Une Bourge Chez Les Loubards

Cette histoire n’est que pure imagination de ma part, toutes ressemblances avec des faits réels ne seraient que pure coïncidence

Cela fait deux nuits que je ne dors plus, depuis que j’ai vu sur internet cette vidéo filmée par un portable ou l’on voit une très jeune fille nue maculée de je ne sais quoi mais ce n’est surement pas du yaourt …..Elle est entourée d’une dizaine de garçons plus ou moins nus le sexe en érection
Cela m’a tout simplement rappelée une soirée gang bang organisée par mon défunt mari a l’occasion de mes trente ans dont je garde un souvenir indélébile, quel bonheur de me faire prendre par tous ces hommes ….. J’en ai aujourd’hui quarante et toujours seule, à l’ abri du besoin certes mais ma vie est trop monotone ….
Pourquoi je ne dors plus ? Parce que j’ai envie de me rendre a cette cité ou tous les renseignements pour rencontrer ces gens sont donnés avec la vidéo : ’ bourges de tout âges bien venues ‘ cela me correspond exactement, c’est a soixante kilomètres d’ici, personne ne peut me reconnaitre, bien sûr il y a un très gros risque à prendre mais je suis prête à assumer pour me faire tirer une bonne fois pars de jeunes voyous, baisée virilement par des mecs qui ne seront pas aux petits soins pour moi , car a mon gang bang c’est tout juste si ils ne me baisaient pas le petit doigt en l’air , évidement ils avaient étés triés sur le volet par mon mari

Il est préconisé de s’y rendre le mercredi en début d’après midi, c’est décidé la semaine prochaine j’y vais, ma chatte crie trop famine ! Elle a mare des godemichés !
J’ai soigneusement choisis mes vêtements pour cet après midi spécial, un ensemble de sous vêtements très sexy qui a fait son effet lors de mon ‘gang bang ‘ que je n’ai pas remis depuis, dont les élastiques ont souffert, mais comme il risque de souffrir encore plus, je le sacrifie, une paire de bas auto-fixant, une jupe très courte, et un chemisier quasi transparent, par-dessus, pour cacher tout ça un imper lui aussi destiné a la retraite !
J’ai le ventre noué quand je gare ma voiture a l’entrée de la cité, sans sac a main ni téléphone mes jambes m’entrainent vers le bâtiment H porte C
Dés mon entrée entre les immeubles deux gamins me scrutent et manipulent aussitôt un portable, cent mètres plus loin, un costaud me barre le chemin je flageole sur mes jambes ….

- Alors mamie on s’est perdue ? Tu veux quoi ? De l’herbe ?du plus fort pour planer complètement ?
- Vous vous trompez monsieur je viens voir une amie au bâtiment H
- Haaa ! Porte C sans doute ? C’est pour un ‘ramonage ‘ ?
- Monsieur je ne vous permets pas …..D’ailleurs je ne comprends pas ce que vous voulez dire ….
- Te fatigue pas chérie, je les préviens de ton arrivée tu peux y aller, t’a pas l’air moche, ils vont se régaler !
Sans rien ajouter je continue mon chemin, me voici devant l’entrée C, je crois que tous les continents y sont représentés, toutes les couleurs de peaux sont devant moi, la moyenne d’âge doit être de vingt ans, j’ai honte de moi, et comme l’impression que je ne suis pas la bienvenue dans leur ‘royaume’ mais il est trop tard pour faire demi-tour
J’approche de la porte C, comme tout a l’heure un jeune se détache du groupe de garçons…..
- Tu va ou comme ça ? C’est toi la bourge qui a rendez vous avec une amie ?
- Oui c’est ça, porte C
- Amène toi, pas de chichis entre nous je sais pourquoi t’es là, t’a pas de bol aujourd’hui nous ne sommes qu’une quinzaine !
Quinze ? Mon dieu ou ai-je mis les pieds …..Arrivée a l’entrée du hall il m’arrête a nouveau
- Bon, c’n’est pas tout ça que caches-tu sous ton manteau ?
- Je n’ai rien sur moi, vous pouvez vérifier ….
- Ouvre ton manteau je te dis, je me doute bien que tu ne cache pas une kalachnikov !
J’obéis, et ouvre les pans du vêtement, des sifflets admiratifs et des réflexions moins courtoises accueillent la vue de ma mini
- Houa ! Vous avez vus, elle est fringuée comme une pute !!
- Lève un peu ta jupe, ont veut voir la marchandise, sois pas timide ont est entre nous ici ! Les jeunots tournez la tête !
