La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 23)

- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS-

D'une élégance folle dans son ensemble, cette pièce était toute de rouge et de noir
tendue .

Devant les fenêtres hautes étaient tirés de lourds rideaux dont les teintes
s'accordaient avec les tapis du sol . La rondeur irréelle de la pièce était coupée par
le mobilier pour le moins tout aussi digne des cachots et autres oubliettes du moyen
âge .

Il y avait, excentrée, une table de monastère massive . Aux quatre coins de celle ci
pendaient quatre anneaux. A l'opposé de la table, contre le mur, une cage de fer ronde
aux barreaux épais et lourds imposait sa présence en reflétant la lumière des bougies
disposées en quantité ici et là, sa porte était entrouverte .

Plus loin, trois profonds fauteuils entouraient une petite table basse . Mon regard
suivi la courbe des murs de pierre brute et se posa sur une croix en X avec des
anneaux en haut et en bas de ses "branches" . Il y avait des poulies qui pendaient du
plafond à divers endroits . Sur des étagères je vis diverses cordes de couleurs
différentes convenablement rangées, des bracelets de cuir noir d'autre rouge, des
martinets, des fouets et divers instruments don j'ignorais l'usage pour certains, des
coussins de soie nonchalamment empilés invitaient au repos, tout cela en harmonie avec
la décoration de la pièce, dénotait un certain gout de l’esthétique ;

- Te voila dans la "Salle Rouge" ! c'est la salle de jeu de Monsieur le Marquis .

Walter me poussa vers la table, me força à m'y allonger à plat ventre . Il me lia les
pieds et les mains aux quatre anneaux . J'étais écartée, impuissante . Je savais ce
qui allait suivre : Le Marquis me fouetterait tout son saoul, sans que je puisse m'y
soustraire, ligotée comme je l'étais, offerte à sa vindicte.... .

Walter alla s'assoir dans un des fauteuil et attendit en sirotant une liqueur .

il me
regardait, sans expression . Il attendait que son Maître arrive ...
Celui ci ne tarda pas d'ailleurs . Il avait pris le temps de se changer et avait
endossé une tenue plus décontractée . Il fit le tour de la table, passa ses mains sur
mon dos, arriva près de ma tête, la releva en me tirant par les cheveux .

- Alors, comment vas-tu rembourser ce que tu as cassé ? me demanda-t-il, j'ai une idée
mais elle risque de ne pas trop te plaire femelle !

Je n'osais pas répondre . Que pouvais-je répondre ? Je craignais de ne pas supporter
ce qui allait suivre . Je n'avais jamais subit de tels châtiments . Je tremblais,
appréhendais et pourtant je sentais dans mon ventre une folle farandole de milliers de
papillons . Mon corps était impatient du premier coup . Le Marquis se dirigea vers
l'étagère, pris l'un après l'autre plusieurs grands martinets aux couleurs et aux
matières différentes . Il choisissait avec soin, me semblait-il, et trouva enfin le
martinet qui sembla lui convenir . Il le fit glisser sur moi en se déplaçant derrière
moi .

- Es-tu prête ?

Non, bien sûr que non ! je n'étais pas prête ! La douceur des lanières me frôlant me
fit frissonner et puis le premier tomba sur mes fesses, la force et la soudaineté du
coup me surpris

- celui la c'est juste pour te réveiller !

Alors s'enchaînèrent les coups plus ou moins appliqués, plus ou moins rapides . Au
début je résistais . Les coups semblaient chauffer mon corps . Tout y passa, mon dos
mes reins, mes fesses, mes cuisses . Je ne peux pas dire qu'à ce moment je souffrais,
non, et j'en ressentais une certaine frustration . Je voulais vraiment "rembourser" ma
dette !
Le Marquis arrêta et me caressa, oui me caressa, sa main fût douce sur mon corps chaud
.

- elle est prête Walter, si on la faisait chanter un peu maintenant ?
- oui Monsieur le marquis, je suis certain qu'elle a de la voix, dit-il en
s'approchant à son tour de la table !
- Prenez celui-ci Walter, je vais en chercher un autre .


