Clarisse
La nuit est tombée depuis longtemps, la télé est éteinte, je suis seule dans mon lit:
je pense, je pense à Clarisse, ma copine Clarisse que jai revu rapidement ce matin.
Depuis il me trotte en tête les anciens souvenirs de quand nous avions à peine 17 ans.
Elle na pas du moublier puisque quand elle ma vu elle ma fait un joli sourire
enjôleur. Quand nous étions ensemble, nos corps nus, nous nous faisions un tas de
caresses qui nous emmenaient toujours des orgasmes inconnus, pour moi en tout cas. Un
jour elle est parti loin pour étudier. Je suis restée dans ma petite ville.
Jespère quelle na pas oublié où jhabitais. Jespère surtout quelle se souvient de
ma bouche, de ma langue sur sa chatte.
Pour loublier un peu je me suis arrangée pour « fréquenter » un garçon à qui je
plaisait beaucoup. Notre première fois était au bord de la rivière en été. Après ses
baisers sur ma bouche, il réussit à mexciter assez pour que je lui permette de me
passer sa main sur la chatte. Cétait très bon quand il a trouvé mon petit bouton. Il
ny a pas appuyé beaucoup, juste comme jaime quand je me masturbe. Javais les jambes
bien écartées, il pouvait voir tout mon sexe. Je ne sais pourquoi il a eu lidée de
mettre son pouce sur mon anus. Javoue que ce doigt à cet endroit me faisait du bien,
javais presque envie quil le rentre. Il a simplement caressé cet endroit. Il avait
éveillé en moi lenvie de lavoir dans lanus. Je ne savais pas trop comment le lui
dire. Jai avancé mes fesses vers lui. Il a compris; il a trempé son doigt dans la
chatte pour y prendre ma cyprine, ensuite il est revenu. Cette fois il a entré le
doigt lentement en écartant mes sphincter. Jétais bien sur vierge de ce coté là,
comme de lautre. Je le sentais me donner une drôle de sensation avec son unique
doigt.
Cétait très différent de la masturbation, cétait complémentaire.
cest-ce qui ma fait jouir. Je jouissais ainsi avec un garçon. Cest à la suite de
cette jouissance quil est venu entre mes jambes écartées. Je voyais sa bite bien
droite. Je savais ce quil voulais, je venais de jouir, et javais peur de lui.
Pourtant cest avec douceur quil a posé sa queue sur mon trou.
Il ne ma pas baiser rapidement. Il est entré lentement, presque trop même. Il ne me
faisait pas mal, je commençais à avoir bien envie davoir, un truc, un machin dans le
vagin. Il me la mise doucement, sans même sarrêter sur mon hymen. Jai crié un peu,
jusquau moment où il est arrivé tout au fond de mon ventre, là où il sest arrêté. Sa
bouche sur la mienne me faisait des caresses, bien venues, avec sa langue. Il a
recommencé ses mouvements. Je sentais bien sa bite aller et venir, ce nest que quand
jai senti sa semence envahir le fond de mon ventre que je sentais enfin quelque
chose: pas de quoi en faire un plat, en tout cas je nétais plus vierge et javais eu
son sperme. Nous avons recommencé plusieurs fois dans les semaines qui ont suivi.
Finalement je sentais de plus en plus de plaisir jusquà jouir une fois ou deux. Ca ne
valait pas les orgasmes avec Clarisse.
Ce soir je ne pense quà Clarisse. Jen mouille. Je ne peux mempêcher de me branler.
Cest presque minuit, je vient de me faire jouir pour la troisième fois. Un signal
téléphonique: un sms: cest Clarisse qui me demande si elle peut venir maintenant.
Comme si elle avait besoin de me prévenir. Je ne sais doù elle appelle. Je massoit
sur le lit, jai encore ma cyprine plein les doigts. Tant pis, elle sait ce que cest.
Je vais pour passer une robe de chambre quand elle sonne.
Jouvre, à moitié nue quand elle entre: nos lèvres sont vite ensembles. Nos langues
retrouvent lautre. Nous néchangeons pas un mot. Nos regards et nos mains suffisent.
Je sais quelle a du avoir dautre amantes ou amant que moi. Ce nest rien: nous avons
envie autant lune que lautre. Elle connait ma chambre, elle me prend par la main et
my mène.
Jarrive à lembrasser encore pendant que je la déshabille. Il y a tellement de temps
que je nai pas vu son corps. Je redécouvre ses seins un peu plus gros, à peine plus
gros, ses hanches sans changement. Ce qui me surprend et de vois son pubis rasé. Tout
le reste est comme je le connaissais. Elle aussi me met nue: je me montre sans pudeur,
comme avant. Nos affaires sont éparpillées dans la chambre. Ce nest pas grave, par
contre nous sommes bien réunies. Comme avant nos seins se caressent: que ça me
manquait!! Nos corps se confondent. Je passe une main sur ses fesses; Je sais quelle
aime quand je lui caresse les fesses.