Dans un mélange de peur et d’excitation je relève ma jupe à la lisière de mes bas
- Plus haut ont veux tout voir !
Ma jupe dévoile maintenant tout mon bas ventre ….on peu apercevoir la naissance de mes grandes lèvres car les bords de mon string baillent a cause de élastiques fatigués
- Hooooh putain les mecs je bande ! Bon on va se la tirer ? Je peux toucher ?
Déjà des mains baladeuses se faufilent déjà entre mes cuisses
- Ho doucement toi, ne fait pas de mal a notre beefsteak ! Bon la bourge, qui t’a rencardée ?
- Internet …
- Ok ! Tu sais ce qui t’attend ?
D’une petite voix timide je réponds :
- Oui, je crois …..
- Tu va repartir les jambes écartées, tu va en prendre de toutes les tailles, les plus petites d’abord, on te réserve celle de Momo, la plus grosse pour la fin, crois moi tu va la sentir passer même si le passage sera fait!!! D’accord ?
- Oui, oui ….
Je ne sais pas qui est ce Momo il doit être parmi le groupe, peut être ce noir obese ? Ou bien le grand sec ? De toute façon je sais pourquoi je suis là la chienne qui sommeillait en moi est réveillée, j’en ai des fourmis dans la chatte !
- Alors on y va suis moi, vous aussi les gars
Nous voilà partis dans les caves dans des couloirs interminables ou ça sent la pisse, un coup a droite un coup a gauche, de quoi s’y perdre , des mains profitent de la pénombre pour me peloter , puis celui qui semble être le chef déplace un carton qui masque une ‘entrée secrète’ ou je dois me courber en deux pour pénétrer dans une salle ou trône un matelas tapissé de taches infâmes, combien de filles sont passées là ?consentante ou non , combien de jeunes pucelles y ont laissé leur hymen, des traces de sangs tapissent la couche , une odeur quasi insupportable règne ,une ampoule au plafond éclaire cette couche a hauteur de braguette si je puis dire
- Nous y voilà, plus possible de faire demi-tour la belle, aller fout toi a poil toute seule sinon tes fringues vont morfler !
Comme une automate je retire mon manteau, ma jupe, mon corsage et docile je m’allonge au beau milieu de ce matelas pourrit
- J’avais dit a poil, tant pis tu l’auras voulus
Une lame de cutter brille devant mes yeux pour venir glisser entre mes seins, mon soutien- gorge ouvert en deux d’un seul coup de lame ne cache plus ma poitrine, puis c’est au tour de mon string, une fois les élastiques sectionnés qui glisse entre mes cuisses
- C’n’est pas mieux comme ça ??? Ha ! Ha ! Ha ! Ha !!!!! Elle est à vous, qui veut sucer sa chatte et ses nichons avant qu’ils ne soient recouverts de foutre ?
- Elle suce ?
- Evidement sinon elle ne serait pas là !!!!
A partir de là je perds un peut le fil des événements, une véritable nuée de mecs nus sautent sur le matelas la queue en érection
- Attendez !! Attendez !! S’il vous plait bandez-moi les yeux avant …..
- Madame a des principes ? Foutez-lui un slip sur la tronche
Un linge a l’odeur douteuse couvre mes yeux, cela peut aussi cacher mon visage en cas de vidéos prisent par des portables , mes bras sont tirés vers le haut mes cuisse sont écartées a me faire mal, très vite un gland au parfum d’urine force ma bouche, son propriétaire a plus envie de décharger dans ma gorge que de se faire sucer car il se branle vigoureusement, le résultat ne se fait pas attendre longtemps, j’avale péniblement une bonne quantité de foutre épais
Ma chatte est fouillée par un nombre de doigts indéfinis, tant qu’ils peuvent en rentrer un ils me forcent
Des queues frottent mes tétons dressés, une première giclée se sperme atterrit sur ma poitrine
- Poussez vous, sortez vos doigts j’ai envie de baiser notre sac à foutre ! Tenez-lui les jambes en l’air….
- Tu peux y aller elle est mouillée comme une serpillère la meuff
Je sens ma première queue pénétrer mes chairs intimes, d’un coup de rein puissant il m’embroche sans ménagement, l’homme me baise vigoureusement, lui aussi ne pense qu’a son plaisir et a jouir dans mon vagin, a peine trois minute de vas et viens et les giclées chaudes percutent mon utérus
Il se retire aussitôt remplacé par une verge plus fine mais plus longue qui baigne dans la purée de son copain, chassée de ma chatte elle coule dans ma raie
Ont m’oblige à masturber des bittes, une dans chaque main, je préfère ne pas voir leur propriétaire car elles me semblent bien menues …Ce qui n’empêche pas une éjaculation d’homme sur mon ventre et mes cheveux
Combien de gars ont déchargé en une demi-heure ? Je dis bien déchargé mais pas vidés complètement car les premiers servis reviennent à la charge !
