Bénédicte, Raoul Et Moi.

Les envies de Bénédicte deviennent carrément porno: elle voudrait baiser avec
plusieurs hommes à la
fois. Je me sens désarmé avec ma bite toute simple et les godes qu’elle emploie. Elle
a pris
l‘habitude de se faire baiser en étant sur moi, elle me donne le gode pour que je
l’encule en même
temps. C’est une petite double. C’est agréable pour moi, pour elle c’est encore
meilleur d’après ce
qu’elle dit.
Je raconte ma femme en quelques phrases: elle avait déjà eu pas mal d’amis avant moi.
C’est normal
de nos jour. Nous nous fréquentions quand nous avons rompu je ne sais même plus pour
qu’elle raison.
Je l’ai recherché ensuite: elle baisait trop bien. Je sais qu’elle avait eu plusieurs
hommes à la
fois: un dans la chatte. Se faire sodomiser en baisant en en suçant un troisième était
le vrai
bonheur. Elle s’est aperçu rapidement qu’elle ne pouvait pas vivre uniquement pour le
sexe.
Depuis que nous sommes ensemble, Bénédicte se baise seule, devant moi ou certainement
sans moi. Elle
a eu une expérience homo avec une femme bien plus âgée qu’elle: elle en garde un
souvenir tel
qu’elle arrive souvent à se faire baiser par des copines de rencontre. Quelques fois
nous partageons
les mêmes filles.
Maintenant elle voudrait trouver un amant bien monté pour qu’avec lui nous la baisions
ensemble. Je
n’ai rien contre, au contraire puisqu’elle aime ça.
Je ne cherche pas celui qui me rendrai cocu, c’est elle qui cherche. Un soir elle me
dit qu’elle a
trouvé la perle rare: un quadragénaire bien monté.
- Où tu as trouvé ce type ?
- En face de chez nous: je l’ai vu à la fenêtre quand je m’habillais ce matin, il
était chez lui,
tout nu. J’ai pu voir sa bite qui bandait. Je suis restée à moitié nue, comme il se
branlait j’en ai
fait autant.

Je me suis montré: il m’a vue.
Nous avons joui ensemble. Je lui ai fait signe de descendre. Nous nous sommes
rencontré en bas, dans
la rue.
Je lui ai proposé de baiser ensemble, il a accepté. Nous sommes monté chez lui. Je me
suis vite
déshabillée. J’ai sortis sa bite que j’ai faite grossir en la léchant, comme je te
fais.
Je lui ai demandé de m’enculer directement. Je me suis simplement penchée en avant,
j’ai ouvert mes
fesses avec les mains: il a vite trouvé la porte d’entrée. Il me la mise avec douceur,
complètement:
je sentais ses couilles contre mes fesses. Pour assaisonner la sodomie, il m’a branler
le clitoris.
La salaud m’a bien faire jouir: depuis, je ne me suis même pas baisée.
Laurent vient ce soir pour manger et ensuite pour m’enculer encore, à moins que tu
veuille cette
place, dans ce cas il me la mettra dans le con.
- Je n’ai plus rien à dire. J’accepte. Si plus tard tu as des envie de sodomie tu iras
chez lui.
- Pas sur, il peut venir chez nous. Ce serait bien que j’ai un amant qui vienne te
faire cocu dans
ta maison.
- Dans ce cas je chercherai une fille qui vienne aussi.
- Oui, j’aimerai nous pourrions te partager et nous aimer avec elle. Tu sais que
j’aime bien les
filles aussi.
- Tu aime n’importe quoi que te baise.
- C’est vrai, tu me connais.
- Baises qui tu veux. Je baiserai aussi comme je veux, qui sait avec ton type d’en
face.
- Pourquoi pas. Après tout s’il aime enculer, il peut bien te le faire.
- J’en sais rien;
Le soir, j’ouvre la porte à un gaillard plus grand et costaud: c’est le nouvelle
coqueluche de
Bénédicte. Elle a bout gout: je ne suis pas très connaisseur en homme, celui là me
parait fort bien.
Il se présente; je suis Raoul. Je regarde instinctivement sa braguette: elle m’a l’air
bien pleine:
elle va en prendre plein le cul.
Si je me laisse tenter, j’en aurai autant dans le
mien.
Bénédicte arrive pour l’embrasser sur la bouche. Sa première précaution est de lui
sortir la bite.
J’en reste éblouis: c’est vrai qu’elle est grosse et longue, en plus elle dégage un
charme que je ne
connais pas. J’ai envie de sa bite dans le cul. Comme ma femme.
Nous faisons semblant de grignoter, pour passer au principal; l’entrejambe de
Bénédicte. Elle est
prête, nue, parfumée aux endroit stratégiques. Elle vient en sandwich: elle me fait
face, je peux
l’embrasser et lui caresser la poitrine pendant que Raoul est derrière elle. Elle se
dandine devant
lui, la bite de Raoul bande entre ses fesses.
J’espère qu’elle ne va pas se faire sodomiser encore debout. Non elle fait aller ses
fesses contre
la queue pour l’exciter d’avantage.
Je suis penché vers ses seins que je lèche et suce. Elle tient ma pine dans une main.
Elle me branle
un peu.
Son autre main part à la recherche de la queue de Raoul. D’après ce que j’en vois il
en a un bien
grosse et longue: elle va se régaler de l’avoir entre dans fesses.
Bénédicte se met en levrette: elle donne déjà son cul. Raoul répond à l’invitation,
qui refuserai
les fesses de ma femme ?
Il crache sur le trou encore fermé: il ne va pas tarder à s’ouvrir d’abord grâce à
Bénédicte qui
sait ouvrir un peu son anus, et surtout à cause de la pine qui arrive. Je regarde
bien comme un
spectacle: il pose son vit sur la rondelle, attend un tout petit moment, lentement il
entre. Je vois
l’anus s’écarter sous la poussée: Le gland n’est même pas à moitié dans son sphincter.
Il donne un
grand coup: Bénédicte fait des « han » à répétition. Je vois qu’il la lui a toute
mise. Je me
demande comment elle fait. Je me demande surtout comment elle fait pour en jouir.

