crier.
- Tu peux gueuler petite putain, vas-y, les voisins sont loin !

Il me prit par mon collier en glissant deux doigts dessous et me fit mettre à genoux face à son sexe grand, long et dur. Il m’administra quelques claques avec en me conseillant de réussir à l’attr avec mes lèvres avant que les coups deviennent plus forts.
Il eu finalement une autre idée.
- J’ai envi de te souiller… s’amusa-t-il.
Il me fit rallonger sur sa table en me menant de nouveau par le cou, et m’obligea à lui présenter mon cul, mais aussi à y monter mon genou droit et finalement toute ma jambe. Il plaça mon talon sous mes fesses. Il coinça son sexe à l’intérieur de mes bas et se masturba dedans comme il m’avait baisée plus tôt. J’étais frustrée qu’il ne soit plus en moi, mais je fis mon possible pour lui donner entière satisfaction.
Je sentis son jet chaud et abondant glisser le long de mes cuisses. J’éprouvais encore une sensation de bien être complet lorsqu’il me saisi par le cou et fit descendre de la table. Il détacha mes mains dans mon dos, pour me les rattacher devant.
- Viens, je vais te montrer où tu va dormir ce soir.


à suivre...

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