Andorre
Je suis libre, mon mari travaille: il ne peux pas venir avec moi. Dommage pour nos soirées en amoureux, couchés presque tout le temps, sa bite dans mon vagin ou nos langues qui sactivent sur no sexes. Cest dommage ce voyage seule pour visiter un pays étranger, bien que lAndorre ne soit pas à proprement parler létranger. Je compte profiter du séjour pour me reposer pour une fois à jeun de sexe: ça ma calmera.
Si vous ne connaissez pas Andorre, sachez quil y a de belle choses à voir: des sites pyrénéens remarquable, de veilles églises et des commerces partout: tout ce vends ici, enfin ce qui est légal. Je ne sais même pas si la prostitution est tolérée par le coprince, évêques dUrgel avec notre président de la république.
Ce mois doit être celui des femmes seules. Jen rencontre beaucoup dans mon cas: des Françaises, bien sur, des Espagnoles, des Anglaises ou Britanniques et les inévitables Japonaises. Certaines, comme moi sont seules, dautres en véritable gang. ( Les japonaises) qui ne parlent quun drôle de charabia.
Je monte dans ma chambre, bien meublée, avec une salle de bain dernier cri. Bref le grand confort. Je passe un coup de fil à mon pauvre mari. Il est content pour moi. Il devrait me rappeler demain vers 21 heures.
Je suis vite prête pour aller dans la salle à manger. Ici, on mange assez tard, vers 20 heures 30. Je me trouve seule à une table. A coté les perruches japonaises qui sans arrêt bavardent. Je vois à la table voisine, une femme, une française qui me semble lexemple parfait quon peut se faire dun française: chic; bien mise et dune politesse exemplaire. Nous bavardons vite comme de vieilles amies. Nous devenons comme les japonaises. Le maître dhôtel avec son fond daccent catalan nous demande si nous voulons diner ensemble. Nous sommes vite daccord.
Je la voit près de moi, une femme fort belle, sexy, qui ma dit être veuve. Cette situation minterpelle: je ne peux mempêcher de lui demander comment elle fait pour tenir sans homme.
- Pour les bricolages, jai un gentil voisin qui sait changer les ampoules.
- Oui, mais le reste, au lit.
- Je me contente seule comme je peux. Pas souvent quand même.
- Pour aujourdhui.
- Je navais rien prévu, mais den parler je sais que ce soir je vais me faire du bien.
- Comme moi sans doute.
- Je ne sais pas comment vous faites, disons que je me sers de mes mains.
- Vous savez que vous me donnez pas mal denvies.
- Vous allez vous aussi vous masturber ?
- Ce nest pas ce que je voulais dire, je pensais plutôt VOUS masturber.
- Je ne lai jamais fait avec une autre.
- Moi non plus, je crois savoir comment les femmes se donnent du plaisir, on pourrai essayer ?
- Je ne sais pas
.finalement pourquoi pas.
Je suis contente de me payer une autre femme, par contre je suis comme elle, je nai jamais baisé une autre.
Nous finissons rapidement le repas pour monter dans une chambre sans même savoir dans laquelle.
Nous sommes dans ma chambre, je préfère: jy ai un joli gode dont je pourrait me servir. Le seul ennui est que je ne sais pas comment commencer. Nous nous faisons face. Je la regarde presque comme une bête curieuse. Elle est une jolie femme. Jen profite pour caresser une joue. Elle me rend la caresse quand je pose mes lèvres sur les siennes: elle attendait ce moment depuis un moment: elle nose pas montrer ses talents.
Nos langues sont vite copines, elle se caressent sans arrêt. Cest parti pour une bonne nuit. Nous nous déshabillons chacune de notre coté en nous tournant le dos, comme de jeunes filles dans un internat. Quand nous nous retournons, nous pouvons nous examiner. Pour ma part je vois une femme dans la quarantaine, bien faite au seins biens hauts et aux belles fesses. Elle peut voir la même chose sur moi.
Nous nous embrassons encore, je laisse trainer ma langue dans sa bouche: elle my garde précieusement. A sentir ses réactions je me doute quelle a du regretter son mari tellement elle me semble remontée sexuellement.
