À La Botte De Ma Soeur

Bonjour à toutes et à toutes ! Je m'appelle Julien, j'ai 22 ans et je vis aujourd'hui avec Lisbeth, ma sœur de 27 ans, dans un appartement, à Bordeaux. Comme elle-même me l'a ordonné, je vais vous raconter ici comment je suis devenu son esclave, pour mon plus grand plaisir.

J'avoue avoir eu du mal à choisir la date à laquelle démarrer mon récit mais afin de vous livrer les éléments nécessaires à sa compréhension, j'ai finalement opté pour le démarrer à partir du lundi 3 septembre 2007.
Ce jour-là, je faisais ma rentrée en classe de terminale dans un nouveau lycée : nous avions emménagé, mes parents, Lisbeth et moi quelques semaines plus tôt en Gironde pour les études de ma sœur. Je me retrouvais donc seul dans ce lycée bordelais, perdu, sans repères, loin de tout ce qui m'était familier. À l'époque, à 17 ans, j'étais un jeune homme très timide et renfermé sur moi-même. J'allais peu vers les gens, si bien qu'une semaine après la rentrée, je n'avais pas fait la moindre connaissance. Chaque soir, après les cours, je me réfugiais dans ma chambre pour m'y morfondre et passer mon temps sur l'ordinateur, qui me permettait de garder contact avec mes anciens amis.
Lisbeth avait dès le début été fidèle à elle-même : notre déménagement ne l'avait pas affectée, elle demeurait joyeuse et avait fait des rencontres dès la première semaine de cours. Elle avait toujours été une fille sociable, « cool », et n'avait jamais eu de problèmes à se faire des ami(e)s. Son caractère était, disons, plus favorable à la vie en société que le mien. N'oublions pas non plus de signaler que du haut de ses 22 ans, ma sœur était une très belle fille au visage d'ange et au corps parfaitement dessiné, qui avait réussi sans peine à s'attirer les faveurs de nombreux mâles ces dernières années.

De mon côté, à 17 ans, j'étais toujours puceau. Faute à ma timidité et à mon tempérament d'écorché vif, je n'avais jamais eu de petite amie. Non pas que j'étais laid ou incapable de plaire mais la perspective de sortir avec une fille en public, lui tenir la main dans la rue, me faisait peur, m'angoissait.

Quand j'y repense, j'en ris.
Avoir vécu 17 ans sans avoir vu une fille nue, sans avoir touché un corps féminin, sans avoir fait l'amour une seule fois avait généré en moi des envies et des pulsions que je ne pouvais contrôler. Mon esprit était obsédé par le sexe et je multipliais les fantasmes loufoques. Sans exagérer, on peut dire que je passais les ¾ de mon temps libre à me masturber devant internet, chez moi, à l'insu du reste de la famille. Je regardais plusieurs vidéos pornographiques par jour pour me soulager et, sans que je puisse l'expliquer, les mots-clé que j'utilisais le plus sur les sites pornos étaient « femdom », « facesitting », « hand domination », « ball busting », « harsh handjob », « mistress », « submissive male » ou encore « milked ». Je raffolais de domination féminine. Les vidéos sur lesquelles je fantasmais étaient celles ou une femme avait un homme ligoté à sa botte, qu'elle masturbait de force, qu'elle sodomisait ou qu'elle utilisait comme jouet sexuel. Les vidéos où l'on pouvait voir une femme nue s'assoir sur le visage d'un homme me plaisaient aussi beaucoup.

Un jour, alors que Lisbeth était à la maison en train de réviser, je me masturbai dans ma chambre, que j'avais pris soin de verrouiller. Comme d'habitude, son baissé au minimum audible pour ne pas que ma sœur entende, je faisais ça devant une vidéo de domination féminine : on pouvait voir une femme frapper dans les testicules d'un homme par de puissants coups de pied. Envahit par la douleur, l'homme s'affala sur le sol. Alors, la dominatrice l'agrippa par les cheveux et colla la bouche de l'homme sur sa chatte avant de lui cracher au visage. « Lèche ! », disait-elle avec mépris.
Mon téléphone sonna. Je fis un bond de surprise, je mis la vidéo sur pause et décrochai. C'était l'administration du lycée : étourdi, j'avais oublié de compléter mon dossier d'inscription et ceci devait être fait aujourd'hui dernier délais. Je tournai la tête vers ma montre : il était 17h, le lycée allait fermer dans une heure.
« Ne pouvaient-ils pas me prévenir plus tôt, ces cons ?! », pensais-je. Paniqué, j'enfilai ma veste en toute hâte et sorti de la chambre, puis de l'appartement, en oubliant d'éteindre mon ordinateur ou de fermer les onglets du navigateur...





