Chantal Traque Et Hallali (Suite)
Ca y était, elle avait gobé ma grosse prune, soupesait mes couilles dune menotte, et branlait mon manche de lautre. Elle sappliquait ensuite à me lécher comme un esquimau. Mais elle ne pouvait prendre quune partie de ma pine et je la sentais frustrée.
Et je me disais encore : « Tu vas voir ma cochonne ! Ta motte et ton trou du cul vont tout avaler, eux ! »
Et je lui ordonnais :
- « Cest ça, bouffe-moi bien la bite ! »
Et petit à petit, elle enfournait plus loin ma colonne alors que je lui dévorais la motte en y plantant la langue.
Et quand le bout dun de mes doigts sest posé sur son oignon, jai observé un moment le manège de ses hanches. Elles cherchaient à le faire sinsérer.
Alors soit cette salope voulait goûter à un doigt dans la rondelle, soit elle pratiquait la sodomie et me le faisait savoir
Je lai contentée en massant autour, dessus, le retirant quand elle voulait le gober ; et ça la faisait se plaindre nerveusement.
Et puis je lui ai mis une phalange. Elle ma pompé plus fort en grognant de bien-être avant de crier longuement. Et de crier encore alors que je enfonçais tout le doigt en lui suçant le clito.
Toi ma garce me suis-je dit, tu vas te le faire remplir ton cul ! Samba va dabord te lustrer le minou quand tu lui auras bien bouffé la queue, et puis cest maintenant sûr, il va tépingler au mur en te sabrant la pastille à grands coups de reins !
Elle sentait la femme mûre rompue à la baise, et jallais lui donner de la grosse banane black pour quelle soit accro. Et puis si elle était une bonne chienne, je lui présenterais mon cousin, avec qui on avait dévasté quelques jolies baiseuses. Et je me suis mis à rire intérieurement en pensant au « le noir te va si bien » de la pièce de théâtre.
En mimaginant le dessert, et lui jallais le faire durer, je nai pas attendu plus longtemps pour lenfiler :
- Viens ! Je vais te baiser ! Accroupis-toi sur mon noeud et montre-moi ton cul ! Je veux le voir monter et descendre !
La belle garce sest empressée ; elle était bouillante.
Comme méfiante, elle sest laissée descendre lentement jusquà la moitié, puis est remontée ; avant de sen avaler un peu plus en mettant sa tête en arrière et en sémerveillant :
- Oh quelle est bonne !
Et je me suis dit : elle va être meilleure encore quand je vais tenculer ! Et ça, petite salope, je vais le faire durer ! Ca va être trop bon de voir ton petit trou tout rond sélargir sous la poussée de mon gland, et se refermer derrière pour le maintenir prisonnier !
Et puis je te maintiendrai bien la taille pour te perforer et te perforer encore ! Et cette fois-ci, je te mettrai jusquaux couilles !
Je lui ai ouvert les fesses et jai regardé ce petit oeil qui attendait mon foutre, monter et descendre au fur et à mesure quelle semmanchait ; avant dy planter un doigt.
Quelle cavalière ! Elle a accéléré sa monte et ma juté deux fois sur les bourses en gueulant. Moi, javais du mal à me retenir.
Je lai fait se retourner ; ça a fait baisser la pression de mon jus. Je voulais maintenant voir ses nichons balloter et ses yeux partir.
- Tu aimes ça la baise, toi ! Lui ai-je asséné quand elle sest de nouveau encastrée sur ma bite.
Elle était à point car elle sest lâché :
- Oh salaud, quest-ce que tu me fais du bien ! Comme elle est épaisse ta pine !
Ces mots inattendus mont fait comprendre quelle vicieuse elle devait être, et quelles futures chevauchées nous attendaient.
Alors jai empoigné ses seins pour la peloter, avant de pilonner sa motte à grande vitesse en lui disant :
- Alors régale-toi ma cochonne ! Tieeeeens, prends ça ! Tu las ma grosse banane de black !
Galvanisée par mes mots ou par son excitation, elle a encore hurlé en giclant comme une fontaine.
Moi, je navais plus quune idée en tête maintenant ; lenculer debout, et jusquaux couilles.
Un peu abasourdie, elle na fait aucune difficulté pour se laisser amener contre le mur et se faire mettre les bras en croix dessus.
Elle gigotait de haut en bas et semblait attendre le coup de grâce. Mais ma sauce était au bord de jaillir, et je voulais la limer longtemps avant de lui foutre le trou de balle. Aussi, jai commencé à le lui doigter lentement en lui léchant le cou.
Elle ruait du postérieur. Cette danse provocatrice me mettait les nerfs à vif, mais je lui ouvrais lentement la rondelle. Et ça la rendait aussi dingue que moi.
Et puis après un, cest deux doigts qui lont pénétrée ; et et elle a continué à se dandiner pour bien les engloutir.
Elle faisait des oh de plaisir et il fallait que je la saillisse maintenant. Jai passé toute ma queue dans sa raie du cul pour la prévenir de limminence de la cavalcade, et jai positionné le mufle gonflé de mon noeud contre sa pastille.
- Je ne me suis jamais pris un morceau comme celui-là tu sais ! Tu vas être doux hein ?
Laveu était touchant, mais sa soumission sentait la curée. Et pour me la livrer encore plus, je lui ai dit à loreille :
- Tu vas aimer que je tencule ! Je vais te faire beaucoup de bien ! Tieeeeeens !
Et dun avancement ferme du bassin, jai franchi létroit goulet en tenant mon manche dune main.
- Ahhhh ! Fit-elle.
De surprise sans doute, car elle na pas tardé à vouloir sen prendre plus long.
Je voulais tout delle en même temps ; alors toujours tenant ma bite, jai à nouveau franchi sa lunette en lui pelotant un sein et en lui mordant la nuque.
- Ouiiiiiii ! Fit-elle cette fois-ci.
Alors je lui ai farci le trou du cul une bonne dizaine de fois pour lentendre prendre son pied par des ah des oh et des oui, et puis je me suis enlisé plus loin.
Elle résistait à mes poussées en tendant les bras, et ma queue allait de plus en plus loin ; et elle a fini par lavoir jusquaux couilles, comme je le voulais.
Là, je lai branlée quelques secondes et elle a encore joui.
Jai ressorti tout mon noeud en murmurant encore :
- Cest bon de se faire prendre par derrière, hein ! Tu aimes ça la bonne bite black dans ton cul cochonne !
Et je lai empalée dune longue poussée glissante de cyprine en lui branlant de nouveau le bouton.
- Ouiiiiiii ! A-t-elle meuglé sous un spasme puissant.
Moi aussi je me suis dit ouiiiiiii en commençant à la défoncer profond. Je me suis accroché à sa taille et je lai bourrée de plus en plus vite et de plus en plus fort, jusquà ce que ma sauce blanche soit impérieuse à sortir.
Et je lai prévenue :
- Je vais ten mettre plein les fesses Chantal ! Làààà je vieeeens !
- Remplis-moi salaud ! Sénervait-elle en sempalant. Donne-moi ta liqueur !
Et le flot qui sest répandu dans son fondement a débordé sur ses cuisses avant de se répandre à terre ; je navais jamais émis une telle quantité de foutre. Javais hâte de savoir sil y aurait une autre joute.
Elle a chancelé et je lai soutenue jusquau lit. Je lai caressée longtemps en la bécotant, et elle me regardait avec des yeux émouvants.
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