Clarisse men fait autant, avant de passer sa main sur ma chatte. Je crois mourir de
bonheur quand je sens son doigt, toujours le même sur mon clitoris qui bande depuis
son arrivée. Mes jambes sécartent comme avant. Je ne résiste pas longtemps, jhurle
presque en jouissant. Je suis prête à tout: si elle avait une bite en plus de sa
chatte je me ferais enculer. Quand elle sassoie au bord du lit, les jambes ouvertes,
je sais ce quelle désire: un cunnilingus.
Je pense avoir la langue dehors bien avant quelle soit sur son con. Je retrouve son
gout légèrement amer, la forme de son clitoris et de son vagin. Il y a une foule de
détails qui ne soublient jamais. Sa chatte en est pleine.
Je la lèche à grand coup de langue de bas en haut: son bouton est toujours sous ma
langue. Joublie volontairement son vagin.je vais essayer de lui mettre un doigt dans
lanus. Jai bien mouillé mon doigt et lentement je passe son anus pour me trouver en
entier dans son cul. Elle me laisse faire; cest que ça lui plait, dailleurs:
- Oui, oui, encore, gardes ton doigt, enfonces le encore; lèches moi bien.
jouiiiiiiiiiiiiiiiiir.
Je lai faite partir bien vite. Je la laisse comme elle est. Quand elle a récupéré:
- Viens donne moi ta chatte. Je vais de doigter, te lécher, tenculer si tu veux; Jai
un gode dans le sac, je men sert pour ça.
- Fais de moi ce que tu veux.
Je suis totalement à sa merci. Je me couche sur le lit, contre elle qui à mes cotés me
passe sa langue dans la bouche, lèche mes lèvres, caresse mes seins, avec une main
unique qui descend au de là de ma fourrure. Elle me frôle au passage le bouton, entre
à peine dans le puits. Elle va bien plus bas, au-delà du sexe. Elle sattache
maintenant à me caresser lanus. Elle est douée pour ça. Elle arrive à me faire jouir.
Je gémis sans arrêt. Au moment de lorgasme elle entre le doigt en entier dans le cul.
Clarisse moublie pour fouiller dans son sac: elle en sort un joli gode rose, gros
comme une petite bite. Elle me le donne à sucer, ce que je fais avec plaisir sachant
quil va venir dans mon cul. Elle le passe également dans sa bouche, entre ses seins
avant de venir sur moi, comme pour faire un 69. Sauf que je nai pas accès à son sexe.
Elle est bien penchée sur le mien. Le gode est vite dans mon vagin où il me comble,
elle le fais aller et venir deux ou trois fois.
Ensuite, elle se décide: elle pose le bout sur lanus. Je fais comme je peux pour
ouvrir mon cul. La première fois que javais été enculée, cétait avec une vrai bite.
Maintenant cest un morceau de plastique qui va me faire jouir. Cest vrai quelle
sait bien comment faire. Elle le rentre avec beaucoup de douceur: on dirai une vrai
bite. Je ne peux rien voir, cest dommage, jaurai bien voulu regarder cette chose me
pénétrer. Je ne vois pas mais je sens dabord une légère douleur vite effacé par ce
plaisir innommable de la sodomie. Le plaisir est intensifié par la langue de Clarisse
sur le bouton.
puits; Je ne peux résister longtemps. Cest presque une double pénétration.
Je sens mes orgasme lun derrière lautre sans cesse. Je nen peux plus. Clarisse le
sens. Elle me donne le gode:
- A toi de menculer, fais le bien, donne moi beaucoup de plaisir.
De baisée je me transforme en baiseuse. Je lui donne le gode à sucer, ce quelle fait.
Elle est dans la position. Je me met comme elle. Je vois encore une fois toute sa
chatte et surtout son petit trou. Je mouille pas mal le gode dans son vagin. Je suis
sans doute maladroite pour lenculer. Je fais comme je peux. Je dois bien faire
puisquelle gémis. Je suce son bouton: elle jouis trop rapidement pour que jai le
temps de lui mettre des doigts dans le con.
Quand elle jouit, jenlève le gode. Nous nous levons prendre une douche: nous somme
toutes mouillées de sueur. Une douche ne nous fera pas de mal. Mettez deux amantes
dans une douche ensemble: il se passe ce que nous faisons. Nous nous lavons
mutuellement. Cest agréable; moins que ce qui suit: nous nous servons du jet pour
nous branler. Surtout, cest bizarre le cul. Nous en jouissons chacune à notre tour.
Un comble deux lesbiennes qui jouissent de se faire enculer et senculent ou presque
sous la douche.
Enfin Clarisse est là: nous vivons notre vie de couple sans problème sauf bien sur les
on-dit des voisins.
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