Qu'est-ce que tout cela voulait dire ? Walter participait aussi à ma punition ?
Je n’eus pas longtemps à me poser de question, ou même d'avoir peur . Chacun à leur
tour, dans un synchronisme machiavélique, ils abattirent les martinets sur moi . Je ne
pus retenir mes gémissements bien longtemps . Ils se transformèrent en cris très
rapidement . L'alternance infernale des coups frappant tour à tour mon dos, mes
fesses, parfois venant fouetter mon entre cuisse en feu, parfois ensembles.....
Si au début j'avais pensé pouvoir ne pas crier, je déchantais très vite ! Les coups
étaient puissants, lourds, féroces, sans pitié, il y en avaient trop . Je criais comme
jamais je ne l'avais fais auparavant, Je n'avais jamais reçus de telle correction .
Je sentis des mains me caresser, douces, tendres, fermes, apaisantes Je ne me sentais
pas la force de regarder à qui elles étaient, elles me comblaient de tendresse,
m'insufflant la force et le courage de supporter les coups.

Les coups, qui reprirent de plus belle, puis de nouveau la caresse des mains....Cela
dura une éternité, je perdais la notion du temps à mesure que les coups s’abattaient
sur moi, que les mains me caressaient me faisant perdre la tête . Je ne savais plus où
j'en étais .J'avais la sensation qu'ils me fouettaient de partout en même temps . Je
ne savais plus où tombaient les coups, j'avais l'impression de les ressentir partout
et en même temps . La douleur se mêlant aux caresses, me propulsa dans des contrées
inconnues de moi . Mon corps se tendait, s'offrait, essayait de se soustraire aux
coups, réclamait grâce...

Je criais que l'on arrêta et craignant qu'on le fit .
Et puis doucement,je sentis bientôt mon corps , non plus refuser les lanières mais au
contraire, onduler pour en rechercher la cruelle caresse , je ne criais plus je
gémissais .
Le Marquis sentit le subtile changement, et tout de suite arrêta les
coups, Walter en fit autant .

- Je ne veux pas qu'elle prenne du plaisir, elle paie une dette !
- va chercher Lalielou, je m'occupe de cette chienne jouisseuse !

.Le Marquis me détacha et me pris dans ses bras, je ne m étais pas rendue compte que
je pleurais à chaudes larmes, se penchant sur moi doucement il me dit :
- c'est bien Marie, tu t'en sors bien, mais tu dois bien te douter que cela ne suffira
pas à rembourser la carafe ?
Il me regardait intensément,
- Tes yeux sont magnifiques ! J'aime la couleur qu'ils ont maintenant,
Je les baissais intimidée, je savais que lorsque je pleurais ils changeaient de
couleur et devenaient translucides . De me retrouvée au creux de ses bras me semblait
irréel . Je sentait le jeux de ses muscles sous sa peau, j’entendais son cœur battre,
puissant . Il se déplaça et me remis debout en arrivant devant la croix en X et il m'y
attacha, les pieds et les mains écartés, je n'en avais donc pas fini avec les lanières
.

Lorsque Walter pénétra dans la cuisine, Marie était assise à un bout de la table et
houspillait Lalielou qui astiquait le piano en gémissant . Elle avait les reins
cambrés et on voyait le tuyau du god, qui lui sortait du cul . Avec sa pompe à son
extrémité il lui faisait une queue des plus inattendue . Son anus était si rempli
qu'on le voyait, distendu, obscène, entre ses fesses écartelées par l'engin .

- elle est trop lente, j'ai dût la motiver à plusieurs reprise ! elle se plaint tout
le temps, geint à la moindre claque !
Marie, avec son air de garde chiourme revêche, dressait un tableau peu élogieux de la
pauvre Lalielou qui pourtant faisait du mieux qu'elle pouvait .
- justement Monsieur le Marquis la demande, je vais lui faire part de tes remarques,
lui répondit-il en souriant, ce soir il est en forme ! Prépare quelques en-cas, nous
en auront besoin, la soirée va durer !
- tu vas passer quelques "bons" moment ma p'tite ! lance la cuisinière, sarcastique,
c'est que je le connais bien "Mon Marquis" !

Walter se saisi de la laisse de Lalielou, la fit se mettre à genoux et la conduisit
vers l'escalier, l'obligeant à marcher à quatre pattes .
La montée de l'escalier ne
fût pas des plus faciles, la démesure qu'avait pris le plug la gênait, tout autant
qu'il la faisait souffrir, elle n'avait jamais été distendue à ce point . Elle
craignait même que son anus ne cède sous l'atroce élargissement .
Ils arrivèrent enfin dans la "Salle Rouge", Walter la présenta au Marquis assis dans
la petite partie salon , elle écarquilla les yeux quand elle vit la drôle pièce dans
la quelle elle venait d'entrer . Walter relata les doléances de la cuisinière au
Marquis qui se leva et s’approcha d'elle .