Jentend ses gémissements:
- Oui, cest bon, encore, narrête pas, narrête pas.
Et soudain un grand silence rompu par un grand cri quand elle jouit.
- Recommence, donne moi encore ta langue.
- Je veux bien et moi ?
- Donne moi ton con.
Je ne suis pas contrariante, je me met les jambes écartées sur elle. Je sens ses seins contre mon ventre et enfin sa bouche sur le sexe. Je ne la touche pas, jattends pour quelle me lèche aussi. Sa langue est formidable, à croire que je ne suis pas sa première amante. Je commence à sentir dès quelle pose sa langue sur les lèvres, elle les lèches légèrement se haut en bas. Elle passe sa langue entre elles: bon Dieu que cest bon quand elle passe juste au dessus du puits. Elle y passe deux ou trois fois avant de venir dans mon ventre. Ses mouvement sont coordonnées avec les miens. Nous faisons ensemble un extraordinaire 69. Mon visage se trouve bien entre ses jambes. Je me rappelle après que je nai pas pensé un seul instant à mon mari. Je suis trop prise par nos caresses. Il me semble sentir sa langue dans ma chatte quand je jouis.
Nous nous arrêtons après quatre ou cinq orgasme consécutifs. Nous sommes dans les bras lune de lautre échangeant des mots doux ou gros? Je la traite de vache et de putain, elle me dit que je suis gentille, que je lai faite bien jouir. Je vais plus loin en lui demandant
- Si tu veux, jai mon gode, je peut te baiser presque normalement.
- Oui, je veux bien, baises moi.
Cest vite fait, jouvre le tiroir de la table de chevet pour en sortir le gode, un beau morceau plus gros que la bite de mon mari avec qui nous lavons choisi ensemble au magasin « chic » de vêtements.
Je lembrasse encore, en la couchant sur le dos, les jambes ouvertes. La masturbation que je lui fait est pour lui donner du plaisir, bien sur, mais surtout la faire bien mouiller. Je lui demande de sucer le gode, somme une vrai bite, elle sy prend tellement bien quil me semble quelle pense encore à son défunt. Maintenant cest à moi de jouer. Je passe le gode partout dans sa chatte, même sur lanus. Quand jarrive sur son puits, elle la gardé bien ouvert. Jentre lentement jusquau fond avant de le remonter, je recommence encore. Jaccélère doucement les mouvements. Son bas ventre suis mes mouvements; Je suis au fond de son trou, elle gémit de plus en plus et cri quand elle jouit.
Je laisse le gode pour reprendre aussitôt après sa jouissance. Je suis curieuse je regarde bien comment entre le gode dans un sexe: ça me plait bien. Quand elle jouit encore, je sors lengin je le mets directement sur son cul. Si elle est comme moi, elle doit aimer se faire sodomiser. Jentre doucement comme jaime; elle ouvre bien son anus: il lui tarde même quelle soit sodomisée. Jentre lentement, totalement lengin dans son cul. Je vois son clitoris ignoré. Je me penche sur lui pour le prendre dans la bouche. Elle cri encore plusieurs fois.
Notre nuit est trop courte. Nous trouvons quand même le moyen de baiser un fois avant de nous lever. Andorre, rencontres lesbiennes
Le soir nous nous dépêchons de diner pour encore faire lamour.
Jai sa langue sur mon clitoris quand le téléphone sonne: mon époux. Je ne voudrais pas arrêter ce quelle me fait, alors je répond. Il se doute que je ne suis pas dans mon état normal. Jai le malheur de lui dire ce que me fait mon amante. Il mexplique ce que lui fait, il sort sa bite et se masturbe. Il voudrait jouir en même temps que moi. Je dois tout lui dire: comment est ma maitresse, comment elle me lèche, comment je la branle, quelle gout elle a.
Je jouis à cause des caresses, bien sur et surtout de la présence phonique de mon époux.
Nous avons baisé je ne sais combien de fois avec elle. Entrée chez moi il a bien fallut que je dise tout. Jai eu droit à une séance mémorable de baise: il ma fourré partout, dans tous les trous. Nous en étions totalement hors jeu pendant plusieurs jours. Cétait tellement bon.
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