Elle demande ma queue pour la sucer: elle aime trop le sperme. Sa langue entoure le
gland, ses
lèvres servent de sexe, elle l’enfonce au fond de sa gorge. Elle va me faire jouir
dans sa bouche.
Je ne peux tenir longtemps quand elle me repousse: elle ne veut pas que je jouisse
encore.
Elle fait sortir la bite de Raoul avant qu’il jouisse. Nous pensons qu’elle désire
qu’on la lui
mette à deux.
Elle me fait mettre en levrette, me mouille le cul avec sa cyprine. Elle tient la
queue de Raoul, la
dirige vers mon cul. Je ne la voulais pas encore. Je suis même en train de débander.
Raoul est prêt
à ma la mettre. Bénédicte se rend compte que je ne bande plus: elle vent sous moi,
prend ma bite
dans sa bouche: je rebande. Raoul en profite pour entrer très lentement dans mon cul.
Il me fait
mal. Je serre les dents, quand je me rend compte que finalement c’est un autre plaisir
qui arrive
dans mes reins. Je ne pensais jamais que ma prostate réagisse ainsi. Il m’encule, me
masse une
glande, pendant qu‘il a pris l‘initiative de ma branler. Je dois avoir le cul ouvert
comme un
entonnoir. Malgré ça je sens venir l’orgasme, un orgasme inconnu. Ma bite gonfle,
gonfle jusqu’au
moment où je ne peux retenir ma jouissance. Je lâche une quantité importante de sperme
que Bénédicte
récupère je ne sais comment. Je me laisse tomber sur elle, vaincu par le plaisir.
Quand je peux à nouveau bander, elle me demande sur elle: elle a déjà Raoul dans le
cul, je vais
combler les manques dans son con. J’y trouve son sexe, sa mouille et la présence à
travers les fines
parois de la bite de Raoul. Il ne s’en doute certainement pas: c’est grâce à lui que,
nos bites se
croisant dans le ventre de ma femme, me donne ou nous donne ce plaisir immense qui
fait jouir
Bénédicte, Raoul et moi, à la fois ou presque.

Je remercie Raoul de l’orgasme qu’il m’a fait avoir en m’enculant. Il avoue que je
suis son premier.
Nous pourrons recommencer même sans Bénédicte. Il me propose de l’enculer aussi.
Pourquoi pas ?

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