- Comment cela ? cette femelle a été une mauvaise fille, je me dois donc de la
corriger comme telle ! Viens ici ! lui dit il lui montrant ses genoux .
Non il n'allait tout de même pas lui donner une fessée comme ça, là ? Elle n’eut pas à
réfléchir bien longtemps .*

- Tout de suite et plus vite que ça !

ce qu'elle fit péniblement, elle s'allongea au travers des genoux du Marquis, qui
admiratif, regarda d'abord jusqu'où la cuisinière avait gonflé le plug qu'il avait
installé . Il en apprécia la taille qu'il devait avoir pris à l'intérieur de Lalielou,
qui elle, attendait la première claque . Ce fût d'abord une main douce qui passa sur
ses globes exposés . Elle frémit, son anus mis à mal depuis plus d'une heure la
taraudait mais lui provoquait également des sensations autres , et, si son vagin
n'avait pas été comprimé de l'intérieur par l'engin la mouille lui aurai couler le
long des cuisses .

La main du Marquis se promena sur les fesses, fit le tour de l'anus tendu à craquer,
descendit sur la fente gonflée aussi par l'engin qui prenait la place où la trouvait .

- mmmmh ! à point, elle est à point ! sourit il , abattant sa main avec force sur le
fessier offert, elle provoqua en Lalielou une vague se propageant de la fesse à son
anus, et de son anus à son sexe tendu, le god l'emplissait . Chaque claque donnée avec
force, chaque claque reçue provoquait une onde profonde . Douleur ? Plaisir ? Lalielou
ne savait plus trop, mais la réplétion des coups s’accélérant, s'intensifiant, elle se
mit à gémir . N'osant pas porter ses mains en protection de son fessier mis à mal,
elle supportait du mieux qu'elle pouvait cette avalanche de coups . Mais bientôt les
larmes roulèrent sur ses joues, elle se mit à crier, s'excusant, demandant grâce . Le
Marquis n'en eu cure et continuait de la fesser à un rythme d'enfer . Les claque
tombaient les unes après les autres . Le fessier fût bientôt cramoisi . Lalielou
gesticulait essayant de se soustraire, un peu, aux mains du Marquis .

Elle sentait, contre son flanc, le sexe du Marquis qui gonflait au rythme des claques
qu'il lui appliquait avec la régularité d'un métronome.Elle compris le plaisir qu'il
avait à lui donner cette fessée, le plaisir qu'il avait à voir ses fesses rebondirent
sous ses claques, le plaisir qu'il avait à les voir changer de couleur .

N'y tenant plus il l'a repoussa, la faisant tomber au sol . Il la fit mettre à genoux
devant lui . Lalielou l'entendit baisser son pantalon et senti le gland chaud du
marquis se présenter à son sexe . Elle se demanda s'il n'allait pas lui ôter le plug
avant, ou du moins le dégonfler un peu . Il ne pourrait jamais la pénétrer sans cela !
Il n'y avait plus de place, elle le sentait .

Le Marquis ne fit rien de cela, il l’agrippa par la taille, et , quand il fût bien
placé , la tirant vers lui , il força l'entrée de son vagin dans grand cri de Lalielou
qui en eut le souffle coupé ! Il la pénétra lentement, forçant le passage, écartant
les parois, comprimant encore plus la fine peau séparant le vagin de l'énorme engin,
elle ne respirait plus, attendant d'un moment à l'autre à être déchirée . Mais petit à
petit, lentement le Marquis forçait le passage de cet antre rendu divinement étroit et
en prenait possession .

Lalielou se mit à hurler, ses chairs la brulaient, le plaisir qu'elle ressentit avec
le plug faisait place à une douleur atroce ! Elle criait, gesticulait, essayait de se
soustraire à la terrible pénétration .

- Walter, elle crie beaucoup trop fort, mettez-lui donc en bâillon ce sexe qui
provoque ce renflement que je vois sur votre pantalon !

Il se plaça devant Lalielou et ouvrant sa braguette, en fit sortir un sexe qui, s'en
être hors norme, était de belle taille . Il le présenta à la bouche de la pauvre
Lalielou qui, criant toujours sa douleur, se vit contrainte d'engloutir la queue de
Walter . Ne pouvant plus crier elle referma la bouche autour du bâillon que formait
cette verge. Walter, sans la moindre parcelle de pitié, lui enfonça profondément .

Elle senti le renflement du gland heurter ses amygdales, provocant un inquiétant haut
le cœur . Walter n'en tînt pas compte et continua sa progression . Il sentit l'anneau
que formaient les amygdales et la luette se desserrer quand son gland franchi
l'obstacle . Il était dans sa gorge , au plus profond qu'il lui fût possible . La
bouche de Lalielou heurta son pubis . Il se retira, ressenti à nouveau les amygdales
s'ouvrirent au passage inverse de son gland et le laisser sortir sans peine .