Les semaines avaient passé, j'étais toujours nostalgique. Mes amis me manquaient. Au lycée, je restais seul dans mon coin et je m'intéressais tout juste aux cours alors que le bac m'attendait à la fin de l'année. Alors que j'avais toujours été un bon élève, depuis notre déménagement soudain, mon avenir était compromis. Je n'avais pas réussi à m'adapter. Ma phobie sociale me ruinait la vie. Lisbeth, elle, était en couple depuis quelques jours.
Un soir, au dîner, elle annonça à mes parents qu'elle allait emménager chez son petit ami. Surpris, mes parents la mirent en garde : « allons, Lisbeth... tu connais à peine ce garçon... Tu ne nous l'as même pas présenté », lui dit ma mère. Comme toute les filles de son âge, Lisbeth répondit qu'elle savait ce qu'elle faisait et qu'elle n'avait de comptes à rendre à personne. Une dispute éclata. J'étais plutôt d'accord avec mes parents mais je ne pris pas part à la dispute, préférant sortir de table pour aller ruminer dans ma chambre.

Non mais quelle garce ! C'est à cause d'elle que nous sommes venus nous installer à Bordeaux, c'était pour ses études ! Maintenant, elle nous dit qu'elle ne va plus vivre ici avec nous ?!C'est pour elle que j'ai dû quitter ma ville natale et le peu d'amis que j'y avais, tout comme c'est à cause d'elle que je vais rater mon bac cette année !

Allongé sur mon lit, je maudissais ma sœur en secret. Lorsque je l'entendis retourner dans sa chambre et claquer la porte derrière elle, je décidai d'aller lui cracher ses quatre vérités à la figure. Furieux, j'entrai dans sa chambre sans frapper : elle était assise sur sa chaise roulante et me fixait, étonnée.
« T'es vraiment qu'une grosse pute ! », lui criai-je au visage.
Je n'eus pas le temps d'en dire plus : une violente gifle s'abattit sur mon visage, puis une autre, puis une autre, puis un autre, puis une autre et encore une autre. Étourdi par la frénésie qui s'était emparée de Lisbeth, je chancelais et tombais sur le cul. Ma sœur s'accroupit pour être à ma hauteur et me regarda droit dans les yeux, méchamment. J'étais bouche bée, effrayé. La peur avait remplacé ma hargne, jamais je n'aurais cru ma sœur capable d'une telle violence. Lisbeth approcha son visage du mien et chuchota dans mon oreille : « excuse-toi tout de suite, petite merde ! »
De quel droit me parlait-elle ainsi ? Pourquoi devais-je accepter d'être insulté alors qu'elle-même ne l'avait pas supporté ? Il était hors de question que je m'excuse, après tout, elle était ma sœur, elle ne pouvait pas me faire de mal. J'avais tort d'avoir peur.
« Va te faire foutre ! » lui dis-je.
Une fois encore, je n'eus pas le temps d'anticiper ses mouvements : ses poings fermés frappèrent mon ventre à plusieurs reprises. Plié en deux au sol, je me tordais de douleur en suffoquant.
Lisbeth répéta en chuchotant : « excuse-toi, minable ! Je t'apprends aussi qu'à partir de maintenant, tu vas être à ma botte. J'ai toujours rêvé d'avoir un petit chien à mes ordres ! Jamais je n'aurais imaginé que ça serait mon frère ! Un sale puceau ! » elle éclata de rire.
« Il y a quelques semaines, j'ai appris que ça t'excitait d'obéir à une femme, hein ma pute ? » elle me cracha dessus. « J'espère que t'es d'accord pour être ma pute, hein ? Car si c'est pas le cas je raconte aux parents comment tu passes tes soirées à te branler la queue devant ces cochonneries et même, je préviens tout ton lycée ! Ahah ! Petit pervers de merde ! Déjà qu'en deux mois t'as pas été fichu de te faire des collègues... ça va pas arranger les choses si ils savent que t'es qu'une larve, t'es pas d'accord ?  Et puis... si c'est pas moi qui te domine, qui le fera ? À 45 ans t'auras toujours pas vu de chatte !»
Je ne pouvais croire ce que je venais d'entendre, c'était surréaliste.
Si Lisbeth était sérieuse, j'étais ravi sans vouloir me l'avouer. Mais j'aurais mal vécu le passage de mon plus grand fantasme à la réalité. Comment avait-elle su pour mes penchants « domination féminine » ?

Lisbeth s'était levée. Au moment où j'allais faire de même, elle utilisa son pied pour m'en empêcher. Je devais rester assis par terre. Son pied chaussé parcouru mon corps pour rejoindre mon visage, puis s'arrêta.
Je levais la tête vers Lisbeth :
« Déchausse et lèche ! ».

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