Leslie Hd54

Leslie HD54 – En déplacement, Sophie, suite

Nous nous sommes séparées elle s’est mise en levrette en gloussant, je me suis mise derrière elle et l’ai agrippé par la taille en plaçant mon sexe sur sa rondelle.
Elle a frémit en sentant mon sexe contre son petit trou, et elle m’a dit :
- Prends-moi avant la chatte et fais-moi jouir !
Je me suis enfoncée dans sa chatte et après quelques va-et-vient, j’ai senti son vagin se crisper sur mon sexe et elle a joui encore une fois de cette manière.
Elle n’a pas prononcé un mot, se contentant de grogner quand je me suis préparée à la sodomiser, plaçant mon gland sur sa rosette.
J’ai poussé et elle a gueulé en disant :
- Non, c’est trop douloureux !
Je me suis enfoncée en elle en lui disant :
- Tiens c’est comme dans le film.
- Ohhh, putain de merde que c’est gros, hurla-t-elle.
Je ne bougeais pas, le gland enfoncé en elle, la laissant s’habi un peu.
- Ohhh, non arrêtes, non ne pars pas, attendant !
Sophie ne savait plus ce qu’elle voulait, partagée entre plaisir et douleur, entre se faire sodomiser ou de refuser la pénétration de son trou intime.
Après un instant elle m’a dit d’une voix rauque :
- Encules-moi, fais-moi encore jouir comme une salope.
Alors je l’ai pénétrée lentement par le cul, d’un seul coup. Elle a gémi et a dit :
- Waouh, je suis complètement remplie, je suis une enculée de salope, c’est bon.
Je l’ai prise par les hanches et j’ai commencé à la pilonner. Elle m’encourageait en disant :
- Oui, ohhh oui, encore, encules-moi chérie.
Elle gémissait de plus en plus, je sentais le plaisir venir en moi, mais je me retenais. Je voulais, pour sa première sodomie, la laisser sans vie de cette pénétration intime et qu’elle en garde un bon souvenir.
A un moment, j’ai senti son trou se crisper sur mon sexe alors qu’elle grognait son plaisir et je me suis vidé en elle.

Plus tard, elle m’a demandé de l’enculer de nouveau et elle a encore prit un pied d’enfer, complètement décoincée Sophie était une salope de première.

Puis, en me regardant dans les yeux avec un regard lubrique, elle m’a demandé :
- Si t’as un gode, sors le que je t’encule à mon tour, comme dans le film.
J’ai été cherché le gode ceinture qui, avec mon gode d’anus, ne me quittent jamais, je lui ai tendu et elle m’a dit :
- Il est de taille, comme dans le film, montre-moi comment le mettre !
J’ai aidé Sophie à s’harnacher, une fois équipée elle paraissait heureuse avec un air vicieux qui éclairait son visage, elle m’a dit :
- Tu vas t’en prendre plein le fion comme dans le film et tu vas sentir que je vais t’enculer comme un homme !
Je lui ai donné le tube de gel avant de me positionner en levrette devant elle, j’ai senti qu’elle m’enduisait le trou de lubrifiant en prenant soin de me rentrer le doigt dans mon trou, puis à enduit le gode, une fois prête elle a dit :
- Ma première sodomie !
Elle a positionné le gland du pal contre mon trou et s’est mise à pousser en me tenant par les hanches, il est entré d’un seul coup en moi sous la poussée de Sophie et j’ai soupiré de plaisir.
Ma jeune amante me sodomisait et j’en étais heureuse.
Elle s’est mise à faire des mouvements lents, entrant et sortant avec une régularité qui faisait penser que ce n’était pas la première fois qu’elle enculait sa partenaire.
Je sentais que Sophie prenait du plaisir à m’enculer, petit à petit les mouvements devinrent plus rapides, accompagnés des mots de ma jeune compagne.
- J’adore t’enculer, je me sens puissante et voir ton petit trou distendue par le gode est vraiment incroyable.
Elle devenait de plus en plus salope, se penchant en s’appuyant sur mon dos, elle me prit le sexe pour me branler en disant :
- Waouh, ça te fait de l’effet que je t’encule, tu bandes comme une furie.
Et les coups de reins redoublent en moi, Sophie est déchainée, elle prend du plaisir et le dit :
- J’adore ça, j’aimerais avoir un vrai sexe d’homme pour sentir l’effet que cela fait.
De sa main, elle me tient fermement la queue et me branle en s’enfonçant au plus profond de moi, je gémis et Sophie apprécié.
- Vas y prend ton pied, ouvre ton cul que je te défonce.
Le plaisir monte en moi et je hurle de bonheur, Sophie stop ses mouvements en étant enfoncée au plus profond de mes entrailles et me branle la queue pour me faire jouir.
Je jouis en arrosant les draps de ma semence et je me suis écroulée à plat ventre sur le lit, Sophie prenant bien garde de laisser le gode fiché en moi. Son corps contre mon dos et le cul remplit sa bouche est venue contre mon oreille et elle m’a dit :
- Je voudrais que ma copine Valérie vienne demain et partage nos plaisirs, qu’en dis-tu ?
- Pourquoi pas, à trois ce sera un bon moment.
- Tu verras elle est très jolie et aime le sexe, depuis un moment elle me désire, mais nous en sommes restées aux petits baisers furtifs.
- Elle a déjà fait l’amour ? Demandais-je.
- Bien sûr et elle m’a dit qu’elle aimait la sodomie.
- Mais elle a ton âge.
- Elle a un an de plus que moi, mais elle va avec des hommes plus âgés qu’elle pour se faire de l’argent, mais c’est les femmes qu’elle aime et voudrait que nous vivions ensemble.
- Eh bien fait la venir.
- Mes parents rentrent demain soir, elle pourrait venir dès demain matin.
- Ok, après le café.
- Je vais lui téléphoner de suite.
Sophie à donner un petit coup de reins avant de se relever, m’enfonçant profondément le gode dans l’anus, en disant :
- Tiens ma petite salope de trans, c’est pour ton bien.

Sophie s’est relevée, et à poil, elle est partie téléphoner à sa copine Valérie, trois minutes plus tard elle revenait avec un grand sourire en disant :
- Elle vient prendre le petit déjeuner avec nous demain à huit heures.
Toujours harnachée du gode ceinture, Sophie était très belle, Une petite salope bien bandante qui ne éveillait le désir en moi. Elle a remarqué que ma queue reprenait de la vigueur et a dit :
- Voilà que tu rebandes pour moi, je te fais tant d’effet que cela ?
Disons qu’avec l’idée de faire un trio avec ta copine et de te voir ainsi harnachée, les désirs reviennent.
- Alors profitons-en, la nuit risque d’être longue.
Nos mains ont retrouvées nos corps et nos bouches se sont soudées pour un baiser n’en finissant pas. Nous faisions monter la tension à l’aide de nos mains parcourant les zones érogènes, puis offertes nous passions à une pénétration où, à chaque fois, c’était une explosion de jouissance.
Elle acceptait la sodomie en hurlant son plaisir avant de me prendre à son tour. Elle était particulièrement excitée lorsque je lui léchais l’anus avant de la prendre un instant dans une sodomie infernale.
Nous avons jouées de nos corps jusque tard dans la nuit, Sophie avait les bouts des seins durs et ils pointaient montrant son excitation maximale, le clitoris dressé en permanence sortait de sa protection et l’électrisait au contact de mes doigts.
Cette nuit-là elle s’est totalement abandonnée au plaisir, et nous nous sommes endormies enlacées dans les bras l’une de l’autre.

A suivre…