Sans peine pour lui, car Lalielou se débattait, poussait de ses mains sur le ventre de
Walter qui n'en avait cure . Il la laissa reprendre son souffle . Ses yeux pleuraient,
elle toussait mais, sans pitié aucune pour ses larmes il replongea avec délice dans sa
bouche, continua inexorablement sa progression, passa la glotte senti le haut de coeur
et se retrouva une nouvelle fois au fond de sa gorge . Il y resta un peu, maintenant
la tête de Lalilou plaquée contre son bas ventre, se délectant des soubresauts que
provoquait l'intrusion de son sexe profondément enfoncé dans la bouche de Lalielou
Elle était empalée de toutes parts, secouée de soubresauts incontrôlables elle sentait
la nausée venir . Son vagin et son anus dilatés menaçaient de céder sous les assauts
du Marquis qui accélérait la cadence .

Walter calqua son rythme sur le sien, et ensemble pourfendaient Laielou Ils la
prenaient ensemble, puissamment, profondément . Je voyais ses yeux s’agrandirent
d'angoisse à chaque poussées de Walter , elle ne pouvait plus crier, n'ayant plus la
possibilité de le faire . Le bâillon de chair qui allait et venait dans sa gorge était
d'une efficacité effroyable . Combiné au pilonnage incessant que lui imposait le
Marquis par ses autres orifices , elle était comme une poupée de chair, désarticulée
entre leurs mains perverses et impitoyables . Ils ne s'occupaient que de leur propre
plaisir .

Je n'entendais plus que les ahanements des deux hommes qui la besognaient sans
discontinuer .

- mmmmh sa bouche, Monsieur le Marquis, c'est un délice, douce, chaude, humide et
profonde ! Projetant son sexe plus loin encore dans la gorge offerte. Il déversa, en
saccades successives, sa semence que Lalielou ne put qu'avaler, le sperme déversé au
plus profond de sa gorge !

Le Marquis qui la pilonnait depuis un bout de temps et se sentant très à l'étroit dans
ce conduit soyeux ne put retenir plus longtemps son plaisir . Son sexe se gonflait
sous les spasmes de la jouissance, il se retira et éjacula sur les reins meurtris de
Lalielou . Ils la lâchèrent tous les deux . Elle n’eut même pas la force de crier et
s’effondra à leurs pieds .

- quelle femelle sublime ! s’exclama le Marquis . Il s'approcha de Lalielou encore au
sol
- nettoie mon sexe tout de suite, j'ai encore à faire !

Lalielou se redressa difficilement sur les mains, en la tirant par les cheveux, il
l'aida à relever la tête et elle entreprit de nettoyer la verge du Marquis qui
commençait lentement à perdre de sa superbe .

- applique toi !

Lalielou prit la verge dans sa bouche meurtrie et entreprit de la nettoyer
consciencieusement . Elle tournait sa langue tout autour du gland, aspirant les
dernières gouttes de sperme qui y étaient encore . Elle leva les yeux vers le Marquis
ne sachant pas combien de temps il voudrait qu'elle le nettoie . Elle s'appliqua donc
jusqu'à sentir renaître la vigueur du Marquis .
A ce moment là il se recula et demanda à Walter de la mettre dans la cage pour qu'elle
se repose . Elle se retrouva, soulevée, inerte, fleur fragile malmenée par une trop
grosse tempête .

Walter la déposa au fond de la cage où elle se roula en boule . Elle avait des
contractures aux mâchoires, le plug la pourfendait toujours . Elle avait envie de
passer ses main sur son sexe mais n'osa pas le faire . Sa tête lui tournait encore
d'avoir manqué d'air . Elle n'avait plus la force de penser, plus la force de pleurer,
elle était là, pantelante, soumise du Marquis . Le séjour se promettait d'être long .

La grille à peine refermée, le Marquis se retourna vers moi . Il s'était rajusté et se
dirigeait vers l'étagère . Sa main survola toute une collection de fouets . Je
frissonnais . Pas le fouet, non pas le fouet !

- alors, que penses-tu de celui-ci ? me demanda-t-il, en saisissant un fouet tressé de
rouge et de noir, long serpent de cuir, tout aussi magnifique et maléfique que la main
qui le brandissait . Le Marquis me le présenta, narquois .

Je fermais les yeux, une larme roula sur ma joue ....

(à suivre)

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