Je commence à avoir mal dans tous les membres, tiraillée en tous sens, ceci dans un vacarme et des cris épuisant pour les nerfs
Le sperme commence à sécher sur ma peau, mes cheveux sont collés par plaques, je préfère ne pas voir l’état de ma chatte, je ne ressens presque plus les pénétrations pourtant les queues que l’ont m’introduits sont de plus en plus grosses
J’ai des renvois de foutre acre, ils m’obligent à me caresser les seins recouverts de sperme
- Etale bien mamie c’est bon pour la peau ! Passe tes mains sur ta cramouille, tu vois elle est pleine !!
Cela fait combien de temps que je suis allongée les cuisses écartées ? Le slip que j’ai sur la tête a glissé, je vois des ombres qui m’entourent encore, peut a peut le nombre des participants diminuent
- Il faut faire quelque chose les gars sa chatte est impraticable !même Momo va patiner dans la choucroute !
- Ha ! Toi qui a une queue raisonnable retourne là on change de trou, prend lui le cul ça feras le passage pour les plus grosses
Je suis retournée et tirée vers le bas sans ménagements les jambes pendantes dans le vide, mes seins baignent dans le foutre qui a coulé de mon vagin qui dois ressembler plus a une méduse qu’a un sexe féminin
Un gland moyen se fraie un passage entre mes lobes fessiers, ma rondelle lubrifiée s’ouvre facilement, je suis tellement en feu que je ne ressens aucunes douleurs et pourtant il est bien calé au fond de mon rectum, le gars jouis très vite, il retire sa queue molle
- Voilà c’est graissé, a qui le tour ?
- Tu es prête pour recevoir Momo la bourge ?
- ……..Je ne sais pas, il veut mon cul ? Dépêchez vous qu’ont en finisse je suis fatiguée
Ce Momo je ne le vois pas mais je sens deux énormes cuisses se coller a moi, ses potes saisissent mes jambes pour ouvrir au maximum mon compas, cette fois je vais le sentir passer, la plus grosse bitte de la bande va me défoncer le fion
La tête sur mes mains visqueuses j’ai le nez dans le matelas souillé de sperme froid, l’odeur loin de me repousser m’enivre, je suis une chienne en rut, plus ils m’avilissent plus je jouis
Mes fesses sont écartées, saisie par les hanches un nœud imposant force ma collerette boursoufflée, il me semble entendre mes chairs crisser et pourtant aucunes douleurs, je suis anesthésiée du bas ventre …..Il progresse dans mon conduit, la queue monstrueuse se retire un peu pour mieux revenir a la charge, en trois coups de reins je suis investie complètement par le membre
- Putain elle est bonne cette meuff ! Ce n’est pas les minettes qui viennent se faire sauter et qui crient au viol dés qu’on les touche ! Elle a le cul serré c’est un régal, regardez comment je la ramone !!!
Ses couilles tapent violemment sur ma chatte a chaque poussée, je tombe dans les pommes quand l’orgasme qui monte en moi éclate …Combien de temps suis-je restée inconsciente ?
- Alors ma belle on revient parmi nous ? Tu m’as fais peur dis donc !ça va ?
- Heuuuu oui, ou suis-je ?.... Çà y est ? C’est fini ?
- Ne me dis pas que tu en veux encore ? Ils sont tous partis je suis resté pour te raccompagner a la sortie, …. Ha, dis moi ça te dirais de revenir un de ces quatre ? Je suis le seul à ne t’être pas passé dessus, tu es vachement bandante mais le terrain était trop marécageux pour apprécier !, si tu veux revient avec une autre meuf, il n’y aura que moi et Momo, tu verras ce seras plus hard en petit comité et dans une vraie chambre !
Encore dans le cirage je ne réponds rien, une surprise désagréable m’attend quand je veux enfiler mon corsage, il est amidonné se sperme, ces salauds ont dut s’essuyer la queue avec, je le jette dans un coin, slip et soutient gorges détruits, a part ma jupe je suis obligée de repartir nue sous mon imperméable
- Soit rassurée je vais te raccompagner a ta voiture sinon tu ne va pas faire cent mètres sans te faire passer une main au cul !
Ce n’est que dans ma salle de bain que je découvre un numéro de portable inscrit au stylo sur mon bras ……..